Playlist (48)

kegue a écrit:

Quatrième symphonie de Szymanovski : c'est bon ça.

Quelle version ?

WoO a écrit:

kegue a écrit:

Quatrième symphonie de Szymanovski : c'est bon ça.

Quelle version ?

je le dis Witt

Kochurov, Adagio. Maria Yudina
Szymanowski, 9 Préludes. Maria Yudina
Debussy, Sonate pour violoncelle et piano. Yudina, Natalia Shakhovskaya
Schumann, Phantasienstücke. Yudina

...

Ce soir, je m'attaquerai à ses cantates "nationalistes" que j'adore !

Le Tout servi par nôtre humble serviteur : Paavo Järvi


Edit : Oulà j'ai manqué une belle discution sur Debussy .

Allons-nous assister à une nouvelle querelle des bouffons?? Debussystes contre...

Dis-moi Vino à propos de la citation de Boulez dans ta signature, c'est vraiment de lui ça? Peu importe, mais ce qui importe pas est le manque total de logique. La construction d'une révolution est préalablement rêvée... Seul des automates peuvent construire une révolution sans du tout en rêver préalablement...

Beethoven: Sonate ''Les Adieux'' - Schumann Etudes Symphoniques - Schubert: Wanderer Fantaisie - Liszt: Au Bord d'une Source - Chopin: 3e Sonate par Bruno Leonardo Gelber.

Vinogradovboulezvsky a écrit:

Pelléas and Mélisande (incidental music) Op. 46

Ah oui j'oubliais qu'il avait aussi commis un Pelleas.

S'il n'avait ne serait-ce que le quart de la qualité de celui de Schoenberg...ce serait déja une oeuvre merveilleuse.

Et celui de Fauré tu en penses quoi?

arnaud bellemontagne a écrit:

Vinogradovboulezvsky a écrit:

Pelléas and Mélisande (incidental music) Op. 46

Ah oui j'oubliais qu'il avait aussi commis un Pelleas.

S'il n'avait ne serait-ce que le quart de la qualité de celui de Schoenberg...ce serait déja une oeuvre merveilleuse.

Donc tu l'as déjà entendu ?

Mahler : 5e symphonie, Scherchen
On verra bien .

Horatio a écrit:

Mahler : 5e symphonie, Scherchen

J'en connais au moins des 5e par Scherchen :hehe laqquelle est-ce ?

discobole a écrit:

Horatio a écrit:

Mahler : 5e symphonie, Scherchen

J'en connais au moins des 5e par Scherchen :hehe laqquelle est-ce ?

Celle de Philadelphie.

Et franchement, jusque là je trouve cela à la limite de l'affligeant . D'énormes traversées du désert pour un trait de génie ?
Et quand je pense que tu m'avais conseillé Scherchen dans cette 5e ...

C'est très bien Scherchen dans la 5° Mais peut-être pas cette version…


Quatuor pro Arte, celui des années 30, bien sûr…
Beethoven, Razumovsky N°2
Bartok, Quatuor n°1
Borodine, Quatuor n°2
Glazunov, Orientale
Bloch, Quintette pour piano n°1, avec Casella au piano

Et tout ça dans un son excellent !

Mariefran a écrit:

C'est très bien Scherchen dans la 5° Mais peut-être pas cette version…

Oui, c'est vrai, on ne risque pas de s'endormir dans le Scherzo ...

Horatio a écrit:

discobole a écrit:

Horatio a écrit:

Mahler : 5e symphonie, Scherchen

J'en connais au moins des 5e par Scherchen :hehe laqquelle est-ce ?

Celle de Philadelphie.

Et franchement, jusque là je trouve cela à la limite de l'affligeant . D'énormes traversées du désert pour un trait de génie ?
Et quand je pense que tu m'avais conseillé Scherchen dans cette 5e ...

Cette version EST géniale Mais pas vraiment une « référence », plutôt un exemple de ce que Scherchen pouvait avoir d'extrême. Son Adagietto est une pure folie. Mais il faut aimer la folie.

Sinon tu peux retourner écouter Haitink, en buvant du thé tiède avec des biscuits ramollis dans leur boîte en fer. Je suis d'ailleurs en train de finir d'écouter sa neuvième de Beethoven avec le LSO :

discobole a écrit:

Horatio a écrit:

discobole a écrit:

Horatio a écrit:

Mahler : 5e symphonie, Scherchen

J'en connais au moins des 5e par Scherchen :hehe laqquelle est-ce ?

Celle de Philadelphie.

Et franchement, jusque là je trouve cela à la limite de l'affligeant . D'énormes traversées du désert pour un trait de génie ?
Et quand je pense que tu m'avais conseillé Scherchen dans cette 5e ...

Cette version EST géniale Mais pas vraiment une « référence », plutôt un exemple de ce que Scherchen pouvait avoir d'extrême. Son Adagietto est une pure folie. Mais il faut aimer la folie.

Sinon tu peux retourner écouter Haitink, en buvant du thé tiède avec des biscuits ramollis dans leur boîte en fer. Je suis d'ailleurs en train de finir d'écouter sa neuvième de Beethoven avec le LSO :

Géniale ? Vraiment ? Avec l'orchestre qui en plante une à côté toutes les 5 mesures, Scherchen qui change son tempo aussi vite qu'une girouette ? Avec un Scherzo massacré ?
L'Adagietto est, avec le second mouvement, le seul que je sauverai. Le reste, franchement, il y a bien mieux ailleurs - et pas du tiède du tout, je t'assure.

discobole a écrit:

Sinon tu peux retourner écouter Haitink, en buvant du thé tiède avec des biscuits ramollis dans leur boîte en fer. Je suis d'ailleurs en train de finir d'écouter sa neuvième de Beethoven avec le LSO :

Horatio a écrit:

Géniale ? Vraiment ? Avec l'orchestre qui en plante une à côté toutes les 5 mesures, Scherchen qui change son tempo aussi vite qu'une girouette ? Avec un Scherzo massacré ?
L'Adagietto est, avec le second mouvement, le seul que je sauverai. Le reste, franchement, il y a bien mieux ailleurs - et pas du tiède du tout, je t'assure.

Comme je te dis, pas du tout une « référence », mais un moment assez exceptionnel.
Si tu veux du Scherchen propre il y a la 5e de studio avec l'opéra de Vienne, mais de mémoire le scherzo est coupé. Et le live avec l'ORTF aussi (Musique d'abord) mais là ce ne sont plus des coupures, c'est du charcutage sauvage. Et orchestralement c'est pas meilleur que Philadelphie.
Je sais, ce concert de Philadelphie n'évoque certes pas le confort, la perfection de mise en place, etc., mais dans ce cas si tu as Boulez tu peux jeter tout le reste. Les versions les plus géniales ne sont que rarement les plus irréprochables techniquement ; et j'adore la perfection technique, simplement je ne refuse pas pour autant les concerts, même lorsque l'on y sent les limites techniques parfois inhérentes à une vision (rubato extrême, notamment). Furt, ses versions les plus folles ne sont pas toutes parfaites techniquement, parce que le rubato en concert, ben ça s'appelle une prise de risque.

Je critique Scherchen et me voilà déclaré Haitinkiste. J'vous jure .

Bloch : Schelomo, Isserlis

Schubert : 9e symphonie, Giulini/Chicago

discobole a écrit:

Horatio a écrit:

Géniale ? Vraiment ? Avec l'orchestre qui en plante une à côté toutes les 5 mesures, Scherchen qui change son tempo aussi vite qu'une girouette ? Avec un Scherzo massacré ?
L'Adagietto est, avec le second mouvement, le seul que je sauverai. Le reste, franchement, il y a bien mieux ailleurs - et pas du tiède du tout, je t'assure.

Comme je te dis, pas du tout une « référence », mais un moment assez exceptionnel.
Si tu veux du Scherchen propre il y a la 5e de studio avec l'opéra de Vienne, mais de mémoire le scherzo est coupé. Et le live avec l'ORTF aussi (Musique d'abord) mais là ce ne sont plus des coupures, c'est du charcutage sauvage. Et orchestralement c'est pas meilleur que Philadelphie.
Je sais, ce concert de Philadelphie n'évoque certes pas le confort, la perfection de mise en place, etc., mais dans ce cas si tu as Boulez tu peux jeter tout le reste. Les versions les plus géniales ne sont que rarement les plus irréprochables techniquement ; et j'adore la perfection technique, simplement je ne refuse pas pour autant les concerts, même lorsque l'on y sent les limites techniques parfois inhérentes à une vision (rubato extrême, notamment). Furt, ses versions les plus folles ne sont pas toutes parfaites techniquement, parce que le rubato en concert, ben ça s'appelle une prise de risque.

On est d'accord, la perfection orchestrale n'est pas un but en soi.
Mais il n'empêche que marcher en-dehors des sentiers battus n'est pas synonyme de génie : mis à part les IV et II, dans une moindre mesure, je n'entends à vrai dire rien de bien frappant ici. Je trouve ça presque... quelconque . Et le fini orchestral n'améliore rien ; car, à part les changements de tempo complètement hallucinés de Scherchen, je ne perçois pas ce que cette version a réellement de plus.

Horatio a écrit:

Je critique Scherchen et me voilà déclaré Haitinkiste. J'vous jure .

Je le suis Haintinkiste sur certaines choses moi.

Brahms, Quatuor avec piano n°2. Maria Yudina, Beethoven Quartet.
Yudina est une déesse et les Beethoven…
ATTENTION, chef d'œuvre absolu… Que c'est beau… Et ce n'est pas sur musique ouverte, je le poste dans la soirée ! ça date de 1968

Tiens, ça faisait longtemps




C'est tout à fait épatant. Et bigrement!
Rosvaenge & Reining

La scène de la tour est bouleversante.... à se jeter par la fenêtre (à meneaux)!

Ah oui Verdi!

J'écoute et réécoute la merveilleuse Lucia Popp dans Mozart, Händel, Strauss, Tchaïkovski, Dvorak, Janacek, Smetana, Mahler... grâce à l'excellent coffret Icon que lui a consacré EMI. Une voix pour l'île déserte.

Hippolyte a écrit:

J'écoute et réécoute la merveilleuse Lucia Popp dans Mozart, Händel, Strauss, Tchaïkovski, Dvorak, Janacek, Smetana, Mahler... grâce à l'excellent coffret Icon que lui a consacré EMI. Une voix pour l'île déserte.

Je suis tombé amoureux de ses 4 derniers lieder avec Tennstedt, c'est juste à tomber par terre...

Frescobaldi : extraits du premier et du second livre, etc. (Ross)
Bruckner : 7e symphonie (Furtwängler 18/10/1949 : vraiment le plus bel enregistrement de Furtie dans la 7e)
Beethoven : opus 131 (Yale Quartet)
Bach : Suites anglaises (Leonhardt)

Mariefran a écrit:

Quatuor pro Arte, celui des années 30, bien sûr…
Beethoven, Razumovsky N°2
Bartok, Quatuor n°1
Borodine, Quatuor n°2
Glazunov, Orientale
Bloch, Quintette pour piano n°1, avec Casella au piano

Et tout ça dans un son excellent !

Et le quintette de Schumann avec Schnabel!

Oui, Schnabel est davantage intéressant que dans beaucoup de sonates de Beethoven.

ysov a écrit:

Oui, Schnabel est davantage intéressant que dans beaucoup de sonates de Beethoven.

Schnabel est intéressant dans toutes les sonates de Beethoven, et se permet même d'être génial dans une bonne partie.


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Beethoven, Symphonie n°9, Furtwängler Bayreuth 1951 (Orfeo)

discobole a écrit:

Frescobaldi : extraits du premier et du second livre, etc. (Ross)
Bruckner : 7e symphonie (Furtwängler 18/10/1949 : vraiment le plus bel enregistrement de Furtie dans la 7e)
Beethoven : opus 131 (Yale Quartet)
Bach : Suites anglaises (Leonhardt)

Avec les Frescobaldi, que penses-tu du claveciniste et organiste Jean-Marc Aymes et pour les suites anglaises, que penses-tu de Bob van Asperen?

alexandre. a écrit:

ysov a écrit:

Oui, Schnabel est davantage intéressant que dans beaucoup de sonates de Beethoven.

Schnabel est intéressant dans toutes les sonates de Beethoven, et se permet même d'être génial dans une bonne partie.


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Beethoven, Symphonie n°9, Furtwängler Bayreuth 1951 (Orfeo)

Il y a un certain charme dans quelques sonates, mais techniquement un peu gauche, ce qui fait que c'est quelque-peu dépassé.

Ysov, franchement, quand on évoque Schnabel, on s'en fout comme de sa première chaussette de la technique…

Bach, Le Clavier bien tempéré, livre 1, Yudina en concert.

ysov a écrit:

alexandre. a écrit:

ysov a écrit:

Oui, Schnabel est davantage intéressant que dans beaucoup de sonates de Beethoven.

Schnabel est intéressant dans toutes les sonates de Beethoven, et se permet même d'être génial dans une bonne partie.


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Beethoven, Symphonie n°9, Furtwängler Bayreuth 1951 (Orfeo)

Il y a un certain charme dans quelques sonates, mais techniquement un peu gauche, ce qui fait que c'est quelque-peu dépassé.

Techniquement un peu gauche ?
C'est quoi avoir une bonne technique ? C'est mettre toutes les notes dans le temps imparti ? A ce compte là Lisitsa est un génie.

Dépassé ? Réécoute son op.28, ça reste toujours une référence aux côtés de Grinberg, Sofronitsky et Guilels.

@Mariefran : Il n'existe pas un Art de la fugue de Yudina, par hasard ?

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Bach : Contrapunctus 11 - plein de versions.
Je cherche une alternative au royal Leonhardt 2.
Nikolayeva est vraiment une bûcheronne, incroyable ce qu'elle met comme pains.

Mozart: Divertimento K.113 et K.137
Rafraîchissant et plaisant comme tout

Schulhoff / Concerto pour Piano alla Jazz (Rische)

Clairement un de mes Concertos pour Piano préférés, tout simplement magique et magnifique !

jerome a écrit:

@Mariefran : Il n'existe pas un Art de la fugue de Yudina, par hasard ?

Et non, pas à ma connaissance… Mais il y a deux versions du CBT (fragmentaires), une en live et une en studio, ça te console pas, non ? Tant pis…

Mariefran a écrit:

Ysov, franchement, quand on évoque Schnabel, on s'en fout comme de sa première chaussette de la technique…

Bach, Le Clavier bien tempéré, livre 1, Yudina en concert.

Ça dépend. Dans son cas souvent je sens sa limitation à ce niveau au point qu'il accuse certaines sécheresses. Les mouvements lents sont les mieux rendus. Grinberg c'est ok, mais Schnabel? Ça constitue tout-de-même un document intéressant.

Jamais ressenti de réelles limites techniques chez Schnabel, rien qui entrave l'expressivité. Pour moi, avoir des problèmes techniques, c'est Kempff dans la légende Saint Paule de Liszt - ça laisse une sacrée marge.

Bon point. Donc m'imaginer être limité à choisir entre Kempff et Schnabel, oui je choisirais ce dernier, mais si j'avais que ces deux là comme choix.

Percy Bysshe a écrit:

Jamais ressenti de réelles limites techniques chez Schnabel, rien qui entrave l'expressivité. Pour moi, avoir des problèmes techniques, c'est Kempff dans la légende Saint Paule de Liszt - ça laisse une sacrée marge.

Kempff a aussi des problèmes techniques dans Schumann, Beethoven, Bach, Brahms...

Schnabel n'a peut-être pas la plus grande précision digitale de tous les temps, mais ses gammes montrent une technique magnifique.

alexandre. a écrit:

Percy Bysshe a écrit:

Jamais ressenti de réelles limites techniques chez Schnabel, rien qui entrave l'expressivité. Pour moi, avoir des problèmes techniques, c'est Kempff dans la légende Saint Paule de Liszt - ça laisse une sacrée marge.

Kempff a aussi des problèmes techniques dans Schumann, Beethoven, Bach, Brahms...

Je sais, mais je prenais cet exemple encore plus... parlant.

Stravinsky / Symphonie en 3 Mouvements (Ashkenazy)

Vraiment très sympa, bien rythmique !

Oui, je connais la photo, j'aime beaucoup !

Karg-Elert: 1ère et 3e sonates pour piano par Michael Zieschang. Nous pouvons bien constater que Debussy a eu de l'impact chez certains teutons, pas autant que chez les russes et surtout chez les anglais, mais tout-de-même.

Dufay: Motets isorythmiques (Van Nevel)

Berlioz / Symphonie Fantastique (Davis - Amsterdam)

Une bien belle version !

Bon, je n'ai pas beaucoup écouté de musique aujourd'hui alors je me suis offert quelques plaisirs ce soir :
Ravel :
Valses nobles et sentimentales, version de Dominique Merlet que j'aime énormement
Stravinsky :
Oiseau de Feu, version de Boulez

@ Tragic.

En effet, peut-être pas autant que Munch, mais cette version de Davis, mérite de s'y attarder.

Oui Rach. Merlet dans Ravel, c'est superbe. Connais-tu la version de Louis Lortie?