Playlist (50)

Citation :

Voir sujets Messiaen.

Oups..pardon...je dévie du fil

Arensky : Variations sur un thème de Tchaikovsky (Dorati)
Bruckner : 4eme symphonie, version de Bohm absolument géniale, passionnante. J'adore

Stravinsky : Le Sacre du Printemps, Bernstein/LSO


Les ballets de Stravinsky me plaisent vraiment de plus en plus - contrairement aux symphonies, avec lesquelles j'ai un peu de peine...

Dvorak : 9eme symphonie par Celibidache Quelle merveille ! Je suis fou amoureux de Celibidache

Schulhoff ~ Flammen acte I Bon ben on va dire que je ne suis pas tout-à-fait prêt pour ce genre de musique...

Rach-phaël06 a écrit:

Dvorak : 9eme symphonie par Celibidache Quelle merveille ! Je suis fou amoureux de Celibidache

sud273 a écrit:

Qui a dit qu'Evgueny Kissin jouait toujours la même chose?
L'année dernière en récital à Tel-Aviv au Hangar 11, il a donné la Sonate opus 26 de Barber (entre la sonate au clair de lune et la 3ème de Chopin, soit!) et d'une façon rien moins que magistrale. Un andante qui tient debout et une fugue, qui, bien que le sujet soit accentué de façon très personnelle au début, donne le frisson.
Bien mieux que Horowitz et Hamelin réunis!
Il devrait l'enregistrer, ou alors qu'on nous sorte le concert.
Et sans le moindre pain alors qu'il arrive à tomber deux fois à côté au tout début de la sonate de Chopin, d'une seule main

La version de Daniel Pollack est pas mal non plus. Tant qu'à Hamelin, c'est encore un autre exemple comme quoi sa technique est insurpassable, mais le reste fait bien défaut.

Copland et Menotti: Concertos pour piano avec Earl Wild et le compositeur lui-même à la direction(Copland) et Jorge Mester pour le concerto de Menotti. Quatre biscuits David.

Prokofiev : Suite Scythe (LSO, Weller). J'avais souvenir d'une pièce beaucoup plus sauvage. Mais bon, il y a vraiment des ambiances superbes. (ah, le mouvement de la nuit... )

ysov a écrit:

Rach-phaël06 a écrit:

Dvorak : 9eme symphonie par Celibidache Quelle merveille ! Je suis fou amoureux de Celibidache

A part ça j'ai de sérieux doutes sur Celibidache dans Dvorak... je devrais aller écouter pour me faire une idée.

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Franck : Symphonie, Monteux

Boulez - Le Marteau sans Maitre

Schumann, Concerto pour violoncelle - Schiff / Haitink

Berlioz, Les Nuits d'été - La Belle Voyageuse - La Mort d'Ophélie...
- Von Otter / Levine / Berlin

Quelle version magnifique ! Et l'un des plus beaux orchestres de la discographie.

jibv a écrit:

Schulhoff ~ Flammen acte I Bon ben on va dire que je ne suis pas tout-à-fait prêt pour ce genre de musique...

Tu ne veux pas en dire plus?

Bach: cantates BWV 127 et 159 (Herreweghe)

Sibelius: symphonie n°2 (Rozhdestvensky)

Ravel: concerto pour piano en sol (Zimerman, Boulez)

Ravel: concerto pour la main gauche (idem)

Chostakovitch: symphonie n° 10 (Petrenko)

Delage: Poèmes hindous, 7 Haï-kaïs/Van Deyck-Groslot



Tchaïkovsky: 1ère symphonie/Dorati

Horatio a écrit:

A part ça j'ai de sérieux doutes sur Celibidache dans Dvorak... je devrais aller écouter pour me faire une idée.

Ah mais pourquoi Celibidache ne serait-il pas capable d'interpréter correctement Dvorak ?
C'est toujours à part Celibidache, je ne le placerais que rarement dans une écoute comparée par exemple, mais c'est toujours géniale, parce qu'il fait vivre l'oeuvre d'une telle manière si unique, et si "juste".
J'étais un peu dégouté de cette symphonie de Dvorak après l'avoir trop écoutée. Il l'a fait magistralement revivre, et c'est incroyable comment en l'écoutant je retrouvais tous ce que je recherchais dans les autres versions, et que je n'avais jamais au complet. Je vais même avoir du mal à écouter une autre version après ça tellement j'y retrouvais tous ce que je recherchais dans l'interprétation.

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Mozart : La flute enchantée (Bohm)

Sibelius: symphonie n° 3 (Rozhdestvensky) magistral...

Schoenberg: concerto pour piano op. 42 (Serkin, Boulez)

Bax: symphonie n° 1, jolie découverte (merci Kegue ) ... Oeuvre post-romantique à l'orchestration inventive et opulente. Cela ne révolutionne rien, mais ça vaut le détour (surtout le deuxième mouvement), en dépit de quelques lourdeurs çà et là ...

Boulez: Le visage nuptial et Le soleil des eaux

Anaxagore a écrit:

Sibelius: symphonie n° 3 (Rozhdestvensky) magistral...

Schoenberg: concerto pour piano op. 42 (Serkin, Boulez)

Bax: symphonie n° 1, jolie découverte (merci Kegue ) ... Oeuvre post-romantique à l'orchestration inventive et opulente. Cela ne révolutionne rien, mais ça vaut le détour (surtout le deuxième mouvement), en dépit de quelques lourdeurs çà et là ...
Boulez: Le visage nuptial et Le soleil des eaux

Très jolis choix

Les troisième et Quatrième de Sibelius sont mes deux symphonies préférées.
Pour Bax, je suis bien d'accord avec ton analyse

Citation :

Les troisième et Quatrième de Sibelius sont mes deux symphonies préférées.

J'adore la quatrième mais j'aime beaucoup les sixième et septième aussi ...

Ma préférée est de très loin la 6.
La plus pastorale et bucolique de toutes.

Je connais que la 2° et la 5°, ce sont des sommets.

Citation :

Je connais que la 2° et la 5°, ce sont des sommets.

Elles sont toutes belles ... Mais essaye les 3, 4, 6 et 7 ...

Brahms, variations sur un thème de schumann op9, schmitt-leopardy.

C'est très agréable et il y a des passages qui prennent vraiment les tripes.

ysov a écrit:

La version de Daniel Pollack est pas mal non plus. Tant qu'à Hamelin, c'est encore un autre exemple comme quoi sa technique est insurpassable, mais le reste fait bien défaut.

Copland et Menotti: Concertos pour piano avec Earl Wild et le compositeur lui-même à la direction(Copland) et Jorge Mester pour le concerto de Menotti. Quatre biscuits David.

Tout à fait d'accord sur Pollack, un des meilleurs disques de la musique de piano de Barber. J'ai beaucoup aimé la version Hamelin parce qu'on entendait tout, mais là effectivement ça ne suffit pas (La Concord sonata groupé avec est l'une des rares versions, avec Aimard je crois, à jouer les quelques mesures d'alto et de flûte)
Le rip dont tu montres la pochette, est pour un vinyle d'une qualité époustouflante, rien à voir avec ce qu'on a pu connaître, le son est cristallin et d'une clarté magique, le concerto de Menotti en est complètement transformé. Avant d'entendre ça je pensais que c'était un enregistrement de seconde zone de Wild, et non, c'est vraiment de la première classe.

après la suite Scythe, la suite Chout (de Prokofiev toujours) LSO Abbado

Bach - Orgelbüchlein - Isoir

Dauvergne - Hercule Mourant (Acte I et chaconne) - Talents Lyriques

Lourié: Quatuor à cordes n°1/Quatuor Utrecht

Sibelius: symphonies n° 4 et 5 (Rozhdestvensky)

Schubert: quatuors à cordes n°14 et 15 (Melos)

Rach-phaël06 a écrit:

Horatio a écrit:

A part ça j'ai de sérieux doutes sur Celibidache dans Dvorak... je devrais aller écouter pour me faire une idée.

Ah mais pourquoi Celibidache ne serait-il pas capable d'interpréter correctement Dvorak ?
C'est toujours à part Celibidache, je ne le placerais que rarement dans une écoute comparée par exemple, mais c'est toujours géniale, parce qu'il fait vivre l'oeuvre d'une telle manière si unique, et si "juste".
Il l'a fait magistralement revivre, et c'est incroyable comment en l'écoutant je retrouvais tous ce que je recherchais dans les autres versions, et que je n'avais jamais au complet. Je vais même avoir du mal à écouter une autre version après ça tellement j'y retrouvais tous ce que je recherchais dans l'interprétation.

Bon, d'accord, j'irai écouter avant de dire n'importe quoi . N'empêche que je crains un peu ce qu'il pouvait en faire (après avoir entendu ses Brahms), mais c'est largement fondé sur des idées reçues.

Citation :

J'étais un peu dégouté de cette symphonie de Dvorak après l'avoir trop écoutée.

T'as essayé Ancerl ? Et Szell ?

Desmarest : Dominus Regnavit

Scriabine : quatrième sonate (Ashkenazy) avec partition. N'en fait-il pas un peu trop ?

Scriabine : première et cinquième sonate (toujours par ashkenazy)

kegue a écrit:

Scriabine : quatrième sonate (Ashkenazy) avec partition. N'en fait-il pas un peu trop ?

Scriabine ou Ashkenazy?

Liszt: Sonate en si mineur (Sofronitsky 1960)
Qu'on m'amène un chanteur qui puisse chanter comme Sofronistky!
Très sérieusement, ici une sonorité lumineuse à ce point que le soit-disant problème du "chant" au piano ne se pose plus. C'est un des rares pianistes à faire entendre la résonance (ce qui sous-tend l'un des seuls à se l'être appropriée à ce point), là où beaucoup de pianistes se limitent à la percussion.
C'est une toute autre philosophie de jeu et donc d'écoute du piano.


Beethoven: Sonate Op.10 No.3 et Pathétique (Richter)
Jusque dans les traits les plus véhéments, une maîtrise, une prestance grave, tout l'esprit de Beethoven dans ces interprétations!

Citation :

Scriabine ou Ashkenazy?

À mon avis, Kegue visait Ashkenazy

D'autant plus qu'Ashkenazy a en effet généralement tendance à en faire «beaucoup»

Tchaïkovsky : Casse-Noisette, Dorati


Mahler : écoute comparée


Après la récré, je reprends le boulot quoi .

Horatio a écrit:

Spoiler:

Ce n'est que mon avis bien sûr, mais je trouve que Celibidache est un chef si extraordinaire qu'il est toujours intéressant d'écouter ses versions, qui sont toujours géniales, sauf quelques ratés bien rares. Il y a quelques jours par exemple j'ai écouté je ne sais plus quelle oeuvre et je n'avais pas tellement aimé, même pas du tout. Mais je suis bien persuader d'une chose c'est que ce qu'il fait peu ne pas nous plaire mais ne peu jamais donner une mauvaise interprétation de l'oeuvre, bien au contraire. Quant je l'écoutes tout se réveil, tout semble évident, en suivant la partition c'est encore mieux. Et le voir alors .. alors ça, quel pied !

Oui Ancerl était ma version préférée avant Celibidache ( ) enfin elle l'est toujours, à égalité. Je ne connais pas Scell mais je vais écouter ça merci du conseil.
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Prokofiev : L'amour des trois oranges (Nagano)
Puccini : Tosca (Maazel)

Ces derniers temps :

Strauss : Elektra
Rysanek / Varnay / Böhm


Toujours aussi génial.

et en ce moment

Strauss : Elektra
Mitropoulos / Borkh / Della Casa


Je découvre cette version mythique, et en effet, ça l'est.

Oui, j'ai des écoutes variées.

Rach-phaël06 a écrit:

Ce n'est que mon avis bien sûr, mais je trouve que Celibidache est un chef si extraordinaire qu'il est toujours intéressant d'écouter ses versions, qui sont toujours géniales, sauf quelques ratés bien rares. Il y a quelques jours par exemple j'ai écouté je ne sais plus quelle oeuvre et je n'avais pas tellement aimé, même pas du tout. Mais je suis bien persuader d'une chose c'est que ce qu'il fait peu ne pas nous plaire mais ne peu jamais donner une mauvaise interprétation de l'oeuvre, bien au contraire. Quant je l'écoutes tout se réveil, tout semble évident, en suivant la partition c'est encore mieux. Et le voir alors .. alors ça, quel pied !

Bon, je suis en train de regarder les quelques vidéos sur le tube ; une petite danse slave comme mise en bouche, puis la 9e. Je te répondrai plus sérieusement dans le fil adéquat .

Anaxagore a écrit:

Citation :

Scriabine ou Ashkenazy?

À mon avis, Kegue visait Ashkenazy

D'autant plus qu'Ashkenazy a en effet généralement tendance à en faire «beaucoup»

D'une certaine manière, Scriabine en fait aussi beaucoup (la fin du II)... mais c'est merveilleux!

Xavier a écrit:

jibv a écrit:

Schulhoff ~ Flammen acte I Bon ben on va dire que je ne suis pas tout-à-fait prêt pour ce genre de musique...

Tu ne veux pas en dire plus?

Si tu veux, j'essaierai de le faire dans le fil adéquat, mais je vais d'abord l'écouter vraiment en entier (ça ne me semble tout de même pas insurmontable)...
En fait, je n'ai pas encore réussi à mettre vraiment le pied dans le XXème siècle en musique. Déjà Strauss me paraît un cap infranchissable pour le moment, alors ça, ou Berg, ou...

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Glazounov ~ Symphonies 2 et 7 (Anissimov) Très beau, très slave... Un disque pioché complètement au hasard à la médiathèque (je cherchais du Philip Glass en fait, pour rigoler)

Percy Bysshe a écrit:

Anaxagore a écrit:

Citation :

Scriabine ou Ashkenazy?

À mon avis, Kegue visait Ashkenazy

D'autant plus qu'Ashkenazy a en effet généralement tendance à en faire «beaucoup»

D'une certaine manière, Scriabine en fait aussi beaucoup (la fin du II)... mais c'est merveilleux!

Oui, c'est plutôt Ashkenazy que je visais J'aime bien écouter ses versions mais, avec la partition sous les yeux pour la première fois, j'ai trouvé qu'il faisait un peu ce qu'il voulait avec le rythme (qui d'ailleurs n'est pas des plus faciles)

Oui effectivement, j'ai remarqué ça moi aussi chez lui.
Scriabine est un champion du rythme, on le dit bien trop peu!

Boulez - Messagesqisse
Boulez - Poésie pour pouvoir

kegue a écrit:

Percy Bysshe a écrit:

Anaxagore a écrit:

Citation :

Scriabine ou Ashkenazy?

À mon avis, Kegue visait Ashkenazy

D'autant plus qu'Ashkenazy a en effet généralement tendance à en faire «beaucoup»

D'une certaine manière, Scriabine en fait aussi beaucoup (la fin du II)... mais c'est merveilleux!

Oui, c'est plutôt Ashkenazy que je visais J'aime bien écouter ses versions mais, avec la partition sous les yeux pour la première fois, j'ai trouvé qu'il faisait un peu ce qu'il voulait avec le rythme (qui d'ailleurs n'est pas des plus faciles)

Roberto Szidon dans les sonates de Scriabibine tu connais?

Bruckner - S7 - Celibidache

Cette monté dans l'adagio ; pas pressé de nous en faire voir et sans tape à l’œil ; si lente mais sûr dans sa construction ; pour 10 dernières minutes enfin de folie pure ; c'est de la très grande interprétation, assurément.

Scriabine - Concerto pour piano... C'est beau... On dirait un cinquième concerto de Rachmaninov (surtout dans le 3ème mouvement...)

Ah bon?Dans le 3e mouvement, il me semble plutôt plus près d'un Schumann que d'un Rachmaninov, dans certaines tournures mélodiques et rythmiques.

Je ré-écouterai... mais c'est vraiment la première chose qui m'est venue à l'esprit... Y a des espèces d'envolées lyriques à l'orchestre comme chez Rachmaninov... Où alors j'ai vraiment écouté ça d'une oreille trop distraite...

Bach: Ouverture en si mineur BWV 831 (Ross)

Bach: 4 duetti BWV 802 à 805 (Ross)

Sibelius: symphonies n'° 6 et 7 (Rozhdestvensky)

Bax: In the Faery Hills, The Garden of Fand

Schoenberg: Trois pièces pour piano op. 11, Six petites pièces op. 19, Cinq pièces op. 23, Suite op. 25 et les Deux pièces op. 33 (Pollini)