Playlist (57)

Bugaku, de Toshiro Mayuzumi, Takuo Yuasa

une oeuvre qui ne manque pas d'une certaine puissance, j'aime beaucoup!

Concerto n°2, en si bémol majeur, op. 19; Beethoven - Argerich, G. Takacs-Nagy, Orchestre de chambre du festival de Verbier, 2009
C'est génial.

beethoven : variations diabelli (gulda)

c'est top.

J.-S. Bach : Partita n°1 en si mineur, BWV 1002 -- Jesús Gonzalez Mohino (guitare).

Bouleversant.

Mahler : Symphonie #3 - Pierre Boulez, The NY Philharmonic & Yvonne Minton
Fantastique
Schumann : Fantasiestücke - Sviatoslav Richter

808 a écrit:

beethoven : variations diabelli (gulda)

c'est top.

le topic "variations diabelli" de ce forum est assez rigolo.

Silvius-Léopold Weiss : Suite n°18 en la majeur -- Jesús Gonzalez Mohino (guitare).

WoO a écrit:

Les cuivres russes ne jouent jamais faux : ce sont les autres orchestres qui n'ont rien compris

T'en es sûr ? =>

Spoiler:

Gabriel Fauré : Romance sans paroles, opus 17 n°3 ; Barcarolle n°1, opus 26 ; Nocturnes n°1, n°3, n°4 et n°6, opus 33 n°1, opus 33 n°3, opus 36 et opus 63 ; Barcarolle n°6, opus 70 ; Nocturne n°13, opus 119 ; Impromptu n°3, opus 34 -- Albert Ferber.

Dans de très bonnes conditions techniques, c'est encore plus merveilleux.

Champagne, airs d'opérettes, Felicity Lott, Armin Jordan, Orchestre de la Suisse Romande

(pour Lott et le chef, dommage qu'il y ait trop de pages orchestrales dans ce récital live)

Gabriel Fauré : Thème et variations, opus 73 ; Capriccio, opus 84 n°1 ; Barcarolle n°2, opus 41 ; Improvisation, opus 84 n°5 ; Adagietto, opus 84 n°4 ; Neuf Préludes, opus 103 -- Albert Ferber.

Chostakovitch : 8e quatuor, Eder Quartet

Beethoven : Sonate "Appassionata", Gilels

Vinopathe a écrit:

WoO a écrit:

Les cuivres russes ne jouent jamais faux : ce sont les autres orchestres qui n'ont rien compris

T'en es sûr ? =>

Spoiler:

Non mais là il n'y a pas de chef d'orchestre

Et pour bien terminer la soirée :

Webern : Quatuor, Lasalle Quartet

beethoven : bagatelles op. 33 et 126 (esteban sanchez)

c'est assez pénible dans le genre je fais des manières. et après il y a des gens pour trouver brendel (dont je n'aime pas tellement les bagatelles d'ailleurs) chichiteux !
à part ça j'aime assez le son du piano, un peu aigrelet.

Récital "Album de Musique" par Danco. Très beau disque au joli concept (il s'agit de chanter les mélodies autographes trouvées dans un album offert par Rossini à "Mademoiselle Louise Carlier").

Moussorgsky : Boris Godounov - Actes 2 et 3 (Abbado 93)

Génialissime

Debussy: La Mer, Faune, Jeux et Nocturnes/Denève

Ferenc Liszt : Sonate en si mineur, S178 -- David Fray.

Je découvre cette interprétation que je n'avais pas encore eu la chance d'écouter.

Le hic, avec cette sonate, c'est que quand on a commencé...

Ferenc Liszt : Sonate en si mineur, S178 -- Alfred Brendel.

Une interprétation en public, en 1985 au Japon si on en croit la référence.

Dur dur d'écouter ce genre de pianistes consécutivement dans la sonate en si

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Schumann, Variations sur un thème de Clara Wieck / Kreisleriana, Horowitz

Récital du 21/06/87 à Hambourg, Horowitz

Chopin, Etudes op. 25, Polonaise op. 44, Polonaise-Fantaisie, Barcarolle, Sonate n° 2 - Lukas Geniušas

C'est le cd bleu de l'Institut Chopin ?

alexandre. a écrit:

Dur dur d'écouter ce genre de pianistes [D. Fray et A. Brendel] consécutivement dans la sonate en si

La version de David Fray est mauvaise, mais, studio oblige, parfois un peu moins que ce qu'on aurait pu redouter. J'ai même repéré deux ou trois accents qui, localement, ne sont pas mauvais. En tout cas, elle est un peu moins insupportable que les pièces de Schubert que j'ai entendues par lui.

La version d'Alfred Brendel, l'avantage c'est que c'est un live. Ça permet de montrer qu'il est incapable de sortir une seule sonorité correcte de l'instrument, ce que le studio parvient à masquer en partie.

Haydn : Concerto en Mib pour trompette ( Maurice André & Munich Chamber Orchestra)

Scherzian a écrit:

alexandre. a écrit:

Dur dur d'écouter ce genre de pianistes [D. Fray et A. Brendel] consécutivement dans la sonate en si

La version de David Fray est mauvaise, mais, studio oblige, parfois un peu moins que ce qu'on aurait pu redouter. J'ai même repéré deux ou trois accents qui, localement, ne sont pas mauvais. En tout cas, elle est un peu moins insupportable que les pièces de Schubert que j'ai entendues par lui.

La version d'Alfred Brendel, l'avantage c'est que c'est un live. Ça permet de montrer qu'il est incapable de sortir une seule sonorité correcte de l'instrument, ce que le studio parvient à masquer en partie.

un incapable, et tous les gens qui l'aiment sont de sinistres imbéciles qui ne comprennent rien de rien à rien !

Je n'ai rien dit de tel -- ni à son sujet ni a fortiori à propos de ceux qui l'apprécient. J'ai juste écouté une version de la si mineur en direct et qui confirme l'impression que d'autres de ses live ont produite sur moi. Une sonorité unique, uniforme, monochrome, très boisée, proche des marteaux, vite saturée et détimbrée...

WoO a écrit:

Vinopathe a écrit:

WoO a écrit:

Les cuivres russes ne jouent jamais faux : ce sont les autres orchestres qui n'ont rien compris

T'en es sûr ? =>

Spoiler:

Non mais là il n'y a pas de chef d'orchestre

Okay...

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Perso, je fais une pause dans l'intégral des symphonies de Haydn (j'en suis à la symphonie no. 68...).
Place maintenant à de l'action :

Mily Alexeïevitch Balakirev

Islamey - Fantaisie Orientale pour orchestre (orch. Liyapounoff : 1902)/Esa-Pekka Salonen
Concerto pour piano no. 1 en fa dièse mineur Op. 1 (1856)/Anastasia Seifetdinova, piano/Dmitry Yablonsky, direction
Grande Fantaisie sur des chansons folkloriques russes Op. 4 (1852)/Seifetdinova and Yablonsky again...
Russia (1864 ; 1887)/Igor Golovschin (cette fois-ci, il y a le chef )
Symphonie no. 1 en ut majeur (1866 ; 1897)/Evgeny Svetlanov
Tamara (1882)/Svetlanov
Symphonie no. 2 en ré mineur (1908)/Golovschin (idem, le chef est là aussi...)
Concerto pour piano no. 2 en mi bémol majeur (1861 ; 1906 ; complété par Liyapounoff)/Seifetdinova and Yablonsky of course...

Nikolaï Rimsky-Korsakov

The Tsar's Bride (1898)/Andreï Chistiakov and The Bolshoï Theatre Orchestra (1992)

Sergueï Rachaminoff

Aleko, opéra en un acte d'après Alexander Pouchkine (1892)/Neeme Järvi

Alexander Borodine

Dans les Steppes de l'Asie Centrale (1880)/Esa-Pekka Salonen
Symphonie no. 1 en mi bémol majeur (1867)/Evgeny Svetlanov
Symphonie no. 2 en si mineur "Épique" (1876)/Jean Martinon
Symphonie no. 3 en la mineur "Inachevée" (1886 ; complétée par Glazounov)/Evgeny Svetlanov

808 a écrit:

beethoven : bagatelles op. 33 et 126 (esteban sanchez)

c'est assez pénible dans le genre je fais des manières. et après il y a des gens pour trouver brendel (dont je n'aime pas tellement les bagatelles d'ailleurs) chichiteux !
à part ça j'aime assez le son du piano, un peu aigrelet.

C'est exactement ce que je pense de son piano de Fauré (voir "Fauré - piano " dans "œuvres") mais, bon, on ne va pas relancer le débat ici.

Scherzian a écrit:

Je n'ai rien dit de tel -- ni à son sujet ni a fortiori à propos de ceux qui l'apprécient. J'ai juste écouté une version de la si mineur en direct et qui confirme l'impression que d'autres de ses live ont produite sur moi. Une sonorité unique, uniforme, monochrome, très boisée, proche des marteaux, vite saturée et détimbrée...

désolé, j'ai bondi tel usain bolt au coup de pistolet, personnellement brendel dans liszt ce n'est pas ce que je préfère mais je trouve ton commentaire péremptoire ; j'ai beau savoir que tes dires n'engagent que ta subjectivité je crois que c'est une question de ton qui me défrise (tel usain bolt franchissant le mur du son).
soit dit en passant tu as écouté le live qui traîne sur le tube ? quel courage, le son est vraiment dégueulasse.

Philippe VLB a écrit:

808 a écrit:

beethoven : bagatelles op. 33 et 126 (esteban sanchez)

c'est assez pénible dans le genre je fais des manières. et après il y a des gens pour trouver brendel (dont je n'aime pas tellement les bagatelles d'ailleurs) chichiteux !
à part ça j'aime assez le son du piano, un peu aigrelet.

C'est exactement ce que je pense de son piano de Fauré (voir "Fauré - piano " dans "œuvres") mais, bon, on ne va pas relancer le débat ici.

c'est après lecture de ces échanges que j'ai écouté quelques enregistrements de sanchez.
les nocturnes me plaisent assez ; c'est une découverte pour moi, je ne connais pas du tout l'oeuvre pour piano de fauré.

en revanche les bagatelles de beethoven ce sont des oeuvres que j'adore (l'opus 126 évidemment mais aussi l'opus 33).

Concerto pour piano n°5, en mi bémol majeur, opus 73; Beethoven - Pizarro, Mackerras, Orchestre de chambre d'Ecosse

Bach : Sonates et Partitas ( Amandine Beyer )

808 a écrit:

[...] j'ai beau savoir que tes dires n'engagent que ta subjectivité je crois que c'est une question de ton qui me défrise [...]

Au sujet du ton péremptoire, agressif, sarcastique et ironique sur lequel les choses sont dites sur le forum, je crois que j'ai encore des leçons à prendre auprès de plusieurs.

Passé un certain stade (fil Fauré - Piano par exemple), même les plus patients, prudents et argumentés finissent par perdre... patience et ne donnent plus qu'un résumé pas forcément politiquement correct.

Mahler, Des Knaben Wunderhorn, Claudio Abbado, Berliner Philarmoniker, Thomas Quasthoff, Anne Sofie von Otter

Scherzian a écrit:

808 a écrit:

[...] j'ai beau savoir que tes dires n'engagent que ta subjectivité je crois que c'est une question de ton qui me défrise [...]

Au sujet du ton péremptoire, agressif, sarcastique et ironique sur lequel les choses sont dites sur le forum, je crois que j'ai encore des leçons à prendre auprès de plusieurs.

Passé un certain stade (fil Fauré - Piano par exemple), même les plus patients, prudents et argumentés finissent par perdre... patience et ne donnent plus qu'un résumé pas forcément politiquement correct.

ce n'est pas une question d'argumentation, car il n'y a bien souvent rien à argumenter... mais il y a cependant une différence entre écrire "je n'aime pas comment untel joue du piano" et "untel ne sait pas jouer du piano".

808 a écrit:

Scherzian a écrit:

808 a écrit:

[...] j'ai beau savoir que tes dires n'engagent que ta subjectivité je crois que c'est une question de ton qui me défrise [...]

Au sujet du ton péremptoire, agressif, sarcastique et ironique sur lequel les choses sont dites sur le forum, je crois que j'ai encore des leçons à prendre auprès de plusieurs.

Passé un certain stade (fil Fauré - Piano par exemple), même les plus patients, prudents et argumentés finissent par perdre... patience et ne donnent plus qu'un résumé pas forcément politiquement correct.

ce n'est pas une question d'argumentation, car il n'y a bien souvent rien à argumenter... mais il y a cependant une différence entre écrire "je n'aime pas comment untel joue du piano" et "untel ne sait pas jouer du piano".

Ah oui, c'est vrai, il n'y a rien de mauvais, seulement des choses que l'on n'aime pas.

Symphonie n°7, en ré mineur, opus 70 (B.141); Dvořák - Václav Talich, Orchestre philharmonique tchèque

alexandre. a écrit:

808 a écrit:

Scherzian a écrit:

808 a écrit:

[...] j'ai beau savoir que tes dires n'engagent que ta subjectivité je crois que c'est une question de ton qui me défrise [...]

Au sujet du ton péremptoire, agressif, sarcastique et ironique sur lequel les choses sont dites sur le forum, je crois que j'ai encore des leçons à prendre auprès de plusieurs.

Passé un certain stade (fil Fauré - Piano par exemple), même les plus patients, prudents et argumentés finissent par perdre... patience et ne donnent plus qu'un résumé pas forcément politiquement correct.

ce n'est pas une question d'argumentation, car il n'y a bien souvent rien à argumenter... mais il y a cependant une différence entre écrire "je n'aime pas comment untel joue du piano" et "untel ne sait pas jouer du piano".

Ah oui, c'est vrai, il n'y a rien de mauvais, seulement des choses que l'on n'aime pas.

il me semble que appliqué à brendel -- où à n'importe quel pianiste professionnel qui n'a pas l'heur de vous plaire, mais surtout lui on dirait -- ce genre d'appréciation est primo ridicule, secondo fastidieux à lire au bout du énième message et derniezzo modère pas mal l'envie de s'attarder sur ce forum pourtant plein d'attraits.

808 a écrit:

ce n'est pas une question d'argumentation, car il n'y a bien souvent rien à argumenter... mais il y a cependant une différence entre écrire "je n'aime pas comment untel joue du piano" et "untel ne sait pas jouer du piano".

S'il n'y a rien à argumenter, c'est que tout se vaut, et donc que Socrate est un chat.

C'est une voie sur laquelle je n'irai pas.

Je n'ai pas dit que untel ne sait pas jouer du piano, mais qu'il ne parvient pas à (ou « qu'il est incapable de », ce qui était synonyme) varier ses sonorités selon la page jouée. Aussi que le mécanisme de production sonore limite assez fort l'accentuation et l'ampleur qu'il peut donner aux nuances. Dans le tout dernier Grandioso de la si mineur, par exemple (du Prestissimo joué fortissimo, fuocoso assai, jusqu'à l'entrée du dernier Andante sostenuto), cet aspect de son jeu est plutôt pénalisant, parce que cela ne permet pas de répondre aux enjeux formels (ici thématiques) de l'œuvre. Du coup, la fin de la sonate manque beaucoup du relief quasi extatique de la transformation thématique que Liszt a voulu y mettre.

Vinopathe a écrit:

WoO a écrit:

Vinopathe a écrit:

WoO a écrit:

Les cuivres russes ne jouent jamais faux : ce sont les autres orchestres qui n'ont rien compris

T'en es sûr ? =>

Spoiler:

Non mais là il n'y a pas de chef d'orchestre

Okay...

Désolé si je t'ai froissé mais Golovshin est un chef avec qui j'ai du mal... A chaque fois que j'ai pu comparer j'ai toujours trouvé ses enregistrements plus fades que ceux de ses concurrents. Il fait jouer les notes mais il n'y met pas de passion, c'est trop neutre. J'ai revendu ses deux disques Balakirev et je me suis pris l'intégrale Svetlanov à la place.

Vinopathe a écrit:

Mily Alexeïevitch Balakirev

Islamey - Fantaisie Orientale pour orchestre (orch. Liyapounoff : 1902)/Esa-Pekka Salonen
Concerto pour piano no. 1 en fa dièse mineur Op. 1 (1856)/Anastasia Seifetdinova, piano/Dmitry Yablonsky, direction
Grande Fantaisie sur des chansons folkloriques russes Op. 4 (1852)/Seifetdinova and Yablonsky again...
Russia (1864 ; 1887)/Igor Golovschin (cette fois-ci, il y a le chef )
Symphonie no. 1 en ut majeur (1866 ; 1897)/Evgeny Svetlanov
Tamara (1882)/Svetlanov
Symphonie no. 2 en ré mineur (1908)/Golovschin (idem, le chef est là aussi...)
Concerto pour piano no. 2 en mi bémol majeur (1861 ; 1906 ; complété par Liyapounoff)/Seifetdinova and Yablonsky of course...

Super programme !

Pour la Tsar's bride je te conseille l'enregistrement de Fuat Mansurov (1973) avec Nesterenko, Arkhipova, Atlantov et Vishnevskaya, c'est chaud bouillant !

De mon côté :

Dyson : The Canterbury Pilgrims

Très sympa, very tuneful

Marx : Eine Frühlingsmusik (1925)

Mais qu'attendent les amateurs du 1er Schoenberg, Strauss, Debussy ou Schreker pour écouter ça ?

Marx : Lieder pour orchestre

Vaporeux, lumineux, sensuels, irréels...

Janacek : L'Affaire Makropoulos - Suite pour orchestre

808 a écrit:

alexandre. a écrit:

808 a écrit:

Scherzian a écrit:

808 a écrit:

[...] j'ai beau savoir que tes dires n'engagent que ta subjectivité je crois que c'est une question de ton qui me défrise [...]

Au sujet du ton péremptoire, agressif, sarcastique et ironique sur lequel les choses sont dites sur le forum, je crois que j'ai encore des leçons à prendre auprès de plusieurs.

Passé un certain stade (fil Fauré - Piano par exemple), même les plus patients, prudents et argumentés finissent par perdre... patience et ne donnent plus qu'un résumé pas forcément politiquement correct.

ce n'est pas une question d'argumentation, car il n'y a bien souvent rien à argumenter... mais il y a cependant une différence entre écrire "je n'aime pas comment untel joue du piano" et "untel ne sait pas jouer du piano".

Ah oui, c'est vrai, il n'y a rien de mauvais, seulement des choses que l'on n'aime pas.

il me semble que appliqué à brendel -- où à n'importe quel pianiste professionnel qui n'a pas l'heur de vous plaire, mais surtout lui on dirait -- ce genre d'appréciation est primo ridicule, secondo fastidieux à lire au bout du énième message et derniezzo modère pas mal l'envie de s'attarder sur ce forum pourtant plein d'attraits.

Il arrive que les discussions se crispent... je sais que beaucoup n'osent plus parler de piano ici, à une autre période ça se passait sur d'autres genres... mais si tout le monde est capable de se modérer et aussi de relativiser ce qui est posté (il ne faut pas prendre trop gravement les propos qui semblent agressifs ou péremptoires sur tel ou tel interprète ou compositeur), tout se passe bien.

Dallapiccola: Petite musique nocturne/Abbado

Holbrooke : Concerto pour violon et orchestre "The Grasshoper" (arr. pour piano et violon)

Bon, quand est-ce qu'ils enregistrent la version avec orchestre ?
Très sympa sinon, hyper mélodique.

Concerto n°1 pour piano, BWV 1052; Bach - Sviatoslav Richter, Václav Talich, Orchestre philharmonique tchèque
La prise de son est malheureusement très moyenne.

Par les prés et les bois de Bohème; Smetana - Václav Talich, Orchestre philharmonique tchèque
A ton jamais été si proche de l'âme de cette musique?

Fauré G: Requiem / City of London Sinfonia / The Cambridge Singers / John Rutter

Fauré: En sourdine
Debussy: Chansons de Bilitis
Gauvin, Hamelin

Xavier a écrit:

Fauré: En sourdine

C'est quoi ce truc ?