J'ai toujours eu une crainte peu raisonnée des Lieder non orchestrés (Schumann; Schubert même etc.)
Mais voilà qu'il m'a été donné d'entendre "An die Musik, Op88" du second, le cycle "Dichterliebe" du premier et encore ce bijoux méconnu de Manfred Trojahn: "An die Entfernte " par ce ténor encore jeune né à Hambourg, au physique avenant et surtout à la voix lyrique et tendre et au souffle éthéré qui fait (enfin) merveille dans ce répertoire à mes oreilles.
(Plusieurs récitals disponibles chez Capriccio dont l'un avec sa maman, la mezzo Renate Behle)