Playlist (68)

Hippolyte a écrit:

Mariefran a écrit:

Beethoven, Sonates 27 à 29. Richter à Prague. Un pianiste très surestimé en effet…

Pourquoi dis-tu ça ? Quelqu'un a voulu jouer les iconoclastes ?

Oui, dans le fil du concerto de Tchaikovsky, tu n'as pas lu ?

Jolivet, Symphonie 3, Concerto pour piano, Concerto pour violoncelle1. Lucette Descaves, André Navarra, Jolivet / Bour

Ecoute la 3° c'est la plus belle (en particulier son célèbre Adagio) (la 6° ... est oubliable par contre)

Cololi a écrit:

Ecoute la 3° c'est la plus belle (en particulier son célèbre Adagio) (la 6° ... est oubliable par contre)

Je n’ai emprunté que les quatre premières, de toute façon.

L. Vierne, Symphonies pour orgue nº3 et 1. Marie-Claire Alain, 1989 (Erato, 1990).

Hector Berlioz (1803-1869) :

Symphonie Fantastique Op. 14

= Rudolf Kempe, Berliner Philharmoniker

(Emi, 1959)

Beethoven, Bagatelles opus 126 / Schumann, Noveletten. Dino Ciani
Chopin, Scherzo 3, Barcarolle / Brahms, Rhapsodien opus 79 / Prokofiev, Toccata / Ravel, Jeux d'eau / Liszt, Sonate en si mineur. Argerich

Buxtehude : Le jugement dernier

Scriabine, le 2° volume des enregistrements studio chez Denon. Sofronitsky

quelques Schubert/Liszt par Sofronitski.

Mariefran a écrit:

Hippolyte a écrit:

Mariefran a écrit:

Beethoven, Sonates 27 à 29. Richter à Prague. Un pianiste très surestimé en effet…

Pourquoi dis-tu ça ? Quelqu'un a voulu jouer les iconoclastes ?

Oui, dans le fil du concerto de Tchaikovsky, tu n'as pas lu ?

Je viens de lire. C'est idiot.

Pour saluer le printemps en ce mois de novembre :

Schumann, Symphonie n° 1 "Le printemps" - Munch / Boston SO

A Lille, il fait beau et doux.

Scriabine, Sonate 3, 20 Préludes de l'opus 11, prélude pour la main gauche op.9-1, Trois morceaux opus 2, Impromptus op.14-2 et 12-2, Deux poèmes opus 44, Valse opus 38. Sofronitsky (Denon COCO 83266)

Friedrich Gernsheim (1839-1916) :

Symphonie n°1 en sol mineur Op. 32

= Siegfried Köhler, Orchestre Philharmonique de Rhénanie-Palatinat

(Arte Nova, 2-6 juin 1997)

Lully : Atys - Prologue et Acte 1 (Christie 87)
Rameau : Castor et Pollux - Prologue et Acte 1 (Christie)

Mon Dieu c'est abyssal comme différence, l'un fait de la musique, l'autre de l'accompagnement gentil de texte

Cololi a écrit:

Lully : Atys - Prologue et Acte 1 (Christie 87)
Rameau : Castor et Pollux - Prologue et Acte 1 (Christie)

Mon Dieu c'est abyssal comme différence, l'un fait de la musique, l'autre de l'accompagnement gentil de texte

Ne sois pas trop sévère avec Rameau, son époque était superficielle, il fait quand même partie de ceux qui ont tiré le meilleur.

DavidLeMarrec a écrit:

Cololi a écrit:

Lully : Atys - Prologue et Acte 1 (Christie 87)
Rameau : Castor et Pollux - Prologue et Acte 1 (Christie)

Mon Dieu c'est abyssal comme différence, l'un fait de la musique, l'autre de l'accompagnement gentil de texte

Ne sois pas trop sévère avec Rameau, son époque était superficielle, il fait quand même partie de ceux qui ont tiré le meilleur.

Contrairement à ce que tu crois j'ai très bien pigé ce que vous aimez chez Lully.
Ce que vous aimez c'est cette fusion entre texte et musique (je dis ça ... ce n'est pas exactement ce que je veux exprimer, mais c'est difficile à dire).

Rameau ça sonne plus artificiel du coup, plus distancé de l'histoire. C'est vrai. Mais ça ne change pas que je préfère 10000 fois Rameau.

Haendel : Alcina, Christie

Cololi a écrit:

Rameau ça sonne plus artificiel du coup, plus distancé de l'histoire.

Le problème de Rameau est surtout qu'il n'a eu presque que des livrets pourris (et énormément de ballets à entrées). Quand il avait un livret valable, comme pour Castor, il montrait qu'il n'avait rien à envier à ses prédécesseurs en ce qui concerne la déclamation.

Citation :

Mais ça ne change pas que je préfère 10000 fois Rameau.

C'est pourquoi un Elu en vaut 10000 autre.

Monteverdi : L'Orfeo - CD2 (Harnoncourt)



(Mon Dieu que j'ai été inspiré quand j'ai acheté ce double CD pour 7 malheureux euros)

Robert Schumann (1810-1856) :

Symphonie n°3 en mi bémol majeur Op. 97

= André Cluytens, Berliner Philharmoniker

(HMV, 24 février 1957)

Ludwig van Beethoven: 1ère sonate pour piano en fa mineur op. 2 n°1 / Kempff

Cololi a écrit:

Monteverdi : L'Orfeo - CD2 (Harnoncourt)



(Mon Dieu que j'ai été inspiré quand j'ai acheté ce double CD pour 7 malheureux euros)

Moui... Jacobs est à un autre niveau je trouve! Vraiment au dessus je trouve!

Howells: Concerto for String Orchestra (1938), Three Dances for Violin and Orchestra (1915) et Concerto pour piano en do mineur (1925). Vernon Handley dirige le RLPO (étiquette Helios).

Gluck : Iphigénie en Tauride, Minkowski

Hindemith: Concerto pour violoncelle (Geringas)

Bax: Symphonie n°6 (Thompson)

Strauss: Eine Alpensinfonie (Mehta)

Mozart, Symphonie n° 25
- Walter / Columbia
- Britten / ECO

Bartok, Concertos 2 et 3 pour piano - Anda / Fricsay

Verdi, Stiffelio - Gardelli / Sass / Carreras

Magnifique opéra, superbement chanté et injustement oublié.

Beethoven, Concertos pour piano n° 3, 4, 5
- Claudio Arrau / Philharmonia Orchestra / Otto Klemperer (live, 1957)

Chopin
Valses - Nocturnes
Stefan Askenase 1951-1954 (merci Mariefran !!)

Les Valses sont absolument splendides; tout en haut conjointement avec Lipatti, si si...
Les Nocturnes ne sont pas en reste, joués sur un tempo plus lent que la plupart des interprétations; mais pas d'élan romantique à la Samson François, plutôt un piano sobre qui sait ce qu'il veut et connaît parfaitement son affaire.
Une autre façon d'éviter le côté salonnard de Chopin avec le mouvement de la queue de pie qui plaît tant à ces dames.

Chostakovitch: Symphonie n°8 en do mineur op. 65 Sanderling

Grieg _ Pièces Lyriques. Livre V VI VII et VIII
Håkon Austbø [ piano ]
Gaubert _ Sonates pour flûte et piano n.１et n.２
Susan Milan [ flûte ] Ian Brown [ piano ]

Beethoven _ Symphonies n.６
Wilhelm Furtwängler : Wiener Philharmoniker
Beethoven _ Symphonies n.８
Wilhelm Furtwangler : Royal Stockholm Philharmonic Orchestra
Beethoven _ Symphonie n.９
Wilhelm Furtwängler : Wiener Philharmoniker

Tchaikovsky : Eugene Oneguine - Acte 1 (Khaykin 1955)

Polyeucte a écrit:

Cololi a écrit:

Monteverdi : L'Orfeo - CD2 (Harnoncourt)



(Mon Dieu que j'ai été inspiré quand j'ai acheté ce double CD pour 7 malheureux euros)

Moui... Jacobs est à un autre niveau je trouve! Vraiment au dessus je trouve!

Je crains que Jacobs ne soit beaucoup plus "joli" dans cette œuvre. Les instruments que convoque Harnoncourt et l'ambiance de cet enregistrement j'adore (et du coup ça m'étonnerai que je retrouve ça ailleurs).

Robert Schumann (1810-1856) :

Symphonie n°3 en mi bémol majeur Op. 97 (réorch. Mahler)

= Carlo Maria Giulini, Philharmonia Orchestra

(Columbia, 3-4 juin 1958)

Ludwig van Beethoven (1770-1827) : Sonate pour piano n°23 en fa mineur op. 57 Sur Instrument d'époque (pianoforte) / Meniker

C'est magnifique sur pianoforte! C'est inhabituel aussi car pour moi les sonates pour piano de Beethoven sont pas énormément jouées sur pianoforte.

Robert Schumann (1810-1856) :

Sonate n°1 en fa dièse mineur Op. 11

= Jean Martin, piano Bösendorfer

(Arion, 1973)

Piotr Tchaïkovsky : Concerto pour piano et orchestre n°1 en si bémol mineur, opus 23 -- Igor Zhukov, Dmitri Kitaenko, Orchestre symphonique académique d'URSS.
Piotr Tchaïkovsky : Concerto pour piano et orchestre n°2 en sol majeur, opus 44 -- Igor Zhukov, Guennady Rojdestvensky, Grand Orchestre symphonique RTV d'URSS.

Sublime dans le Premier Concerto, à ranger aux côtés du seul Sviatoslav Richter avec Evgueny Mravinsky. Rigoureusement incomparable dans le fascinant Deuxième Concerto, d'une beauté indescriptible. Ah oui, ils jouent bien sûr le vrai Deuxième Concerto de Tchaïkovsky, pas les bleeding chunks d'Alexandre Ziloti. Ces deux concertos se trouvent dans le tuyau. J'ai eu la chance de trouver et acheter un exemplaire du boîtier de deux disques Melodiya/BMG en occasion ; il contient aussi la Fantaisie de concert pour piano et orchestre en sol majeur, opus 56, le Troisième Concerto pour piano et orchestre en mi bémol majeur, opus 75, et l'Allegro pour piano et orchestre à cordes en do mineur.

Encore quelques fois dormir et il sera là...

Spoiler:

LILI BOULANGER : Cantate Faust et Hélène; Psaume 130 : Du fond de l'abîme/ BBC Philarmonic/ YP Tortelier (Chandos).

A connaitre, sérieux.

Vaughan-Williams: Fantasia on a Theme of Thomas Tallis, In the Fen Country, Norfolk Rhapsody no. 1, The Lark Ascending, On Wenlock Edge. London Philharmonic, Bernard Haitink (EMI)

Scarlatti, quelques douzaines de sonates jouées par Pieter Jan Belder au clavecin, pianoforte et à l'orgue.

Tikhon Khrennikov, trois symphonies. En fait ses trois seules symphonies. Assez particulier. Troisième écoute, et toujours pas de verdict. Khrennikov occupe une place peu enviable dans les manuels d'histoire en raison de son rôle de gardien de l'orthodoxie de la musique en URSS. Une quatrième écoute s'impose.

André a écrit:

Tikhon Khrennikov, trois symphonies. En fait ses trois seules symphonies. Assez particulier. Troisième écoute, et toujours pas de verdict. Khrennikov occupe une place peu enviable dans les manuels d'histoire en raison de son rôle de gardien de l'orthodoxie de la musique en URSS. Une quatrième écoute s'impose.

Je n'ai rien contre écouter des ordures (la preuve, j'écoute souvent Mahler ), mais je n'ai jamais trouvé grand intérêt à Khrennikov. Effectivement, c'est très soviétique : cursif et bruyant. Sans la recherche harmonique ou formelle qu'on pu (plus ou moins discrètement) y mettre beaucoup d'autres.
Et en plus de ne me pas me paraître très fortiche sur le plan de l'écriture, je trouve ça, plus subjectivement, aussi moche que du Khatchaturian.

Bruckner : symphonie n° 6 Dresde et Jochum .

Je l'apprécie de plus en plus cette symphonie et superbe version .

Enescu _ Quintette avec piano
Enescu _ Octet pour cordes
Gidon Kremer [ violon I ] Kremerata Baltica

je découvre le piano de Wellesz sur le tube.

marc.d a écrit:

Bruckner : symphonie n° 6 Dresde et Jochum .

Je l'apprécie de plus en plus cette symphonie et superbe version .

Les cuivres sont tout de même très acides (et pourtant j'adore ceux de Dresde, et même les Russes). Les tutti sont même particulièrement débraillés dans cette symphonie, à mon humble goût.

Polyeucte a écrit:

Cololi a écrit:

Monteverdi : L'Orfeo - CD2 (Harnoncourt)



(Mon Dieu que j'ai été inspiré quand j'ai acheté ce double CD pour 7 malheureux euros)

Moui... Jacobs est à un autre niveau je trouve! Vraiment au dessus je trouve!

Tu es vraiment le premier que je vois dire ça... Jacobs est tellement lisse et fade...

Mais il faut dire que tu écoutes Vickers et Leppard dans Monteverdi, alors forcément, ton avis, hein.

DavidLeMarrec a écrit:

Tu es vraiment le premier que je vois dire ça... Jacobs est tellement lisse et fade...

Mais il faut dire que tu écoutes Vickers et Leppard dans Monteverdi, alors forcément, ton avis, hein.

Ah non, au contraire, c'est clair, vivant, sobre... vraiment comme j'aime Monteverdi aussi (oui, il y a d'un côté le Monteverdi ancienne manière Leppard, et puis le Monteverdi qui se respecte, hyper soigné... )

DavidLeMarrec a écrit:

Polyeucte a écrit:

Cololi a écrit:

Monteverdi : L'Orfeo - CD2 (Harnoncourt)



(Mon Dieu que j'ai été inspiré quand j'ai acheté ce double CD pour 7 malheureux euros)

Moui... Jacobs est à un autre niveau je trouve! Vraiment au dessus je trouve!

Tu es vraiment le premier que je vois dire ça... Jacobs est tellement lisse et fade...

Mais il faut dire que tu écoutes Vickers et Leppard dans Monteverdi, alors forcément, ton avis, hein.

J'ai dis que je craignais le "joli" avec Jacobs dans Monteverdi ... c'était pour éviter de dire lisse
J'ai juste eu l'intuition qu'il allait jouer ça comme Haendel et Bach (où je l'adore).

Franchement, son Couronnement et son Orphée sont magnifiques à Jacobs je trouve. Avec un orchestre dont en entend chaque instrument, réduit au juste minimum (ou du moins c'est ce que j'en entends) et avec des interprètes vraiment superbes...

Cololi a écrit:

J'ai dis que je craignais le "joli" avec Jacobs dans Monteverdi ... c'était pour éviter de dire lisse
J'ai juste eu l'intuition qu'il allait jouer ça comme Haendel et Bach (où je l'adore).

C'est beaucoup plus lisse que dans Bach et Haendel, où il ne départit jamais d'une certaine fougue. On la retrouve dans des versions plus tardives de L'Orfeo... mais pas dans son studio.