Playlist (75)

Michel Desrousseaux a écrit:

gluckhand a écrit:

Delius /Sonates pour violon et piano /Tasmin Little violon  / Piers Lane piano.La musique anglaise est elle imperméable au cerveau des français tout comme leur cuisine nous paraît curieuse et indigeste ,non  pas vraiment,  

D'autant que cette musique de Delius est plus française qu'anglaise, un blind test le montrerait aisément. Ces sonates sont très belles.

Elle sonne française pour nous, mais par rapport à ce que font les autres anglais un peu à la pointe de l'époque (Bax, Bliss, et même Bridge et Ireland), Delius n'est pas en décalage.

Johannes Brahms : Ballades, opus 10.
Franz Schubert : Sonate pour piano, D537.
-- Arturo Benedetti Michelangeli.


Ludwig van Beethoven : Trio pour piano, violon et violoncelle en ré majeur, opus 70 n°1.
Johannes Brahms : Trio pour piano, violon et violoncelle en do majeur, opus 87.
-- Rudolf Serkin, Adolf Busch, Hermann Busch.


Lucien, ils font des petits matelas qu'on peut glisser sous les rotules, à l'attache du tibia ; c'est très confortable !

Du coffret 10 cd d'Astrid Varnay "La légende de Bayreuth", j'en arrive au cd 7 consacré à des airs français et italiens. Curieuse prononciation italienne, affreuse prononciation française. Mais une voix d'une ampleur unique. L'égalité d'un registre à l'autre, les aigus jamais criés mais qui évoquent un sifflet de locomotive...très impressionnant. Je ne suis pas d'accord avec plusieurs de ses choix, mais je suis baba devant l'immensité des moyens qu'elle déployait (sous Hermann Weigert, très bonne prise de son mid fifties).    

Je pourrais faire le même commentaire en ce qui a trait au disque Verdi de Jonas Kaufmann. Sauf qu'ici je n'arrive pas à m'habituer au timbre sourd, guttural, barytonant de Kaufmann. La préciosité de son phrasé et de sa prononciation me dérangent sans m'apporter d'illumination dramatique correspondante. Chapeau bas pour un Ah si ben mio...di quella pira enflammé et parfaitement incarné. Entre 3 et 5  selon les pistes. Inégal: horripilant et fascinant tout à la fois.

Arutiunian: concerto pour violon, Sinfonietta, Concertino pour iano (Chandos)    

André a écrit:

Du coffret 10 cd d'Astrid Varnay "La légende de Bayreuth", j'en arrive au cd 7 consacré à des airs français et italiens. Curieuse prononciation italienne, affreuse prononciation française. Mais une voix d'une ampleur unique. L'égalité d'un registre à l'autre, les aigus jamais criés mais qui évoquent un sifflet de locomotive...

Tiens, mon avis est exactement inverse : en français, le mot est d'une force expressive impressionnante (grâce à l'articulation très antérieure, en fait), et la prononciation vraiment juste. En revanche la voix est absolument horrible, mou et faux dans le médium, et une espèce de cri ptérodactylien en guise d'aigu. Terrifiant.
Forcément, dans le rôle de la vierge coupable et craintive (« Il va venir »), j'ai un peu de mal à y croire.


De mon côté :

=> Mendelssohn, les 8 Sonates pour piano, Girod
(Le compte est bon cette fois, Mélomaniac ? )

Wagner: Parsifal, acte 3/DVD Haenchen

     

Fausto Romitelli, Professor Bad Trip (Ictus)
 à 

Fausto Romitelli, Trash TV Trance (Pauwels)
( à) 

Scriabine, 2 Pièces pour la main gauche op.9 · 2 Impromptus à la Mazur op.7 · 2 Impromptus op.10 · 2 Impromptus op.12 · 6 Préludes op.13 · 2 Impromptus op.14 · 5 Préludes op.15 · 5 Préludes op.16 · 7 Préludes op.17 · Allegro de concert op.18

Michael Ponti, piano

Gustav Mahler (1860-1911) :

Symphonie n°2 en ut mineur

= Magdalena Hajossyova ; Uta Priew

Choeurs de l'Opéra d'Etat allemand de Berlin

Otmar Suitner, Orchestre de la Staatskapelle de Berlin

(Eterna, 22 novembre - 02 décembre 1983)

Et c'est comment, Mélo   ?

Concerto Empereur de Beethoven. Marc-André Hamelin, Les Violons du Roy, Bernard Labadie.

Sibelius: symphonies 3 et 5 - LSO, Colin Davis. Un peu mou dans les mouvements lents et insuffisamment tendu et détaillé dans les autres.   

Wagnrr: Parsifal, Acte II. Windgassen, Mödl, Neidlinger (Klingsor), Bayreuth 1954, Knappertsbusch. Neidlinger est terrifiant, Mödl hypnotique, Windgassen innocent à souhait. Les Filles fleurs faussent et détonnent. Je retiens une demi-étoile.     

Liszt, Vallée d’Oberman (Nyíregyházi).  

c’est vraiment ultime... ces couleurs, cette force, ces clusters, ce contraste, ces décalages, ce rubato... ! j’ai toujours rêvé de trouver une version de ce genre pour cette œuvre, l’une de mes premières passions lisztiennes.

Serge Rachmaninov (1873-1943) :

Les Cloches Op. 35

= Yelizaveta Shumskaya, Mikhail Dovenman, Alexei Bolshakov

Choeurs de la République russe, dir. Alexander Yourlov

Kiril Kondrachine, Orchestre philharmonique de Moscou

(Melodiya, 1962)

Leoš Janáček, Par les sentiers herbeux · Dans les brumes (Firkušny)
 (à )

Albeniz : Iberia


Alicia de Larrocha. 1962

EMI



    

Richard Franck (1858-1938) :

Suite pour orchestre en ré majeur Op. 30

= Christopher Fifield, Philharmonie wurtembergoise de Reutlingen

(Sterling, 25-27 mars 2008)

Wagner: Parsifal, Acte III (Knappertsbusch, Windgassen, Hotter).   

Sibelius: septième symphonie      , En Saga    , Rakastava      - LSO, Davis.

André a écrit:

Wagner: Parsifal, Acte III (Knappertsbusch, Windgassen, Hotter).   

Windgassen ET Hotter dans l'acte III? Avec Kna? C'est quelle version? Parce que je ne pensais pas qu'ils s'étaient croisés pour Parsifal ces trois là... mais c'est intéressant en tout cas!

LULLY : la plainte de Cloris  
LULLY : Dies Irae, Herreweghe
LULLY : Isis

Middelschulte, Passacaglia (Bush, Trinity Church)

Sibelius par Colin Davis (LSO): Kullervo     , les Quatre Légendes op. 22:Star:   1/2 , Le Barde, La fille de Pohjola, En Saga   

Davis est le seul à faire passer son interprétation de Kullervo au-delà de la barre des 80 minutes. Je croyais que ce serait lourd, mais c'est électrique de bout en bout. Il y a moins de tension dans les Légendes, une de mes oeuvres préférées de Sibelius. Je préfère largement Ormandy I (Sony) qui cravache la partition à qui mieux mieux, et même Järvi et Ormandy II (EMI), plus proches par le minutage et le climat de Davis que de Ormandy I.

Dans Pohjola (un de mes poèmes symphoniques préférés), Barbirolli fait régner un véritable climat de terreur. C'est d'une tension à faire péter les haut-parleurs.

Sorabji, Passacaille de l’O.C. (Ogdon)

Nikolaï Rimsky-Korsakov (1844-1908) :

Ouverture La Grande Pâque russe Op. 35

= Daniel Barenboïm, Orchestre symphonique de Chicago

(DG, 1977)

Zoltán Kodály, Méditation sur un thème de Debussy · Neuf pièces op.3 · Valsette · Sept pièces op.11 · Danses de Marosszek · Danses d’enfants
Jenő Jandó, piano

Scriabine, Polonaise op.21 · 4 Préludes op.22 · 9 Mazurkas op.25 · 2 Préludes op.27 · Fantaisie op.28 · 4 Préludes op.31 · 4 Préludes op.33 · 3 Préludes op.35 · 4 Préludes op.37 · 4 Préludes op.39 · 4 Préludes op.48

Michael Ponti, piano

Szymanovski
Litanies à la Vierge Marie
Stabat Mater
Rattle + Birmingham

Chopin
4 impromptus
Rubinstein 
Dutilleux
Métaboles
Mystères de l'instant
Figures de résonance
Strophes sur le nom de Sacher
Rostropovitch, Paul Sacher, Geneviève Joy, David Geringas

Jean Sibelius (1865-1957) :

Quatre Légendes de Lemminkaïnen Op. 22

= Eugene Ormandy, Orchestre de Philadelphie

(Emi, 20 février 1978)

Brahms : Quatuor à cordes op. 51 No 1



Alban Berg Quartett

EMI



   

Scriabine, 2 Poèmes op.32 · Poème tragique op.34 · Poème satanique op.36 · Poème op.41 · 2 Poèmes op.44 · 3 Pièces op.45 · Scherzo op.46 · 3 Pièces op.49 · Valse op.38 · Quasi valse op.47 · 2 Mazurkas op.40 · 4 Pièces op.51 · 4 Pièces op.56 · 2 Pièces op.57 · Feuille d’album op.58 · 2 Pièces op.59 · Poème-nocturne op.61 · 2 Poèmes op.63 · 2 Poèmes op.69 · 2 Préludes op.67

Michael Ponti, piano

Sibelius: Chevauchée nocturne et lever de soleil   , Tapiola    , Les Océanides      , Finlandia   , Valse triste    . Colin Davis et le LSO.J'ai été impressionné par ces Océanides, moins par Tapiola et relativement peu par le reste. J'ai eu beau écouter l'op. 55 dans différentes versions, je n'y trouve pas grand intérêt. Thématiquement c'est ordinaire.

Leif Segerstam: symphonie no. 9, en un mouvement. Staatsphilharmonie Rheinland-Pfslz, sous le compositeur lui-même. Ça s'écoute très bien, même si je trouve difficile d'y détecter un thème ou un fil conducteur. Au moins la durée (20 minutes) est adéquate vs le matériau et son traitement.    

Kurtag

Jelek, játékok és üzenetek pour alto solo
Jelek pour alto solo
Hommage à R. Sch. pour alto, clarinette et piano

 

Schumann

Märchenbilder pour alto et piano
3 Fantasiestücke pour clarinette et piano
Märchenerzählungen pour alto, clarinette et piano

 

Dietsch : Le Vaisseau Fantôme (Marc Minkowski, 2013 : Sally Matthews, Bernard Richter, Eric Cutler, Russel Braun, Ugo Rabec, Mika Karès)

     

Tiens, il existe un autre Vaisseau que celui de Wagner ?!

Mélomaniac a écrit:

Tiens, il existe un autre Vaisseau que celui de Wagner ?!

Oui!
Fait à partir du synopsis écrit par Wagner et vendu à l'Opéra de Paris après que sa musique ait été refusée...
Bon, l'histoire est pas mal modifiée...

Le retour du concert du mois de mai dernier :
https://classik.forumactif.com/t6749-dietsch-wagner-deux-hollandais-par-minkowski-mai-2013

D'ailleurs, tu avais même regardé pour l'acheter si je me souviens bien

Michelangelo Rossi (1601–1656), madrigaux
 à  

Huelgas-Ensemble
Paul Van Nevel, direction

DHM/Sony, 2009 (enregistrement juillet 2008, cathédrale Saint-Pierre de Saintes)

Machaut, Messe de Notre-Dame (Organum)
 à  

Johann Strauss (1825-1899) :

Vie d'artiste Op. 316
Sang viennois Op. 354
Roses du Sud Op. 388

= Fritz Reiner, Orchestre symphonique de Chicago

(RCA, 25-26 avril 1960)

Wagner : Der Fliegende Holländer (Mark Minkowski, 2013 : Ingela Brimberg, Hélène Schneidermann, Eric Cutler, Bernard Richter, Evgeny Nikitin, Mika Karès)

     
(pas de jaloux par rapport à Dietsch comme ça! )

François Couperin (1668–1733), les huit préludes de l’Art de toucher le clavecin · pièces de clavecin extraites des quatre livres / vingt-sept ordres
 

Blandine Rannou, clavecin

Zig Zag, 2003 (enregistrement septembre et octobre 2003)

Peggy Sampson, be merry, a day will come, Peggy Sampson à la viole de gambe

David Rosenboom, The seduction of sapienta, Peggy Sampson a la viole de gambe

Wilhelm Middelschulte (1863–1943), Toccata sur « Ein feste Burg ist unser Gott » · Symphonie contrapuntique · Deux Études sur le choral « Vater unser in Himmelreich · Fantaisie chromatique et fugue · « Permetuum Mobile »
Bach/Middelschulte, Chaconne

Jürgen Sonnentheil, orgue Gerald Woehl, église Saint-Pétri de Cuxhaven

CPO, 2000 (enregistrement juin 1999)

Schumann : Kerner-Lieder op. 35



Prégardien/Gees

RCA Red Seal



   

Jozef Van Hoof (1886-1959) :

Symphonie n°2 en la bémol majeur

= Silveer van den Broeck, Orchestre de la Radio télévision belge

(Marco Polo)

=> Marin Marais - Suites de viole - Pandolfo & Friends

=> Mahler - Symphonie n°2 - Bernstein NYPO I
L'accent de Tourel, c'est quelque chose.

=> Gounod - Faiblesse de la race humaine - Vezzani
=> Gounod - Faiblesse de la race humaine - €€Jeon-Won Lee
=> Gounod - Faiblesse de la race humaine - Villazón
=> Gounod - Faiblesse de la race humaine - Luccioni

=> Mendelssohn - Symphonie n°5 - Poppen
L'une des rares intégrales totalement réussies.  

Dukas: La Péri/Fournet

    

Arthur Meulemans (1884-1966) :

Symphonie n°7

= Silveer van den Broeck, Orchestre de la Radio télévision belge

(Marco Polo)