Playlist (76)

Lucien a écrit:

Dufay, 13 motets isorythmiques (Huelgas Ensemble)

Un disque majeur... peut-être LE disque pré-1600 dont je ne voudrais pas me séparer. Et ce n'est pas la première fois que tu le cites.

Polyeucte a écrit:

Strauss : Die Frau ohne Schatten (Joseph Keilberth, 21/11/1963 : Jess Thomas, Ingrid Bjoner, Martha Mödl, Dietrich Fischer-Dieskau, Inge Borkh, Hans Hotter, Hertha Töpper, Paul Juen, Brigitte Fassbaender,...)

Wahou!! C'est superbe... Et quelle qualité pour un direct  
Superbe de tous les côtés, sauf Mödl... mais sa nourrice est assez terrifiante...

Thomas et Bjoner, tu trouves vraiment ça superbe-sauf-Mödl ?

extraits du Codex Chantilly (Ensemble Organum)

 

ah !

j’en connais un qui va être content !  

Lucien a écrit:

Spoiler:

 

 Comment interpréter ton smiley ?

Lucien a écrit:

extraits du Codex Chantilly (Ensemble Organum)

 

Chaque fois que j’écoute ça, je me pète la voix... Je vais aller lui dire deux mots, moi, à Lesne !  

Mélomaniac a écrit:

Lucien a écrit:

Spoiler:

 

 Comment interpréter ton smiley ?

comme ceci :

Citation :

       

DavidLeMarrec a écrit:

Polyeucte a écrit:

Strauss : Die Frau ohne Schatten (Joseph Keilberth, 21/11/1963 : Jess Thomas, Ingrid Bjoner, Martha Mödl, Dietrich Fischer-Dieskau, Inge Borkh, Hans Hotter, Hertha Töpper, Paul Juen, Brigitte Fassbaender,...)

Wahou!! C'est superbe... Et quelle qualité pour un direct  
Superbe de tous les côtés, sauf Mödl... mais sa nourrice est assez terrifiante...

Thomas et Bjoner, tu trouves vraiment ça superbe-sauf-Mödl ?

Bon, c'est moins bien que Rysanek/Hopf, mais c'est quand même super chouette!
Et Mödl, disons que j'ai un peu de mal quand même... Mais c'est impressionnant!

@Mélo : C'est de la bonne ?

Vino-Karlo a écrit:

@Mélo : C'est de la bonne ?

 Quoi, qu'est-ce que j'ai dit ?

Vino, tu es sûr que ce n’est pas toi qui as  ?

Lucien a écrit:

ah !

j’en connais un qui va être content !  

Ah !

Yeux, qu’il s’appelle !  

d’ailleurs :

Romitelli, An index of metals (Ictus)

tu devrais essayer, Mélo, ça change de la polyphonie médiévale-renaissante.

 Oh pas besoin, moi je suis comme les enfants : tu me mets un Casse-noisette et je reste sage pour la soirée...

tu crois que les Yeux te laissent le choix ?   c’est Sun Ra (injonction déléguée à Alifie) ou Romitelli (injonction déléguée à moi-même) !

Xavier a écrit:

Ah ok, je pensais que tu disais ça pour pousser Lucien à écouter la suite mais que tu ne le pensais pas... qu'un acte de Tristan soit le moins bien de quelque chose me paraît juste pas possible personnellement... bon, si c'est celui que tu aimes le moins des 6 opéras de Wagner que tu préfères, à la limite, ok, je comprends.

Si l'acte I était comme les deux autres, Tristan serait peut-être mon Wagner préféré (donc presque mon opéra préféré)...

Strauss: La Femme sans ombre/Petrenko, Warlikowski (sur Mezzo)

     

Polyeucte a écrit:

DavidLeMarrec a écrit:

Polyeucte a écrit:

Strauss : Die Frau ohne Schatten (Joseph Keilberth, 21/11/1963 : Jess Thomas, Ingrid Bjoner, Martha Mödl, Dietrich Fischer-Dieskau, Inge Borkh, Hans Hotter, Hertha Töpper, Paul Juen, Brigitte Fassbaender,...)

Wahou!! C'est superbe... Et quelle qualité pour un direct  
Superbe de tous les côtés, sauf Mödl... mais sa nourrice est assez terrifiante...

Thomas et Bjoner, tu trouves vraiment ça superbe-sauf-Mödl ?

Bon, c'est moins bien que Rysanek/Hopf, mais c'est quand même super chouette!

Heu. Ce n'est évidemment pas ce que j'ai voulu dire.

Citation :

Et Mödl, disons que j'ai un peu de mal quand même... Mais c'est impressionnant!

Moi j'aime, même avec les trous.

Hauer, Études op.22 (Schleiermacher)

Edgar Varèse (1883-1965) :
 
Ionisation, pour 13 percussionnistes
 
= Pierre Boulez, membres du New York Philharmonic Orchestra
 
(CBS, 12 février 1977)
 

 Melo écoute Varèse !!

Spoiler:

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Henry Flynt, Guitar Rebop

Les yeux qui fascinent a écrit:

 Melo écoute Varèse !!

 

Oui, je fais un brin de ménage dans mon salon.
 
Ce faisant, je me passe Amériques, c'est la seule oeuvre que je connaisse qui arrive à couvrir le volume sonore de mon aspirateur...

Et puis le bruit est à peu près le même

Mélomaniac a écrit:

Les yeux qui fascinent a écrit:

 Melo écoute Varèse !!

 
Ce faisant, je me passe Amériques, c'est la seule oeuvre que je connaisse qui arrive à couvrir le volume sonore de mon aspirateur...

Ça, c'est parce que tu n'as pas encore essayé kabuki de Hikari Kiyama : /watch?feature=endscreen&v=i_RubZ50YPY&NR=1  

Kiyama, kabuki

Plus j'écoute cette œuvre, plus elle me fascine.

Bloch: Evocations/Sedares

    

Paul Büttner (1870-1943) :
 
Symphonie n°4 en si mineur
 
= Gerhard Pflüger, Orchestre symphonique de la Radio de Berlin
 
(Sterling, 26 juin 1965)
 

Cras: Journal de bord/Antonioli

   

Boulez : Figures, Doubles, Prismes



Boulez, BBC Symphony Orchestra

Apex



   

Paul Büttner (1870-1943) :

Ouverture héroïque

= Hans-Peter Frank, Orchestre symphonique de la Radio de Berlin

(Sterling, 1974)

Spoiler:

Wolfgang Rihm /Lichtes Spiel /Currier/ Time machines /Anne-Sophie Mutter / Gilbert / Francis. très beau disque avec la belle Mutter, pour finir elle a pas fait fantasmer tant de compositeurs que ça , à part Penderecki qui lui a contocté un très beau Concerto No. 2 pour violon ("Metamorphosen") Là ce sont encore de superbes oeuvres lyriques à l'écoute ces Jeux de lumière, et l'oeuvre de Currier que je découvre n'est pas ininteressante non plus .Pour Rihm, une grande figure de la musique contemporaine dont les oeuvres feront date et dont j'apprécie particulièrement les quatuors.Très beau disque question enregistrement la marque jaune est rarement decevante de ce côté là.

Debussy, quasi-intégrale des Préludes (Richter)

Bach /Suites françaises /Tom Koopman clavecin .j'aime beaucoup Koopman même si dès fois il est imbuvable, là c'est correct et c'est pas ennuyeux, ce qui est le moindre des mérites .le clavecin est très agréable à l'écoute ce qui n'est pas toujours le cas avec ces enregistrements.Bon c'est pas la version du siècle, ça se laisse écouter mais il y a mieux, beaucoup mieux et il y a tellement de façons différentes d'interprèter Bach, là c'est vivant et animé mais l'aura n'est pas là!

Jénufa /Janacek / B Grégor .Un chef d'oeuvre absolu pour moi , tout est parfait dans cette version, j'aime bien les opéras pas trop longs et Jénufa en est un , autant pour le chant que pour l'orchestre ,il nous remplit de joie et d'intèrêt,même si l'histoire est celle d'un infanticide ce n'est pas la plus joyeuse qui soit, bon Salômé, c'est la tête de Jean -Baptiste qui est en jeu et qu'elle veut Salômé,là c'est pas mieux comme sujet , mais comme opéra c'est superbe, on a des émotions musicales particulières avec le génie propre de chaque compositeur.D'ailleurs tous les opéras de Janacek sont formidables mais c'est inutile de le dire ici.

Busoni, Fantasia nach Bach (Ogdon)

 

Liatochynsky (1895–1968), Prélude de deuil (1922) · Sonate nº1 op.13 (1924) · Réflexions op.16 (1925) · Sonate nº2 « sonate-ballade » op.18 (1925) · Ballade op.22 (1929)

Borys Demenko, piano

Liatochynsky, Quatuor à cordes nº2 op.4 (1922)

Lysenko String Quartet (?)

c’est étrange, cette chose ; c’est assez classique, un peu folklorisant, mais avec çà et là des choses bizarres (dans le sens dissonantes) en fond.

Weber: Concerto pour basson   

Liatochynsky, Sonate pour violon et piano op.19 (1926)

 

Wagner: Der Fliegende Holländer  

Mélomaniac a écrit:

Marc-Antoine Charpentier (1643-1704) :

Messe pour le Port-Royal

= Michel Chapuis, orgue Cliquot de l'église de Houdan

Emmanuel Mandrin, les Demoiselles de Saint-Cyr

(Astrée, 1997)

Tu m'as donné envie de l'écouter ! Donc voilà et puis j'ai écouté également la version dédiée à Sainte Marguerite par Munoz et l'ensemble Arianna.

réécoute de la sonate en si mineur de liszt par marylin frascone, vraiment de bout en bout : I like   

Lucien a écrit:

Vino, tu es sûr que ce n’est pas toi qui as  ?

C'est plutôt ta codex crème Chantilly qui sent la beuh.

Charpentier : messe pour le Port-Royal, Capella Ricercar  

Desmarest : grands motets lorrains, Christie

Wagner: Die Walküre, version Decca - Leinsdorf. Je nomme le label avant le chef car il me semble que l'empreinte de la maison est ici plus forte que celle de ses interprètes. Du bon et de l'excellent, mais pas beaucoup de remarquable, encore moins d'extraordinaire.      1/2

Tchaikovsky: Casse-Noisettes avec le Kirov sous Gergiev. Super version en un seul disque de plus de 81 minutes.    

Penderecki, Anaklasis · Thrène (Penderecki)

Villa-Lobos, Prole do bebê II · Ciclo brasileiro (Schic)