Playlist (80)

Caplet: Conte fantastique/Chatron, Quatuor Elias

     +

Edward Elgar (1857-1934) :

Variations sur un thème original Op. 36

= David Zinman, Orchestre symphonique de Baltimore

(Telarc, juin 1989)

  

Caplet: Deux sonnets pour soprano et harpe/Bonnet

     

Caplet: Impressions d'automne/Chatron

    +

Ravel: 3 poèmes de Mallarmé/Otter

      

Enesco : Suite châtelaine

Poulenc: Rapsodie nègre/Otter

     +

Edward Elgar (1857-1934) :

Variations sur un thème original Op. 36

= Edward Elgar, Orchestre du Royal Albert Hall

(HMV, avril & août 1926)

Mélomaniac a écrit:

La façon dont il tiens la baguette : il a aperçu Calbo?  

Jaky a écrit:

Mélomaniac a écrit:

La façon dont il tiens la baguette : il a aperçu Calbo?  

Ça doit être une tradition anglaise : si tu regardes bien, Boult ou Beecham, c'est peu ou prou pareil     
Sinon, je suis toujours aussi agréablement surpris par la qualité sonore des enregistrements d'Elgar, sans même parler de l'interprétation...

Franck, Mendelssohn. Symphonie en ré, symphonie n°5. RIAS Berlin, Maazel. 1961, 1962. DGG. Excellent !!!

Diablotin a écrit:

:
Ça doit être une tradition anglaise .

Oui,la canne fait partie des principes de l'éducation made in Britain...

Gustav Mahler - Symphonie n°4 - Lucia Popp/Kölner Rundfunk-Sinfonie-Orchester/Gary Bertini



    

Maintenant :
=> Bach : Matthäus, Rilling (Schade, Goerne, Oelze).

Ces derniers temps (puisque ça fait longtemps que je ne suis pas venu) :

=> Schumann : Dichterliebe
- DFD / Eschenbach - excellente version.
- DFD / Moore 56 live - DFD plus frais de voix, Moore pas mauvais
- Wunderlich / Giesen - le trait vocal est un peu gros malgré/à cause (?) de la splendeur vocale constante, Giesen discret. La prise de son relègue de toute façon le piano au sous-sol.
- Fassbaender / Reimann - pas à la hauteur de sa légende : manquent pas mal d'aigus (pourtant Fassbaender a chanté Eboli et des mezzos assez larges ?), Reimann est souvent perdu et fait beaucoup de bruit.

=> Schreker, Die Gezeichneten, Conlon 2010 paru en CD (Bridge, 2013) : j'étais surpris de voir que ça avait finalement paru, je l'ai acheté par curiosité. Conlon est extrêmement brouillon, et pas aidé par l'orchestre américain (les cuivres aïe) : ça semble mal mis en place (l'ensemble des nobles au I par exemple, mais déjà le prélude). Du coup tout fonctionne moins bien, d'autant que la prise de son est mauvaise. Anja Kampe décevante également : pourtant c'est une des grandes Sieglinde du circuit, non ? Brubaker moins bien que chez Nagano, Gantner inexistant. Version non coupée. Et livret allemand / anglais. Mais après I et début du II, je ne recommande pas cette version.   On est largement derrière Zagrosek I et II, Nagano, de Waart et Stenz à Cologne.

emm*rdons le cloisonnement du classique, je-ne-sais-plus-à-combien-j’en-suis :
Henry Flynt, Glissando No. 1 (1979)
Henry Flynt & Catherine Christer Hennix, Stereo Piano (1978) *

Henry Flynt, violon et électronique / * piano
* Catherine Christer Hennix, piano

Recorded, 2011

Wolfgang Amadeus Mozart (1756-1791) :

Concerto pour piano n°19 en fa majeur K. 459

= Rudolf Serkin ; Georges Szell, Orchestre symphonique de la Columbia

(CBS, avril 1959)

  

Liszt, Nuages gris.  Vladimir Sofronitski
Liszt, Unstern!  Sergio Fiorentino
Liszt, Trauervorspiel und Trauermarsch.  John Ogdon

 

Wolfgang Amadeus Mozart (1756-1791) :

Concerto pour piano n°22 en mi bémol majeur K. 482

= Robert Casadesus ; Georges Szell, Orchestre symphonique de la Columbia

(CBS, novembre 1959)

Boris Tichtchenko (1939–2010), Variations op.1 (1956) · Sonate pour piano nº10 op.124 (1997) · Sonate pour piano nº11 op.151 (2008)

Dinara Mazitova, piano

Northern Flowers, 2013 (enregistrement octobre 2012)

Wagner: Les Maîtres chanteurs/Kubelik

      

Boris Tichtchenko, Sonate pour violoncelle seul nº2 op.76 (1979)
Boris Tichtchenko, Sonate pour piano nº7, pour piano et cloches, op.85 (1982)

Sergeï Roldougine, violoncelle
Boris Tichtchenko, piano
Alexandre Mikhaïlov, cloches

Northern Flowers, 2009 (enregistrement 1985/1983)

Enescu : Suite No. 2 Op. 20

Gustav Mahler (1860-1911) :

Symphonie n°2 en ut mineur

  Quelques Urlicht non identifiés...

Viktor Poltoratski (1949–1985), Douze préludes et fugues op.16 · Douze préludes et fugues op.17

Alexandre Mndoïants et ses élèves, piano

Classical Records, 2012

Dutilleux:Tout un Monde Lointain (Dutoit)
Dutilleux:L'Arbre des Songes (Dutoit)

=> Alfvén – Symphonie n°4 – Islande SO, Willén
Arnaud, toi qui aimes la démesure et la générosité lyrico-épique, tu devrais vraiment écouter cette symphonie-là. Les autres sont d'un postromantisme plus mesuré, mais là...

Sinon, toujours pas essayé la Herbstsymphonie de Marx ?

DavidLeMarrec a écrit:

la générosité lyrico-épique

   Vous usez d'euphémismes

Cololi a écrit:

DavidLeMarrec a écrit:

la générosité lyrico-épique

   Vous usez d'euphémismes

Pardon, les irisations poudroyantes de chatoyances cosmiques.

Mais Alfvén n'en est pas là... c'est du postromantisme qui s'emballe en un écheveau beaucoup plus contrapuntique et emporté. En cela, ça peut se comparer aux Gurrelieder (sauf que ce n'est pas ennuyeux).

DavidLeMarrec a écrit:

Cololi a écrit:

DavidLeMarrec a écrit:

la générosité lyrico-épique

   Vous usez d'euphémismes

Pardon, les irisations poudroyantes de chatoyances cosmiques.

Voilà qui est mieux   

Citation :

Mais Alfvén n'en est pas là... c'est du postromantisme qui s'emballe en un écheveau beaucoup plus contrapuntique et emporté. En cela, ça peut se comparer aux Gurrelieder (sauf que ce n'est pas ennuyeux).

Là c'est moins bon.
Un jour tu changeras d'avis !

C'est possible. Ce n'est pas une œuvre que je considère comme ratée (comme le Klagende Lied par exemple, vraiment maladroit), de toute façon... mais c'est quand même beaucoup de tapage, et la veine mélodique, la prosodie, la lisibilité générale ne sont pas merveilleuse. Sauf pour le chant du Ramier, un bijou exceptionnel.

Bruckner. Symphonie n°5. OP Berlin, Karajan. 1975. DGG

DavidLeMarrec a écrit:

=> Alfvén – Symphonie n°4 – Islande SO, Willén
Arnaud, toi qui aimes la démesure et la générosité lyrico-épique, tu devrais vraiment écouter cette symphonie-là. Les autres sont d'un postromantisme plus mesuré, mais là...

Sinon, toujours pas essayé la Herbstsymphonie de Marx ?

Si bien sûr d'ailleurs j'en avais parlé dans le fil idoine.   

Alfvén tu dis?

Ben on va essayer ça.   

P.S.:Tes blasphèmes sur les Gurrelieder sont si énormes que s'en est presque mignon.   

George Frideric Handel (1685-1759) :

Hercule, opéra en trois actes

Hercule : John Tomlinson
Déjanire : Sarah Walker
Hyllus : Anthony Rolfe-Johnson
Iole : Jennifer Smith
Lichas : Catherine Denley
Prêtre de Jupiter : Peter Savidge

Monteverdi Choir

John Eliot Gardiner, English Baroque Soloists

(Archiv, août 1982)

lucien a écrit:

Viktor Poltoratski (1949–1985), Douze préludes et fugues op.16 · Douze préludes et fugues op.17

Alexandre Mndoïants et ses élèves, piano

Classical Records, 2012

ça existe ?  

non, je n’ai pas créé une fausse pochette avec un faux contenu. 

Eshpai : Symphonie No. 8

Je ne m'en lasse pas

WoO a écrit:

Eshpai : Symphonie No. 8

Je ne m'en lasse pas

Tu les as en cd ?

Alfven:Symphonie n°4 (Willen) sur le tube

Ça n'a pas traîné. N'en attends pas des couleurs spectaculaires, c'est plutôt dans le contrepoint que ça se joue (comme pour le Pelléas de Schönberg).

Béla Bartók, Quatre pièces pour orchestre · Trois scènes de village ¹ · Le mandarin merveilleux ²

¹ Camerata Singers
² Schola Cantorum (dir. Hugh Ross)
New York Philharmonic
Pierre Boulez, direction

Sony, 1991/72 (enregistrement 1977/1971)

Un disque éverestique.

C'est quand même dingue que tu aies toujours autant de mal avec l'orchestre, même en écoutant des oeuvres et des interprétations aussi géniales.   

ovni231 a écrit:

WoO a écrit:

Eshpai : Symphonie No. 8

Je ne m'en lasse pas

Tu les as en cd ?

Pour la 3, la 6 et la 8, non. Je dois me contenter de Youtube
Elles existent en disque (deux double disques) chez Moscow Musical Heritage mais ceux-ci sont absolument introuvables. Le tirage a du être très faible...

Pour la 1, 2 et 7 les disques "Eshpai Edition" chez Albany, pour les 4 et 5 un CD chez Russian Disc.

La 9 n'a semble-t-il pas fait l'objet d'un enregistrement.

Enescu : Rhapsodies roumaines No. 1 et No. 2 (Andreescu)

si c’est aussi introuvable que le Liato de Demenko, Vino le trouvera peut-être...  

Xavier a écrit:

Un disque éverestique.

C'est quand même dingue que tu aies toujours autant de mal avec l'orchestre, même en écoutant des oeuvres et des interprétations aussi géniales.   

oui...  

Mais je suis particulièrement déçu par Bartók (enfin, pas par lui-même, bien sûr, mais par mon appréciation de son œuvre)... C’est un compositeur que j’adore...

La première fois que j’ai écouté le Mandarin (peut-être des extraits, je ne me souviens plus), je débutais en musique classique. Cette musique m’apparaissait comme dissonante à l’extrême, « contemporaine », presque inécoutable... Ici, j’ai presque l’impression d’entendre quelqu’un qui s’amuse avec un orchestre de fanfare...  

Je préfère largement [ce que je connais de] la musique orchestrale de Debussy...

lucien a écrit:

si c’est aussi introuvable que le Liato de Demenko 

Si vous pouviez arrêter avec Liato...

 

Concerto pour violoncelle et orchestre / Bruno Mantovani, comp. ; Rundfunk Sinfonieorchester Saarbrücken, dir. Günther Herbig .The eyes of the wind, concerto pour violoncelle et orchestre / Philippe Schoeller, comp. ; Orchestre Philharmonique de Radio France, dir. Alexander Briger. Concerto pour violoncelle et orchestre / Gilbert Amy, comp. ; Orchestre de Paris, dir. Gilbert Amy

lucien a écrit:

Mais je suis particulièrement déçu par Bartók

Ici, j’ai presque l’impression d’entendre quelqu’un qui s’amuse avec un orchestre de fanfare... 

  Depuis ce temps, tu as écouté beaucoup de musiques nouvelles, de plus en plus modernistes, non figuratives (ta playlist en donne idée).

Du coup, Bartok te semble comparativement affadi et conventionnel.

A force de t'élever dans l'abstraction, tu vas bien finir par boucler la boucle et en revenir aux polyphonistes de la Renaissance et au contrepoint de Bach.

Voilà une bonne nouvelle...