Playlist (93)

calbo a écrit:

Je sais qu'il existe mais je ne l'ai pas écouté. Je compte sur toi pour nous dire ce que tu en penses

Ah, parce que ce n'était pas clair ? Fulgurant (œuvre comme interprétation).

L'avez vous écouté Mr Le Marrec ?

BIT : Yaroslavna Op. 58/Alexander Dmitriev
Symphonie No. 3 Op. 36/Igor Blazhkov
Symphonie No. 6 Op. 105/Gennady Rozhdestvensky
Concerto pour piano Op. 21/BIT & Igor Blazhkov
Concerto pour harpe Op. 69/Irina Donskaya-Tishchenko & Edward Serov

Bart a écrit:

Wagner, Siegfried (Acte III), Sawallisch
         

J'ai souvent lu des avis mitigés voire négatifs sur le Siegfried de Kollo, mais je trouve ça quand même pas mal du tout ! Ok la voix n'est pas super jolie mais il est assez crédible en neuneu brutal et ingrat puis en puceau paniqué, ça fonctionne mieux que chez Janowski (magie du live?) où il était un peu distant. En tout cas dans le genre fruste ça vaut bien Manfred Jung ou Lance Ryan (et c'est nettement mieux, je trouve). J'attendrai d'avoir pu écouter ce Ring en entier pour me faire un avis plus construit.

Leroux : Ami...Chemin...Oser...Vie...    2011 / Wurtz
 +

calbo a écrit:

L'avez vous écouté Mr Le Marrec ?

Ah pour ça oui, des dizaines de fois (et j'en ai souvent parlé).

Leroux : M    1997 / Quatrix

Alberto Posadas (1967–),

  Elogio de la sombra pour quatuor à cordes (2012)
  La tentación de las sombras pour soprano et quatuor à cordes (2011)
  Del reflejo de la sombra pour clarinette basse et quatuor à cordes (2010)

        Caroline Stein, soprano
        Alain Billard, clarinette basse
        Quatuor Diotima

Cololi a écrit:

Bart a écrit:

DavidLeMarrec a écrit:

Donc hier, Rosenkavalier :
=> Acte I, par Schippers (Schwarzkopf, Della Casa, Raskin, Edelmann, Met 64). Il n'y a pas mieux, c'est du Schippers : tendu comme un arc. Et puis Della Casa en Quinquin, c'est pas trop mal quand même !  Et Edelmann n'est pas aussi râpeux que chez Karajan. Ça se trouve, chez le label Claque.
=> Acte II, par Prêtre (Janowitz, Fassbaender, Cotrubas, Ridderbusch, Naples 71). Le son est un peu moins précis, mais là aussi côté ardeur et distribution, difficile de se fâcher.
=> Présentation de la Rose par Mödl et Della Casa.
=> Actes I et II, par De Waart (Lear, von Stade, Welting, Bastin, Rotterdam studio). La distribution est clairement moins superlative, mais côté orchestre, c'est probablement la plus belle version avec Solti, si on veut un son « moderne ».


Donc j'ai plus ou moins écouté les meilleures (LA meilleure étant à mon sens Schippers de très loin : toutes les longueurs éventuelles paraissent n'avoir jamais existé !), il ne me resterait qu'à faire un tour chez Kleiber 74 (Watson, Fassbaender, Popp, Ridderbusch) et Karajan 60 (Della Casa, Jurinac, Güden, Edelmann). Dommage que je n'ai pas beaucoup l'acte III, sinon mon occupation était trouvée aujourd'hui…

Non, je ne connais rien de tout ça (Karajan 60, c'est la version qui existe aussi en video ?...). Mais Kleiber 74 me tentait bien également, malheureusement le son n'est vraiment pas terrible, ce qui est assez handicapant avec le Rosenkavalier. Je ne suis pas allé très loin dans l'écoute.  

Tu ne parles pas du DVD, c'est vrai ... mais je le dis au cas où : ne te prive pas de Kleiber 74 en DVD (Jones / Fassbaender / Popp) pour une question de son. Tous les autres Rosenkavalier sont à remballer à côté de ce miracle.

Kleiber 79 pour être exact.

Bart a écrit:

Bart a écrit:

Wagner, Siegfried (Acte III), Sawallisch
         

J'ai souvent lu des avis mitigés voire négatifs sur le Siegfried de Kollo, mais je trouve ça quand même pas mal du tout ! Ok la voix n'est pas super jolie mais il est assez crédible en neuneu brutal et ingrat puis en puceau paniqué, ça fonctionne mieux que chez Janowski (magie du live?) où il était un peu distant. En tout cas dans le genre fruste ça vaut bien Manfred Jung ou Lance Ryan (et c'est nettement mieux, je trouve). J'attendrai d'avoir pu écouter ce Ring en entier pour me faire un avis plus construit.

Mieux que Jung, je suis d'accord, mieux que Ryan, ça dépend en quelle année: dans le Ring de Valence avec Mehta, Ryan est quand même assez chouette.

Kollo je le trouve un peu plus soigné chez Janowski quelques années plus tôt.

Rautavaara : Sonate pour piano n°2    1970 / Mikkola

lucien a écrit:

Cololi a écrit:

tu te félicites d’être arrivé au bout ?

Cololi, tu sais bien que les oreilles de Lucien sont hermétiques à tout ce qui a été composé avant 1970 !!

**

Ivan Fedele (1953–), La pierre et l’étang (...les temps...) pour percussionniste, quatuor à cordes, orchestre et électronique (2010–11).  Daniel Ciampolini, Quatuor Renoir / OPRF (Ernest Martínez Izquierdo)
Magnus Lindberg (1958–), Kraft pour clarinette, deux percussionnistes, piano, violoncelle, orchestre et électronique (1983–85).  Nicolas Baldevrou, Daniel Ciampolini, Francis Petit, Magnus Lindberg, Nadine Petit / OPRF (Ernest Martínez Izquierdo)

calbo a écrit:

Je sais qu'il existe mais je ne l'ai pas écouté. Je compte sur toi pour nous dire ce que tu en penses

Fonce alors. C'est très court en plus.
Et beaucoup en ont parlé dans le fil Pierné (dont Ravphael, je crois).

Richard Wagner - Ouverture de Rienzi - RCO/Mariss Jansons

Widor: Trio avec piano, op. 19 / Prunyi & membres du New Budapest SQ

Premier mouvement simple mais solide et direct, suivi d'un très bel andante : le piano déploie par ses mouvements perpétuels un climat rêveur, et violon et violoncelle chantent leur nostalgie, tantôt emprunte de tendresse, tantôt de détresse. Puis les rôles s'échangent jusqu'à la fin.
Le scherzo est pris d'une bougeotte infatigable, tandis que le trio laisse place à la tristesse, (presque) chassée par le retour de la première partie.
Le final, quant à lui, résume à peu près tous les caractères développés précédemment.

Une belle oeuvre !

Evgeny Golubev : Symphonie No. 7 "Héroïque" Op. 67 (1972)/Gennady Provatorov
Weli Mukhatov : Symphonie No. 1 (1974)/Vassily Sinaisky

Richard Wagner-Das Rheingold

Großes Symphonie Orchester & Chor der Wiener Volksoper & Hans Swarowsky
Nadezda Kniplova & Ruth Hesse & Ditha Sommer & Bella Jasper & Angelika Berger & Erika Schubert & Heidemaria Ferch & Liselotte Becker-Egner
Rolf Polke & Rudolf Knoll & Fritz Uhl & Rolf Kühne & Gerald McKee

1ère écoute. Les voix sont effectivement "en avant" (cf.le fil sur ce Ring); mais, c'est bien.

Paul Ladmirault: poèmes symphoniques. Orchestre de Bretagne, Stefan Sanderling.

Haydn - Symphonie n°82 - NYP_Berstein

Dav' le brave a écrit:

lucien a écrit:

CPEBach (1714–1788), quelques sonates pour violon et pianoforte.  Beyer/Stern

lucien a écrit:

WFBach (1710–1784), sonates, fantaisies, etc. pour clavecin / clavicorde.  Maude Gratton

C'est Noël avant l'heure, tu n'as pas résisté à déballer tes cadeaux ?

Lucien écoute de la musique !

Opéra sur grand écran

Wagner : Lohengrin

Spoiler:

Louis Aubert: Offrande, pour orchestre; Cinéma - six images symphoniques; Dryade; Feuille d'images - cinq pièces enfantnes pour orchestr; Le Tombeau de Chateaubriand, poème symphonique. Orch. Phil de Rhénanie-Palatinat, Leif Segerstam. Naxos Patrimoine.

Haydn - Symphonie n°83 - NYP_Berstein

Messiaen: - Le Tombeau resplendissant / Orchestre de l'Opéra-Bastille, dir. Chung
- Apparition de l'Eglise éternelle / Latry
- Hymne au Saint-Sacrement / OPRF, dir. Chung

Pascal Dusapin (1955–),

  Quad pour violon et ensemble (1996).  Hae-Sun Kang / EIC (Peter Rundel)
  Uncut, solo nº7 pour orchestre (2009).  OPRF (Myun Whun Chung)

Poasadas : Del reflejo de la sombra    2010 / Billard, Quatuor Diotima

Jof a écrit:

calbo a écrit:

Je sais qu'il existe mais je ne l'ai pas écouté. Je compte sur toi pour nous dire ce que tu en penses

Fonce alors. C'est très court en plus.
Et beaucoup en ont parlé dans le fil Pierné (dont Ravphael, je crois).

S'il me repasse sous la patte je ne le laisserai pas passer

Samuel Barber (1910-1981) :

Vanessa, opéra en quatre actes

Vanessa : Eleanor Steber
Erika : Rosalind Elias
La vieille baronne : Regina Resnik
Anatol : Nicolai Gedda (décidément, il est partout)
Le vieux docteur : Giorgio Tozzi
Nicholas : George Cehanovsky
Un valet : Robert Nagy

Dimitri Mitropoulos, Choeurs et Orchestre du Metropolitan Opera de New York

(RCA, février-avril 1958)

Découverte de cet opéra. Pour l'instant j'aime bien les deux premiers actes.

Mozart:Les Noces de Figaro (Kleiber)

J'aime décidement cette version.

Puccini: Tosca. Avec Tebaldi, Del Monaco, London. Molinari-Pradelli, Decca. C'est moi, ou bien la tessiture de Recondita armonia est un peu tendue pour Del Monaco ? Sa voix est ici plus claire qu'à l'accoutumée.

André a écrit:

Puccini: Tosca. Avec Tebaldi, Del Monaco, London. Molinari-Pradelli, Decca. C'est moi, ou bien la tessiture de Recondita armonia est un peu tendue pour Del Monaco ? Sa voix est ici plus claire qu'à l'accoutumée.

Beh Del Monaco, son emploi idéal ... c'est pas Rodolfo. Alors certes il est solaire pour un ténor qui a autant de grave, et une voix aussi large ... mais pour moi ce n'est pas un ténor lyrique. C'est vraiment un ténor dramatique.

C'est pas Rodolfo, mais Cavaradossi, un rôle quand même assez charpenté. J'en suis au milieu de l'Acte I (avec la Tosca vocalement idéale de Tebaldi), et sa voix se corse dans le duo. Il va sans doute exploser dans les deux derniers actes.

André a écrit:

C'est pas Rodolfo, mais Cavaradossi, un rôle quand même assez charpenté. J'en suis au milieu de l'Acte I (avec la Tosca vocalement idéale de Tebaldi), et sa voix se corse dans le duo. Il va sans doute exploser dans les deux derniers actes.

Arf désolé, j'ai lu trop vite
Oui c'est plus charpenté c'est sûr. Mais perso je préfère un ténor lyrique là dedans. (mais il doit être complètement à sa place dans le Puccini tardif : Dick Johnson et Calaf).

Mélomaniac a écrit:

Samuel Barber (1910-1981) :

Vanessa, opéra en quatre actes

Découverte de cet opéra. Pour l'instant j'aime bien les deux premiers actes.

C'est tout ? C'est vrai que si tu ne lis pas le livret, ce ne doit pas être très émouvant… Fais-le, c'est vraiment du théâtre musical celui-là.

André a écrit:

Puccini: Tosca. Avec Tebaldi, Del Monaco, London. Molinari-Pradelli, Decca. C'est moi, ou bien la tessiture de Recondita armonia est un peu tendue pour Del Monaco ? Sa voix est ici plus claire qu'à l'accoutumée.

Oui, c'est vrai qu'il sonne différemment à cet endroit (pareil pour La dolcissima effigie dans Lecouvreur). Mais quel enregistrement !

Allain Gaussin (1943–),

  Chakra pour quatuor à cordes (1984)
  Le vent se lève pour flute, clarinette, harpe et quatuor à cordes (2013)

        Sophie Deshayes, flute
        Jean-Marc Fessard, clarinette
        Christophe Saunière, harpe
        Lyonel Schmit et Alexandra Greffin Klein, violons
        Gilles Deliège, alto
        Ingrid Schoenlaub, violoncelle

JS Bach (1685-1750)

BWV 228 Fürchte dich nicht
BWV 229 Komm, Jesu, komm
BWV 230 Lobet den Herrn, alle Heiden

René Jacobs
Suzuki


Dans le foisonnement des oeuvres de JS Bach: les motets sont des pépites si bien cachées (6 BWV - plus quelques un perdus et certains apocryphes - sur un bon millier où la Saint Matthieu pour exemple compte pour un), que ces peu nombreuses oeuvres de circonstance suscitent quant à moi des interrogations multiples (sur ce qu'elles sont, sur ce que l'on en comprend, sur ce l'on en met en avant, sur ce que Bach en aurait reconnu, et sur ce que j'en aime).
Sont-elles des prototypes: rien ne peut le laisser comprendre dans une vision chronologique;
l'affirmation d'une "pureté" a capella? Mais alors quel est le poids de notre regard (sur ces oeuvres marginales de Bach (dans la mesure où rien ne dit qu'il leur ait donné un enjeu spécifique) et sur la pureté)?
Une réponse matérielle à des commandes à effectif réduit?

Enfin pour moi? Les marges n'ont rien pour me déplaire, ni les oeuvres mineures, ni Bach, ni (si j'ai pu heurter) l'expression d'une foi que je ne partage pas. Suis-je touché? parfois; le plus souvent moins que je ne l'aimerais.

Haydn: Trios avec piano n^os 24 à 27 / Beaux Arts Trio

Hallucinant comme le violoncelle sert à rien.
C'est joli, mais pendant une heure, voilà.

xoph a écrit:

JS Bach (1685-1750)

BWV 228 Fürchte dich nicht
BWV 229 Komm, Jesu, komm
BWV 230 Lobet den Herrn, alle Heiden

René Jacobs
Suzuki

 
l'affirmation d'une "pureté" a capella? Mais alors quel est le poids de notre regard (sur ces oeuvres marginales de Bach (dans la mesure où rien ne dit qu'il leur ait donné un enjeu spécifique) et sur la pureté)?

Pureté a capella, pour moi il y a de cela. Jeu sur le chant en allemand (dont je ne suis pas locuteur) différent des arias et chœurs de cantates. Souvent des œuvres funèbres, les motets de Bach semblent débarrassés des contingences matérielles, comme leurs destinataires. Il ne reste plus que l'expression du chœur, qui se fait le porte-voix de l'humanité, qui perdure (je pense aux sentiments que me font surtout Komm, Jesu Komm, Singet dem Herrn ein neues lied, O Jesu Christ meins lebens licht).

Giuseppe Verdi (1813-1901) :

Le Trouvère, opéra en quatre actes

Leonora : Leontyne Price
Comte de Luna : Piero Cappuccilli
Azucena : Elena Obraztsova
Manrico : Franco Bonisolli
Ferrando : Ruggero Raimondi
Ines : Maria Venuti
Ruiz, Messager : Horst Nitsche
Vieux gitan : Martin Egel

Herbert von Karajan, Choeurs du Deutschen Oper et Orchestre philharmonique de Berlin

(Emi, septembre 1977)

Découverte de cet opéra.
Enfin presque, puisque je l'avais déjà regardé en DVD avec Pavarotti il y a deux ans, piètre spectacle d'ailleurs.

Dav' le brave a écrit:

xoph a écrit:

JS Bach (1685-1750)

BWV 228 Fürchte dich nicht
BWV 229 Komm, Jesu, komm
BWV 230 Lobet den Herrn, alle Heiden

René Jacobs
Suzuki

 
l'affirmation d'une "pureté" a capella? Mais alors quel est le poids de notre regard (sur ces oeuvres marginales de Bach (dans la mesure où rien ne dit qu'il leur ait donné un enjeu spécifique) et sur la pureté)?

Pureté a capella, pour moi il y a de cela. Jeu sur le chant en allemand (dont je ne suis pas locuteur) différent des arias et chœurs de cantates. Souvent des œuvres funèbres, les motets de Bach semblent débarrassés des contingences matérielles, comme leurs destinataires. Il ne reste plus que l'expression du chœur, qui se fait le porte-voix de l'humanité, qui perdure (je pense aux sentiments que me font surtout Komm, Jesu Komm, Singet dem Herrn ein neues lied, O Jesu Christ meins lebens licht).

Oui bien sûr, mais au risque d'y perdre la tension (qui peut aussi avoir à faire avec le sacré) (et l'humanité ).

Fais-tu référence à une tension instrumentale qui leur fait défaut et te manque ?

Emmanuel Nunes (1941–2012),

  Einspielung I pour violon et électronique (1979/2011).  Diego Tosi / José Miguel Fernandez
  Wandlungen, cinq passacailles pour ensemble et électronique (1986/92).  Ensemble Remix (Emilio Pomarico) / José Miguel Fernandez

Mahler: Symphonie n° 5 / CSO, dir. Solti

Chopin_Concerto no. 1

Fumiko Shiraga, piano

The Yggdrasil Quartet
Henrik Peterson,violin
Perl; Öman. violin ;
RobertWestlund, viola
Per Nyström, cello

Jan-lnge Haukås, double bass

Mouvement lent renversant.


Shostakovich_Symphonie no. 10
Royal Concertgebouw Orchestra & Mariss Jansons

3. Allegretto
4. Andante - allegro

Final irrésistible.

Jean-Louis FLORENTZ

Les jardins d'Amenta

Orchestre national de Lyon ; Emmanuel Krivine, dir.

=> Au commencement de la musique, j'étais dubitatif. A mi-course, je me suis peu à peu laissé prendre par la musique. Vers la fin, j'étais ensorcelé.

Jof a écrit:

Mahler: Symphonie n° 5 / CSO, dir. Solti

Quel enregistrement ? Les deux sont magnifiques de toute façon.

Christmas with Leontyne Price: Herbie Karajan et les WP, sur Decca.

Chanté en anglais pour un public germanophone. La Price ar-ti-cu-le de façon très scolaire, sans doute pour répondre aux exigences de John Culshaw, le producteur. Dommage, s'il était une chanteuse totalement instinctive et intuitive, c'était bien elle.