Playlist (97)

Varèse : Ionisation pour 13 percussionnistes et 37 instruments    1931 / Boulez

Scriabine : Sonate pour piano n°5    1907 / Horowitz
 +

Beethoven. Sonates pour piano n°14, 21, 26, 31. Freire. 2006. Decca
Beethoven. Sonate pour piano n°23. Pollini ***, Brendel II **, Perahia ***, Gulda II ****
Sibelius. Symphonie n°2, 3 et 5, 6 et 7. Royal Philharmonic Stockholm, Ehrling. 1954. Capitol Records
Beethoven. Symphonie n°10, 1er mouvement reconstitué. OS Londres, Morris. 1987, Carlton Classics

Debussy : Sonate pour violoncelle et piano    1915 / Maisky, Argerich

Georgy Dorokhov (1984–2013), rondo (2010)

Sergey Bondarkov, Anastasiya Vlasik, Dmitriy Vlasik, Dmitriy Golovkin, Sasha Elina, Alexey Zaitsev, Olga Zaitseva, Dmitriy Karelin, Roman Kutnov, Dmitriy Ovchinnikov, Ilya Rubinshtein, Konstantin Sukhan, Daria Strelkova, Alexey Sysoev, Ekaterina Shilonosova, Kirill Shirokov

Ludwig van Beethoven - Symphonie n°6 - RCO_Wolgang Sawallisch (1991)
Jean Sibelius - Symphonie n°4 - RCO_Paavo Berglund (1991)
Franz Schubert - Symphonie n°5 - RCO_Leonard Bernstein (1987)

Franz Schubert - Symphonie n°9 - RCO_John Eliot Gardiner (1996)

Schubert

Cinquième et huitième Symphonies

Arrangements pour grandes orgues par Ernst Erik Stender
aux grandes orgues de Sainte-Marie de Lübeck

Ornament

Benedictus a écrit:

Boutsko: Les Nuits blanches, tableaux I et II
Galina Pisarenko, Anatoly Michtchevsky, Guennadi Rojdestvenski / Orchestre Symphonique de la Radio et de la Télévision de l’URSS
Melodiya, 1973
J’en suis à la moitié. Et comme le dit Vino: ça scotche. (Même si c’est d’une écriture plus traditionnelle que ce que j’imaginais.) J’en reparlerai dans un fil approprié quand j’aurais fini de l’écouter.

Tichtchenko: Quatuor à cordes nº4, op. 77
Quatuor Glazounov
Olympia, 1995
Vraiment magnifique. Comme souvent avec Tichtchenko, ça ressemble beaucoup à du Chostakovitch - mais avec des timbres plus clairs et plus lumineux, une veine harmonique plus généreuse, et une écriture plus délié. (Même si là aussi, le langage est bien moins avant-gardiste que ce que j’imaginais.) Mais ça aussi, j’en reparlerai ce week-end dans le fil approprié.

Brahms:Concerto pour violon (Mutter/Karajan)

Le premier mouvement de ce concerto est remarquable.

Plus globalement, le haut niveau de qualité de la production concertante de Brahms est vraiment à souligner.

Pour le piano je suis d'accord; pour le violon et le double, je ne suis pas convaincu...

Le concerto pour violon se situe tout de même dans la très haute moyenne des concertos pour violon non? (avec ceux de Beethoven, Berg, Szymanowski et Schoenberg entre autres)
Quant au double concerto je l'ai entendu une ou deux fois, sans être un chef d'oeuvre c'est tout de même une belle pièce.

Oui c'est de la musique de qualité... c'est juste mon ressenti personnel, je ne suis pas pris par ces oeuvres.

Pour ce qui est de la moyenne des concertos pour violon, si tu prends tout ce qui existe, même le médiocre, oui c'est sûr que c'est dans le haut du panier.
Mais personnellement je préfère Mozart, Szymanowski, Berg, Chostakovitch, Prokofiev et Dutilleux.

Oui, j'oubliais le merveilleux Arbre des Songes de Dutilleux.

Ce qui me frappe dans les concertos de Brahms, c'est la dimension éminemment substantielle de la musique qui depasse le simple statut de "faire-valoir pour soliste en mal de prurit digital" que l'on associe souvent au genre.

Ludwig van Beethoven - Symphonie n°2 - BP_Karajan (1962)

Hans Werner Henze (1926–2012), Requiem, neuf concerts spirituels pour piano seul, trompette concertante et orchestre de chambre (1991–93)

        Ueli Wiget, piano
        Håkon Hardenberger, trompette
        Ensemble Modern
        Ingo Metzmacher, direction

Murail : Le désenchantement du monde pour piano et orchestre    2012 / Aimard, Valade

Dufourt : Passage du styx d'après Patinir pour grand orchestre    2015 / Valade

Florent Schmitt (1870-1958) :

Psaume XLVII Op. 38

= Andréa Guiot, soprano ; Gaston Litaize, orgue

Jean Martinon, Choeurs et Orchestre national de l'ORTF

(Emi, octobre 1972)

Tristan Murail, Le désenchantement du monde, concerto symphonique pour piano et orchestre (2011–12).  Aimard / OPRF (Valade)
Hugues Dufourt, Le Passage du Styx d’après Patinir pour grand orchestre (2014).  OPRF (Valade)

lucien a écrit:

Tristan Murail, Le désenchantement du monde, concerto symphonique pour piano et orchestre (2012).  Aimard / OPRF (Valade)
Hugues Dufourt, Le Passage du Styx d’après Patinir pour grand orchestre (2015).  OPRF (Valade)

Pas la peine de montrer que tu soignes mieux ta présentation que moi, non mais oh.

Tchaikovsky

Cinquième Symphonie

Arrangée pour grandes orgues par Ernst-Erich Stender
aux grandes orgues de Sainte-Marie de Lübeck

Ornament

Emeryck a écrit:

Murail : Le désenchantement du monde pour piano et orchestre    2012 / Aimard, Valade

Dufourt : Passage du styx d'après Patinir pour grand orchestre    2015 / Valade

lucien a écrit:

Tristan Murail, Le désenchantement du monde, concerto symphonique pour piano et orchestre (2011–12).  Aimard / OPRF (Valade)
Hugues Dufourt, Le Passage du Styx d’après Patinir pour grand orchestre (2014).  OPRF (Valade)

Ça fait méchamment envie...

Karol Szymanowski (1882-1937) :

Le Roi Roger, opéra en trois actes Op. 46

Roi : Thomas Hampson
Roxana : Elzbieta Szmytka
Edrisi : Philip Langridge
Berger : Ryszard Minkiewicz
Archevêque : Robert Gierlach
Diaconesse : Jadwiga Rappé
Voix : Lisa Milne, Andrew Burden

Simon Rattle, Choeurs et Orchestre symphonique de Birmingham

(Emi, juillet 1998)

 Je vais réentendre ce soir cet opéra découvert en novembre et qui m'avait ravi.
Déjà le choeur introductif, ça m'enchante...

Benedictus a écrit:

Emeryck a écrit:

Murail : Le désenchantement du monde pour piano et orchestre    2012 / Aimard, Valade

Dufourt : Passage du styx d'après Patinir pour grand orchestre    2015 / Valade

lucien a écrit:

Tristan Murail, Le désenchantement du monde, concerto symphonique pour piano et orchestre (2011–12).  Aimard / OPRF (Valade)
Hugues Dufourt, Le Passage du Styx d’après Patinir pour grand orchestre (2014).  OPRF (Valade)

Ça fait méchamment envie...

C'était extraordinaire !! C'est la première oeuvre de Dufourt de j'ai écoutée, j'ai adoré, de très belles textures orchestrales ! 

Emeryck a écrit:

C'était extraordinaire !! C'est la première oeuvre de Dufourt de j'ai écoutée, j'ai adoré, de très belles textures orchestrales ! 

Ah oui, tu n'avais encore jamais rien écouté de Dufourt? De fait, pour ce qui est des textures orchestrales, c'est toujours extraordinaire.

Bon, ben maintenant, il ne te reste plus qu'à écouter Antiphysis, Saturne, Les Hivers, Surgir, Le Cyprès blanc, L'Afrique et L'Asie d'après Tiepolo, La Maison du sourd, Lucifer d'après Pollock - et éventuellement Hommage à Charles Nègre, L'Origine du monde et L'Espace aux ombres, pour plus petits ensembles.

En tous cas, ça me fait plaisir que tu aies aimé.

Benedictus a écrit:

Emeryck a écrit:

C'était extraordinaire !! C'est la première oeuvre de Dufourt de j'ai écoutée, j'ai adoré, de très belles textures orchestrales ! 

Ah oui, tu n'avais encore jamais rien écouté de Dufourt? De fait, pour ce qui est des textures orchestrales, c'est toujours extraordinaire.

Bon, ben maintenant, il ne te reste plus qu'à écouter Antiphysis, Saturne, Les Hivers, Surgir, Le Cyprès blanc, L'Afrique et L'Asie d'après Tiepolo, La Maison du sourd, Lucifer d'après Pollock - et éventuellement Hommage à Charles Nègre, L'Origine du monde et L'Espace aux ombres, pour plus petits ensembles.

En tous cas, ça me fait plaisir que tu aies aimé.

Lucien m'a déjà conseillé un peu.

Emeryck a écrit:

lucien a écrit:

Tristan Murail, Le désenchantement du monde, concerto symphonique pour piano et orchestre (2012).  Aimard / OPRF (Valade)
Hugues Dufourt, Le Passage du Styx d’après Patinir pour grand orchestre (2015).  OPRF (Valade)

Pas la peine de montrer que tu soignes mieux ta présentation que moi, non mais oh.

Il s'inspire avant tout de son grand maître !

Valentin Silvestrov : Symphonie No. 2 (1965)/Igor Blazhkov
Spectra (1965)/Igor Blazhkov
Symphonie No. 3 "Eschatophonie" (1966)/Bruno Maderna

PULSÉ.

Schoeck:Penthesilea
Venzago (Naef, J. Johnson) / Sinfonieorchester Basel



Très bon enregistrement qui permet d'entendre mieux l'orchestre et les choeurs que dans la version Albrecht. C'est en 2 CD parce que des passages parlés ont été réintégrés et des tirades amplifiées (une cinquantaine de vers), confiés à une actrice de théâtre parlé. Les tempi sont plus lents que dans le live salzbourgeois, tout cela fait 15 minutes de plus.
Naef offre une Penthesilée moins surhumaine que Dernesch et dont les limites dans le cri et le chant sont perceptibles. On y gagne dans les passages plus lyriques.
James Johnson est un peu à la peine, comme Adam - le rôle est frustre et peu payant, il y a un passage (CD 2, piste 1) où il faut chanter à toute vitesse (des vers de Kleist) par-dessus les choeurs s'approchant et le tutti orchestral. L'intérêt de Kleist et de Schoeck ne s'est clairement pas concentré sur le grand myrmidon.

L'oeuvre est vraiment renversante, peut-être moins elektrique ici que dans le tourbillon de la version Albrecht, le confort du studio et les choix de tempi la rendent plus longue mais en révèlent d'autres beautés.

Je n'ai pas (encore) essayé la version avec Martha Mödl, mais ça a des chances de laisser Dernesch loin derrière dans la fureur délirante.

Brahms:Quintette avec clarinette (issu du coffret Philips)

J'avais écouté distraitement cette oeuvre il y a des années...

Je viens de le remettre et là...

Quel chef d'oeuvre!!!

ovni231 a écrit:

Il s'inspire avant tout de son grand maître !

EXACTEMENT.

Valentyn Sylvestrov (1937–),

  Symphonie nº2 (1965).  Blazhkov
  Spectres, symphonie pour orchestre de chambre (1965).  Blazhkov
  Symphonie nº3 “Eschatophonie” (1966).  Maderna
  Méditation pour violoncelle et orchestre de chambre (1972).  Potapov/Blazhkov
  Cantate pour soprano et orchestre de chambre (1973).  Lee/Blazhkov

Jof a écrit:

...
Scarlatti: quelques Sonates / Quéffélec...
 tout ça.

Le dernier (ou second si je ne me trompe) Quéffélec? ton avis et tout ça ? (pas encore écouté)

Emeryck a écrit:

Lucien m'a déjà conseillé un peu.

oui, j’ai dit : toutes les œuvres pour orchestre ou grand ensemble.

Du coup :

Dufourt : Lucifer d'après Pollock pour orchestre    2000 / Valade

Ces temps ci

Othmar Schoeck (1886-1957)

Nachhall, Op.70 (1954 / 1955)
American Symphony Orchestra, John Hancock, Othmar Schoeck, Leon Botstein

Unter Sternen
Dietrich Fischer-Dieskau, Harmut Holl


j'ai quand même un petit problème avec les dates mais c'est ma nature psychorigide (relative)


http://www.editionspapillon.ch/index.php/melophiles/xxe-siecle-i-z/othmar-schoeck
"Actuellement, la pluralité stylistique du XXe siècle étant admise, des jugements plus nuancés permettent de reconnaître tant l’intérêt de l’œuvre de Schoeck que sa part de relative modernité, ce que fait l’auteur du livre en nous livrant un portrait très intéréssant de ce chapitre important de la vie musicale helvétique." / Laurent Méttraux, Schweizer Musikzeitung, n° 9, septembre 2013 / Site du Schweizermusikzeitung

xoph a écrit:

Le dernier (ou second si je ne me trompe) Quéffélec? ton avis et tout ça ? (pas encore écouté)

Non, ça :


Bah très chouette, interprétation au piano comme on peut les vouloir : vive, nuancée et pas trop romantisante.
__________

Messiaen: Les Corps Glorieux / Latry

Quand même, ces monodies et chorals statiques, ça frôle le soporifique.

Dimitri Chostakovitch (1906-1975) :

Symphonie n°7 en ut majeur Op. 60

= Yuri Temirkanov, Orchestre philharmonique de Saint Pétersbourg

(RCA, janvier 1995)

Chopin : Fantaisie op. 49    1841 / François

Emeryck a écrit:

Du coup :
Dufourt : Lucifer d'après Pollock pour orchestre    2000 / Valade

xoph a écrit:

Othmar Schoeck (1886-1957)
Unter Sternen
Dietrich Fischer-Dieskau, Harmut Holl

j'ai quand même un petit problème avec les dates mais c'est ma nature psychorigide (relative)

Il ne faut pas: la preuve, au jeu des compositeurs, je répartis toujours mes points entre lui et Manoury.

Jof a écrit:

Non, ça :

Spoiler:

Bah très chouette, interprétation au piano comme on peut les vouloir : vive, nuancée et pas trop romantisante.

Tu as essayé Zacharias?

Pour ma part, je suis toujours dans les soviéteries:

Prokofiev: Symphonie nº7
Walter Weller / London Symphony Orchestra
Decca, 1974
J’ai plutôt mieux aimé que les trois précédentes, mais enfin, ce n’est vraiment pas un corpus qui me parle beaucoup. Dans cette 7e, pas mal de moments ou d’idées qui sur le coup me font tendre l’oreille, mais très vite, l’attention retombe et j’ai l’impression que ça se perd dans un discours globalement un peu filandreux...

Boutsko: Les Nuits blanches, tableaux 3 et 4
Galina Pisarenko, Anatoly Michtchevsky, Guennadi Rojdestvenski / Orchestre Symphonique de la Radio et de la Télévision de l’URSS
Melodiya, 1973
Vraiment captivant. L’attention ne faiblit jamais, j’aime beaucoup les couleurs un peu sales et l’espèce de fébrilité de l’orchestre; et surtout le travail sur la prosodie est tout à fait remarquable.

Tichtchenko: Sonate pour piano nº9
Vladimir Polyakov
Compozitor Sankt Petersburg, s.d.
Une très, très belle œuvre. L’écriture a une manière de partir d’énoncé très simples et presque évidents pour les complexifier de manière très subtile sans sacrifier le flux rythmique ni les couleurs pianistiques très particulière.

Mossolov: Quatuor à cordes nº1
Roslavets: Quatuors à cordes nº1 et nº3
Quatuor “Filarmonica” de Novosibirsk
Arte Nova, 1996
Comme pour les œuvres pour piano que j’ai découvertes dernièrement, je suis beaucoup plus sensible à Mossolov, pour le sens de la «grande forme», la vigueur de l’écriture rythmique et la sombre densité de l’harmonie. Le côté moins abrupt et plus coloré de Roslavets me séduit sensiblement moins, malgré (ou à cause de?) ses harmonie plus sinueuses voire fuyantes.

Benedictus a écrit:

xoph a écrit:

Othmar Schoeck (1886-1957)

j'ai quand même un petit problème avec les dates mais c'est ma nature psychorigide (relative)

Il ne faut pas: la preuve, au jeu des compositeurs, je répartis toujours mes points entre lui et Manoury.

on en a bien vu l'effet catastrophique

Iancu Dumitrescu (1944–), Élan and Permanence, concerto pour guitare électrique (201?).  Stephen O’Malley / BBC Scottish SO (Ilan Volkov)

ça fait longtemps que je me dis que je dois écouter ce compositeur... encore un fou !

Boulez : Sonate pour piano n°2    1948 / Loriod

Guillaume a écrit:

Schoeck:Penthesilea
Venzago (Naef, J. Johnson) / Sinfonieorchester Basel



Très bon enregistrement qui permet d'entendre mieux l'orchestre et les choeurs que dans la version Albrecht. C'est en 2 CD parce que des passages parlés ont été réintégrés et des tirades amplifiées (une cinquantaine de vers), confiés à une actrice de théâtre parlé. Les tempi sont plus lents que dans le live salzbourgeois, tout cela fait 15 minutes de plus.

Oui mais d'un autre côté j'avais repéré des coupures par rapport à Albrecht. (enfin je crois... ça m'avait surpris parce qu'effectivement c'est pourtant plus long)

Pavel Karmanov (1970–),

  Music for fireworks pour ensemble (1996).  Pocket Symphony (Nazar Kozhukhar)
  ...ARIAtions pour ensemble (1996).  Pocket Symphony (Nazar Kozhukhar)
  different ...rains pour flute, piano et bande (1997).  Olga Ivousheikova / Alexei Lubimov
  GreenDNK pour orchestre à cordes (2000).  OPUS POSTH (Tatiana Grindenko)
  meine seele pour voix, cordes, percussions et claviers (2001).  Olga Baygulova / OPUS POSTH (Grindenko)
  11’09’’ pour orchestre de chambre (2002).  Pocket Symphony (Nazar Kozhukhar)
  schlaf, mein herz, schlaf ein pour solistes, chœurs et orchestre (2000).  SIRIN Ensemble, KREMLIN Choir, ASM Ensemble, M.Pekarski project



post-minimaliste et néo/pseudo-baroque, sympathique sur certaines œuvres et franchement kitsch sur d’autres.

Mahler

Neuvième Symphonie

Horenstein et l'orchestre de Vienne

Turnabout 1969

Debussy: Le Martyre de Saint Sébastien/Rattle

Benedictus a écrit:

Prokofiev: Symphonie nº7
Walter Weller / London Symphony Orchestra
Decca, 1974
J’ai plutôt mieux aimé que les trois précédentes, mais enfin, ce n’est vraiment pas un corpus qui me parle beaucoup. Dans cette 7e, pas mal de moments ou d’idées qui sur le coup me font tendre l’oreille, mais très vite, l’attention retombe et j’ai l’impression que ça se perd dans un discours globalement un peu filandreux...

Et voilà, d'une belle oeuvre, véritablement belle, tu ne retires qu'un simple goût de poisson pané, alors que par ailleurs tu te roules comme un veau dans un champ de fleurs dans les conseils des petits jeunôts soviétophiles du forum.

Vyacheslav Guyvoronsky (1947–), Concerto pour alto et ensemble.  Moscow Contemporary Music Ensemble



ma parole, encore un néo !

Anthony a écrit:

Et voilà, d'une belle oeuvre, véritablement belle, tu ne retires qu'un simple goût de poisson pané, alors que par ailleurs tu te roules comme un veau dans un champ de fleurs dans les conseils des petits jeunôts soviétophiles du forum.

maintenant que tu t’appelles Anthony, évite de dire trop de bêtises.