Playlist (100)

Mélomaniac a écrit:

Connais pas cet orgue italien.
Pour l'idiome de Guilmant, a priori ça ne m'inspire pas une confiance absolue.

Vegezzi-Bossi est le meilleur facteur italien pour les orgues romantiques. Il est en quelque sorte le Pierre Schyven italien, ayant pour modèle
Cavaillé-Coll. Cet orgue fut d'ailleurs construit 2 ans avant la mort de l'illustre facteur français.

Bref cet orgue sonne avec qualité pour ce répertoire, tu ne le regretterais pas. Seul petit bémol pour moi, est l'absence de Contre-Bombarde
32' dans cet instrument.

OK, je pense me laisser tenter, mais je crois que l'intégrale chez MDG restera le must...

Mélomaniac a écrit:

Connais pas cet orgue italien.
Pour l'idiome de Guilmant, a priori ça ne m'inspire pas une confiance absolue.

La discographie de Guilmant n'étant pas très large, je veux bien m'y essayer, d'autant plus si Plenum dit que c'est bien.

Oui satisfaction garanti. Tout est bon, la qualité de l'orgue, l'interprétation et la prise de son très équilibrée.

Mais comme je l'ai dit et que Mélo le dit à son tour, la version van Oosten sur MD+G reste le must absolue, mais Falcioni suit
immédiatement après. En fait je le classe comme la deuxième meilleure intégrale, avant même celle réalisé conjointement
pour le label Motette par les organistes Chaisemartin, Roth, Morrisset-Balier, Schmitt.

Umberto Giordano (1867-1948) :

Andrea Chénier, opéra en quatre actes

Andrea Chénier : Mario del Monaco
Carlo Gérard : Etore Bastianini
Maddalena di Coigny : Renata Tebaldi
La mulatta Bersi : Fiorenza Cossotto
La Contessa di Coigny : Maria Teresa Mandalari
Madelon : Amelia Guidi
Roucher : Silvio Maionica
Pietro Fléville : Dino Mantovani
Fouquier-Tinville : Vico Polotto
Il Sanculotto Mathieu : Fernando Corena
Un Incredibile : Mariano Caruso
L'Abate : Angelo Mercuriali
Schmidt & Dumas : Dario Caselli
Il Maestro di Casa : Michele Cazzato

Gianandrea Gavazzeni, Orchestre et Chœurs de l'Académie Sainte-Cécile de Rome

(Decca, juillet-août 1957)

C'est parti pour découvrir cet opéra.

Mozart: Messe en ut mineur, K 427 / Oelze, Larmore, Weir, Kooy, La Chapelle Royale, Collegium Vocale & Orchestre des Champs-Élysées, dir. Herreweghe

Superbe.


Guilmant: Sonates n^os 5 & 6 / Roth (Cavaillé-Coll de St-Sulpice, Paris)

Belles oeuvres, et très bien jouées de plus !

Emeryck a écrit:

Hortus Conclusus a écrit:

Benedictus a écrit:

Hortus Conclusus a écrit:

Tristan Murail , L'esprit des dunes
Pas mon truc

En effet, c'est typiquement le genre de choses qui, chez Murail, qui ne plaisent pas trop. Tente plutôt Le Lac.

Ok, j'essaierai.

Tu peux essayer Un Sogno aussi, je crois que c'est sur youtube. 

Merci, je programme ça pour bientôt!

Xenakis : Evryali pour piano seul     1973 / Helffer
+

WAGNER, Tristan et Isolde, actes I et II, Karajan studio
!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!

On va se calmer un peu :
SCHUMANN, Quintette avec piano, Casals, Serkin, Vegh, Zander, Zoldy (quatuor Vegh) (Prades 1956 INA Mémoire vive)
Quel engagement des interprètes !

Fausto Romitelli (1963–2004), Golfi d’ombra per un percussionista (1993)
Tristan Murail (1947–), Vampyr! pour guitare électrique (1984)
Mauro Montalbetti (1969–), La nostra rabbia, intatta per chitarra elettrica e percussioni (2014)
Giovanni Mancuso (1970–), George, Nick e il mistero del nastro distrutto per percussioni, chitarra elettrica e oggetti accessori (2014)
Fausto Romitelli, Trash TV Trance per chitarra elettrica (2002)
Hugues Dufourt (1943–), Plus Oultre pour percussion (1990)

        Flavio Virzì, guitare électrique
        Simone Beneventi, percussion

Berio : Quatuor à cordes n°1     1956 / Arditti Quartet

● Messiaen: Quatuor pour la fin du temps
Pascal Moraguès, Trio Wanderer
Harmonia Mundi, 2008
Je crois n'avoir jamais entendu des timbres instrumentaux aussi beaux, à la fois chaleureux et lumineux, dans cette œuvre. Je préfère finalement ça au son ingrat qu'on y entend souvent (que ce soit pour faire «tragique» ou pour faire «moderne»).

(Au fait, le Trio Wanderer dans le répertoire romantique, au disque, c'est bien aussi?)

Berio : Sincronie pour quatuor à cordes     1963-64 / Arditti Quartet
 +
Berio : Glosse pour quatuor à cordes     1997 / Arditti Quartet
 +
Berio : Notturno pour quatuor à cordes     1993 / Arditti Quartet
 +

Benedictus a écrit:

(Au fait, le Trio Wanderer dans le répertoire romantique, au disque, c'est bien aussi?)

En concert, c'est très bien, mais au disque, assez international et un peu mou. Je ne vois pas une seule œuvre où je les mettrais mieux qu'en dixième choix, à vrai dire…

DavidLeMarrec a écrit:

Benedictus a écrit:

(Au fait, le Trio Wanderer dans le répertoire romantique, au disque, c'est bien aussi?)

En concert, c'est très bien, mais au disque, assez international et un peu mou. Je ne vois pas une seule œuvre où je les mettrais mieux qu'en dixième choix, à vrai dire…

C'est un peu ce que je craignais. Surtout qu'autant de legato et de rondeur, dans le Quatuor de Messiaen, je suis vraiment preneur - mais dans Mendelssohn ou Brahms?

Giuseppe Verdi (1813-1901) :

Simon Boccanegra, opéra en trois actes

Leo Nucci : corsaire ; premier Doge
Kiri te Kanawa : sa fille Amélia
Paata Burchuladze : un noble Génois ; Andrea
Paolo Coni : fileur d'or ; courtisan favori
Carlo Colombara : homme du peuple ; courtisan
Giacomo Aragall : gentilhomme génois
Ernesto Gavazzi : capitaine des arbalétriers
Anna Zoroberto : servante d'Amélia

Georg Solti, Chœurs et Orchestre de la Scala de Milan

(Decca, décembre 1988)

Je viens de découvrir cet opéra, que j'ai bien aimé, même si j'ai l'impression que ce n'est pas le favori des amateurs d'opéra verdien.
Musique sombre et très sérieuse. Ca me rappelle un peu Otello.

Maida : Mutatis mutandis pour douze cordes amplifiées     2008 / Ensemble Resonanz

Maida : Psyché-cité pour instruments et électronique     2005-08 / Ensemble Orchestral Contemporain

Très lachenmannien avec beaucoup d'électronique.
Maida : ...who holds the strings... pour quatuor à cordes     2003 / Arditti Quartet

Maida : Doppelklaenger pour piano préparé amplifié     2008 / O'Donnell
 +

Robert Schumann (1810-1856) :

Bunte Blätter, Op. 99

= Finghin Collins, piano

(Claves, novembre 2008)

Hugo Alfven: Bergakungen (le Roi de la Montagne); ballet intégral. Orchestre de la Radio suédoise, Yevgeni Svetlanov. Sur Musica Sveciae. Un vrai petit trésor en 80 minutes. Plusieurs 'tounes' connues dans ces 27 plages.

Jof a écrit:

plenum a écrit:

Dispo via Spotify

Zut, ça m'intéressait bien.

Il vient tout juste d'être dispo chez Deezer: http://www.deezer.com/album/10091940

Le fil dédié aux pianistes m'a donné envie de réécouter ceci :

Fantasiestücke, Op. 12 / R. Schumann
Yves Nat
C'est tellement beau

Variations et fugue sur un thème Händel, Op. 24 / J. Brahms
Richard Farrell

Il Prigioniero / Luigi Dallapiccola
Orchestre et Chœurs de l'Opéra national de Paris, Lothar Zagrosek, Evgeny Nikitin, Rosalind Plowright ...
Jusque-là, je ne connaissais qu'une ancienne version en allemand.

Hugo Wolf (1860-1903) :

Mörike Lieder :

Der Genesene an die Hoffnung
Der Knabe und das Immlein
Jägerlied
Der Tambour
Er ist's
Begegnung
Nimmersatte Liebe
Fussreise
An eine Äolsharfe
Verborgenheit
Im Frühling
Auf einer Wanderung
Der Gärtner
Zitronenfalter im April
Um Mitternacht
Auf eine Christblume
Seufzer
Auf ein altes Bild
In der Frühe
Schlafendes Jesuskind

= Dietrich Fischer-Dieskau, baryton ; Daniel Barenboim, piano

(décembre 1972-juin 1973)

Berlioz: Symphonie fantastique op. 14 (Barenboim, Berliner)

Berlioz: Le carnaval romain op. 9 (Boulez, New-York)

Berlioz: Ouverture de Béatrice et Bénédict (Boulez, New-York)

Chostakovitch : Symphonie 10

J'ecoute exactement la même chose (version Karajan)
Et effectivement

Un des grands chefs d'oeuvre de Chostakovitch.

Mahler, Kindertotenlieder, Gielen/Kallisch


Mahler, Adagio de la 10e, Gielen


Webern, Passacaille, Gielen


Webern, Im Sommerwind, Gielen

Pousseur : Quintette à la mémoire de Webern pour clarinette, clarinette basse, violon, violoncelle et piano     1955 / Rosbaud

Xenakis : Ata pour 89 musiciens     1987 / Gielen
 
Boulez : Poésie pour pouvoir pour bande magnétique et trois orchestres     1958 / Rosbaud

kegue a écrit:

Chostakovitch : Symphonie 10

J'abonde dans ton sens. Elle est remarquable  ...

Hartmann : Symphonie n°2 pour grand orchestre     1950 / Rosbaud
 
Carter : Concerto pour hautbois     1988 / Holliger, Rosbaud

Boulez : Polyphonie X pour dix-huit instruments     1950-51 / Rosbaud
 +

Estrada : Canto Mnémico pour quatuor à cordes     1973-83 / Arditti Quartet

Estrada : Yuunohui'yei'nahui pour violoncelle et contrebasse     1983-85 / Arditti Quartet, Scodanibbio
+

● Cardew: The Great Learning: Paragraph 2 (January 1969), Paragraph 7 (April 1969)
Cornelius cardew / The Scratch Orchestra
DG, 1971
Assez épatant, en fait (il faudrait à mon avis réévaluer Cardew uniquement sur la base de ce qu’on entend, en faisant abstraction du discours, Stockhausen Serves Imperialism et autres joyeusetés d’époque). C’est une musique d’un impact vraiment très immédiat, qui fonctionne vraiment bien. Le Paragraph 2 (pas mal pulsé) fait penser à une sorte de Stimmung revu et corrigé par l’Art Ensemble of Chicago; avec le Paragraph 7 (complètement planant), on se situerait quelque part entre le Lux aeterna de Ligeti et The Rothko Chapel de Feldman.

Johann Ulrich Steigleder (1593-1635) :

Quarante Variations sur le choral Vater Unser

Stephan Van Dyck, ténor
William Dongois, cornet et flûte à bec
Stephan Legée, trombone
Bernard Fourtet, trombone et serpent

Martin Gester, orgue Lesselier de l'église Saint-Michel de Bolbec

(Tempéraments, septembre 2000)

Beethoven : Sonates pour piano 28 à 32 - Maurizio Pollini

Autant je reste sur ma faim quand je l'écoute dans les sonates antérieures, autant ce que Pollini fait sur les 5 dernières (et singulièrement dans l'opus 111) est magistral, ébouriffant, pour ne pas dire bouleversant. Ces oeuvres, qui ont révolutionné à jamais la littérature pianistique en s'affranchissant de l'écriture mozartienne, conviennent parfaitement au tempérament du musicien, à la technique intransigeante, qui arrive à nous rendre perceptible chaque détail de ces structures aussi complexes que s'il s'agissait de pièces orchestrales.
Du très grand art pour un des sommets de la musique. Un must !!!

plenum a écrit:

Il vient tout juste d'être dispo chez Deezer: http://www.deezer.com/album/10091940

Guilmant: - Sonate n° 7 / Verdin (Willis de Dundalk)
- Sonate n° 8 / Falcioni (Vegezzi-Bossi)

Je n'ai pas réussi à trouver d'infos sur l'orgue utilisé par Falcioni.

Antonín Dvořák (1841-1904) :

Symphonie n°9 en mi mineur Op. 95

= Rafael Kubelik, Orchestre philharmonique de Berlin

(DG, juin 1972)

La meilleure version de la discographie !

Je n'en crois rien, mais c'est un piège pour que David vienne nous vanter ses versions paupéristes.

Mélomaniac a écrit:

Antonín Dvořák (1841-1904) :

Symphonie n°9 en mi mineur Op. 95

= Rafael Kubelik, Orchestre philharmonique de Berlin

(DG, juin 1972)

[color=#000099]La meilleure version de la discographie !

Mais si, je confirme ! Juste après Ancerl 1962 et Talich 1950

Si j'étais DLM, j'aurais bien cité Landis, Pesek et Kowicks

Loriod, trop sec ? Que me chantes-tu là ???

Johann Gottfried Walther

Préludes et fugues
Toccata et fugue
Concerto d'après Vivaldi

Simone Stella, au superbe orgue Zanin de l'abbaye Saint-Antoire de Padoue, Italie.

On Classical feb. 2015


ENFIN!!! Une intégrale en 12 volumes de ce cousin de Bach, surtout connu pour ses concertos transcrits d'Italiens, mais maintenant
nous pouvons écouter toutes ses variations sur des chorals, ses préludes et fugues. De plus, cet organiste italien qui a entres autres
enregistrée l'intégrale de Reinken, Böhm, Handel, Buxtehude, etc, démontre une fois de plus sa totale qualité de musicien toujours
servi par ce si bel instrument du facteur italien Zanin, qui a bien compris le son Schnitger à reconstituer. Rien à voir à la manière de voir d'un Arhend.

A posséder dans sa cdthèque absolument, pour ceux qui aiment l'orgue baroque de l'Allemagne.

Dispo via Qobuz. Pour les non abonnés, voici une piste du concerto d'après celui de Vivaldi:https://soundcloud.com/simone-stella-1/johann-gottfried-walther-concerto-in-b-minor-del-signor-vivaldi

Mélomaniac a écrit:

Antonín Dvořák (1841-1904) :
Symphonie n°9 en mi mineur Op. 95
= Rafael Kubelik, Orchestre philharmonique de Berlin
La meilleure version de la discographie !

Je n'en crois rien, mais c'est un piège pour que David vienne nous vanter ses versions paupéristes.

Perdu, j'avais laissé passer ça avec un haussement de sourcil vaguement dédaigneux – sous-entendu « c'est Mélo, à quoi bon essayer ».

Mais effectivement, je suis persuadé qu'on retrouve beaucoup plus la musique dans les interprétations qui ont des limites techniques, parce que le surcroît de confort nuit souvent à l'intensité. Et puis, limites techniques, quand on parle par exemple d'orchestres germaniques pros, c'est quand même bien relatif…

--

Mais je fais moi aussi une soirée à thème :

Les symphonies-doudous de la nuit

[ici devrait figurer la jolie bannière, encadrant la jolie pochette]

=> Rott – Symphonie « n°1 » (la dernière, en fait) – Philharmonisches Orchester des Staatstheaters Mainz, Rückwardt (Acousence)
Grande version dans une grande prise de son, en plus.

=> Atterberg – Symphonie n°1 – Radio suédoise, Westerberg (Sterling)
Une très bonne version (prise de son un peu moins chaleureuse que Rasilainen).

=> Kabalevski – Symphonie n°1 – NDR, Oue (CPO)

=> Hamerik – Symphonie n°1 – Helsingborg SO, Dausgaard (Danacord)

Chris3 a écrit:

Si j'étais DLM, j'aurais bien cité Landis, Pesek et Kowicks

Pour la Neuvième, ceux que j'aime le plus sont hors commerce (Maazel-New York, Košler-CzPO, Aadland-Bergen), sinon mes goûts sont un peu bizarres : Celibidache-Turin, Kabasta-Radio Bavaroise… Je n'ai trouvé tant que ça de versions qui me comblent (et je m'en moque assez, l'écoutant peu).

Mélo faisait référence à mes goûts jugés trop cheap dans les 5, 7 et 8 (Kulisky-Radio Pragoise, Kreizberg-PBPO, Válek-Radio Pragoise…), où j'aime aussi énormément (mais un peu moins, il est vrai) Jansons-Concertgebouw et Dohnányi_Cleveland.

DavidLeMarrec a écrit:

quand on parle par exemple d'orchestres germaniques pros

Tout le monde ne peut pas se satisfaire de versions amateuristes  

*****************************************************************************************************

François-Joseph Gossec (1734-1829) :

Symphonie en do majeur Op. 12 n°3

= Guy Van Wass, Orchestre Les Agrémens

(Ricercar, 2002)

Messiaen, Danse du bébé pilule (Chants de terre et de ciel), Michèle Command/Marie-Madeleine Petit.

Pour un premier contact avec les mélodies de Messiaen, je suis plutôt enthousiaste. Il faut dire que j'ai une affection particulière pour le Messiaen des années 30

Si tu vas plus loin dans ces mélodies je te conseille plutôt d'autres versions, notamment Oran, Yakar et Dorow: https://classik.forumactif.com/t3034-messiaen-musique-vocale

Pascal Dusapin : Aufgang - R. Capuçon, Orch. de la Suisse Romande, Osmo Vänskä

Prokofiev: Roméo et Juliette par Michael Tilson-Thomas et le San Francisco Symphony (RCA).

Bartok: 4 Pièces pour orchestre, op. 12. chicago Symphony, Boulez.

Hans Pfitzner (1869-1949) :

Lieder Op. 2, 4, 11, 15, 24

An die Mark
Venus mater
Verrat
Unter der Linden
Ich und du
Sonst

= Edda Moser, soprano ; Erik Werba, piano

(Electrola, avril 1972)

Ces lieder sont quand même assez exigeants pour l'ambitus des chanteuses, particulièrement dans l'aigu, comme ce périlleux et insolite Verrat.

Ravel: Trois poèmes de Stéphane Mallarmé (Benoit, Jacquillat, Orch. de Paris)

Ravel: Introduction et allegro pour harpe et ensemble instrumental (Challan, Tessier, Simon, Lequien …)

Ravel: Sonate pour violon et violoncelle (Jarry, Tournus)

Ravel: Trois chansons madécasses (Benoit, Dufrene, Rochet, Guy et Monique Fallot)