Playlist (111)

Karel Goeyvaerts (1923–1993)

Bélise dans un jardin pour 24 voix et six instruments (1972)
Improperia, Cantata for Good Friday pour alto, double chœur mixte et six instruments (1959)

Vilnius Municipal Choir “JAUNA MUZIKA”
Koen Kessels, direction

Mon doux Pilote s’endort aussi pour chœur mixte (1975)

Flemish Radio Choir
Johan Duijck, direction

Erst das Gesicht, dann die Hände, und zuletzt erst das Haar pour orchestre de chambre (1975)

Champ d’Action
Koen Kessels, direction

Avontuur pour piano et 10 instruments à vents (1985)

Jan Michiels, piano
Prometheus Ensemble, Champ d’Action
Peter Rundel, direction

Zomerspelen pour 3 groupes orchestraux (1961)

The BRT Symphonic Orchestra
Gianpiero Taverna, direction

Pourque les fruits murissent cet été pour instruments renaissants (1976)

Florilegium Musicum de Paris

Georg Philipp Telemann (1681-1767) :

Trio en la majeur pour flûte, clavecin et basse continue
Concerto en fa majeur pour flûte, cor et basse continue
Trio en fa majeur pour flûte, viole et basse continue
Sonate en trio en la mineur pour flûte, violon et basse continue
Sonate en trio en la mineur pour flûte, hautbois et basse continue

Sébastien Marq, flûte à bec
Alfredo Bernardini, hautbois
François Fernandez, violon
Jérôme Hantaï, viole de gambe
Claude Maury, cor
Pierre Hantaï, clavecin
Rainer Zipperling, violoncelle b.c.
Elisabeth Joyé, clavecin b.c.
Vincent Charbonnier, contrebasse b.c.

(Astrée, octobre 1994)

Un de mes premiers CD de musique baroque.

Les Tuyaux de la Nuit...



Au programme ce soir :   Bach - Mendelssohn - Reger

Anaxagore a écrit:

ovni231 a écrit:

Bohuslav Martinů (1890-1959)

Symphonies Nos. 1-2-3-4-5-6 H. 289-295-299-305-310-343

Orchestre Philharmonique Tchèque
Vacláv Neumann, direction
Supraphon

Tu as déjà écouté la version de Bryden Thomson ?

Non et ça ne me tente pas. Musique tchèque, interprètes tchèques.

lucien a écrit:

hier (euh...) j’ai écouté du Mendelssohn et à un moment on dirait du Rheinberger, c’est confondant !

Martin Matalon - Trame XII pour trompette et orchestre à cordes - Romain Leleu/Orchestre d’Auvergne_Roberto Forés Veses

...

L'église de la Duke University de Durham en Caroline du nord,
une des plus prestigieuses universités des États-Unis


1) Johann Sebastian Bach (1685-1750) :

Toccata et Fugue en ré mineur, BWV 565
Herr Jesu Christ, dich zu uns wend, BWV 709
Allein Gott in der Höh' sei Ehr', BWV 711
In dulci jubilo, BWV 729

= Fenner Douglass, orgue Flentrop de l'église de la Duke University de Durham

(Gothic, 1982-1983)

Un instrument un peu vert (un récital de musique espagnole y a d'ailleurs été enregistré) dans une acoustique très longue et brillante (huit secondes de réverbération...), mais pour la célèbre Toccata, ça convient fort bien -surtout que l'organiste la joue ici avec une énergie survoltée.
Cet orgue venait d'être installé quelques années auparavant par les ateliers néerlandais Flentrop -leur plus grande réalisation sur le sol américain : 66 jeux sur quatre claviers.

Leonard Bernstein (1918-1990)

Symphonie No. 1 "Jérémie" (1942)
Symphonie No. 2 "L'Âge de l'Anxiété" (1949)
Symphonie No. 3 "Kaddish" (1963)
Les Psaumes de Chichester (1965)

Grande musique.  

MASS (1971)

ça par contre... c'est complétement déjanté !  

Le tout servi pas Lenny himself & Co.

Erik Satie
Piano Music Vol. 5
* Les Pantins dansent
* Prélude en Tapisserie
* Passacaille
* 12 petits chorals
* Deux rêveries nocturnes
* Nouvelle pièces froides
* Véritables Préludes Flasques pour un chien
* Rêverie de l'Enfance de Pantagruel
* Six Nocturnes
* Menuet à Claude Dubosq
Steffen Schleiermacher, piano
CD: MDG 613 1067-2

Matthias Pintscher - Sonic Eclipse - Garethn Flowers/David Byrd-Marrow/International Contemporary Ensemble_Matthias Pintscher

Lyon, le quai Saint-Vincent


2) Johann Sebastian Bach (1685-1750) :

Toccata et Fugue en ré mineur, BWV 565
Prélude et Fugue en mi mineur, BWV 533
Prélude et Fugue en sol mineur, BWV 535
Passacaille en ut mineur, BWV 582

= Olivier Vernet, orgue Freytag/Aubertin de l'église Saint-Vincent de Lyon

(Ligia, décembre 1995)

Un imposant buffet pour seulement une trentaine de jeux, qui en tout cas résonnent glorieusement dans cette belle acoustique, réverbérée mais claire.
Extrait du premier volume de l'intégrale Vernet.

Mélomaniac a écrit:

orgue Freytag/Aubertin de l'église Saint-Vincent de Lyon

En voilà un orgue avec 32' (alors qu'il n'a que 2 claviers !). Très jolie bête, enregistrée aussi par Helmut Deutsch pour Mozart.

ovni231 a écrit:

Leonard Bernstein (1918-1990)

Symphonie No. 1 "Jérémie" (1942)
Symphonie No. 2 "L'Âge de l'Anxiété" (1949)
Symphonie No. 3 "Kaddish" (1963)
Les Psaumes de Chichester (1965)

Grande musique.  

MASS (1971)

ça par contre... c'est complétement déjanté !  

Le tout servi pas Lenny himself & Co.

J'adore !
euh ...
par contre :"déjanté"... tu n'as pas trouvé plus jeune pour décrire cette musique ?

Roderick a écrit:

Matthias Pintscher - Sonic Eclipse - Garethn Flowers/David Byrd-Marrow/International Contemporary Ensemble_Matthias Pintscher

de Pintscher, j’aime beaucoup cette œuvre : /watch?v=EAGh2zSvYDs

pour les Trame de Matalon, il y a notamment ce beau cd qui mérite l’écoute à mon avis :

tod a écrit:

ovni231 a écrit:

Leonard Bernstein (1918-1990)

Symphonie No. 1 "Jérémie" (1942)
Symphonie No. 2 "L'Âge de l'Anxiété" (1949)
Symphonie No. 3 "Kaddish" (1963)
Les Psaumes de Chichester (1965)

Grande musique.  

MASS (1971)

ça par contre... c'est complétement déjanté !  

Le tout servi pas Lenny himself & Co.

J'adore !
euh ...
par contre :"déjanté"... tu n'as pas trouvé plus jeune pour décrire cette musique ?

cinglé, fêlé, timbré, dérangé, dévasté, déjeté, déhonté, délirant, flippant, marginal, barjot ?

The Karajan Edition: Bruckner: symphonie no 5. L'une des très rares versions à dépasser le cadre de deux écarts-types en terme de minutage. Perso je préfère les 71-76 minutes. Et pourtant cette version de 82 minutes qui prend son temps surtout dans les 2 premiers mouvements coule de source si l'on peut dire. L'enregistrement s'accommode d'un orchestre simplement plus sonore que ses concurrents, et d'une dynamique sollicitant régulièrement le fff. On retrouve le même phénomène dans quantité d'oeuvres pour orgue dont les dimensions (1-2-3, ou hauteur , profondeur, latéralité) varient considérablement tout en étant aussi vastes et variées. L'espace justifie l'instrument, qui à son tour impose ses critères de tempo et dynamique à l'interprétation. Lorsqu'il y a adéquation du tout, la vitesse, ou vélocité devient intangible.

lucien a écrit:

Roderick a écrit:

Matthias Pintscher - Sonic Eclipse - Garethn Flowers/David Byrd-Marrow/International Contemporary Ensemble_Matthias Pintscher

de Pintscher, j’aime beaucoup cette œuvre : /watch?v=EAGh2zSvYDs

pour les Trame de Matalon, il y a notamment ce beau cd qui mérite l’écoute à mon avis :

Oui, il me semble que tu l'avais évoqué sur le fil des disques du 21eme mais je n'ai pas encore réussi à mettre la main dessus...
EDIT: et de Pintscher je crois que j'aime à peu près tout ce que j'ai pu écouter...

Mélomaniac a écrit:

Un instrument un peu vert (un récital de musique espagnole y a d'ailleurs été enregistré) dans une acoustique très longue et brillante (huit secondes de réverbération...), mais pour la célèbre Toccata, ça convient fort bien -surtout que l'organiste la joue ici avec une énergie survoltée.
Cet orgue venait d'être installé quelques années auparavant par les ateliers néerlandais Flentrop -leur plus grande réalisation sur le sol américain : 66 jeux sur quatre claviers.

Tu devrais écouter aussi l'oeuvre d'orgue de Brahms par son titulaire chez Naxos.

Enfin, cet orgue ne sonne pas si vert que ça, surtout comparé aux orgues Ahrend.

Arnold Matthias Brunckhorst
   Prelude and Fugue in G Minor
 
   Johann Pachelbel
   Choral-Variations sur ''Freu dich sehr, o meine Seele'', P. 129
 
   Georg Böhm
   Vater unser im Himmelreich
   
   Jan Adam Reinken
   Toccata in G Major
   
   Nicolas de Grigny
   Recit de tierce en taille
   
   Johann Sebastian Bach
   Keyboard Concerto in F Major, BWV 978 (After Vivaldi's RV 310)
   Prelude & Fugue in G Major, BWV 541
   Prelude & Fugue in C Major, BWV 547
 
Roger W. Sherman, aux grandes orgues Flentrop, de la St. Mark's Cathedral, Seattle, USA

LOFT (Nov. 2015)


Superbe album à tout point de vue. Le seul orgue Flentrop pourvu d'une montre 32' pieds réel. Récemment une Contre-Bombarde 32'
fut ajoutée, cela manquait sensiblement.

ovni231 a écrit:

tod a écrit:

ovni231 a écrit:

Leonard Bernstein (1918-1990)

Symphonie No. 1 "Jérémie" (1942)
Symphonie No. 2 "L'Âge de l'Anxiété" (1949)
Symphonie No. 3 "Kaddish" (1963)
Les Psaumes de Chichester (1965)

Grande musique.  

MASS (1971)

ça par contre... c'est complétement déjanté !  

Le tout servi pas Lenny himself & Co.

J'adore !
euh ...
par contre :"déjanté"... tu n'as pas trouvé plus jeune pour décrire cette musique ?

cinglé, fêlé, timbré, dérangé, dévasté, déjeté, déhonté, délirant, flippant, marginal, barjot ?

Bref, Nouillorquais....

Ah, comme les trouilles de nouilles à Binches en Belgique?

La Thomaskirche de Leipzig


3) Felix Mendelssohn (1809-1847) :

Sonates pour orgue n°1-6, Op. 65

= Ulrich Böhme, orgue Sauer de l'église Saint-Thomas de Leipzig

(Capriccio, octobre 1994)

 C'est le troisième enregistrement d'octobre 1994 que j'écoute ce soir, ça doit être un signe.
Magnifique interprétation, une de mes préférées, dans un style symphonique : Böhme profite des innombrables textures permises par cet instrument de presque 90 jeux et invente un univers poétique à chaque sonate.
Finesse, nuance des textures (une forêt de 8' à la console de ce trois claviers), puissance des 32'... Ces six bijoux romantiques resplendissent avec autant de subtilité que de majesté grandiose.  

tod a écrit:

ovni231 a écrit:

tod a écrit:

ovni231 a écrit:

Leonard Bernstein (1918-1990)

Symphonie No. 1 "Jérémie" (1942)
Symphonie No. 2 "L'Âge de l'Anxiété" (1949)
Symphonie No. 3 "Kaddish" (1963)
Les Psaumes de Chichester (1965)

Grande musique.  

MASS (1971)

ça par contre... c'est complétement déjanté !  

Le tout servi pas Lenny himself & Co.

J'adore !
euh ...
par contre :"déjanté"... tu n'as pas trouvé plus jeune pour décrire cette musique ?

cinglé, fêlé, timbré, dérangé, dévasté, déjeté, déhonté, délirant, flippant, marginal, barjot ?

Bref, Nouillorquais....

Nouillorquais... !!!

plenum a écrit:

Ah, comme les trouilles de nouilles à Binches en Belgique?

On peut rigoler, avec moi.
Mais écoutons ensemble le Prelude, Fugue and Rifffs et le Facsimile !

Je connais mon baron, tu adores vraiment ça?

Oh oui, mon cher Marquis !
Que reproches-tu à cette belle musique bien enlevée ?

L'abbaye de St Blasien, au coeur de la Forêt noire (Bade Wurtemberg)

Vue grand-angulaire sous la coupole, avec l'orgue en point de mire :

4) Max Reger (1873-1916) :

Introduction, Passacaille et Fugue en mi mineur, Op. 127

= Tobias Horn, orgue Schwarz de l'abbaye Saint-Blaise de Sankt Blasien

(Motette, janvier 2003)

Découverte de cet orgue avec ce disque, enregistré dans cette abbaye dont la coupole de 36 mètres d'envergure figure parmi les plus grandes de toutes les églises d'Europe.
A entendre la sonorité abyssale, écrasante, j'imaginais une armada de 32' mais non, aucun parmi les 55 jeux... En réalité, c'est la résultante des 16' couplés avec la quinte 10_2/3 qui réussit à produire ce grondement vraiment impressionnant !
Interprétation patiente, voire un peu mystique (l'acoustique du lieu y contribue) de ce monumental triptyque regerien, pas à la même altitude que l'enregistrement de Daniel Matrone à Bordeaux (REM), mais du moins parfaitement construit et senti par cet organiste d'une trentaine d'années.

plenum a écrit:

Le seul orgue Flentrop pourvu d'une montre 32' pieds réel. Récemment une Contre-Bombarde 32' fut ajoutée, cela manquait sensiblement.

Pour ici enregistrer Brunckhorst ou une tierce en taille de Grigny, c'est moyennement utile...

55 jeux dont 32' en montre c'est pas mal mais Dirk Andries Flentrop a vu encore plus grand avec l'instrument de la Duke University

tod a écrit:

Oh oui, mon cher Marquis !
Que reproches-tu à cette belle musique bien enlevée ?

Ah! Marquis Samedi ça existe?

Disons que Bernstein pour moi, ça sonne surtout musique de film, cabaret, variété.

Je note particulièrement son Facsimile, comme une des ses oeuvres les mieux réussies. Mais ça n'engage que moi.

Mélomaniac a écrit:

plenum a écrit:

Le seul orgue Flentrop pourvu d'une montre 32' pieds réel. Récemment une Contre-Bombarde 32' fut ajoutée, cela manquait sensiblement.

Pour ici enregistrer Brunckhorst ou une tierce en taille de Grigny, c'est moyennement utile...

55 jeux dont 32' en montre c'est pas mal mais Dirk Andries Flentrop a vu encore plus grand avec l'instrument de la Duke University

Mais celui de la Duke University ne comporte pas de 32'.

Tu devrais l'écouter cet album, c'est fort beau, comme la Toccate de Reinken. Le choral avec variations de Pachelbel, souligne les belles couleurs sonores de cet instrument.

L'église évangélique d'Essen-Werden (Rhénanie-du-Nord-Westphalie)


5) Max Reger (1873-1916) :

Orgelstücke, Op. 65 Heft II

= Carsten Wiebusch, orgue Walcker de l'église évangélique d'Essen-Werden

(Audite, novembre 1998)

Charmant cahier regerien sur un orgue post-romantique qui date de 1900, érigé dans cette église alors nouvellement construite dans ce quartier de la ville d'Essen.

Donc tu aimes Reger joué sur des mammouths comme ça?

Si Reger vivait aujourd'hui et lire ton choix d'instrument pour ses pièces d'orgue, il te  car il détestait ce genre de mammouth.

Mais son bâton ne fesserait pas sur les fesses concernant l'organiste qui a opté pour ce genre de balourd, mais sur sa tête.

plenum a écrit:

Ah! Marquis Samedi ça existe?

Disons que Bernstein pour moi, ça sonne surtout musique de film, cabaret, variété.

Je note particulièrement son Facsimile, comme une des ses oeuvres les mieux réussies. Mais ça n'engage que moi.

Non !
Mais le Marquis Mercredi, oui !
Une fieffée entité qui agace les gosses quand ils sont hors de portée de leurs maîtresse !
(encore qu'aujourd'hui, il n'y a plus école en France, et que tous les jours à n'importe quelle heure, on peut croiser des gamins un peu partout....)
Quant à Bernstein, ne lui reprochons pas rétroactivement tout ce qui a été fait malgré lui.
Le Facsimile, évidemment ; mais aussi le Prélude, Fugue and Riffs, si tu m'en crois.

Karel Goeyvaerts (1923–1993)

Litanie 1 pour piano (1979)

Kristina Van Damme

Litanie 2 pour trois percussionnistes (1980)

Champ d’Action

Litanie 3 pour orchestre (1980)

The BRT Philharmonic Orchestra
Lucas Vis

Litanie 4 pour soprano, flute, clarinette, violon, violoncelle et piano (1981)

Champ d’Action
Alain Franco

Litanie 5 pour clavecin et bande (1982)

Christine Wauters

Henri Pousseur, Les Litanies d’Icare pour piano (1994).  Rzewski

Karel Goeyvaerts (1923–1993)

De Zeven Zegels (1986)
Voor Strijkkwartet (1992)

Quatuor Danel

Tomasz Sikorski (1939–1988)

Inne głosy na 24 instrumenty dęte, 4 gongi i dzwony (1975)
Homofonia na waltornie, trąbki, puzony, fortepian i gong (1968–70)
Concerto breve na fortepian, 24 instrumenty dęte i 4 perkusje (1965)
Diafonia na dwa fortepiany (1969)
Muzyka nasłuchiwania na 2 fortepiany (1973)

Szábolcs Esztényi, Eugeniusz Knapik
Warszawska Filharmonia Radiowa
Mieczysław Nowakowski

Wagner: Parsifal/DVD Nagano

tod a écrit:

plenum a écrit:

Ah, comme les trouilles de nouilles à Binches en Belgique?

On peut rigoler, avec moi.
Mais écoutons ensemble le Prelude, Fugue and Rifffs et le Facsimile !

Prelude, Fugue & Riffs et Facsimile, deux bijoux de Lenny !

tod a écrit:

Quant à Bernstein, ne lui reprochons pas rétroactivement tout ce qui a été fait malgré lui.

C'éclair que ce n'est pas vraiment sa faute que West Side Story soit aussi mal orchestré (et dire qu'ils ont engagé deux orchestrateurs...), y a que le Mambo qui est réussi.

Mal orchestré WSS?

Dvorak: la sémillante huitième symphonie en sol majeur. L'orchestre du Staatskapelle de Dresde. Merveilleusement senti, avec tout plein de détails de phrasé imaginatifs. Les cordes de cet orchestre sont fabuleuses.

Feinberg : Sonate pour piano No.6 - Sirodeau

Debussy : Le promenoir des deux amants - Souzay / Baldwin

Boris Yoffe (1968–)

Vier, ein Liederzyklus für Mezzosopran, Blockflöte, Laute und Fidel *
D. Gabrielli Vier Ricercari für Cello solo – mit Kommentar für ein zweites Cello von B. Yoffe
Sonnet (Lautespieler) für Gambe
Sechs Entwürfe für Sonate von Vinteuil für Geige solo
Sieben Gedichte aus dem Quartettbuch
Essay für Geige und Klavier
Baum für Fagott
Volksweise für Geige solo
Aria für Streichtrio
Ohne Title für Bratsche solo
Bagatallen für Klavier
Caprichos für Cello und Gitarre
Oratio de hominis dignitate für Gitarre
Leicht, aber mit Hingabe für Geige solo

Daniel Kobyliansky et Patricia Kopatchinskaja, violons
Roman Spitzer, alto
Dimitri Dichtiar et Patrick Sepec, violoncelles
Myrna Herzog, viole de gambe
Diego Chenna, basson
Pavel Chlopovsky, guitare
Angela Yoffe, piano
* Els Janssens, soprano / Ensemble La Morra

Helmut Lachenmann - Mouvement (- vor der Erstarrung) - Ensemble Linea_Jean-Philippe Wurtz      
Raphaël Cendo - Corps - Wilhem Latchoumia/Ensemble Linea_Jean-Philippe Wurtz    
(24/09/2015 Festival Musica)

tu connais Filidei ? https://www.youtube.com/watch?v=3XHwJzSgQkY

Zbigniew Bargielski (1937–)

I Kwartet smyczkowy  Alpejski (1976)
II Kwartet smyczkowy  Wiosenny (1980)
III Kwartet smyczkowy  Martwa natura z krzykiem (1985–86)
Noc pożegnań na akordeon i kwartet smyczkowy (1983/95)
IV Kwartet smyczkowy  Płonący czas (1994)
V Kwartet smyczkowy  Czas, który minął (2001)
VI Kwartet smyczkowy  Dramatyczny (2006)
Po drugiej stronie lustra na kwartet smyczkowy z klarnetem (1988)

Kwartet Śląski
Marek Andrysek, akordeon
Roman Widaszek, klarnet

lucien a écrit:

tu connais Filidei ? https://www.youtube.com/watch?v=3XHwJzSgQkY

Non, j'écoute ça. En fait je connais très peu ce répertoire. Certaines oeuvres me plaisent beaucoup tandis que d'autres me laissent de marbre, sans que je sache dire pourquoi. Là, j'explore un certain nombre de concerts que j'avais captés en 2015 pour me donner un aperçu de certains compositeurs (dont je vois passer les noms en Playlist   ).

EDIT : Pas mal le Filidei (j'aime beaucoup la partie centrale (6-11 min), la fin m'a moins touché même si j'admire comme le corniste achève la pièce en jouant de la feuille)