Playlist (132)

anaëlle a écrit:

Carter : Night Fantasies.  Rosen


très très très beau.

Absolument.

Prokofiev : Sonates pour piano n°1-9 (Ovchinnikov)

Betsy Jolas (1926–) : Autour pour clavecin (1972)
Betsy Jolas (1926–) : Auprès pour clavecin (1980)
Blandine Rannou, puis Elżbieta Chojnacka

Les Nuits de la Renaissance...






Au programme ce soir :   M. Flecha – E. Widmann – B. Càrceres – A. Holborne

Betsy Jolas (1926–) : Musique d’hiver pour orgue et petit orchestre (1971)
Xavier Darasse
SWF Sinfonieorchester Baden-Baden (Ernest Bour)
Betsy Jolas (1926–) : Trois rencontres pour trio à cordes et orchestre (1973)
Trio à cordes français
Orchestre symphonique de la radio de Strasbourg (Roger Albin)
Betsy Jolas (1926–) : Stances pour piano et orchestre (1978)
Claude Helffer
Orchestre de Radio Luxembourg (Jean-Pierre Faber)
Betsy Jolas (1926–) : Lumor, sept lieder spirituels pour saxophone et orchestre (1996)
Claude Delangle
Orchestre National de France (Leonard Slatkin)

1) Mateo Flecha (1481-1553) :

La Bomba
El Fuego
La Viuda

= The King's Singers, The Harp Consort

(RCA, mai 1999)

Un album consacré à la Renaissance espagnole, avec en plat principal ces délicieuses et exubérantes ensaladas écrites par Flecha l'Ancien.
Au disque, les ensembles Las Huelgas et Hespérion XX ont laissé de mémorables anthologies de ces pages descriptives et bariolées.
Les King's Singers s'enhardissent par une prosodie vertement rythmée, et une revigorante gouaille,
pour une approche plus sculptée et mois mélodieuse, moins suave que les troupes de Paul Van Nevel (Sony).
Au demeurant leur interprétation s'avère très finement réalisée et nuancée, et la captation reproduit tout le relief de ces chansons
-même si on aurait souhaité davantage d'épanouissement dans l'acoustique ambiante (le studio de St George's Bristol).

Betsy Jolas (1926–) : Points d’aube pour alto et instruments à vent (1968)
Serge Collot
Ensemble Ars Nova (Marius Constant)
Betsy Jolas (1926–) : Onze lieder pour trompette et orchestre de chambre (1977)
Pierre Thibaud
Nouvel Orchestre Philharmonique (Denis Cohen)
Betsy Jolas (1926–) : Points d’or pour saxophone et 15 instruments (1982)
Daniel Kientzy
Ensemble 2e2m (Denis Cohen)

2) Erasmus Widmann (1572-1634) :

Danses et Gaillardes du Musikalischer Tugendspiegel

= Fritz Neumeyer, Ensemble Collegium Terpsichore

(Archiv, janvier 1960)

Un compositeur sud-allemand de la Renaissance tardive.
Les jolies danses de ce recueil de 1613 portent des prénoms féminins (Sophia, Anna, Clara, Magdalena, Agatha, Regina).

3) Bartomeu Càrceres (fl. 1546) :

La Trulla, -ensalada a cuatro

= Jordi Savall, La Capella Reial de Catalunya, Hespèrion XX

(Astrée, janvier 1990)

4) Anthony Holborne (c1545-1602) :

Pavans, Galliards, Almains, and other short Aeirs both Grave and Light

Jeremy West, Jonathan Morgan, cornet
Andrew Watts, courtaud
Paul Niemann, Martin Pope, saqueboute

Monica Huggett, violon
Polly Waterfield, viole alto
Trevor Jones, dessus et ténor de viole
Mark Caudle, violon ténor
Richard Webb, basse de violon
Alison Crum, ténor de viole
Oliver Hirsh, Gregor Anthony, basse de viole
Piet Stryckers, contrebasse de viole
Alan Wilson, virginal
Anthony Rooley, luth

(L'Oiseau-Lyre, avril 1979)

Le titre complet de ce recueil de 1599 est : Pavanes, Gaillardes, Allemandes et autres courts airs tour à tour sérieux et gais
à cinq parties, pour violes, violons, et autres instruments à vent.
L'ère élisabéthaine jette ses derniers feux  

Betsy Jolas (1926–) : J.D.E. pour ensemble (1966)
Ensemble Ars Nova (Marius Constant)
Betsy Jolas (1926–) : D’un opéra de voyage pour ensemble (1967)
Ensemble du Domaine Musical (Gilbert Amy)
Betsy Jolas (1926–) : Tales of a Summer Sea pour orchestre (1977)
Orchestre Philharmonique de Radio France (Pascal Rophé)
Betsy Jolas (1926–) : Préludes-Fanfares-Interludes-Sonneries pour orchestre à vents et percussion (1983)
Orchestre National de France (Marius Constant)

Isabel Mundry (1963–) : Gesichter pour quatuor mixte et électronique (1997)
Salome Kammer, Claudia Barainsky, Françoise Rivalland, Christian Dierstein
Isabel Mundry (1963–) : Ohne Titel pour cinq voix (1997)
Neue Vocalsolisten Stuttgart (Manfred Schreier)
Isabel Mundry (1963–) : Penelopes Atem pour orchestre (2003)
SWR-Sinfonieorchester Baden-Baden und Freiburg (Sylvain Cambreling)
Isabel Mundry (1963–) : Spiegel Bilder pour clarinette et accordéon (1996)
Tara Bouman, Edwin Alexander Buchholz
Isabel Mundry (1963–) : Schwankende Zeit pour ensemble (2007–9) : IV, I
Ensemble Musikfabrik (Emilio Pomàrico)
Isabel Mundry (1963–) : Das Rohe und das Geformte III pour ensemble (2010)
Ensemble ascolta (Johannes Schöllhorn)

Toshiro Mayuzumi (1929-1997) : Nirvana-Symphonie (1958)
Tokyo Philharmonic Chorus
Tokyo Metropolitan Symphony Orchestra
Hiroyuki Iwaki, conductor

Mandala-Symphonie (1960)
The NHK Symphony Orchestra
Hiroyuki Iwaki, conductor

Bugaku, ballet en deux parties (1962)
The NHK Symphony Orchestra
Hiroyuki Iwaki, conductor

Transcendantal !

Luciano Berio : Formazioni pour orchestre        1986 / Vienna RSO (Asbury)
 +

Strauss : Don Quichotte (Fournier/Karajan)

Ludique, à l'instar de nombre de poèmes symphoniques de Strauss.

Mykola Poloz (1936–2016) : Symphonie nº1 (1962)
Ukraine Radio & Television Symphony Orchestra (Sergey Gosachinsky)
Mykola Poloz (1936–2016) : Symphonie nº2 (1965)
Ukraine Radio & Television Symphony Orchestra (Svyatoslav Lytvynenko)
Mykola Poloz (1936–2016) : Symphonie nº3 (1966)
Ukraine State Symphony Orchestra (Yuriy Nykonenko)
Mykola Poloz (1936–2016) : Symphonie nº5 (1976)
Ukraine State Symphony Orchestra (Volodymyr Sirenko)

Zhu Jian-er (1922–2017) :
— Symphonie nº1 op. 27 (1986)
— Symphonie nº2 op. 28 (1987)
— Symphonie nº3 Tibet op. 29 (1988)
Shangai Symphony Orchestra (Chen Xie-yang)

Klaus Lang : Die Goldenen Tiere pour flûte, cor, violon, alto et deux instruments au choix        1999 / Klangforum Wien
 +
Klaus Lang : Der fette hirte und das weiße kaninchen pour deux flûtes et deux percussions        2001 / Klangforum Wien

Klaus Lang : The book of serenity pour seize instruments        2008 / Klangforum Wien (Kalitzke)

Klaus Lang : Drei Goldenen Tiger pour quatuor à cordes et piano        2007 / Klangforum Wien

Yashiro Akio (1929–1976) : Symphonie pour grand orchestre (1958)
Akira Miyoshi (1933–2013) : Trois mouvements symphoniques (1960)
Japan Philharmonic Symphony Orchestra
Akeo Watanabe, conductor

Les Fjords du crépuscule...





Au programme ce soir :     J. Sibelius – E. Grieg – D. Wirén – F. Henriques

Zhu Jian-er (1922–2017) :
— Symphonie nº4 6.4.2-1 op. 31, symphonie de chambre pour flute de bambou et 22 cordes (1990)
Yu Xun-fa, flute
Shangai Symphony Orchestra (Zhang Guo-yong)
— Symphonie nº5 op. 32 (1991)
Yang Ru-wen, dagu
Shangai Symphony Orchestra (Chen Xie-yang)
— Symphonie nº6 3Y op. 35 pour bande et orchestre (1992–94)
Shangai Symphony Orchestra (Chen Xie-yang)

1) Jean Sibelius (1865-1957) :

Symphonie n°1 en mi mineur, Op. 39

= John Barbirolli, Orchestre Hallé de Manchester

(Pye, décembre 1957)

Barbirolli avait précédemment gravé cet opus en 1942 avec le New York Philharmonic, un témoignage où l'on peut déjà mesurer
combien ce maestro savait mêler le lyrisme le plus chaleureux et l'intensité dramatique portée à incandescence.
Il réenregistra l'oeuvre en 1966 dans le cadre de son intégrale des sept symphonies.
Voilà donc ici une captation intermédiaire, où l'on retrouve un rare génie d'animation.
Admettons que le Scherzo mériterait une geste plus ferme et vigoureux, mais cette interprétation relève globalement d'un processus narratif qui privilégie l'évocation.
Ce en quoi Barbirolli réussit magistralement les Andante, celui de l'introduction, du second et du quatrième mouvement.
L'interprétation de ce Finale reste en soi une leçon, qui estompe les contrastes rythmiques (jouant la carte du tempo unique malgré les saillies de la partition !)
pour mieux déployer une imagerie fabuleuse, d'une amplitude panoramique, restituant ce quasi una fantasia comme un poème symphonique voué à la contemplation.
Culte !  

P. I. Tchaïkovski
* Symphonie no.5 op.64
Boston Symphony Orchestra
Pierre Monteux
LP RCA Victor, 1958



Une bonne interprétation de la fin des années cinquante malgré le son parfois un peu sec et les tempi un peu lents, mais c'est vraiment négligeable.

2) Edvard Grieg (1843-1907) :

Danses norvégiennes, Op. 35

= Neeme Järvi, Orchestre symphonique de Göteborg

(DG, mai 1986)

Franz Liszt
* Rhapsodies Hongroises
nos. 4, 5, 6, 8 'Capriccio', 12, 13 & 15 ' Marche Rakoczy'
Samson François, piano



J'écoute ce disque parce que c'est Samson François qui joue au piano. Je connais déjà la no.4 et je préfère la version de Earl Wild autrement plus convaincante et plus énergique avec une meilleure qualité sonore.

3) Dag Wirén (1905-1986) :

Sérénade pour cordes, Op. 11

= Neville Marriner, Academy of St Martin in the Fields

(Argo, mai 1977)

Zhu Jian-er (1922–2017) :
— Symphonie nº7 Sounds of Heaven, Earth and Humans op. 35 pour cinq percussionnistes (1994)
Zhou Xingyu, Zhang Jingyu, Zhang Zihai, Zhou Xiong, Hua Guotian (Chen Xieyang)
— Symphonie nº8 Seeking op. 37, symphonie de chambre pour vionloncelle et percussion (1994)
Wang Guang, Zhou Xiong
— Sinfonietta op. 38 (1994)
Shangai Symphony Orchestra (Chen Xieyang)
— Symphonie nº9 op. 43 pour orchestre et chœur d’enfants (1999)
STV Spring Children’s Choir (Xu Liang-Liang)
Shangai Symphony Orchestra (Chen Xieyang)
— Symphonie nº10 op. 42 pour bande (voix et qin) et orchestre (1998)
Shang Chang-rong, Gong Yi
Shangai Symphony Orchestra (Chen Xieyang)

4) Fini Henriques (1867-1940) :

Vuggesang
Myggedans

= Michala Petri, flûte à bec ; James Judd, Orchestre philharmonique de Londres

(RCA, septembre 1999)

Le compositeur danois, fort populaire en son temps, jouait de l'alto et du violon.
Ces deux pièces, une berceuse et une danse des moustiques, sont ici transcrites pour la flûte.

Nielsen : Symphonie n°5 (Dmitri Slobodeniouk, orchestre de la radio danoise je suppose, sur le Tube)

Très longtemps que je n'ai plus écouté cette symphonie, pourtant mon corpus préféré. Quel plaisir d'y revenir !

Evaristo Felice (1675-1742)
e
Joseph Marie Clément (1710-1805)
Dall'Abaco
"Padre e figlio"

Bruno Cocset & Les Basses Réunies

Bruno Cocset, Violoncelle, Alto, Ténor de violon
Emmanuel Jacques, Ténor de violon
Esmé de Vries, Violoncelle
Bertrand Cuiller, Clavecin

Dans la famille Forqueray, je demande Dall'Abaco. Non, ça marche pas. Ici, deux œuvres que caractérisent aussi bien le style, que l'instrumentation et les enjeux:
"capricci (JMC) & altri canzoni (EF)"

Pièces pour violoncelle seul du fils "elles ont pour moi à la fois par leur diversité et leur forme inhabituelle un caractère intemporel auquel s'ajoute un esprit de grande liberté instrumentale" *
Sonates du père "habitées par l'esprit Corellien, ... D'une simple chanson jusqu'à l'écriture plus complexe d'un trio, on les croirait parfois sorties d'un oratorio, annonçant presque l'opulence de Hændel " *
*B. Cocset

et je sais pas trop ce que j'aime le mieux (en fait si: le fiston) mais quand on a affaire à de tels interprètes ...

lulu a écrit:

Zhu Jian-er (1922–2017) :
— Symphonie nº1 op. 27 (1986)
— Symphonie nº2 op. 28 (1987)
— Symphonie nº3 Tibet op. 29 (1988)
Shangai Symphony Orchestra (Chen Xie-yang)

La même chose maintenant et c'est immense !

Strauss : Don Quichotte (Janigro/Reiner)

Plus habité que la version Fournier/Karajan AMHA.

Cartellieri : Symphonie n°1.

Suite aux conseils de David dans le fil des 5 oeuvres à faire découvrir. Sympa, ça bouge bien, mais ça manque un peu d'inspiration dans les développements quand même (4 minutes par mouvement en moyenne, ça fait en gros une intro sympa, deux ou trois tricotages et hop on passe au mouvement). Bon, et puis on a la curieuse impression de l'avoir déjà entendue même si on sait que ce n'est pas le cas !

Jean Cras : Polyphème (Orchestre Philarmonique du Luxembourg / Bramwell Tovey ; Yann Beuron, Armand Arapian, Valérie Debize, Sophie Marin-degor etc).

Je continue par ailleurs d'explorer un peu les compositeurs français oubliés du début du vingtième. Ce Polyphème a été largement évoqué dans le fil consacré à son compositeur, et largement comparé à Pelléas, j'en ai écouté ce que j'ai pu sur le Tube (c'est assez bizarre, il y a des morceaux qui manquent, mais c'est assez aléatoire !), ça a quand même de la personnalité et c'est vraiment de la belle musique. Nettement plus convaincu que par les autres oeuvres de Cras que j'ai tentées (Journal de bord ; quintette avec harpe).

Roupoil a écrit:

Bon, et puis on a la curieuse impression de l'avoir déjà entendue même si on sait que ce n'est pas le cas !

Toutes mes félicitations ! Tu es entré dans la dimension LeMarrec !

arnaud bellemontagne a écrit:

Strauss : Don Quichotte (Janigro/Reiner)

Plus habité que la version Fournier/Karajan AMHA.

Et c'est disponible en ligne !
Moi qui croyais la version Fournier/Karajan indélogeable....
C'est vrai que dès le début, les sonorités sont comme plus douces et plus détendues.

Akira Nishimura (1953–) : Mantra of the Light pour chœur de femmes et orchestre (1993)
Karen Tanaka (1961–) : Initium pour orchestre et électronique live (1992–93)
Michio Mamiya (1929–) : Concerto pour piano nº3 (1990)
Izumi Tateno, piano
Tokyo Philharmonic Chorus
Tokyo Symphony Orchestra (Kazuyoshi Akiyama)

lulu a écrit:

Akira Nishimura (1953–) : Mantra of the Light pour chœur de femmes et orchestre (1993)
Karen Tanaka (1961–) : Initium pour orchestre et électronique live (1992–93)
Michio Mamiya (1929–) : Concerto pour piano nº3 (1990)
Izumi Tateno, piano
Tokyo Philharmonic Chorus
Tokyo Symphony Orchestra (Kazuyoshi Akiyama)

Maurice Ravel
* Ma Mère l'Oye
New York Philharmonic Orchestra
Pierre Boulez

Roupoil a écrit:

Cartellieri : Symphonie n°1.

Suite aux conseils de David dans le fil des 5 oeuvres à faire découvrir. Sympa, ça bouge bien, mais ça manque un peu d'inspiration dans les développements quand même (4 minutes par mouvement en moyenne, ça fait en gros une intro sympa, deux ou trois tricotages et hop on passe au mouvement). Bon, et puis on a la curieuse impression de l'avoir déjà entendue même si on sait que ce n'est pas le cas !

Dans Haydn et Mozart, les proportions ne sont pas différentes.

Citation :

Jean Cras : Polyphème (Orchestre Philarmonique du Luxembourg / Bramwell Tovey ; Yann Beuron, Armand Arapian, Valérie Debize, Sophie Marin-degor etc).

Je continue par ailleurs d'explorer un peu les compositeurs français oubliés du début du vingtième. Ce Polyphème a été largement évoqué dans le fil consacré à son compositeur, et largement comparé à Pelléas, j'en ai écouté ce que j'ai pu sur le Tube (c'est assez bizarre, il y a des morceaux qui manquent, mais c'est assez aléatoire !), ça a quand même de la personnalité et c'est vraiment de la belle musique. Nettement plus convaincu que par les autres oeuvres de Cras que j'ai tentées (Journal de bord ; quintette avec harpe).

Oh, étonnant pour le Journal, c'est vraiment bien. Pour toi, tu aurais sans doute davantage intérêt à aller du côté de la musique pour cordes (trio avec piano, quintette avec piano, sonate violoncelle-piano, quatuors…).

(Les mélodies sont formidables aussi, mais c'est peut-être moins ton inclination.)

Frédéric Chopin
* Sonate no.2 op.35
Martha Argerich, piano

Suite aux conseils d'Anaelle :

van Gilse : Symphonie n°3 (Porcelijn / Asszonyi)

Jo Kondo (1947–) : In the Woods pour orchestre (1989)
Teruaki Suzuki (1958–) : Hymnos pour double chœur et orchestre (1990)
Takashi Yoshimatsu (1953–) : Kamui-Chikap Symphony pour orchestre (1990)
Tokyo Philharmonic Chorus (Nobuaki Tanaka)
Tokyo Philharmonic Orchestra (Tadaaki Otaka)

Alifie a écrit:

www.deezer.com/fr/album/13510705 ou /watch?v=6Lx48OUDaPo

lulu a écrit:

Jo Kondo (1947–) : In the Woods pour orchestre (1989)
Teruaki Suzuki (1958–) : Hymnos pour double chœur et orchestre (1990)
Takashi Yoshimatsu (1953–) : Kamui-Chikap Symphony pour orchestre (1990)
Tokyo Philharmonic Chorus (Nobuaki Tanaka)
Tokyo Philharmonic Orchestra (Tadaaki Otaka)

Avet Terterian (1929-1994) : Symphonie No. 3 (1975) "dédiée à la mémoire de mon père"
Symphonie No. 5 (1978) "dédiée à Gennady Rozhdestvensky"
Orchestre Symphonique de Tbilissi
Jansug Kakhidze, direction

DavidLeMarrec a écrit:

Dans Haydn et Mozart, les proportions ne sont pas différentes.

C'est un peu plus développé au niveau des mouvements extrêmes dans les dernières de Mozart et de Haydn, quand même. Mais oui, c'est sûr, c'est pas du Mahler...

DavidLeMarrec a écrit:

Oh, étonnant pour le Journal, c'est vraiment bien. Pour toi, tu aurais sans doute davantage intérêt à aller du côté de la musique pour cordes (trio avec piano, quintette avec piano, sonate violoncelle-piano, quatuors…).

(Les mélodies sont formidables aussi, mais c'est peut-être moins ton inclination.)

Ben j'ai trouvé les interludes orchestraux de Polyphème plus intéressants que le journal. Pour le reste, je suis bêtement allé du côté du plus facilement disponible en ligne, et niveau musique de chambre, à part le quintette déjà cité et un trio à cordes, c'est le désert total sur le Tube (je ne parle même pas de musicme où il n'y a tout bonnement rien) donc ça complique les choses.