Playlist (134)

Ah bon tu n'aimes pas Kagel ?

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Francesco Geminiani (1687-1762)
Concerti Grossi op. 7

Café Zimmermann

malgré Café Zimmermann et l'accueil souvent très favorable fait à ce disque, sur Wunderkammern notamment: pas tout à fait emballé. Une seconde écoute s'imposerait à moi pour en déceler toutes les finesses.

Scriabine: Symphonie n°2/V.Petrenko

+

Avec partition.

On évoque souvent Chopin, Liszt ou Wagner à propos du premier Scriabine, mais là je me dis que Franck n'est pas loin non plus, notamment dans l'harmonie.

Tchaïkovsky : Symphonie n°1 "Rêves d'hiver" - Royal philharmonie, Vasily Petrenko - avec partition

Qu'est-ce-que j'aime cette symphonie J'en avais parlé sur le fil discographie, l'intégrale Petrenko est inégale, mais cette 1ère est magistrale. Nerveuse, tranchante, épique, et un climat et un chant magnifiques dans le mouvement lent. Et ça a beau être à Liverpool (dont le son a bien évolué avec Petrenko), je trouve que tout cela sonne très russe.

Brahms, Doublec concerto + Concerto pour violon
Monteux
Francescatti Fournier

Je commence à accumuler un certain nombre d'interprétations de Francescatti dans Brahms.

Gluck/Berlioz : Orphée et Eurydice (Patrick Peire, 1992 : Ewa Podles, Raphaelle Farmann, Marie-Noëlle de Calatay)

Version qui vaut avant tout pour la prestation d'Ewa Podles qui est sûrement assez proche dans son approche et sa voix de ce que pouvait donner Pauline Viardot lors de la création : une voix extrêmement longue, sombre mais véloce... Le personnage est superbe et tragique à souhait! L'entourage est beaucoup plus quelconque... deux sopranos ternes et une direction très lente...




Saint-Saëns : Ascanio (Guillaume Tourniaire, 2017 : Jean-François Lapointe, Bernard Richter, Eve-Maud Hubeaux, Jean Teitgen, Karina Gauvin, Clémence Tilquin, Joé Bertili, Mohammed Haidar, Bastien Combe, Maxence Billiemaz, Raphaël Hardmeyer, Olivia Doutney)

Magnifique prestation pour une magnifique partition! Distribution impressionnante et totalement engagée, parfaitement adaptée au différents rôles... Direction passionnée de Tourniaire (qui avait déjà enregistré le ballet il y a quelques années!)
Et puis la partition... à la première écoute, j'ai été un peu décontenancé... j'ai trouvé ça un peu bizarre, bigarré et pas très clair. Mais à la deuxième écoute, j'ai vraiment été séduit par ce foisonnement d'idées et d'ambiances... c'est hyper vivant et bien fait, soigné dans les moindres détails tant à l'orchestre que dans les lignes vocales pour créer des personnages ou des ambiances divers.

Une grande partition nous est révélée! Et dans sa forme complète et originale (là où Saint-Saëns ne l'a jamais entendue en entier vu qu'il y avait toujours de coupures ce qui le faisait enrager...)

Popov, Suite Symphonique No.1. Botstein

Murcof & Vanessa Wagner
Statea

In a Landscape:John Cage
Variations For The Healing of Arinushka:Arvo Pärt
Avril 14th:Aphex Twin
Musica Ricercata n°2:György Ligeti
Gnossienne n°3:Erik Satie
Piano Piece 1952:Morton Feldman
Farewell, O World, O Earth:Valentyn Silvestrov
China Gates:John Adams
Metamorphosis 2: Philip Glass

Label InFiné

Etrangement fascinant

Les Maestros de la Nuit...





Au programme ce soir :   G. Rossini – F. Suppé – W.A. Mozart – L. Beethoven

1) Gioachino Rossini (1792-1868) :

La Cenerentola, -Ouverture
La Gazza ladra, -Ouverture
Tancredi, -Ouverture
Semiramis, -Ouverture
Guillaume Tell, -Ouverture

= Carlo Maria Giulini, Philharmonia Orchestra

(Columbia, 1962-1964)

Giulini avait déjà gravé une poignée d'ouvertures en 1959 avec le même orchestre.
On retrouve ici son style aristocratique, le brio chaste et chic, la droiture de la conduite.
Un lyrisme vertueux qui ennoblit ces pages habituellement vouées à des directions tapageuses.
Seul regret, l'Ouverture de Cendrillon manque d'agilité et s'avère trop godiche -certes le Philharmonia est ici utilisé à pleine ressource,
dans une page qui requiert plutôt un petit orchestre virtuose et déluré.

2) Franz von Suppé (1819-1895) :

Leichte Kavallerie, -Ouverture
Pique Dame, -Ouverture

= John Barbirolli, Orchestre Hallé de Manchester

(Pye, juin 1957)

Superbe, je vous en parle dans quelques minutes !

3) Franz von Suppé (1819-1895) :

Ein morgen, ein Mittag und ein Abend in Wien, -Ouverture
Banditenstreiche, -Ouverture
Die schöne Galathée, -Ouverture
Dichter und Bauer, -Ouverture

= John Barbirolli, Orchestre Hallé de Manchester

(Pye, juin 1957)

La spectaculaire captation fut réalisée par Robert Fine, le légendaire ingénieur du label Mercury,
et on retrouve ses caractéristiques sonores : ampleur, relief ahurissant, tactilité du grain...
A comparer avec l'enregistrement de Paray à Detroit, peut-être encore un chouïa plus démonstratif (un surcroît de dynamique
pour ce qui reste une des plus grandes prise de son de l'histoire phonographique).
Interprétativement, Barbirolli livre ici une leçon de panache, mais aussi plus de souplesse que son confrère français dans les passages lyriques.

4) Wolfgang Amadeus Mozart (1756-1791) :

Symphonie n°41 en ut majeur, K. 551

= Eugen Jochum, Orchestre symphonique de Bamberg

(Orfeo, mars 1982)

Vingt ans plus tôt, Jochum nous avait déjà laissé une fière Jupiter avec le Concertgebouworkest (Philips),
droite et altière, voire un peu trop orthogonale et drue.
Ici, au soir de sa carrière, il semble beaucoup plus décontracté : les phrasés respirent souverainement, les tempos s'étirent, le ton se fait convivial,
et l'orchestre bavarois envoûte par le charme et l'envergure de sa sonorité.
J'aime beaucoup l'étoffe que le maestro accorde au menuet, et comment il y soigne les équilibres, par exemple les trompettes qui ressortent un peu plus qu'à l'habitude.
Toute une vie d'expérience permet ici une lecture aussi sûre, et pourtant sans une once de crispation.
Le Finale magnifiquement ouvragé par une baguette rayonnante mais humble : précis et soyeux, dirigé sans triomphalisme.
Ajoutons une superbe prise de son, et voilà encore un éminent enregistrement de cet opus.
Quel embarras du choix, je me demande lequel je vais bien pouvoir sélectionner pour mes Mélomaniac d'Or  

5) Ludwig van Beethoven (1770-1827) :

Symphonie n°9 en ré mineur, Op. 125

Inge Borkh, soprano
Ruth Siewert, contralto
Richard Lewis, ténor
Ludwig Weber, basse
René Leibowitz, Beecham Choral Society, Royal Philharmonic Orchestra

(Reader's Digest, juin 1961)

Tiré du décapant cycle beethovénien que le chef franco-polonais enregistra au début des années 1960 avec le Royal Philharmonic,
finement capté par la RCA (aux manettes, Kenneth Wilkinson dont les prises de son étaient un modèle pour l'époque).
L'approche interprétative n'a pas pris une ride (cursive, survoltée, intrépide) et s'avère singulièrement en phase avec les critères de nos oreilles d'aujourd'hui,
qui ont connu la « révolution baroqueuse ».
Leibowitz suivit l'enseignement de Pierre Monteux, et sa direction ferme, nette, élancée rappelle souvent la baguette du chef moustachu.
L'allegro non tropppo s'en trouve électrisé avec des climax qui éblouissent sans lourdeur, -il ne manque ici qu'une vision fédératrice
que quelques rares baguettes ont su unifier dans un geste démiurgique (je tais ces noms car ils prétendent au Mélomaniac d'Or dont la liste reste secrète).
Le molto vivace mousse et pétille avec un entrain irrésistible !
Dès l'introduction mordante (quel parfait tracé des contrebasses !), le Finale démarre sous haute tension et récuse toute pompe.
La Beecham Choral Society est particulièrement en verve et le plateau de solistes manifeste un engagement exceptionnel.
Leibowitz fait jaillir l'enthousiasme de cette Ode à la Joie avec une alliance d'impérieuse maîtrise et de spontanéité libératrice qui laisse toujours aussi pantois.

Bach : Le Clavier bien Tempéré Livre I (Richter)

Benedictus a écrit:

• Ropartz:

Requiem de Ropartz
Catherine Dubosc (soprano), Jacqueline Mayeur (mezzo-soprano), Michel Piquemal / Chœur Régional Vittoria d’Ile de France, Ensemble Instrumental Jean-Walter Audoli
Paris, IV.1991
Accord
Je ne l’avais pas réécouté depuis qu’on en avait causé cet hiver sur le fil Ropartz. Cette économie de moyens, cette expressivité directe et puis cette lumière du chœur...  

DavidLeMarrec a écrit:

J'en ai entendu récemment d'encore plus beaux qui n'ont toujours pas été enregistrés, notamment du côté profane : il reste beaucoup à explorer dans ce domaine de son catalogue !

Vous en avez trop dit M. Le Marrec et donc pas assez.
Lesquels ? Où ? Profanes ? son catalogue ? celui de Ropartz ? Qu'est-ce à dire ?

Benedictus a écrit:

[size=10]Je crains d’avoir réveillé le démon glottophile qui sommeille chez Xavier en ayant parlé de Brigitte Fassbaender dans le lied, l’autre jour...

Si tu savais...

Iskender a écrit:

Tchaïkovsky : Symphonie n°1 "Rêves d'hiver" - Royal philharmonie, Vasily Petrenko - avec partition

Qu'est-ce-que j'aime cette symphonie J'en avais parlé sur le fil discographie, l'intégrale Petrenko est inégale, mais cette 1ère est magistrale. Nerveuse, tranchante, épique, et un climat et un chant magnifiques dans le mouvement lent. Et ça a beau être à Liverpool (dont le son a bien évolué avec Petrenko), je trouve que tout cela sonne très russe.

Je trouve qu'il a mieux réussi les 3 premières symphonies que les 3 dernières. Le son a beaucoup évolué et en concert cette orchestre a un niveau incroyable (j'ai rarement entendu une telle cohésion dans un orchestre, cela s'entend qu'il les fait bosser très dur).
Et bien sûr cela sonne très russe. Comme Jurowski avec le LPO ou Kitaenko avec le Gurzenich, Petrenko a cette capacité à faire sonner russe des orchestres non russes (même le Philharmonique de Radio France dans mon souvenir d'un concert de 2013).

Gustave Holst
Les planètes
Transcription pour 2 pianos par G.H.

Robert Chamberlain & Len Vorster

Label Naxos

Une devinette chez CsS

Debussy: Fêtes galantes I/Villanueva, David

 

Debussy: Le jet d'eau (arr. pour quintette de B.Menut)/Villanueva, Quintette Syntonia

 

Je sens déjà que ça va être un de mes prochains disques de chevet.

Xavier a écrit:

Debussy: Fêtes galantes I/Villanueva, David

 

Debussy: Le jet d'eau (arr. pour quintette de B.Menut)/Villanueva, Quintette Syntonia

 

Je sens déjà que ça va être un de mes prochains disques de chevet.

C'est un vieux disque ou ça vient de paraître ?

Romain David, je suppose ?

Ah mais oui, c'est le disque avec Tôn Thất Tiết ! J'ai découvert son existence la semaine dernière, il est sur ma liste !

Luigi Boccherini
* Quatre Quintettes à Cordes: op.13 no.5, op.20 no.4, op.37 nos. 1 & 2
Ensemble Philharmonia de Berlin
Denon, 1988

DavidLeMarrec a écrit:

charles.ogier a écrit:

Gustave Holst
Les planètes
Transcription pour 2 pianos par G.H.

Robert Chamberlain & Len Vorster

Label Naxos

Une devinette chez CsS

Oui, je lis et apprécie régulièrement CsS
et évidemment, je n'ai pas trouvé.
Le rythme/martèlement de Mars aurait été nettement plus simple.

Les Fjords de la Nuit...





Au programme ce soir :     E. Grieg – A. Sallinen – J. Sibelius – C. Nielsen



Ce soir, révélation du premier Mélomaniac d'Or septentrional !

1) Edvard Grieg (1843-1907) :

Suite Holberg, Op. 40

= Neville Marriner, Academy of St Martin in the Fields

(Argo, mai 1970)

2) Aulis Sallinen (1935) :

Symphonie n°3, Op. 35

= Ari Rasilainen, Orchestre philharmonique de Rhénanie-Palatinat

(CPO, février 2004)

3) Jean Sibelius (1865-1957) :

Légendes de Lemminkäinen, Op. 22

= Horst Stein, Orchestre de la Suisse romande

(Decca, janvier 1980)

Pénultième étape des enregistrements sibéliens que Stein réalisa dans la décennie 1971-1981, marqués par la dramatisation du propos et un style flamboyant.
On sent l'orchestre tenu de main de fer, particulièrement dans le Finale, toutefois la poésie n'est pas éconduite par le geste vif du chef allemand,
mais se trouve concentrée, intensifiée.
Les couleurs helvètes, typiques sous le règne d'Ansermet, semblent un peu « internationalisées » et durcies,
moins pittoresques mais certes plus affinées et précises, ce qui nous vaut un cygne de Tuonela presque épuré.
Pour le cycle entier, ma référence reste la prestation d'Ormandy à Philadelphie (Emi),
virtuose et disposant d'un orchestre virtuose qui se surpasse encore (un de ses plus grands disques).
Mais cette version suisse présente quand même un brio certain, d'autant remarquable qu'on a connu cet orchestre moins investi.

Catégorie orchestrale -rang 096°/250




Guennadi Rojdestvenski (1931-2018)


4) Jean Sibelius (1865-1957) :

Symphonie n°5 en mi bémol, Op. 82

= Guennadi Rojdestvenski, Orchestre de la Radio et Télévision d'URSS

(Melodiya, 1973)

Première révélation septentrionale dans la série des Mélomaniac d'Or.
Un compositeur qui m'accompagne depuis l'enfance, et qui va souvent revenir dans ce palmarès.
Profitons-en pour rappeler qu'en tant qu'intégrale, je conseille prioritairement celle de John Barbirolli à Manchester (Emi),
qui concilie architecture, expressivité, justesse idiomatique, capté dans une perspective vaste et dynamique.
Élire ma version préférée de chaque symphonie m'a donné du fil à retordre,
puisque j'ai essayé de dresser un panorama représentatif des différentes tendances interprétatives, tout en filtrant par mes goûts.
J'avais découvert cet opus avec Colin Davis à Boston (Philips), dont le geste vif et lubrifié manque un peu de poids dramatique, de densité chromatique.
Demeurent maints valeureux prétendants : Barbirolli (outre l'intégrale précitée, voir aussi son vinyle chez Pye en mai 1957) dont l'approche chaleureuse convient parfaitement.
Dès les années 1930 et les gravures du vétéran Robert Kajanus, l'Angleterre s'affirma une terre d'asile pour la discographie sibélienne.
Après-guerre, le Philharmonia fut souvent sollicité, et on thésaurisera les témoignages de Karajan (1952 puis 1960, champion de cette œuvre qu'il grava quatre fois
durant sa carrière, à Londres et Berlin), Ashkenazy (Decca, 1980). Moindrement Rattle (1981, certes préférable à son fade cycle de Birmingham) et Salonen (CBS, 1986).
Mais plutôt Georges Prêtre (RCA, 1967, improbable en ce répertoire mais d'une plastique superbe).
Au rayon british, on réécoutera aussi Malcolm Sargent (HMV, 1958) avec les forces de la BBC, convaincant à tout point de vue.
Et Alexander Gibson (RCA, 1959) d'une phonogénie qui profitait de la stéréophonie naissante.
J'avais aussi songé à consacrer Bernstein à Vienne (DG), majestueux et bouleversant.
En revanche, les interprétations nordiques me semblent souvent trop sèches et anguleuses dans cet opus tout en courbes.
A connaître toutefois : la réinvention quasiment terroriste d'Erix Tuxen avec la Radio danoise (Decca, 1952), qui transforme les fjords en scène de cauchemar.
.
La version que finalement j'ai choisie était préconisée par deux de nos camarades dans leur "intégrale idéale en kit" : en juin 2014 par André,
et en août 2016 par Pohjola dont le pseudonyme indique combien il est digne de foi dans ce corpus.
Tirée d'une intégrale qui crève l'écran, au point de fatiguer l'oreille dans les symphonies déjà épiques en soi (1°, 2°).
Mais là dans cette 5°, les vertus de Rojdestvenski agissent comme un puissant révélateur, injectant un carburant qui refonde l'approche et galvanise l'écoute.
Moins que le tempo, raisonnable, c'est le relief d'ensemble, la turgescence des phrasés, l'incessante stimulation du texte qui nous valent une prestation brossée à fresque,
sous une obédience qu'on doit bien qualifier d'ultraromantique, touillée dans un bouillant chaudron de chamane. Et les pupitres moscovites s'y plongent corps et âme.
Certes il faut accepter le vibrato des cuivres soviétiques, la verdeur des bois, un jeu parfois forcé voire poussif :
le climax à la fin de l'allegro moderato (7'56-) s'en trouve calciné ! Un turbo-jet qui décolle à la verticale les réacteurs en flamme !
Voici le prix à payer pour cette interprétation au demeurant captivante de part en part : on n'a jamais entendu tant de passion,
dans un Andante qu'on croyait calme ! Jusqu'aux pizzicatos des violons, ici tout maintient la fièvre.
Alors imaginez le zèle de l'allegro molto : trémulation des cordes poussées à l'exploit, les contrebasses embrayent rageusement (1'10-),
mais les cors semblent un peu trop ouverts et brillants (1'17-), au risque de la dépressurisation, combattue par une sustentation à ailes déployées
qui saura trouver son essor par l'envergure plutôt que la portance. On a eu chaud. Quelle prouesse aérodynamique ! Un gigantesque oiseau de feu strie un ciel d'azur.
Dans ces paysages de granit qu'on croyait voués à la contemplation, voilà une interprétation branchée à 100 000 volts, en violent contraste avec toutes les autres :
personne n'a égalé (ni même cherché) la pyrotechnie du chef russe qui sème l'incendie dans la toundra et transforme les aurores boréales en tempête solaire.

charles.ogier a écrit:

DavidLeMarrec a écrit:

charles.ogier a écrit:

Gustave Holst
Les planètes
Transcription pour 2 pianos par G.H.

Robert Chamberlain & Len Vorster

Label Naxos

Une devinette chez CsS

Oui, je lis et apprécie régulièrement CsS
et évidemment, je n'ai pas trouvé.
Le rythme/martèlement de Mars aurait été nettement plus simple.

Oui, mais ça n'aurait pas montré ce que je voulais montrer !

L'ensemble de la version pour deux pianos (qui n'est même pas une transcription d'ailleurs, juste son état originel avant orchestration, façon Pelléas) mérite le détour, il est vrai.

Je vous rassure, je n'aurais pas trouvé non plus !

Église abbatiale de Bad Gandersheim (Allemagne, Basse-Saxe)


5) Carl Nielsen (1865-1931) :

Commotio, Op. 58

= Friedhelm Flamme, Orgue Mülheisen de l'église abbatiale de Bad Gandersheim

(CPO, mai 2008)

DavidLeMarrec a écrit:

Ah mais oui, c'est le disque avec Tôn Thất Tiết !  J'ai découvert son existence la semaine dernière, il est sur ma liste !  

Oui, j'en ai dit un mot en discographie.

Debussy: Chansons de Bilitis/Deshayes, Vitaud

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Debussy: Mélodies de jeunesse, 3 poèmes de Mallarmé/Villanueva

+

Mendelssohn:

• Quatuors à cordes No 1 Op. 12; MVV R25
  
• 4 pièces pour quatuor MVV R34
  
• Quatuors à cordes MVV R18

Quatuor Minguet

Bach : Le Clavier bien Tempéré Livre II (Richter)

Bernstein : On the town - Michael Tilson Thomas, London symphony orchestra

Vraiment excellent à écouter dans son intégralité.

Franz Schubert
* Trois Sonates
(nos.1 D.384, 2 D.386 & 3 D.408)
Angèle Dubeau, violon
Anton Kuerti, piano
Analekta, 1990

Iskender a écrit:

Bernstein : On the town - Michael Tilson Thomas, London symphony orchestra

Vraiment excellent à écouter dans son intégralité.  

Je suis d'accord, un musical fabuleux qui tutoie quasiment les cîmes de WSS.

Ravélavélo a écrit:

Anton Kuerti, piano

Un nom de clavier, prédestiné pour jouer du piano...

Actéon a écrit:

Ravélavélo a écrit:

Anton Kuerti, piano

Un nom de clavier, prédestiné pour jouer du piano...

Aucune parenté avec Azerti.

Mozart: Cosi fan tutte/Blu-Ray Bychkov-Gloger

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La Chasse et autres chansons
de Clément Janequin, Guillaume Morlaye, Adrian Le Roy & Guillaume Morlaye
Ensemble Clément-Janquin
Harmonia Mundi, 1988



Des chansons du XVIe siècle,  c'est bien avant Pink Floyd, mais on en est déjà au mode polyphonique.
J'aime surtout les chansons qui ont des affinités avec le riche répertoire de la musique sacrée.
On note aussi quelques titres de musique instrumentale au luth.

Mahler symphonie No 6
Teodor Currentzis

Claude Debussy
* La Mer
* Prélude à l'après-midi d'un faune
Chicago Symphony Orchestra
Sir Georg Solti
Decca/London, 1992

Je l'écoute depuis que je me suis réveillé ce matin et je vais l'acheter ce soir après le boulot à la FNAC. J'ai partagé plusieurs titres sur mon Facebook en ne faisant que des louanges pour le chant et l'investissement des deux artistes lyriques. Alagna dans Puccini, c'est le combo gagnant, même avec des sanglots dans la voix et une voix peut-être moins solaire qu'il y a 15 ans. Kurzak, je préfère à Gheorghiu, l'aigu si on pinaille est parfois un petit peu induré mais le timbre reste splendide, la soprano très sensible.

Johannes Brahms
* Concerto en Ré majeur op.77
Yehudi Menuhin, violon
Philharmonie de Berlin
Rudolf Kempe
EMI 'Laser', 1958

Ludwig van Beethoven
* Symphonie no.6 'Pastorale'
Philharmonie de Vienne
Abbado
DG, 1986
* Symphonie no.9: Presto (IVe mvt.)
Soederstroem/Resnik Vickers/Ward
LSO/Choeur & Orchestre
Pierre Monteux
CD MCA 'Millenium Classics' (Compilation)

Surtout pour le trop bref extrait de la Neuvième sous la direction de Pierre Monteux.

Bruneau: Requiem/Mercier

+

Mahler, symphonie No. 5
Daniel Harding

Cette série démarre bien. Je trouve Harding s'impose petit à petit comme un bon chef Mahlérien parmi les "jeunes".