Playlist (136)

Jō Kondō : Calamintha pour guitare        2000 / Schröder
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Jō Kondō : Bonjin pour voix de femme, flûte alto et contrebasse        1985 / Enns, Schmeling, Schäfer (S.)
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Jō Kondō : Pergola pour flûte et piano         1994 / Schmeling, Leistritz

Jō Kondō : Lotus dam pour mezzo-soprano et violon         2002 / Enns, Deskalakis

Jō Kondō : Six poems of Mokichi Saito pour mezzo-soprano et piano        2000 / Enns, Leistritz
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Jō Kondō : Dithyramb pour flûte et guitare        1996 / Schmeling, Schröder
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Jō Kondō : Strands III pour violon et piano        1981 / Deskalakis, Leistritz

Jō Kondō : Twayn pour flûte et percussion        2002 / Schmeling, Kaul
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Jō Kondō : Three songs of the old elberry tree pour violon et percussion        1995 / Deskalakis, Kaul
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greg skywalker a écrit:

Rossini Ouvertures      Giulini/PhilharmoniaOrchestra

Des oeuvres qui me plaisent et que j'écoute souvent, surtout L'Italienne à Alger.

Frédéric Chopin
* Andante spianato + Grande Polonaise op. 22
* Scherzo no. 2 op. 31
Martha Argerich, piano ( DG, 1975)

Mahler, Symphonie No.3, CD1.  Gielen


quel luxe de détails !

Jonathan Harvey : Vers pour piano        2000 / Hoelscher
 
Jonathan Harvey : Run before lightning pour flûte et piano        2004 / Grehl, Hoelscher
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Jonathan Harvey : Nataraja pour flûte et piano        1983 / Grehl, Hoelscher

Jonathan Harvey : ff pour piano        1995 / Hoelscher

Jonathan Harvey : Homage to Cage, ...Chopin (und Ligeti ist auch dabei) pour piano        1998 / Hoelscher

Jonathan Harvey : Haiku pour piano        1997 / Hoelscher

L. v. Beethoven
* Symphonies nos. 5 et 6
* Ouverture Egmont
Philharmonie de Vienne
Karl Böhm (DG, 1970 à 1972)

Waltherhausen, Oberst Chabert, I et II
un CD qui attendait une écoute depuis un certain temps ... à réécouter - et puis à finir, aussi, mais pour l'instant, c'est vraiment très très beau.

Debussy, Prélude à l'après midi d'un faune. Herras-Casado

ma version préférée du faune

Iannis Xenakis : Ikhoor pour trio à cordes        1978 / Trio à cordes de Paris

Yoshihisa Taïra : Dioptase pour trio à cordes        1973 / Trio à cordes de Paris
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Alain Moëne : Trio à cordes pour trio à cordes        1980 / Trio à cordes de Paris

Tôn-Thất Tiết : Chu Ky 1 pour trio à cordes        1976 / Trio à cordes de Paris

Félix Ibarrondo : Phalène pour trio à cordes        1983 / Trio à cordes de Paris
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J'écoute maintenant sur deezer un opéra (sans livret) :
Hans Gál: Das Lied der Nacht, Op. 23 (1926)
pas mal , très mélodique , plutôt classique pour les voix et l'orchestre  , disons comme Braunfels (moins fort que les oiseaux quand même ).
Vous connaissez hans Gál ?  , avie et cpo ont sorti pas de cd : les symphonies (4),les concertos pour violon, piano, violoncelle et même mantenant les oeuvres de chambre (le trio) , et piano  ... un avis ?

anaëlle a écrit:

Waltherhausen, Oberst Chabert, I et II
un CD qui attendait une écoute depuis un certain temps ... à réécouter - et puis à finir, aussi, mais pour l'instant, c'est vraiment très très beau.

faut j'écoute cela ....

Pierre Boulez : Messagesquisse pour sept violoncelles (tr. pour sept alti)        1976 / Desjardins

Je préfère la version originale.
Paul Hindemith : Sonate pour alto        1922 / Desjardins

J S Bach
* Toccata et Fugue en ré mineur BWV 525
Ton Koopman, orgue
* Concerto pour violon en La mineur BWV 1041: Allegro
Alice Harnoncourt
Concentus Musicum de Vienne
Nikolaus Harnoncourt
Suite en do mineur BWV 997: Preludio
Luca Pianca, archiluth
* Concerto Brandebourgeois no.3: Allegro
IL Giardino Armonico
1 CD Teldec 'Das Alte Werk': Bach 2000 (The Complete Bach Edition)



Très belle compilation consacrée à Bach.
Et jolie brochette d'interprètes.

greg skywalker a écrit:

J'écoute maintenant sur deezer un opéra (sans livret) :
Hans Gál: Das Lied der Nacht, Op. 23 (1926)  
pas mal , très mélodique , plutôt classique pour les voix et l'orchestre  , disons comme Braunfels (moins fort que les oiseaux quand même ).
Vous connaissez hans Gál ?  , avie et cpo ont sorti pas de cd : les symphonies (4),les concertos pour violon, piano, violoncelle et même mantenant les oeuvres de chambre (le trio) , et piano  ... un avis ?

J'aime bien sa 1e symphonie (à la base sa Sinfonietta).

Dimitri Chostakovitch
* Symphonie no.6 op.54
Philharmonie de Berlin
Paavo Järvi

Une lecture convaincante, une sorte d'hommage de Paavo à Neeme...

Rudolf von Alt (1812-1905), -Chambre du Palais Lanckoronski (détail)

Les Nuits du boudoir...





Au programme ce soir :     R. Schumann – A. Dvořák – D. Milhaud – D. Chostakovitch – B. Bartók

1) Robert Schumann (1810-1856) :

Quintette en mi bémol majeur, Op. 44

Arnold Steinhardt, violon
John Dalley, violon
Michael Tree, alto
David Soyer, violoncelle
Artur Rubinstein, piano

(RCA, décembre 1966)

Une cinquantaine d'années séparait le pianiste polonais des membres du Guarneri Quartet, impressionnés de pouvoir collaborer avec ce vétéran
-leur rencontre avait été organisée à New York fin 1966 par le producteur Max Wilcox et s'était d'abord concrétisée par l'enregistrement du Quintette de Brahms,
en guise de galop d'essai. Mais Rubinstein voulut aborder celui de Schumann dès le lendemain, et après une fébrile séance de répétition,
les archets furent prêts pour la séance du 30 décembre, ici immortalisée !
J'adore tous les fruits de la coopération Rubinstein/Guarneri, où l'on sent le clavier galvanisé par ces jeunes musiciens, eux-mêmes attentifs comme jamais, audiblement
impressionnés d'une telle maturité, même si les séances furent toujours marqués par le respect mutuel, sans que le vieux soliste ne cherche à imposer ses vues.
Dans la discographie, on trouve nombre d'excellentes versions de cet opus schumannien, mais celle-ci reste pour moi un choix de cœur  

2) Antonín Dvořák (1841-1904) :

Sonatine en sol majeur, Op. 100

= James Galway, flûte ; Phillip Moll, piano

(RCA, novembre 1987)

Georges Auric, Imaginées, parution récente chez Erato et découverte pour moi, surprenante, enfin, d'un quelque chose nouveau d'assez consistant chez Auric, autre que Phèdre, pour me nourrir ! Mes prochaines journées musicales sont faites  .

3) Darius Milhaud (1892-1974) :

Concertino d'automne pour deux pianos et huit instruments, Op. 309

Samuel Baron, flûte
Harry Shulman, hautbois
W., K. Wilber, Gunther Schuller, cor
R. Hersh, Harold Coletta, alto
Claus Adam, violoncelle
Arthur Gold, Robert Fizdale, piano

(Columbia, juin 1952)

Ce concertino à la poésie secrète date de 1951, l'encre était encore fraiche lors de l'enregistrement, et fut écrit pour Gold & Fizdale.
Vous mesurez donc le caractère en tout point historique de cette interprétation, au demeurant remarquable.

4) Dimitri Chostakovitch (1906-1975) :

Quatuor n°8 en ut mineur, Op. 110
Quatuor n°9 en mi bémol majeur, Op. 117

Mikhail Kopelman, violon
Andreï Abramenkov, violon
Dimitri Chebaline, alto
Valentin Berlinsky, violoncelle

(Melodiya, 1978-1981)

Fauré: Barcarolles 10-13, Impromptu n°5/Pennetier

+

Fauré: Nocturnes 10-13/Pennetier

+

Auric: Imaginées I pour flûte et piano/Collard

5) Béla Bartók (1881-1945) :

Quatuor à cordes n°5, Sz. 102

Antonín Novák, violon
Dušan Pandula, violon
Josef Podjukl, alto
Jaroslav Chovanec, violoncelle

(Philips, juillet 1965)

Mozart Symphonie n°38   rené Jacobs / Freiburger barockorchester

Bernd Alois Zimmermann : Sonate pour alto        1955 / Desjardins

Emmanuel Nunes : Einspielung III pour alto        1982 / Desjardins

Wolfgang Rihm : Canzone nuova pour cinq alti        1982-2006 / Desjardins

Jonathan Harvey : Ricercare una melodia pour alto et électronique        1984 / Desjardins

Ivan Fedele : Elettre pour alto et électronique live        1999 / Desjardins
 +

Mélomaniac a écrit:

3) Darius Milhaud (1892-1974) :

Concertino d'automne pour deux pianos et huit instruments, Op. 309

Samuel Baron, flûte
Harry Shulman, hautbois
W., K. Wilber, Gunther Schuller, cor
R. Hersh, Harold Coletta, alto
Claus Adam, violoncelle
Arthur Gold, Robert Fizdale, piano

(Columbia, juin 1952)

Ce concertino à la poésie secrète date de 1951, l'encre était encore fraiche lors de l'enregistrement, et fut écrit pour Gold & Fizdale.
Vous mesurez donc le caractère en tout point historique de cette interprétation, au demeurant remarquable.

Oui, il a écrit un concertino pour chaque saison.

Prokofiev : Symphonie n°2 - Berliner Philharmoniker, Seiji Ozawa

Prokofiev : L'amour des trois oranges, suite d'orchestre - Junge deutsche Philharmonie, Riccardo Chailly

Bruno Giner : Ambos pour deux cors        2013 / Deleplancque, Bouchard
 +
Bruno Giner : Équis pour quatuor de saxophones        1998-99 / Quatuor XASAX
 +
Bruno Giner : Kern pour contrebasse        1995 / Stochl

Bruno Giner : Ten (version 1) pour clarinette, violoncelle et piano        1990 / Ensemble Aleph

Bruno Giner : Rauxa pour accordéon et deux percussions        2014 / Millet, Durot, Hanna

Bruno Giner : "K" pour flûte à bec et sons fixés        1987 / Udina, Izquierdo
 +
Bruno Giner : Yoshihisa (in memoriam) pour marimba        2009 / Marandola

Benjamin Britten 4 sea interludes op33a  Ulster orchestra/Vernon Handley  
Ma première rencontre avec Britten , c'est ces 4 sea interludes , et naturellement l'opera Peter Grimes .

Debussy, CD4 de l’Intégrale Ligia
évidemment
je pense que j’ai vraiment un faible pour les vieux pianos dans Debussy.

Mahler, Symphonie No.5. Kondrashin

j'ai vu Mort à Venise hier ... donc j'en profite pour étrenner le coffret Kondrashin !

J S Bach
* Concertos brandebourgeois nos. 1 et 6
I Musici
2 CD Decca

Henryk Górecki
* Symphonie no. 3
Dawn Upshaw, soprano
London Sinfonietta
David Zinman
1 CD Elektra Nonesuch, 1992

Les Gauloiseries de la Nuit...





Au programme ce soir :   H. Berlioz – G. Bizet – F. Poulenc – J. Demessieux

anaëlle a écrit:

Mahler, Symphonie No.5.  Kondrashin

j'ai vu Mort à Venise hier ... donc j'en profite pour étrenner le coffret Kondrashin !  

Magnifique interprétation.

1) Hector Berlioz (1803-1869) :

Benvenuto Cellini, -Ouverture Op. 23
Béatrice et Bénédict, -Ouverture
Le Carnaval romain, Ouverture Op. 9
Le Corsaire, Ouverture Op. 21
Le Roi Lear, Ouverture Op. 4

= André Cluytens, Orchestre du Théâtre National de l'Opéra de Paris

(Columbia, septembre 1956)

2) Hector Berlioz (1803-1869) :

Benvenuto Cellini, -Ouverture Op. 23
Béatrice et Bénédict, -Ouverture
Le Carnaval romain, Ouverture Op. 9
Le Corsaire, Ouverture Op. 21

= André Cluytens, Orchestre National de la Radiotélévision Française

(Columbia, mars 1961)

Oriane a écrit:

anaëlle a écrit:

Mahler, Symphonie No.5.  Kondrashin

j'ai vu Mort à Venise hier ... donc j'en profite pour étrenner le coffret Kondrashin !  

Magnifique interprétation.

Oui, vraiment magnifique. J'avais peur que les cuivres soient un peu trop acidulés (dans le III, notamment), mais finalement c'est assez idéal.

3) Georges Bizet (1838-1875) :

Carmen, Suite

= Myung Whun Chung, Orchestre de l'Opéra Bastille

(DG, mars 1991)

Chausson: Poème de l'amour et de la mer/Gens, Bloch

Catégorie orchestrale -rang 127°/250




Georges Prêtre (1924-2017)


4) Francis Poulenc (1899-1963) :

Les Biches, Suite du ballet

= Georges Prêtre, Orchestre de la Société des Concerts du Conservatoire

(HMV, octobre 1961)

« Une vingtaine de femmes, ravissantes et coquettes, trois solides beaux gars en costume de rameur, réunis par une chaude journée de juillet, dans un énorme salon blanc
[...] j'estimais que cela suffisait à créer l'atmosphère érotique » écrivit Poulenc, lui-même à peine sorti de l'adolescence,
au sujet de cette musique composée en 1923 pour la saison monégasque des Ballets Russes de Diaghilev.
Une sorte de version moderne et délurée des Sylphides, d'illustration canaille des Fêtes galantes de Watteau, sans véritable argument autre que le plaisir de batifoler,
de célébrer le libertinage des années-folles, autour de ce harem de courtisanes.
Je ne suis pas fan du ballet complet, avec chœurs dont les minauderies sont trop candides à mon goût.
Mais je raffole des cinq numéros de la Suite qui en distille l'essence : la verve, le charme mélodique, l'instrumentation claire et efficace répondent au souhait de Cocteau
d'une authentique « musique française de France ». Effectivement, difficile de trouver plus franchouillard que ces Biches !
La discographie n'est pas pléthorique, mais signalons les témoignages de Charles Dutoit (Decca) et Stéphane Denève (Hänssler),
et Roger Désormière qui en avait enregistré une truculente lecture pour Decca en juin 1951.
.
J'ai choisi ce que je considère comme l'autre version de référence, en stéréophonie, superbement captée dans la vaste acoustique de la Salle Wagram.
Cette spatialisation ne dissipe rien des timbres capiteux et grasseyants de l'orchestre parisien, avec ses cordes tranchantes, ses bois délicieux (le basson, le hautbois,
aux couleurs typiquement idiomatiques), ses cuivres brillants et savoureux (d'autant que la partition leur confie maintes interventions solistes). Ces vertus-là sont attendues,
génétiques oserait-on dire. Mais surtout, les pupitres du Conservatoire arborent une discipline voire une virtuosité qu'on ne leur connaissait pas toujours en ce temps-là.
Dans un grisant élan de spontanéité, le jeune chef (trente-sept ans lors de sessions) trouve le ton, le style exacts.
Il opte pour des temps enlevés, qui accusent l'entrain du trépidant Rondeau (plus catchy tu meurs !), de la Rag-mazurka, du Final.
Sous son intrépide baguette, l'Adagietto et l'Andantino s'acoquinent sans s'amollir, en conservant ce ton parfaitement équilibré (à l'instar du Pulcinella de Stravinsky)
entre néoclassicisme et exubérance, entre droiture et gourmandise.
Voilà vingt minutes d'irrésistibles séductions, un concentré de joie de vivre, une carte postale depuis un pays de cocagne où les mœurs insouciantes
s'adonnent sans arrière-pensée. Heureuse époque !
Une partition frivole ?
Oui, à se pâmer, et un bout de patrimoine thésaurisé par ce programme de ballets contemporains (les trois compositeurs vivaient encore) gravé voilà presque soixante ans !
A travers lui, « c'est tout un pan de la culture française que font revivre avec élégance Georges Prêtre et l'Orchestre de la Société des Concerts du Conservatoire »
lisait-on à l'appui du Diapason d'Or qui récompensait sa réédition en CD.
Un album emblématique, porte-drapeau en son genre. Et un très grand disque.

Auric: Imaginées II/Lodéon, Collard

Liszt: Lieder/D'Oustrac

5) Jeanne Demessieux (1921-1968) :

Poème pour orgue et orchestre, Op. 9

= Ulrich Meldau, orgue de la Tonhalle ; Daniel Schweizer, Orchestre symphonique de Zurich

(Motette, mars 1994)

Maurice Ravel: Introduction et Allegro
Francis Poulenc: Trio pour hautbois, basson & piano
Ensemble Melos de Londres
1 LP Angel EMI, 1969

Franz Schubert
* Die Schöne Müllerin
Dietrich Fischer-Dieskau, baryton
Gerald Moore, piano
Coffret DG, 1972



Beaucoup plus sage que Souzay.
Le piano de Moore beaucoup plus flou, plus legato que celui de Baldwin.

Xavier a écrit:

Chausson: Poème de l'amour et de la mer/Gens, Bloch

Oh oh oh c'est quoi ces privilégiés ???

Ouais, j'ai une connexion internet.

Vincent Dumestre et Le Poème Harmonique
Plaisir d'amour

Voir ICI

Xavier a écrit:

Ouais, j'ai une connexion internet.

J'ai fait pareil ce matin en venant au boulot!