Playlist (150)

Saint-Saëns - Requiem, Op.54

Howells - Requiem

Thomasl47 a écrit:

Howells - Requiem

Ça c'est un disque fabuleux !

Oui, étonnant ce requiem qui m'était jusqu'alors totalement inconnu. Très apaisé avec des voix magnifiques, belle découverte (grâce à ton blog ), étrange que ce ne soit pas plus connu.

Thomasl47 a écrit:

Oui, étonnant ce requiem qui m'était jusqu'alors totalement inconnu. Très apaisé avec des voix magnifiques, belle découverte (grâce à ton blog ), étrange que ce ne soit pas plus connu.

Les raretés on en trouve 13 à la douzaine. Lundi soir j'étais à un concert ou il y en avait un bon paquet; mais ça, je posterai dans le sujet adéquate

Thomasl47 a écrit:

Oui, étonnant ce requiem qui m'était jusqu'alors totalement inconnu. Très apaisé avec des voix magnifiques, belle découverte (grâce à ton blog ), étrange que ce ne soit pas plus connu.

Ah, si en plus c'est sur mes conseils.

Ravi que ça t'ait plu. Pour ceux qui aiment les Requiem calmes façon Fauré-Duruflé-Ropartz, on a les pendants italien et britannique, et ce n'est pas du second choix en effet !

DavidLeMarrec a écrit:

Pour ceux qui aiment les Requiem calmes façon Fauré-Duruflé

Certainement parmi mon top 5 des requiems donc oui pas étonnant que le disque Howells/Pizzetti me plaise !

luisa miller a écrit:

Thomasl47 a écrit:

Oui, étonnant ce requiem qui m'était jusqu'alors totalement inconnu. Très apaisé avec des voix magnifiques, belle découverte (grâce à ton blog ), étrange que ce ne soit pas plus connu.

Les raretés on en trouve 13 à la douzaine. Lundi soir j'étais à un concert ou il y en avait un bon paquet; mais ça, je posterai dans le sujet adéquate

Le "problème" c'est que plus je lis (ici et ailleurs), plus j'écoute et plus je découvre de trucs qui me plaisent qui me conduisent vers d'autres choses encore etc. C'est un cercle sans fin  (mais c'est très agréable )

Oui, la lecture du forum interrompt sans cesse ma paisible (et infructueuse) mission d'écouter toutes les parutions CPO.

Benedictus a écrit:

lulu a écrit:

Chostakovitch c’est Chostakovitch, alors que tous les autres, c’est limité à un public de niche plongé dans la musique soviétique et prêt à écouter des mp3 enregistrés dans des piscines soviétiques^Ⓒ qui circulent sur des forums spécialisés.

Oui, c'est vraiment l'impression que ça donne.

Oui... mais comme on l'a souligné, même les symphonies de Chosta par Kondrachine sont indisponibles chez Melodiya!

Oui, de même d'ailleurs que l'intégrale Rojdestvenski - mais comme tu disais: on a quand même les intégrales Haitink, Petrenko, Kitaenko, Inbal, Bychkov, Järvi, Rostropovitch (bon...), des versions alternatives isolées de Kondrachine ou de Mravinski si on veut des vrais (sans parler des innombrables versions isolées de chacune des quinze symphonie.)

Alors que si on veut écouter les quatre symphonies de Salmanov ou de Nosyrev, il n'existe que les enregistrements de Mravinsky chez Melodiya pour le premier et ceux de Verbitsky chez Olympia pour le second - et les deux sont bien sûr épuisées. (Sauf comme disait Alifie si on maîtrise un minimum le cyrillique...)

Janacek: La Petite Renarde rusée, suite/Gardner

Aujourd’hui:

• Eugène Reuchsel: Promenades en Provence:

Pierre Labric (grandes orgues Cavaillé-Coll de Saint-Ouen de Rouen)
Rouen, IV & X.1974
Fy/Solstice

Des impressions assez mêlées - qui s’expliquent peut-être autant par le choix de l’instrument que par le langage de l’œuvre. Voir ici.

• Nielsen: Commotio, op. 58, pour orgue:

Friedhelm Flamme (orgue Mühleisen, 2000, de la Stiftskirche zu Bad Gandersheim)
Bad Gandersheim, V.2008
CPO

Du Nielsen le plus expérimental: pas franchement listener-friendly, mais terriblement impressionnant, et si on arrive à entrer dedans, totalement fascinant. Voir ici.

Koechlin: Sonate à sept/Ensembles Initium et Contraste

Beaucoup de choses dont je pourrais parler, mais le temps me manque, aussi je mentionne rapidement une découverte enthousiasmante : la musique de chambre de Boëly. D'une évidence confondante, dans une veine post-Haydn / Onslow, un sens de la mélodie fort dans un écrin au-delà du classicisme, avec des fulgurances qui préfigurent Schubert. Pourquoi seule sa musique d'orgue est-elle passée à la postérité quand il écrit si bien pour les cordes ?

Les quatuors sont à tomber, les trios pas vilains et le sextuor absolument enchanteur, c'est du cousu-main pour David. Il existe deux disques, l'un chez Naïve avec le Quatuor Mosaïques (ce que j'ai écouté), l'autre chez Chant du Monde (donc épuisé) par le Trio à cordes de Paris augmenté. Les extraits que j'ai écoutés de ce dernier sont plus qu'alléchants, j'aimerais un exemplaire qui ne coûte pas un rein... Mais j'ai apparemment le chic pour vouloir de l'introuvable, tuyaux bienvenus (idem pour les symphonies de Prokofiev et Sibelius par Rozhdestvensky, le cycle à 300 Br0u$ouF$, merci mais non merci. Melodiya encore une fois... )

Koechlin: Nocturne chromatique, L'Ancienne maison de campagne/Richards



Chefs d'oeuvre méconnus.

Georgi Sviridov : Sonate pour piano (1944)
Rudolf Kehrer

Boris Arapov : Sonate pour piano n° 1 (1970)
Boris Arapov : Sonate pour piano n° 2 (1976)
Grigori Sokolov

Georgi Sviridov (1915–1992) :
Poème à la mémoire de Sergei Essenin pour ténor, chœur et orchestre (1955–56)
Aleksei Maslennikov
Chœur de la République de Russie Alexander Yurlov
Orchestre philharmonique de Leningrad (Yuri Temirkanov)

Mon père est un paysan, cycle d’après Essenin pour ténor, baryton et piano (1956)
Aleksei Maslennikov, Igor Mozorov, Georgi Sviridov

La Russie en bois, cantate d’après Essenin pour ténor, chœur d’hommes et orchestre (1964)
Aleksei Maslennikov
Grand orchestre symphonique de la radio (Gennadi Rozhdestvensky)

lulu a écrit:

Georgi Sviridov (1915–1992) :
Poème à la mémoire de Sergei Essenin pour ténor, chœur et orchestre (1955–56)
Aleksei Maslennikov
Chœur de la République de Russie Alexander Yurlov
Orchestre philharmonique de Leningrad (Yuri Temirkanov)

Mon père est un paysan, cycle d’après Essenin pour ténor, baryton et piano (1956)
Aleksei Maslennikov, Igor Mozorov, Georgi Sviridov

La Russie en bois, cantate d’après Essenin pour ténor, chœur d’hommes et orchestre (1964)
Aleksei Maslennikov
Grand orchestre symphonique de la radio (Gennadi Rozhdestvensky)

Edit : Gueorgui nous a quitté le 6 janvier 1998.

Anders Hillborg :
- Beast sampler *** - Royal Stockholm P.O., Sakari Oramo
- O dessa ögon **** - Hannah Holgersson, Royal Stockholm P.O., Sakari Oramo
- Cold heat ** - Royal Stockholm P.O., David Zinman
- Sirens *** -  Ida Falk Winland, Hannah Holgersson, Royal Stockholm P.O., Eric Ericsson & swedish radio choirs, Esa-Pekka Salonen

➥ Je n'avais pas accroché à Eleven gates que j'ai tenté plusieurs fois, là j'ai beaucoup aimé, voire selon les œuvres adoré.  

Le concerto pour clarinette (Peacock Tales), farci de références, est vraiment sympa.

Olivier Messiaen
* Visions de l'Amen
Gareis & Pohl, pianos Fazioli
1 CD Thorofon, 2007



Les sonorités des pianos Fazioli sont magnifiques, très riches dans les graves.
Une oeuvre très émouvante interprétée de façon magistrale.

Ginastera: Quatuor à cordes n°2/Cuarteto latinoamericano

+

Olivier Messiaen
* Quatuor pour la fin du temps
Gruenberg / de Peyer / Pleeth / Béroff (Warner, 2005)



Une version extravertie avec prise sonore assez réverbérée

Ravélavélo a écrit:

Olivier Messiaen
* Quatuor pour la fin du temps
Gruenberg / de Peyer / Pleeth / Béroff (Warner, 2005)



Une version extravertie avec prise sonore assez réverbérée

Puisque tu collectionnes les versions de l'œuvre, je te recommande tout particulièrement celle du Left Coast Chamber Ensemble, que je trouve d'un naturel assez remarquables (solistes des orchestres de San Francisco et Los Angeles).

‌
Giaches de Wert .Motets.Book 1 (1566)

Très beau disque que ce premier livre de Motets, par un ensemble flamand de premier ordre.Je ne sais pas ,si l'on a fait un post ,sur ce compositeur et je serais bien incapable,d'ajouter quelque chose de valable sur lui.Pour moi, c'est de la belle musique ,très bien chantée et pas lassante du tout.Une musique sûrement moins développée et moins riche ,que celle du dernier  Monteverdi, mais qui correspond assez bien, à la musique religieuse ,qu'elle veut représenter ,par ces motets en latin.Une seule chose me paraît évidente ici, c'est que le motet se rapproche sensiblement de plus en plus du madrigal .


Giaches de Wert (1535-1596) est un compositeur franco-flamand de la fin de la Renaissance, actif en Italie. Intimement lié au centre musical progressif de Ferrare, il a été l’un des leaders dans le développement du style du madrigal de la fin de la Renaissance. Il était l’un des compositeurs de madrigaux les plus influents de la fin du XVIe siècle, en particulier sur Claudio Monteverdi, et sa musique ultérieure a été formatrice sur le développement de la musique du début de l’ère baroque.Wikipedia

Brahms: Quatuor à cordes n° 2 en la mineur op. 51 n° 2 (Quatuor Belcea).

Schoenberg: Pelleas und Melisande op. 5 (WDR Sinfonieorchester Köln, Saraste).

DavidLeMarrec a écrit:

Ravélavélo a écrit:

Olivier Messiaen
* Quatuor pour la fin du temps
Gruenberg / de Peyer / Pleeth / Béroff (Warner, 2005)



Une version extravertie avec prise sonore assez réverbérée

Puisque tu collectionnes les versions de l'œuvre, je te recommande tout particulièrement celle du Left Coast Chamber Ensemble, que je trouve d'un naturel assez remarquables (solistes des orchestres de San Francisco et Los Angeles).

Merci David, c'est noté !
Les trop brefs extraits écoutés en ligne me donnent quand même un aperçu; très belle prise sonore d'une qualité remarquable tout comme l'interprétation plutôt enjouée.

Anaxagore a écrit:

Schoenberg: Pelleas und Melisande op. 5 (WDR Sinfonieorchester Köln, Saraste).

Je ne connais pas cette version de cette oeuvre que je mets au dessus de tout.

Comment tu la situes par rapport à l'approche d'un Karajan?

DavidLeMarrec a écrit:

Thomasl47 a écrit:

Oui, étonnant ce requiem qui m'était jusqu'alors totalement inconnu. Très apaisé avec des voix magnifiques, belle découverte (grâce à ton blog ), étrange que ce ne soit pas plus connu.

Ah, si en plus c'est sur mes conseils.

Ravi que ça t'ait plu. Pour ceux qui aiment les Requiem calmes façon Fauré-Duruflé-Ropartz, on a les pendants italien et britannique, et ce n'est pas du second choix en effet !

Ah alors ça m'intéresse, car Fauré-Duruflé-Ropartz, c'est vraiment génial.

François-Bernard Mâche (*1935) :
Safous Mélè pour contralto solo, 8 voix de femmes et 9 instruments (1958–59)
Danaé pour 12 voix et percussions (1970)
Heol Dall pour 12 voix et deux pianos (2003)
Invocations pour 6 voix et deux percussionnistes (2016)

Marie-George Monet, contralto
Ensemble Musicatreize (Roland Hayrabedian)

Henze : Symphonie n°6 (Henze)
Un peu foutraque, on entend même de la guitare électrique


Rzewski: The People United Will Never Be Defeated! (Hamelin)
Magistral      


Carter : Variations pour orchestre (Levine)
Magistral bis

arnaud bellemontagne a écrit:

Henze : Symphonie n°6 (Henze)
Un peu foutraque, on entend même de la guitare électrique

on dirait qu’il essaie de rivaliser avec Gruppen sans vraiment l’admettre.
j’aime bien.

Chansons de Toile au temps du Roman de la Rose (1983)
Esther Lamandier : voix seule

arnaud bellemontagne a écrit:

Henze : Symphonie n°6 (Henze)
Un peu foutraque, on entend même de la guitare électrique

Mais... c'est trop coul ce truc !

On dirait du Schnittke sans citation de Bach.

Анастасия231 a écrit:

On dirait du Schnittke sans citation de Bach.

arnaud bellemontagne a écrit:

Anaxagore a écrit:

Schoenberg: Pelleas und Melisande op. 5 (WDR Sinfonieorchester Köln, Saraste).

Je ne connais pas cette version de cette oeuvre que je mets au dessus de tout.

Comment tu la situes par rapport à l'approche d'un Karajan?

J'ai bien aimé. L'orchestre est plus mat, moins opulent que celui de Karajan, mais c'est beaucoup plus lisible et mieux enregistré que ce dernier qui est quand même assez opaque. Par ailleurs, tout en demeurant lisible, c'est plus charnu et plus en phase avec l'esthétique expressionniste du premier Schoenberg que la lecture clinique et froide de Boulez à Chicago.

Dans une discographie étrangement assez pauvre, c'est donc un apport bienvenu. Je te conseille d'y jeter une oreille .

Boris Arapov (1905–1992) :
Concerto pour violon (1964)
Concerto pour violon, piano et percussion (1973)

Mikhail Vaiman, violon
Georgi Sokolov, piano
Nikolai Moskalenko, percussion
Orchestre symphonique de Leningrad (Arvid Jansons)
Orchestre de chambre de Leningrad (Alexander Dmitriev)

Anaxagore a écrit:

arnaud bellemontagne a écrit:

Anaxagore a écrit:

Schoenberg: Pelleas und Melisande op. 5 (WDR Sinfonieorchester Köln, Saraste).

Je ne connais pas cette version de cette oeuvre que je mets au dessus de tout.

Comment tu la situes par rapport à l'approche d'un Karajan?

J'ai bien aimé. L'orchestre est plus mat, moins opulent que celui de Karajan, mais c'est beaucoup plus lisible et mieux enregistré que ce dernier qui est quand même assez opaque. Par ailleurs, tout en demeurant lisible, c'est plus charnu et plus en phase avec l'esthétique expressionniste du premier Schoenberg que la lecture clinique et froide de Boulez à Chicago.

Dans une discographie étrangement assez pauvre, c'est donc un apport bienvenu. Je te conseille d'y jeter une oreille .

Ce que je ne vais pas manquer de faire, merci pour le topo!

Version seulement ,en deux actes de Lulu,avec suite d'orchestre pour le troisième acte. Bruno  Maderna est parfait ,même remarquable pour un enregistrement qui date de 1959.Ce sont pourtant des chanteurs ,pas vraiment tous rompus ,a ce genre de musique,sauf Ilona Steingruber en Lulu, qui s'en sort très bien,malgré une voix un peu inégale et ingrate par moments .Elle avait déjà enregistré, le rôle dix ans plus tôt.Elle incarne assez bien ,le côté pêcheresse et sensuelle de l'héroine,même si l'on a fait beaucoup mieux depuis.Heinz Rehfuss est parfait ,lui aussi en DR Schön.
Quel magnifique metteur en sons ,était Maderna, on a une vidéo très courte ou il fait répèter son orchestre dans Bartok, et il était terriblement  exigeant.La musique toujours prenante et lyrique de cet opéra,qui accompagne et soutient , le livret passionnant de cet opéra inachevé. Opéra de la déchéance ,comme aussi ,l'époque ,qui l'a vu créé.
Les autres chanteurs de ce double album sont vraiment tous excellents.

Cololi a écrit:

DavidLeMarrec a écrit:

Thomasl47 a écrit:

Oui, étonnant ce requiem qui m'était jusqu'alors totalement inconnu. Très apaisé avec des voix magnifiques, belle découverte (grâce à ton blog ), étrange que ce ne soit pas plus connu.

Ah, si en plus c'est sur mes conseils.

Ravi que ça t'ait plu. Pour ceux qui aiment les Requiem calmes façon Fauré-Duruflé-Ropartz, on a les pendants italien et britannique, et ce n'est pas du second choix en effet !

Ah alors ça m'intéresse, car Fauré-Duruflé-Ropartz, c'est vraiment génial.

Attention, je visais davantage l'atmosphère (recueillie, épurée) que le langage, qui est moins français et moins modal, j'ai l'impression. Mais ça reste de petits bijoux de pudeur sophistiquée, en particulier le Howells que je trouve vraiment touchant et nourrissant à la fois.

Hindemith, When Lilacs Last in the Dooryard Bloom'd (Requiem)
Louise Parker,
George London
The Schola Cantorum of NY
NYPO
Hindemith

Serge Prokofiev
* Symphonique no.1 ' Classique '
Orchestre de la Radio du Luxembourg
Jean Martinon

Debussy: La Mer/Casadesus

Bruno Luong a écrit:

Hindemidt, When Lilacs Last in the Dooryard Bloom'd (Requiem)
Louise Parker,
George London
The Schola Cantorum of NY
NYPO
Hindemidt

Ce Requiem d'Hindemith, est une oeuvre commandée par Robert Shaw, au compositeur à la mort de Roosevelt en 1945. C'est une oeuvre de forme classique ,ou le métier d'Hindemith,dans sa période américaine  fait merveille. Le beau texte de Whitman, avait de quoi  séduire et émouvoir le public américain.C'est une oeuvre qu'on voyait bien plus,dans les programmes des années 60,et qui a peu à peu ,disparu du circuit.C'est une oeuvre qui peut sembler has been et dépassée pour certains.

Toch: Peter Pan op.76/Botstein



Dukas: L'Apprenti sorcier/Bernstein

+

Novak: Toman/Hrusa

Boris Arapov (1905–1992) :
Les Quatre Saisons, cycle pour soprano, ténor et 9 instruments (1978)
Tatiana Melentyeva, Boris Mareshkin
un ensemble instrumental (Gennadi Rozhdestvensky)

Concerto pour violon (1963–64)
Mikhail Vaiman
Orchestre symphonique de Leningrad (Arvid Jansons)

Symphonie nº 5 (1981)
Orchestre symphonique de Leningrad (Alexander Dmitriev)