Playlist (151)

arnaud bellemontagne a écrit:

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Martinu : Symphonie n°6 (Thomson)

Un corpus remarquable.

Oui, et c'est peut-être la moins bonne du lot ! (Pas la meilleure version non plus. )

Ginastera : Concerto pour piano n°1 - Xiajin Wang, BBC Philharmonic, Juanjo Mena
Kabalevsky : Concerto pour piano n°2 - Kathryn Scott, BBC Philharmonic, Vassily Sinaisky
Barber : Concerto pour piano - Elizabeth Joy Roe, LSO, Emil Tabakov

DavidLeMarrec a écrit:

arnaud bellemontagne a écrit:

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Martinu : Symphonie n°6 (Thomson)

Un corpus remarquable.

Oui, et c'est peut-être la moins bonne du lot !  (Pas la meilleure version non plus. )

D'ailleurs c'est drôle, mais quasiment toutes ces symphonies incluent le piano.

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Mahler : Symphonie n°1 (Solti)



Ca reste la plus belle première du répertoire AMHA de celui qui n'y connait rien et aime à parler sans savoir.

Martin: Concerto pour piano n°1/Antonioli, Viotti

Martin: Concerto pour piano n°2/Antonioli, Viotti

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Prokofiev : Symphonie n°2 (Jarvi)
Dutilleux : Symphonie n°1 (Baudo)

Monteverdi : Motets et Madrigals pour 2 sopranos (Ilaria Geroldi & Marina Morelli)

Prokofiev : Symphonie n°4 (Jarvi)

Quel panard ce Frank Martin là.
Et puis la prise de son , hein la prise de son, rien que pour ça on en mangerait
Et je vois plus haut que Xavier "vient" aussi de mettre du Martin

Ropartz: Psaume 136/Piquemal

Mahler: Das Lied von der Erde/Levine

Alfredo Casella : Symphonie N° 2 en do mineur Op. 12 (1908-09)
Orchestre Symphonique de Rome
Francesco La Vecchia
Studio Naxos 2010

Une œuvre remarquable.  

Debussy: Sonate pour violoncelle et piano en ré mineur (Edgar Moreau, Bertrand Chamayou).

Debussy: Syrinx (Emmanuel Pahud).

Debussy: Sonate pour violon et piano en sol mineur (Renaud Capuçon, Bertrand Chamayou).

Debussy: Sonate pour flûte, alto et harpe (Pahud, Gérard Caussé et Marie-Pierre Langlamet).

Debussy: Trio avec piano en sol majeur (B. Chamayou, R. Capuçon et E. Moreau).

Plein de Debussy

Un peu ici aussi :

Ravel: Introduction & Allegro
Debussy: Sonata For Flute, Viola & Harp
Roussel: Serenade for Flute, Violin, Viola, Cello & Harp
Ropartz: Prelude, Marine & Chansons for Flute, Violon, Viola, Cello & Harp

(Melos Ensemble of London)

Scriabine, Sonate n°6 - Lettberg
Scriabine, Sonate n°7 - Lettberg

van Gilse, "titre en hollandais qui doit vouloir dire que ça parle de la mort de Till l'Espiègle" - Porcelijn
van Gilse, Ouverture de concert - Porcelijn

Glazounov, Concerto pour piano n°1 - Griffiths / Kolly
Faut vraiment que je me penche sérieusement sur le cas Glazounov un de ces jours.

Prokofiev : Symphonie n°5 (Jarvi)

Moui.

Paul Hindemith (1895–1963) :
Sonate pour orgue nº 1 (1937)
Sonate pour orgue nº 3 über alte Volkslieder (1940)
Sonate pour orgue nº 2 (1937)

Ferenc Farkas (1905–2000) :
Canephorae, cinq pièces pour orgue (1931)

Sebestyén Pécsi, orgue (Académie Ferenc Liszt)

Antonio Vivaldi
* Concerto ''La Tempesta di Mare''
* Concerto "Il Proteo o sia il Mondo al rovescio"
I Musici (Philips)

Alban Berg (1885–1935) : Kammerkonzert pour piano, violon et treize instruments à vents (1923–25)
György Ligeti (1923–2006) : Kammerkonzert pour 13 instruments (1970)

László Kóté, violon / Loránt Szűcs, piano
Ensemble de chambre de Budapest (András Mihály)



je me demande si ce n’est pas le seul disque Hungaroton avec une œuvre de Ligeti... qui certes fut plus lié à la vie musicale autrichienne et allemande qu’hongroise, mais quand même.

Prokofiev, Sonate pour piano n°2, Geniušas
Prokofiev, Sonate pour piano n°5, Geniušas

Dimitri Chostakovitch
* Symphonie no.13 'Babi Yar'
Göteborgs Symfoniker / Neeme Järvi (DG)

Dukas : Sonate pour piano (Hamelin)


Je ne connaissais pas (vraiment) cette sonate.
Très impressionnant et le jeu d'Hamelin ne l'est pas moins (comme d'hab' avec lui on pourrait dire).
Il faut que j'écoute le Decaux.

arnaud bellemontagne a écrit:

Il faut que j'écoute le Decaux.

Depuis le temps qu'on en cause ici, il serait temps!

• Bruckner: Symphonie n°7 en mi majeur:

François-Xavier Roth / Gürzenich-Orchester Köln
En public, Cologne, X.2019
Myrios Classics

Ce nouveau disque est une admirable réussite! Direction admirable sur tous les paramètres. Voir ici.

Szymanowski, Concerto pour violon n°2 - Skride / Petrenko

@Benedictus C'est très tentant ta version de Bruckner, faut que je me rajoute ça dans une prochaine playlist (mais pourquoi les journées sont si courtes )

Deux superbes disques de musique chorale... Je ne sais pas où les mettre en dehors de Playlist, immortalisation dans un fil dédié bienvenu...


Dove, Weir & Martin (M): Choral works (James O’Donnell dir.)

De la musique chorale anglaise moderne pour Westminster. Avec des chœurs d'enfants mais pas que (j'ai bien dû perdre 10 % de lecteurs à chaque mot, et 40 % d'un coup avec la dernière phrase).
Et... c'est apaisant. Je suis très client de Dove en tant que compositeur (un jour, j'en parlerai...), et sa musique chorale est accessible et stimulante. Accompagnement à l'orgue combinant labourage de clavier (sous forme de scintillements) et grandes pédales extatiques, accords vocaux instables qui débouchent sur des hymnes glorieux... Vast Ocean of Light est une réussite. La Missa Brevis qui suit est plus traditionnelle, avec un orgue mystique qui me fait chavirer... puis danser dans ce Gloria débordant de vie, en Carmina Burana dégraissé et enrichi. Et les élans glorieux de They will rise, j'en frissonne !
Moins sensible à l'idiome de Martin et Weir (plus de foisonnements ou de petits braillards seuls), je laisserai mieux documenté que moi en parler.


Ice Land: The Eternal Music (Graham Ross dir.)

Collection de pièces chorales islandaises, accompagnées ou non, plus une paire de bonbons pour orchestre seul. Univers hypnotique, voix superbes, et quelques bijoux absolus. Þorvaldsdóttir, avec Ad Genua, qui ouvre le programme. Effets de cordes qui résonnent, terrifiantes de désolation, harmonies déliquescentes de l'orchestre ou du chœur tandis que la soprane tient une ligne claire et recueillie. Rien de bien sophistiqué ou aventureux, mais ces multiples niveaux, en simultané ou en succession, m'ont bouleversé.
L'autre grande réussite est le Hinsta kvedja de Leifs pour orchestre à cordes. Très loin des massifs orchestraux dissonnants pour moteurs et enclumes ou des voiles de grisaille qui l'ont rendu célèbre, une pièce triste, dans un climat apaisé mais instable, presque... filmique ou britannique (?). On craint tomber dans la facilité, mais cela ne se résout jamais où on l'attend (et l'on retrouve du coup Geysir contenu, adouci, apprivoisé...). Cela me rappelle d'autres partitions tout à fait hors classique dans les couleurs que je goûte fort...
Remarquable également, le simple mais touchant Haustvísur til Máríu de Sveinsson pour chœur seul, avec ces brèves éclaircies, beaucoup d'accords non résolus qui ouvre sur la suite... Et le requiem choral de Sævarsson, notable pour ses beaux Santus et Benedictus, ou son Agnus Dei qui baigne dans une douce lumière.
Il n'y a guère que la pièce de Sigur Rós qui clôt l'album (tire-larmes, filmique et facile, ai-je noté) que je ne saurais conseiller.

arnaud bellemontagne a écrit:

Il faut que j'écoute le Decaux.

Impérativement. Ne serait-ce que pour sa place historique ! (Et puis c'est sacrément inspiré. Et ça devrait te plaire, au moins les 3 et 4.))

Sigur Ros c'est pas du (post) rock, ça ?

@David : je te dis ça

arnaud bellemontagne a écrit:

Sigur Ros c'est pas du (post) rock, ça ?

Si si, on m'a emmené les voir en concert il y a des années, j'ai trouvé le temps long...
Une pièce est au menu en version violon soliste + orchestre. Et je trouve cela toujours aussi peu satisfaisant (euphémisme). Je gage toutefois que certains aimeront, sinon ils ne seraient pas célèbres.

Mefistofele a écrit:

De la musique chorale anglaise moderne pour Westminster. Avec des chœurs d'enfants mais pas que (j'ai bien dû perdre 10 % de lecteurs à chaque mot, et 40 % d'un coup avec la dernière phrase).

Tu m'étonnes qu'après tu n'aimes pas la musique pour chœur. Il te faudra peut-être des recommandations ?

Citation :

Ice Land: The Eternal Music (Graham Ross dir.)

Collection de pièces chorales islandaises, accompagnées ou non, plus une paire de bonbons pour orchestre seul. Univers hypnotique, voix superbes, et quelques bijoux absolus. Þorvaldsdóttir, avec Ad Genua, qui ouvre le programme. Effets de cordes qui résonnent, terrifiantes de désolation, harmonies déliquescentes de l'orchestre ou du chœur tandis que la soprane tient une ligne claire et recueillie. Rien de bien sophistiqué ou aventureux, mais ces multiples niveaux, en simultané ou en succession, m'ont bouleversé.
L'autre grande réussite est le Hinsta kvedja de Leifs pour orchestre à cordes. Très loin des massifs orchestraux dissonnants pour moteurs et enclumes ou des voiles de grisaille qui l'ont rendu célèbre, une pièce triste, dans un climat apaisé mais instable, presque... filmique ou britannique (?). On craint tomber dans la facilité, mais cela ne se résout jamais où on l'attend (et l'on retrouve du coup Geysir contenu, adouci, apprivoisé...). Cela me rappelle d'autres partitions tout à fait hors classique dans les couleurs que je goûte fort...
Remarquable également, le simple mais touchant Haustvísur til Máríu de Sveinsson pour chœur seul, avec ces brèves éclaircies, beaucoup d'accords non résolus qui ouvre sur la suite... Et le requiem choral de Sævarsson, notable pour ses beaux Santus et Benedictus, ou son Agnus Dei qui baigne dans une douce lumière.
Il n'y a guère que la pièce de Sigur Rós qui clôt l'album (tire-larmes, filmique et facile, ai-je noté) que je ne saurais conseiller.

En train d'écouter. C'est très planant, un peu de la musique moderne pour chœur amateur. Pas bouleversé, mais c'est très beau. Dans une belle église chauffée avec des copains qui chantent ou pour chanter soi-même, ce doit être très chouette.

Dimitri Chostakovitch
* Symphonie no.13 'Babi Yar'
Philharmonie de St-Pétersbourg
Yuri Temirkanov (RCA)

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Decaux : Clairs de Lune (Hamelin)

Globalement, ça me semble moins austère et plus accessible que le piano de Schoenberg, je trouve par exemple la pièce La Mer très impressionniste. Ma pièce préférée demeure Le Cimetière avec ses harmonies magiques.

Brahms: Ein deutsches Requiem op. 45 (Karg, Goerne, Chœur et Orchestre de la Radio Suédoise, Harding).

Sans rien casser, c'est très bien. Une mention pour Goerne.

• Vierne: 24 Pièces de fantaisie: Suite I, op. 51:

- Günther Kaunzinger (orgue de la Basilique abbatiale de Waldsassen)
Waldsassen, V.1997
Novalis
- Kay Johannsen (orgue Kern de la Frauenkirche de Dresde)
Dresde, V.2008
Carus

Deux grandes versions, qui rehaussent significativement les œuvres - Kaunzinger fait pépier les dissonances avec une jubilation virtuose, dans des coloris vifs, voire crus, et des textures pleines de relief; Johannsen (recommandé par Cololi) est plus dans une sorte d’introversion poétique, avec un son nimbé et des timbres en camaïeux impressionnistes. Quoi qu’il en soit, Vierne gagne décidément beaucoup à n’être pas joué sur des Cavaillé-Coll!

Bartok: Suite n°1/Kocsis

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Pas un chef d'oeuvre de bout en bout (le I est un peu long et ne commence pas de façon inoubliable), mais ça mérite vraiment d'être joué et de ne pas être oublié, c'est à de nombreux passages déjà du vrai Bartok, davantage que Kossuth par exemple il me semble.
Le II et le III sont vraiment très très chouettes, très colorés, c'est par moments vraiment inspiré et original, avec quelques fulgurances évoquant le Prince de bois et le II faisant fortement penser à l'Elegie du Concerto pour orchestre.

Bartok: Danses de Transylvanie, Chants de paysans hongrois/Kocsis



Duparc: Mélodies avec orchestre/Kozena, Ticciati

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(mais Phidylé, c'est )

arnaud bellemontagne a écrit:

Ma pièce préférée demeure Le Cimetière avec ses harmonies magiques.

Et puis ses plans superposés !

Ce que je trouve le plus incroyable est la date de composition (1900, à cette époque Webern écrivait encore dans le style de Schubert…).

Ravel (pourtant fulgurant) sortait à peine de la Pavane pour une infante défunte!
Scriabine était encore tout sage aussi...

Hier

Scriabine, Sonate n°5
Scriabine, Sonate n°6
Scriabine, Sonate n°7
Au fil des réécoutes, j'en suis de plus en plus fou . Je suis encore incapable de les classer. Il est temps que je passe aux trois dernières

Ives, The unanswered question - Zeffman
J'ai pas compris la question Vous pouvez répéter ?

Monn, Concerto pour violoncelle - du Pré / Barbirolli
À vrai dire, je pense être plus emballé par du Pré que par l'œuvre qui ne m'apparaît pas très marquante.

Bach, Sonate pour violon n°1 - Kavakos
Je ne sais pas comment décrire ça, mais c'est une vraie guérison après une journée pénible

Witold Lutosławski (1913–1994) : Quatuor à cordes (1964)
Emil Petrovics (1930–2011) : Quatuor à cordes (1958)

Nouveau Quatuor de Budapest

@David : oui, un précurseur à n'en pas douter.

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Dukas : Symphonie (Jordan)

Béla Tardos (1910–1966) :
Symphonie à la mémoire des victimes du fascisme (1960)

Orchestre symphonique de la Radiotélévision hongroise (Miklós Erdélyi)

Zoltán Horusitzky (1903–1985) :
Chansons sur des poèmes chinois (1941)
Trois sonnets de Shakespeare (1954)

Margit László, soprano
Zoltán Horusitzky, piano

La Monte Young (*1935) :
Trio for Strings Original Full Length Just Intonation Version (1958–2015)

Charles Curtis, violoncelle
Reynard Rott, violoncelle
Erik Carlson, violon et alto
Christopher Otto, violon et alto

Koechlin, Sonate pour clarinette n°1 - Altmann / Henschel
Koechlin, Sonate pour clarinette n°2 - Altmann / Henschel
Koechlin, Les confidences d'un joueur de clarinette - Altmann et cie

Beethoven, Sonate n°21 - Kempff

arnaud bellemontagne a écrit:

@David : oui, un précurseur à n'en pas douter.

… mais pas sûr que tout que les autres l'aient écouté, en réalité. (Il faudrait déjà disposer d'infos sur Decaux pour commencer, or on ne trouve pas grand'chose. )

Górecki, Quatuor à cordes n°1 - Tippett Quartet
Górecki, Genesis - Elementi n°1 - Tippett Quartet
J'ai bien aimé le quatuor. L'autre pièce, composée plus jeune : des passages où c'est juste strident / grinçant, de façon qui m'a semblé un peu gratuite.

Berg : Wozzeck (Böhm / DFD / Lear / Stolze / Wünderlich)
de Grigny : Livre d'orgue - Les Hymnes (Bardon)

Abnegor a écrit:

Górecki, Quatuor à cordes n°1 - Tippett Quartet
Górecki, Genesis - Elementi n°1 - Tippett Quartet
J'ai bien aimé le quatuor. L'autre pièce, composée plus jeune : des passages où c'est juste strident / grinçant, de façon qui m'a semblé un peu gratuite.

Oui, le jeune Górecki, c'est assez hardcore.

Endre Székely (1912–1989) :
Die letzten Gesänge pour soprano, flute, cor, piano et quatuor à cordes (1983)
Adrienne Csengery, soprano
Tihamék Elek, Ferenc Tarjáni, Nóra Schmidt
Quatuor Kodály
Mátyás Antal, direction

Quatuor à cordes nº 5 (1981)
Quatuor Kodály

Rapszódia pour violon, cor et piano (1982)
Vera Gyarmati, Ferenc Tarjáni, Ágnes Katona

Dukas : La Péri (Jordan)


Ca me fait penser à du Roussel.

arnaud bellemontagne a écrit:

Dukas : La Péri (Jordan)


Ca me fait penser à du Roussel.

Ah !
Franchement je ne vois pas le rapport ^^

Ça a quand même un peu le même genre de couleurs orchestrales (et formellement le même côté «fresque» parfois un peu hiératique) que le Roussel orientaliste de Padmâvatî ou des Évocations.