Playlist (157)

Schubert: Trio n°1/Pennetier, Pasquier, Pidoux

Ginastera /Concerto pour violon.
Ruben Gonzalez - Ginastera Violin Concerto Shimada, Edmonton Symphony
Pour l'écouter/
www.youtube.com/watch?v=esMgD_uxo9o

Une autre grande version remarquable de ce concerto assez complexe.C'est le moins qu'on puisse dire.Le violoniste est tout simplement incroyable. Avec la version d'Accardo,qui reste déjà pour moi ,idéale.Là ,avec cet enregistrement Live,on a vraiment quelque chose d'époustouflant.

Nielsen : Symphonie n°3 (Dausgaard)

Wagner: Lohengrin/Meister-Schilling (Blu-ray)

Strauss: Daphne/Guggeis-Castellucci (vidéo Medici)



Varèse: Offrandes/Hannigan, Rattle (vidéo Medici)

Roman Berger (1930–2020) :
Korczak in memoriam pour mezzosoprano, flute, orgue, timbales et quatuor à cordes (2000)
Requiem da camera pour violon, violoncelle et piano (1998)

Eva Šušková, mezzo
Marek Štrbák, orgue
Quasars Ensemble (Ivan Buffa)

Peter Racine Fricker (1920–1990) :
Serenade No. 5 op. 81 pour violon et violoncelle (1979)

James Dickenson, violon
Nicholas Stringfellow, violoncelle



depuis quand Naxos fait des singles (13 minutes) ? (j’imagine que c’est un complément qui ne rentrait pas sur le disque des quatuors, par les mêmes interprètes et enregistré au même moment.)
(c’est pas mal Stringfellow comme nom pour un violoncelliste.)

Benjamin Britten (1913–1976) : Songs from the Chinese op. 58 pour voix haute et guitare (1957)
Benjamin Britten : Folk Song Arrangements Vol. 6 pour voix haute et guitare (1961)
Benjamin Britten : The Second Lute Song of the Eare of Essex from Gloriana (1953)
William Walton (1902–1983) : Anon. in Love pour ténor et guitare (1960)
Mátyás Seiber (1905–1960) : Four French Folk Songs pour voix haute et guitare (1945/59)
Peter Racine Fricker (1920–1990) : O Mistress Mine pour ténor et guitare (1961)

Peter Pears, ténor
Julian Bream, guitare

Franz Schubert : Sonate n°21 pour piano        1828 / Brendel
 ()
Je crois que cette version m'a fait tenir facilement jusqu'au bout de l'œuvre - qui finissait toujours par m'ennuyer un peu.

Ravel: Quatuor à cordes/Quatuor Hagen (DVD)



Ravel: Chansons madécasses/Deshayes (vidéo)

Bartok: Quatuor à cordes n°4/Quatuor Belcea



Avec partition.

Schoeck: Lieder avec orchestre de chambre, Sommernacht/Berg, Hering, Griffiths

+

Xavier a écrit:

Bartok: Quatuor à cordes n°4/Quatuor Belcea



Avec partition.

Alors ? C'est bien un ACBCA ?

Poursuite du cycle en cours :

Penderecki : Concerto pour violon n°2 - Anne-Sophie Mutter, LSO, Krzysztof Penderecki
Weinberg : Concerto pour violon - Linus Roth, DSO Berlin, Mihkel Kütson
Rautavaara : Concerto pour violon - Tobias Feldman, OPR Liège, Jean-Jacques Kantorow

Trois œuvres géniales.

Madetoja: Väinamöisen kylvö/Katajala, Volmer

+

Madetoja: Syksy/Tihonen, Volmer

Sibelius: Luonnotar/Juntunen, Vänskä

Ivan Buffa (*1979) :
Quasars pour alto et ensemble (2008)
Caprice II pour violon (2011)
String Quartet (2001–6)
Organismo pour ensemble (2012)
Rebirth pour ensemble (2011)
Trio pour flute, clarinette et violoncelle (2003)
Mime pour flute à bec (2016)
Creative Spirit pour ensemble (2014)
Identity pour ensemble (2017)

Yasutaka Hemmi, violon
Tosiya Suzuki, flute à bec
Quasars Ensemble (Ivan Buffa)



à force de rencontrer le nom de Buffa, je devais évidemment écouter ce récent album.
et je suis toujours gêné face à ce genre de proposition : c’est en fait très bien, même pas si lisse que ça, mais j’ai juste un sentiment d’à quoi bon : pourquoi tant de science dans l’écriture pour faire ce qui ressemble juste à des œuvres de commande où il ne semble y a voir aucune ambition de faire quelque chose de remarquable qui dise quelque chose ou qui bouscule quelque chose, pour faire quelque chose de parfaitement ciselé ou tout est en place et à sa place ?
quand je lis dans le livret : In his own words, Ivan Buffa found his way to his personal style by a happy combination of traditional compositional foundation, transmitted to him by the legendary methodological strategies of Jozef Podprocký, and a delicate, modern rythmic colour that he acquired in the class of Michael Jarrell, ça n’est pas tellement étonnant.
mais c’est curieux quand même, pourquoi le langage contemporain en est arrivé, tout en étant hyper contemporain comme ici, à ce niveau de gentilesse ?

Zoltán Bognár (*1974) : Skladba I. pre klavír (2003)
Jozef Podprocký (1944–2021) : Sonáta pre klavír opus 4 (1964/2004)
Vladimír Godár (*1956) : Trigram (1972)
Vladimír Bokes (*1946) : Volčík D dur (2002)
Boško Milaković (*1973) : Opera (per) Buffa (2002)
Viera Janárčeková (*1941) : Splitter-nackt pour piano et bande (2003)
Ivan Buffa (*1979) : ...impulzy...ozveny...sny... pour piano à quatre mains (2004)
Vladimír Bokes : Albrechtovská suita (1985/2002)
Vladimír Godár : Emmeleia pour piano à quatre mains (1994)

Ivan Buffa et Diana Cibuľová, piano

Boris Tchaikovsky




Roberto Gerhard

lulu a écrit:

Ivan Buffa (*1979) :
Quasars pour alto et ensemble (2008)
Caprice II pour violon (2011)
String Quartet (2001–6)
Organismo pour ensemble (2012)
Rebirth pour ensemble (2011)
Trio pour flute, clarinette et violoncelle (2003)
Mime pour flute à bec (2016)
Creative Spirit pour ensemble (2014)
Identity pour ensemble (2017)

Yasutaka Hemmi, violon
Tosiya Suzuki, flute à bec
Quasars Ensemble (Ivan Buffa)



à force de rencontrer le nom de Buffa, je devais évidemment écouter ce récent album.
et je suis toujours gêné face à ce genre de proposition : c’est en fait très bien, même pas si lisse que ça, mais j’ai juste un sentiment d’à quoi bon : pourquoi tant de science dans l’écriture pour faire ce qui ressemble juste à des œuvres de commande où il ne semble y a voir aucune ambition de faire quelque chose de remarquable qui dise quelque chose ou qui bouscule quelque chose, pour faire quelque chose de parfaitement ciselé ou tout est en place et à sa place ?
quand je lis dans le livret : In his own words, Ivan Buffa found his way to his personal style by a happy combination of traditional compositional foundation, transmitted to him by the legendary methodological strategies of Jozef Podprocký, and a delicate, modern rythmic colour that he acquired in the class of Michael Jarrell, ça n’est pas tellement étonnant.
mais c’est curieux quand même, pourquoi le langage contemporain en est arrivé, tout en étant hyper contemporain comme ici, à ce niveau de gentilesse ?

Fukuyama prophétisa à tord la fin de l'Histoire. Il aurait eu raison pour la Musique quelque soit son courant.
Le temps où la ou le compositeur pouvait s'assoir à la table de la célébrité au côté de l'interprète légendaire est terminé depuis (au pif) 50 ans.

Concerto pour violon et orchestre · Philippe Boesmans · Orchestre Philharmonique Royal de Liège · Gergely Madaras · George Tudorache
Concerto pour violon et orchestre - 1979
"Enfant, Philippe Boesmans traquait les émissions à la radio consacrées à la musique classique, montrant une fascination particulière pour les œuvres romantiques. A l’écoute de ce concerto, on retrouve les gestes de la tradition, comme les traits de virtuosité, les cadences, le découpage en trois mouvements, même si l’œuvre est écrite d'un seul tenant. Le Concerto pour violon de Tchaïkovski y est aussi cité. Le langage oscille entre atonalité dure et passages lyriques d'une grande sensualité."Nathalie Ronvaux
Pour l'écouter/
www.youtube.com/watch?v=lRsmv6N9_Fo

frgirard a écrit:

Fukuyama prophétisa à tord la fin de l'Histoire. Il aurait eu raison pour la Musique quelque soit son courant.
Le temps où la ou le compositeur pouvait s'assoir à la table de la célébrité au côté de l'interprète légendaire est terminé depuis (au pif) 50 ans.

Pas très explicite pour moi, ton raisonnement,je me demande même ,si j'ai bien saisi?
Tu veux bien dire ,qu'entre les compositeurs et leurs interprètes,  il y a aujourd'hui,un fossé?
Pourtant beaucoup d'interprètes connus, font toujours des commandes à des compositeurs, il me semble? Je dirais même , que c'est souvent ce qui les motive.Mais peut être ai-je mal compris?
A moins que pour toi, il n'y ait plus d'interprètes légendaires, genre Casals ou Toscanini?
Moi ce que je remarque, c'est que les orchestres sont de plus en plus bons, des quatuors à cordes fabuleux,la musique baroque, à un niveau jamais atteint, des pianistes formidables,et je pourrais m'étendre , alors là fin de l'histoire, pour la musique,elle est plutôt au prochain numéro .

gluckhand a écrit:

Pas très explicite pour moi, ton raisonnement,je me demande même ,si j'ai bien saisi?

je vois pas le rapport, surtout.
(ni entre mon propos et la « fin de l’histoire », encore que là je peux un peu imaginer, et encore moins entre la première et la deuxième ligne.)

.

Grandes œuvres et concerts du maestro Rubén González Partie III
En hommage au grand musicien et compositeur Rubén González
Concerto pour violoncelle , violon et orchestre de Brahms, avec Ruben Gonzalez  au violon et Sally Guenther au violoncelle .
Pour l'écouter/
www.youtube.com/watch?v=/1QgBE5K8Cfk

gluckhand a écrit:

Moi ce que je remarque, c'est que les orchestres sont de plus en plus bons, des quatuors à cordes fabuleux,la musique baroque, à un niveau jamais atteint, des pianistes formidables,et je pourrais m'étendre

Oui, ils sont même tous si incroyablement bons que ça finit un peu par se dissoudre dans un bain d'excellence indifférenciée — au point que je finis par me demander ce que ça signifie exactement d'être bon, ou plutôt si toute cette qualité faramineuse a vraiment un sens au bout du compte, si c'est vraiment de cela que l'humanité a besoin (on parle de musique ici mais c'est vrai de beaucoup de domaines, pas seulement artistiques)...
Pour rester dans la musique, il me semble que c'est dû au fait qu'il n'y a pas tellement plus d'interprètes, de compositeurs, d'œuvres réellement originales et extraordinaires au sens propre (pour ne pas dire géniales) qu'auparavant, mais que ces exceptions sont noyées dans un tel océan d'"excellence" (au sens d'un savoir faire théorique, technique, professionnel, vraiment énorme) qu'elles sont de plus en plus difficiles à repérer...
De là à avoir le sentiment d'une sorte de "devenir IA" généralisé (autrement dit, d'une convergence entre un savoir faire humain de plus en plus lissé et standardisé et des logiciels/robots de plus en plus perfectionnés)... Pas très originales, ces considérations, mais pas vraiment anodines non plus.

Golisande, je vais pas essayer de contrer ton pessimisme naturel, il y aurait , trop de boulot.Tu vois, pour moi ,la Playlist, au moins, elle me sert à faire partager, ce que je trouve bon, et ça n'arrête pas crois-moi, je me limite énormément,pour ne pas envahir le forum.

Pardon. Oui il y a beaucoup, beaucoup de choses et de gens très très bien, ça me semble indéniable, et ce n'est très certainement pas un mal en soi...

gluckhand a écrit:

frgirard a écrit:

Fukuyama prophétisa à tord la fin de l'Histoire. Il aurait eu raison pour la Musique quelque soit son courant.
Le temps où la ou le compositeur pouvait s'assoir à la table de la célébrité au côté de l'interprète légendaire est terminé depuis (au pif) 50 ans.

Pas très explicite pour moi, ton raisonnement,je me demande même ,si j'ai bien saisi?
Tu veux bien dire ,qu'entre les compositeurs et leurs interprètes,  il y a aujourd'hui,un fossé?
Pourtant beaucoup d'interprètes connus, font toujours des commandes à des compositeurs, il me semble? Je dirais même , que c'est souvent ce qui les motive.Mais peut être ai-je mal compris?
A moins que pour toi, il n'y ait plus d'interprètes légendaires, genre Casals ou Toscanini?
Moi ce que je remarque, c'est que les orchestres sont de plus en plus bons, des quatuors à cordes fabuleux,la musique baroque, à un niveau jamais atteint, des pianistes formidables,et je pourrais m'étendre , alors là fin de l'histoire, pour la musique,elle est plutôt au prochain numéro .

Buffa comme les compositeurs que tu vantes comme meilleur du XX siècle sont des compositeurs de la fin de l'Histoire condamnés à parodier ceux qui ont fait l'Histoire: des perroquets composants.
Boulez c'est l'Histoire, Buffa c'est l'anecdote. L'anecdote ne peut pas être subversive.

Reste seul face à l'Histoire l'interprète comme le bon vieux rock'n'roll : on se souvient d'Elvis mais pas de ses compositeurs.

Tu sais ,à l'époque de Bach, il y avait Haendel, Télémann, Rameau, Vivaldi et j'en passe ,donc les choses bougent dans tous les sens,à toutes les époques .Il est évident qu'il y a plus de suiveurs que de génies créateurs,si c'est ça que tu veux dire, mais l'histoire de la musique continue et il y a de grands créateurs aujourd'hui,et qui ne sont pas condamnés ,comme tu sembles le penser, qu'à passer les plats.Au temps de Monteverdi, il y a eu des musiciens aussi avancés que lui, mais qui sont passés aux oubliettes, car on ne peut tous les retenir et l'histoire de la musique,c'est un choix.
Déjà, tu n'arrives pas à ressentir d'émotion ,ni à saisir, ce qu'apporte de nouveau Allan Pettersson,dans ses symphonies,par exemple .Ce qui me fait me poser des questions sur ta réflexion sur la musique . Là , tu nous fais le même coup du marxiste , que l'histoire ne se répète pas sinon ,sous forme de farce, avec la musique en gros.
"Reste seul face à l'Histoire l'interprète." c'est une belle formule, bravo, pour l'esbrouffe,mais ça veut pas dire grand chose.

frgirard : j'envierai presque tes certitudes.

facile: il suffit de proposer des compositeurs et compositrice d'avant-garde qui font ce qui n'a jamais été fait avant.

Peut-être aussi que l'avant-garde est une notion un petit peu dépassée ?

frgirard a écrit:

pour Bruckner ca dépend des versions et qui dirige.
Gielen dans les versions non modifiées par l'éditeur, c'est mauvais.
Bruckner joué par Furtwangler c'est très bien.
à chaque fois que je vois passer Petterson, je me fends d'une écoute et à chaque fois à la fin je me demande quand ca commence.
Cela dit composer une symphonie vu l'histoire, relève de l'héroïsme ou de l'inconscience.

Si tu écoutes, toute la musique contemporaine, comme celle de Pettersson, c'est sûr que tu dois être frustré.

gluckhand a écrit:

frgirard a écrit:

pour Bruckner ca dépend des versions et qui dirige.
Gielen dans les versions non modifiées par l'éditeur, c'est mauvais.
Bruckner joué par Furtwangler c'est très bien.
à chaque fois que je vois passer Petterson, je me fends d'une écoute et à chaque fois à la fin je me demande quand ca commence.
Cela dit composer une symphonie vu l'histoire, relève de l'héroïsme ou de l'inconscience.

Si tu écoutes, toute la musique contemporaine, comme celle de Pettersson, c'est sûr que tu dois être frustré.

Tu fais des raccourcis. J'ai arrêté de courir après les avant gardes d'arrière gardes depuis un bon moment.

La musique comme langue morte n'a jamais empêché les interprètes de faire des merveilles ou des assoupissants.
France Clidat dans Satie c'est magique. Imagine Pierre Laurent Aymard dans Satie. Satie cet ancêtre de la nouvelle daube du XXI le new classical.

La frustration ne sera pas fonction du compositeur mais de l'interprète pour mon cas.

Les raccourcis, c'est plutôt toi,qui les fait , et les formules un peu blousantes "avant-garde d'arrière-garde) c'est un peu facile.Tu cites Boulez, mais rien ne dit que dans 50 ans, il soit encore écouté (d'ailleurs, il ne l'est pas tant que ça aujourd'hui et depuis sa mort, son purgatoire commence)
Difficile de parler musique sans citer de noms, et pour toi, qui sont les grands noms de la musique contemporaine qui valent le coup?
Tu te réfugies derrière l'interprète,mais ça ,c'est valable pour toutes les musiques,sans interprète, pas de musique.Il me semble que dans mon Trésor de sonates, je privilègie d'abord l'interprète, c'est le seul relais vivant avec le compositeur, mort ou vivant.

frgirard a écrit:

facile: il suffit de proposer des compositeurs et compositrice d'avant-garde qui font ce qui n'a jamais été fait avant.

bah oui, il y en a plein.
mais quand on part de certitudes c’est compliqué à comprendre je suppose.

gluckhand a écrit:

Les raccourcis, c'est plutôt toi,qui les fait , et les formules un peu blousantes "avant-garde d'arrière-garde) c'est un peu facile.Tu cites Boulez, mais rien ne dit que dans 50 ans, il soit encore écouté (d'ailleurs, il ne l'est pas tant que ça aujourd'hui et depuis sa mort, son purgatoire commence)
Difficile de parler musique sans citer de noms, et pour toi, qui sont les grands noms de la musique contemporaine qui valent le coup?
Tu te réfugies derrière l'interprète,mais ça ,c'est valable pour toutes les musiques,sans interprète, pas de musique.Il me semble que dans mon Trésor de sonates, je privilègie d'abord l'interprète, c'est le seul relais vivant avec le compositeur, mort ou vivant.

Sans interprète, certains peuvent acheter la partition.
Boulez ou Mozart dans 50 ans, y aura plus grand monde sur le caillou pour s'en préoccupé.
pour la musique contemporaine Marais et sa Sonnerie, Ravel et son Boléro, Baraqué et sa sonate impasse, Schonberg et son Pierrot lunaire, Satie le visionnaire, Pierre Henry...etc.

lulu a écrit:

frgirard a écrit:

facile: il suffit de proposer des compositeurs et compositrice d'avant-garde qui font ce qui n'a jamais été fait avant.

bah oui, il y en a plein.
mais quand on part de certitudes c’est compliqué à comprendre je suppose.

Lesquels?

j’ai pas envie de m’amuser à citer des noms que tu vas t’empresser de contredire, désolé.

lulu a écrit:

j’ai pas envie de m’amuser à citer des noms que tu vas t’empresser de contredire, désolé.

Le compositeur ou la compositrice inconnu ?

Personnellement je n'ai aucun problème avec les contradicteurs de mes goûts.

sauf qu’on ne parle pas de gouts mais d’affirmations sur l’histoire récente de la musique.

Buxtehude / Prokofiev
* Prélude & Fugue en ré mineur BuxWV 140
Boris Berman, piano

André Campra : Tancrède        1702 / Les Temps Présents et les Chantres du centre de musique baroque de Versailles (Schneebeli)
 + / 
C'est très chouette, ça !

Franck: Psyché/Tingaud



Fauré: Le Jardin clos, Mirages/Le Roux



Le Jardin clos est partagé entre Le Roux et Uria-Monzon, mais j'ai rapidement zappé les mélodies chantées par cette dernière, comment peut-on avoir idée de chanter Fauré de cette façon, au lieu de profiter du cadre du studio pour vraiment alléger et y mettre la manière, surtout qu'elle devait avoir le modèle de Le Roux sous les yeux?...
Attention, ce n'est pas juste un peu lyrique à la Crebassa ou Delunsch, c'est carrément opératique et hors-sujet...

Bartok. "Hungarian Pictures" Sz. 97.
Järvi/The Philarmonia
Chez Chandos

Ces pièces courtes (ça tombe bien quand on a peu de temps à consacrer à écouter de la musique) fourmillent littéralement de détails mélodiques et de subtiles orchestrations. Rarement je n'ai eu autant l'impression de me faire "happer" par cette espèce de cheminement musical foisonnant.

Emeryck a écrit:

André Campra : Tancrède        1702 / Les Temps Présents et les Chantres du centre de musique baroque de Versailles (Schneebeli)
 + / 
C'est très chouette, ça !

Vierne - Différents poèmes symphoniques (Les Djinns / Eros / Ballade du Désespéré / Psyché)



Très chouette ça, beaucoup aimé ma première écoute

Helmut Lachenman (b.1935)
Reigen seliger Geister, pour quatuor à cordes
Tanzsuite mit Deutschlandlied, pour orchestre avec quatuor à cordes  

Quatuor Arditti
Deutsches Symphonie-Orchester Berlin / Olaf Henzold