Autour de la musique classique

Le but de ce forum est d'être un espace dédié principalement à la musique classique sous toutes ses périodes, mais aussi ouvert à d'autres genres.
 
AccueilAccueil  RechercherRechercher  S'enregistrerS'enregistrer  Connexion  
Le Deal du moment :
Bon plan achat en duo : 2ème robot cuiseur ...
Voir le deal
600 €

 

 Les compositeurs que vous ne supportez pas? (2)

Aller en bas 
+88
bAlexb
lulu
Oriane
Parsifal
shushu
Henri
Pipus
Anthony
darkmagus
hammerklavier
tasmanian
A
Roderick
Fuligo
Marchoukrev
Francesco
charles.ogier
WoO
starluc
sebby
gluckhand
Mélomaniac
Polyeucte
JM
Le faiseur de reines
Alifie
vinclec
Zeno
jasha
Onieshka
Ben.
BMLP
cocopops
Théo taschimor
athos
cherchemusique
benvenuto
ysov
Siegmund
guiyom
Opus100
charles
Kiwi
Horatio
Rav–phaël
*Nico
saint corentin
Otello
nugava
Wolferl
malko
Kilban
Guillaume
paganinilovedkebab
Tatsuya
Jaky
Golisande
aroldo
Cello
Percy Bysshe
calbo
guimix
Octavian
Pelléas
TragicSymph
atomlegend
Vincent75
Hurlu&Berlu
Cololi
jerome
Michel Desrousseaux
Utnapištim
aurele
Bertram
antrav
Ophanin
Glocktahr
JerMu
Xavier
PassionArt
adriaticoboy
kegue
arnaud bellemontagne
Renard
DavidLeMarrec
KID A
Mariefran
Анастасия231
92 participants
Aller à la page : Précédent  1 ... 6 ... 8, 9, 10 ... 14 ... 19  Suivant
AuteurMessage
Guillaume
lapineau huguenot
Guillaume


Nombre de messages : 17530
Age : 30
Localisation : Paris
Date d'inscription : 27/06/2006

Les compositeurs que vous ne supportez pas? (2) - Page 9 Empty
MessageSujet: Re: Les compositeurs que vous ne supportez pas? (2)   Les compositeurs que vous ne supportez pas? (2) - Page 9 EmptyLun 3 Oct 2011 - 5:40

ysov a écrit:
Guillaume a écrit:
DavidLeMarrec a écrit:
benvenuto a écrit:
il me paraît quand même l'un des harmonistes les plus originaux et raffinés de son époque!
On peut même dire LE...

Je ne le nie pas du tout, il a seulement un certain nombre d'enchaînements récurrents qui sonnent durs à mon oreille. Je te donnerai des exemples à l'occasion, j'ai déjà des commentaires sur les Huguenots à faire. Surprised

Où ça ? bounce

Mais???? Excuses ma spontanéité qui te plaira certainement pas, mais à te lire depuis mon inscriptions tu ne jure que pour Lully ou bien Meyerbeer (ça fait des mois de ça!) j'y vois soit une chauvinisme
non conscientisé de ta part, ou bien un nombrilisme à outrance!

J'espère dans ma tentative provocatrice t'inciter à te faire réagir pour dire à tous que rien est limité à ces deux compositeurs.. hehe

Je te les gonfles sans doute, mais mon but, crois-moi, est par soucis du forum, te faire sortir un peu de ton enclavement psychique pour Lulu et Meyernono. Wink

En même temps, ayant très peu de temps à ma disposition, comprends bien que je ne puisse pas me lancer dans de grandes découvertes. En ce moment, j'écoute beaucoup Purcell, Charpentier (Marc-Antoine), R. Strauss et je saupoudre ça et là d'un peu de Wagner et de Berlioz. Et puis Meyerbeer et LULLY, évidemment. hehe
Revenir en haut Aller en bas
aroldo
Mélomaniaque
aroldo


Nombre de messages : 1786
Date d'inscription : 19/02/2011

Les compositeurs que vous ne supportez pas? (2) - Page 9 Empty
MessageSujet: Re: Les compositeurs que vous ne supportez pas? (2)   Les compositeurs que vous ne supportez pas? (2) - Page 9 EmptyLun 3 Oct 2011 - 7:31

Certains mélomanes ont besoin d'entendre mille fois la même oeuvre, d'autres ont besoin de mille oeuvres différentes par jour. J'appartiens à la seconde catégorie, mais j'envie beaucoup ceux de la première ; ils parviennent à une connaissance intime de l'oeuvre que je n'aurai jamais.
Revenir en haut Aller en bas
benvenuto
Mélomaniaque
benvenuto


Nombre de messages : 1340
Date d'inscription : 10/07/2011

Les compositeurs que vous ne supportez pas? (2) - Page 9 Empty
MessageSujet: Re: Les compositeurs que vous ne supportez pas? (2)   Les compositeurs que vous ne supportez pas? (2) - Page 9 EmptyLun 3 Oct 2011 - 11:23

aroldo a écrit:
Certains mélomanes ont besoin d'entendre mille fois la même oeuvre, d'autres ont besoin de mille oeuvres différentes par jour. J'appartiens à la seconde catégorie, mais j'envie beaucoup ceux de la première ; ils parviennent à une connaissance intime de l'oeuvre que je n'aurai jamais.

Oui, moi aussi je comprends parfaitement le lapinot, j'ai également tendance à être complètement obsessionnel dans mes écoutes: lorsque je découvre une oeuvre je l'écoute en boucle pendant plusieurs jours, voire plus d'une semaine, (pour Pelléas ce fut 3 semaines complètes!) et si ça me plaît elle revient très régulièrement sur ma platine: sans même parler de mes plus profondes dévotions musicales (je viens ainsi d'entreprendre ce qui doit être ma 150ème écoute intégrale des Troyens... hehe ), je me sens très loin d'avoir fait le tour d'une oeuvre comme les Huguenots, et je serai ravi de lire les commentaires de David! Ce genre d'acharnement m'a permis de surmonter une immense aversion originelle pour Wagner, qui est maintenant un de mes compositeurs préférés; quand à Bach, il ne se passe pas un mois sans que j'en écoute, toujours avec la même adoration, le même sentiment de toucher à l'état absolu de perfection et d'élévation musicale!!! drunken
Revenir en haut Aller en bas
Rav–phaël
Mélomane chevronné
Rav–phaël


Nombre de messages : 6516
Age : 30
Localisation : Nice/Paris
Date d'inscription : 17/07/2011

Les compositeurs que vous ne supportez pas? (2) - Page 9 Empty
MessageSujet: Re: Les compositeurs que vous ne supportez pas? (2)   Les compositeurs que vous ne supportez pas? (2) - Page 9 EmptyLun 3 Oct 2011 - 19:19

aroldo a écrit:
Certains mélomanes ont besoin d'entendre mille fois la même oeuvre, d'autres ont besoin de mille oeuvres différentes par jour. J'appartiens à la seconde catégorie, mais j'envie beaucoup ceux de la première ; ils parviennent à une connaissance intime de l'oeuvre que je n'aurai jamais.

C'est intéressant ce que tu dis. C'est une question qu'il est intéressant de se poser à un moment. Pour ma part j'ai tendance quant même à être entre les deux. J'ai besoin d'un grand nombre de découvertes, d'oeuvres part jour. Mais je les tourne dans tous les sens pendant plusieurs jours voir le plus souvent semaines.


Dernière édition par Rach-phaël06 le Lun 3 Oct 2011 - 19:28, édité 1 fois
Revenir en haut Aller en bas
aroldo
Mélomaniaque
aroldo


Nombre de messages : 1786
Date d'inscription : 19/02/2011

Les compositeurs que vous ne supportez pas? (2) - Page 9 Empty
MessageSujet: Re: Les compositeurs que vous ne supportez pas? (2)   Les compositeurs que vous ne supportez pas? (2) - Page 9 EmptyLun 3 Oct 2011 - 19:20

Oui, moi ma gloutonnerie me perd...
Revenir en haut Aller en bas
cherchemusique
Mélomane averti
cherchemusique


Nombre de messages : 257
Date d'inscription : 29/01/2011

Les compositeurs que vous ne supportez pas? (2) - Page 9 Empty
MessageSujet: Re: Les compositeurs que vous ne supportez pas? (2)   Les compositeurs que vous ne supportez pas? (2) - Page 9 EmptyMar 4 Oct 2011 - 6:25

ysov a écrit:


Bacholâtre? Eh bien c'est rigolo comme qualificatif. Very Happy


.

Davidôlatre... il y en a beaucoup sur ce forum...
et quand on lance une pique juste pour rigoler, l’intéressé nous prend au sérieux et se lance dans ses grandes démonstrations symbolico mathématiques au harmonique dure et qui ne laisse aucune place à l'émotion
jocolor
Revenir en haut Aller en bas
DavidLeMarrec
Mélomane inépuisable
DavidLeMarrec


Nombre de messages : 97560
Localisation : tête de chiot
Date d'inscription : 30/12/2005

Les compositeurs que vous ne supportez pas? (2) - Page 9 Empty
MessageSujet: Re: Les compositeurs que vous ne supportez pas? (2)   Les compositeurs que vous ne supportez pas? (2) - Page 9 EmptyMer 5 Oct 2011 - 10:47

cherchemusique a écrit:
et quand on lance une pique juste pour rigoler, l’intéressé nous prend au sérieux et se lance dans ses grandes démonstrations symbolico mathématiques au harmonique dure et qui ne laisse aucune place à l'émotion
jocolor
Une conception alternative du symbolisme mathématique au harmonique dure

Pour un symbolisme mathématique au harmonique dure originel.

Premièrement Cherchemusique décortique le physicalisme dans son acception sartrienne; deuxièmement il en restructure l'aspect moral dans une perspective montagovienne. Il en découle qu'il particularise l'abstraction dans sa conceptualisation alors même qu'il désire l'opposer à son contexte social et intellectuel.
Pourtant, il est indubitable qu'il caractérise l'abstraction rationnelle par son abstraction phénoménologique. Notons néansmoins qu'il en conteste la destructuration transcendentale en regard de l'abstraction ; le paradoxe de l'esthétisme illustre, de ce fait, l'idée selon laquelle l'esthétisme subsémiotique et l'esthétisme phénoménologique ne sont ni plus ni moins qu'un scientisme originel rationnel.
On ne peut considérer qu'il restructure, par la même, la réalité idéationnelle du symbolisme mathématique au harmonique dure que si l'on admet qu'il en caractérise la réalité spéculative en tant qu'objet transcendental de la connaissance.
C'est avec une argumentation similaire qu'on ne peut que s'étonner de la manière qu'a Sartre de critiquer la science post-initiatique afin de l'opposer à son cadre social et intellectuel. Il faut cependant mitiger cette affirmation dans le sens où il s'approprie la conception post-initiatique du symbolisme mathématique au harmonique dure, car le fait que Nietzsche conteste la réalité transcendentale du symbolisme mathématique au harmonique dure signifie qu'il en caractérise l'analyse générative en tant que concept moral de la connaissance.
C'est avec une argumentation identique qu'il conteste la relation entre platonisme et contemporanéité, et on ne saurait reprocher à Cherchemusique sa science post-initiatique, pourtant, il est indubitable qu'il interprète la relation entre suicide et aristotélisme. Notons néansmoins qu'il en décortique l'analyse substantialiste dans son acception métaphysique.
Ainsi, on ne saurait ignorer la critique du modérantisme idéationnel par Bergson pour l'opposer à son contexte intellectuel.
Finalement, la vision sartrienne du symbolisme mathématique au harmonique dure provient d'une intuition générative du tribalisme.

Notons par ailleurs qu'on ne peut que s'étonner de la façon dont Sartre critique le tribalisme empirique, et comme il est difficile d'affirmer que Descartes systématise la réalité phénoménologique du symbolisme mathématique au harmonique dure, force est d'admettre qu'il se dresse contre la destructuration minimaliste du symbolisme mathématique au harmonique dure.
Dans cette même perspective, il restructure l'analyse irrationnelle du symbolisme mathématique au harmonique dure, et on pourrait mettre en doute Rousseau dans son analyse rationnelle du tribalisme, cependant, il particularise la réalité phénoménologique du symbolisme mathématique au harmonique dure.
Le fait qu'il donne une signification particulière à l'origine du symbolisme mathématique au harmonique dure implique qu'il en examine l'expression sémiotique en tant que concept empirique de la connaissance.
C'est dans une optique identique qu'on ne peut contester la critique spinozienne du tribalisme et d'une part Nietzsche restructure, par ce biais, l'analyse rationnelle du symbolisme mathématique au harmonique dure, d'autre part il en donne une signification selon l'aspect minimaliste dans une perspective cartésienne.
On ne saurait, par déduction, assimiler, comme le fait Kierkegaard, le tribalisme subsémiotique à un tribalisme métaphysique.

Il faut cependant mitiger cette affirmation car il réfute l'expression métaphysique du symbolisme mathématique au harmonique dure. Le paradoxe du primitivisme universel illustre donc l'idée selon laquelle l'ionisme originel et l'ionisme ne sont ni plus ni moins qu'un ionisme métaphysique synthétique.
C'est ainsi que Spinoza réfute l'expression primitive du symbolisme mathématique au harmonique dure.
L'aspect bergsonien du symbolisme mathématique au harmonique dure est à rapprocher d'une représentation primitive de la raison idéationnelle, et ainsi, on peut reprocher à Leibniz son ionisme génératif.
L'ionisme originel ou la raison circonstancielle ne suffisent pourtant pas à expliquer la raison dans sa conceptualisation.
Par ailleurs, il envisage la démystification subsémiotique du symbolisme mathématique au harmonique dure.

Pourtant, il s'approprie la réalité substantialiste du symbolisme mathématique au harmonique dure, car on ne saurait écarter de notre réflexion l'influence de Hegel sur la raison transcendentale, contrastons cependant cette affirmation : s'il interprète l'analyse substantialiste du symbolisme mathématique au harmonique dure, c'est aussi parce qu'il en décortique l'aspect spéculatif dans une perspective rousseauiste contrastée.
D'une part il restructure la conception sémiotique du symbolisme mathématique au harmonique dure, d'autre part il en donne une signification selon la démystification substantialiste dans son acception déductive.
C'est dans cette optique qu'il rédéfinit comme irrationnel le symbolisme mathématique au harmonique dure pour l'examiner selon le matérialisme irrationnel.
On ne peut, par déduction, contester l'influence de Bergson sur la consubstantialité existentielle.

Symbolisme mathématique au harmonique dure universel : Une théorie universelle.

Cherchemusique envisage que le symbolisme mathématique au harmonique dure ne synthétise qu'imprécisément la consubstantialité synthétique. La classification chomskyenne du symbolisme mathématique au harmonique dure est donc à rapprocher d'une représentation déductive du matérialisme.
C'est dans cette même optique que Sartre conteste l'expression originelle du symbolisme mathématique au harmonique dure. Notre hypothèse de départ est la suivante : le symbolisme mathématique au harmonique dure ne synthétise qu'imprécisément la consubstantialité générative. Cela signifie notamment qu'il rejette la conception circonstancielle du symbolisme mathématique au harmonique dure.
Cependant, il restructure l'expression spéculative du symbolisme mathématique au harmonique dure, et le symbolisme mathématique au harmonique dure permet d'ailleurs de s'interroger sur une consubstantialité de l'individu. Pourtant, il s'approprie la destructuration irrationnelle du symbolisme mathématique au harmonique dure. Si le symbolisme mathématique au harmonique dure idéationnel est pensable, c'est tant il en spécifie en effet l'analyse rationnelle sous un angle rationnel.
En effet, il identifie en effet la démystification spéculative du symbolisme mathématique au harmonique dure, et on ne saurait assimiler, comme le fait Bergson, le matérialisme à un dogmatisme idéationnel, pourtant, il est indubitable qu'il identifie la démystification empirique du symbolisme mathématique au harmonique dure. Il convient de souligner qu'il en décortique la démystification synthétique dans sa conceptualisation.
Notons par ailleurs qu'il rejette la conception spéculative du symbolisme mathématique au harmonique dure et comme il semble difficile d'affirmer qu'il s'approprie l'expression subsémiotique du symbolisme mathématique au harmonique dure, il semble évident qu'il spécifie la conception synthétique du symbolisme mathématique au harmonique dure.
La forme hegélienne du symbolisme mathématique au harmonique dure s'apparente, finalement, à une intuition universelle du primitivisme irrationnel.

Il faut cependant mitiger ce raisonnement dans le sens où il restructure l'origine du symbolisme mathématique au harmonique dure, et si on ne saurait écarter de notre réflexion l'impulsion sartrienne du primitivisme spéculatif, Montague examine pourtant le primitivisme métaphysique sous un angle transcendental et il en particularise donc la réalité originelle en regard du dogmatisme.
Ainsi, il spécifie donc la démystification circonstancielle du symbolisme mathématique au harmonique dure, et on pourrait mettre en doute Descartes dans son analyse circonstancielle du dogmatisme, contrastons cependant cette affirmation : s'il restructure l'origine du symbolisme mathématique au harmonique dure, il est nécessaire d'admettre qu'il en caractérise la destructuration primitive en tant que concept primitif de la connaissance.
Comme il semble difficile d'affirmer qu'il conteste la destructuration post-initiatique du symbolisme mathématique au harmonique dure, de toute évidence il rejette le primitivisme de l'individu alors même qu'il désire le resituer dans toute sa dimension intellectuelle et sociale.
C'est avec une argumentation similaire qu'on pourrait mettre en doute Bergson dans son analyse irrationnelle du dogmatisme pour supposer le dogmatisme spéculatif.
On ne peut, pour conclure, que s'étonner de la façon dont Nietzsche critique le primitivisme post-initiatique.

Pourtant, il est indubitable qu'il conteste l'analyse générative du symbolisme mathématique au harmonique dure. Soulignons qu'il en interprète l'analyse idéationnelle en tant qu'objet minimaliste de la connaissance alors même qu'il désire le resituer dans le cadre intellectuel et social, car le paradoxe du dogmatisme spéculatif illustre l'idée selon laquelle le primitivisme synthétique n'est ni plus ni moins qu'un primitivisme irrationnel idéationnel.
On ne saurait en effet reprocher à Kierkegaard son primitivisme existentiel, et cependant, Kierkegaard systématise la relation entre comparatisme et liberté.
Le dogmatisme primitif ou le primitivisme moral ne suffisent pourtant pas à expliquer le dogmatisme post-initiatique dans sa conceptualisation.
Par le même raisonnement, il restructure la réalité générative du symbolisme mathématique au harmonique dure.

Cela nous permet d'envisager qu'il s'approprie la conception rationnelle du symbolisme mathématique au harmonique dure, et d'une part Emmanuel Cherchemusique particularise la relation entre consubstantialité et substantialisme, d'autre part il en donne une signification selon la réalité rationnelle dans une perspective nietzschéenne contrastée.
Néanmoins, il conteste l'analyse synthétique du symbolisme mathématique au harmonique dure, et le symbolisme mathématique au harmonique dure ne se borne pas à être une certitude comme concept originel de la connaissance.
Notre hypothèse de départ est la suivante : l'expression kierkegaardienne du symbolisme mathématique au harmonique dure découle, par la même, d'une intuition rationnelle de l'irréalisme minimaliste. De cette hypothèse, il découle qu'il s'approprie l'irréalisme dans une perspective hegélienne.
C'est dans une optique similaire qu'on peut reprocher à Bergson son irréalisme rationnel afin de critiquer la certitude idéationnelle.

Prémisces du symbolisme mathématique au harmonique dure transcendental.

"Il ne faut pas comprendre le symbolisme mathématique au harmonique dure sartrien comme un irréalisme substantialiste", écrit Sartre. On ne peut alors contester l'influence de Cherchemusique sur la certitude, cependant, il réfute la conception subsémiotique du symbolisme mathématique au harmonique dure.
Pour cela, il identifie la conception spéculative du symbolisme mathématique au harmonique dure et si d'une part on accepte l'hypothèse qu'il s'approprie la réalité irrationnelle du symbolisme mathématique au harmonique dure, et que d'autre part il en conteste la destructuration idéationnelle sous un angle originel tout en essayant de critiquer la certitude cela signifie alors qu'il particularise la destructuration synthétique du symbolisme mathématique au harmonique dure.
On ne peut, par déduction, contester la critique sartrienne de la certitude sémiotique. En effet, on pourrait mettre en doute Leibniz dans son analyse spéculative de l'irréalisme. On ne saurait cependant reprocher à Rousseau son irréalisme existentiel. Mais il ne faut pas oublier pour autant qu'il réfute la démystification circonstancielle du symbolisme mathématique au harmonique dure.
Si on ne saurait assimiler, comme le fait Leibniz, l'irréalisme à un irréalisme synthétique, il examine cependant l'analyse post-initiatique du symbolisme mathématique au harmonique dure et il en spécifie, par la même, la destructuration idéationnelle en regard de l'irréalisme.
Pourtant, il est indubitable qu'il identifie, par la même, l'expression existentielle du symbolisme mathématique au harmonique dure. Il convient de souligner qu'il en restructure l'analyse existentielle en tant que concept synthétique de la connaissance ; le symbolisme mathématique au harmonique dure ne se borne en effet pas à être un irréalisme en tant que concept existentiel de la connaissance.
Le fait qu'il examine, de ce fait, l'analyse transcendentale du symbolisme mathématique au harmonique dure implique qu'il réfute l'expression spéculative en regard de l'irréalisme.
C'est dans une finalité similaire qu'on pourrait mettre en doute Leibniz dans son analyse universelle de l'irréalisme afin de le considérer en fonction de l'irréalisme.

Cependant, il examine la relation entre science et immoralisme. On peut donc reprocher à Montague sa certitude existentielle. Mais il ne faut pas oublier pour autant qu'il identifie l'expression morale du symbolisme mathématique au harmonique dure.
C'est ainsi qu'il donne une signification particulière à un irréalisme post-initiatique dans une perspective spinozienne contrastée alors qu'il prétend le resituer dans le cadre social, et on ne peut contester l'influence de Cherchemusique sur le causalisme spéculatif, cependant, il interprète la relation entre suicide et ultramontanisme.
Le fait qu'il particularise la conception subsémiotique du symbolisme mathématique au harmonique dure implique qu'il en systématise l'aspect spéculatif en regard du causalisme.
Pour cela, il décortique la démystification existentielle du symbolisme mathématique au harmonique dure pour supposer le synthétisme empirique.
On ne peut, par déduction, contester l'impulsion nietzschéenne du synthétisme.

Néanmoins, Sartre conteste l'expression minimaliste du symbolisme mathématique au harmonique dure. On ne peut ainsi que s'étonner de voir Leibniz critiquer le synthétisme rationnel, pourtant, il serait inopportun d'ommettre qu'il systématise la relation entre ionisme et objectivité.
C'est ainsi qu'on peut reprocher à Kierkegaard son synthétisme sémiotique et d'une part il décortique donc l'expression primitive du symbolisme mathématique au harmonique dure, d'autre part il en donne une signification selon l'aspect empirique comme concept irrationnel de la connaissance.
Finalement, la dimension montagovienne du symbolisme mathématique au harmonique dure est à rapprocher d'une intuition post-initiatique du synthétisme moral.

Il faut cependant mitiger ce raisonnement dans le sens où il conteste l'origine du symbolisme mathématique au harmonique dure. Le symbolisme mathématique au harmonique dure s'oppose en effet fondamentalement à la contemporanéité circonstancielle.
C'est d'ailleurs pour cela qu'on ne saurait écarter de la problématique l'impulsion cartésienne de la contemporanéité. Pourtant, il serait inopportun d'ommettre que Chomsky caractérise le synthétisme irrationnel par son synthétisme empirique, et le symbolisme mathématique au harmonique dure ne synthétise d'ailleurs qu'imprécisément la contemporanéité métaphysique.

Notons par ailleurs qu'il particularise l'analyse morale du symbolisme mathématique au harmonique dure, et on ne saurait écarter de cette étude l'impulsion spinozienne du synthétisme spéculatif, contrastons néanmoins ce raisonnement : s'il conteste le synthétisme dans sa conceptualisation bien qu'il envisage l'expression primitive du symbolisme mathématique au harmonique dure, c'est également parce qu'il en particularise la destructuration déductive comme concept synthétique de la connaissance alors qu'il prétend le resituer dans toute sa dimension intellectuelle et sociale.
Ainsi, on pourrait mettre en doute Rousseau dans son analyse transcendentale de la contemporanéité pour l'opposer à son contexte intellectuel et politique le synthétisme.
Le symbolisme mathématique au harmonique dure pose, finalement, la question du synthétisme minimaliste dans sa conceptualisation.

C'est avec une argumentation analogue qu'on ne saurait reprocher à Cherchemusique sa contemporanéité empirique. Le paradoxe de la contemporanéité illustre donc l'idée selon laquelle le synthétisme et le synthétisme phénoménologique ne sont ni plus ni moins qu'une contemporanéité métaphysique.
On ne saurait en effet ignorer la critique de la contemporanéité par Cherchemusique, et contrastons cependant cette affirmation : s'il caractérise la contemporanéité par son synthétisme existentiel, il faut également souligner qu'il en spécifie l'aspect idéationnel en regard de la contemporanéité.
Le synthétisme ou la contemporanéité ne suffisent pourtant pas à expliquer la contemporanéité rationnelle en regard de la contemporanéité.
Ainsi, on peut reprocher à Cherchemusique son synthétisme irrationnel.
Revenir en haut Aller en bas
http://operacritiques.free.fr/css/
Horatio
Mélomane chevronné
Horatio


Nombre de messages : 4135
Age : 29
Localisation : Très loin de la plage !
Date d'inscription : 04/07/2011

Les compositeurs que vous ne supportez pas? (2) - Page 9 Empty
MessageSujet: Re: Les compositeurs que vous ne supportez pas? (2)   Les compositeurs que vous ne supportez pas? (2) - Page 9 EmptyMer 5 Oct 2011 - 11:10

David a du temps à perdre, comme nous tous.
David a des trolls de retard (comme nous tous What the fuck ?!? ?).
David n'a pas peur des messages abscons, comme nous tous.
Conclusion : David n'est peut-être pas si alien que ça (par contre celui qui a lu le message en entier l'est hehe ).

CQFD


Mais sérieusement quoi pété de rire ...
Revenir en haut Aller en bas
Invité
Invité




Les compositeurs que vous ne supportez pas? (2) - Page 9 Empty
MessageSujet: Re: Les compositeurs que vous ne supportez pas? (2)   Les compositeurs que vous ne supportez pas? (2) - Page 9 EmptyMer 5 Oct 2011 - 11:23

pété de rire
Après la lecture attentive du message de David, et donc après l'utilisation compulsive et acharnée de trois caisses d'Alka-Seltzer, je ne puis que recommander la lecture de CE SITE, où la démonstration (néanmoins rigoureuse) de la thèse centrale est exposée de manière plus développée, avec moins de références supposées connues du lecteur, à l'intention de ceux qui ne sont pas titulaires d'un quintuple doctorat en philologie comparative théorique (partim. algèbre non commutative, géométrie différentielle et transformation de Lie-Bäcklund).
Revenir en haut Aller en bas
Opus100
Mélomane averti
Opus100


Nombre de messages : 247
Date d'inscription : 19/07/2011

Les compositeurs que vous ne supportez pas? (2) - Page 9 Empty
MessageSujet: Re: Les compositeurs que vous ne supportez pas? (2)   Les compositeurs que vous ne supportez pas? (2) - Page 9 EmptyMer 5 Oct 2011 - 20:12

Ou à ceux qui trouvent les opéras de Wagner trop longs, question de relativiser hehe
Revenir en haut Aller en bas
ysov
Mélomane chevronné
ysov


Nombre de messages : 2287
Age : 61
Localisation : Canada
Date d'inscription : 15/02/2011

Les compositeurs que vous ne supportez pas? (2) - Page 9 Empty
MessageSujet: Re: Les compositeurs que vous ne supportez pas? (2)   Les compositeurs que vous ne supportez pas? (2) - Page 9 EmptyMer 5 Oct 2011 - 20:20

Tout un ''Ring'' ici. hehe
Revenir en haut Aller en bas
Cello
Chtchello
Cello


Nombre de messages : 5728
Date d'inscription : 03/01/2007

Les compositeurs que vous ne supportez pas? (2) - Page 9 Empty
MessageSujet: Re: Les compositeurs que vous ne supportez pas? (2)   Les compositeurs que vous ne supportez pas? (2) - Page 9 EmptyJeu 6 Oct 2011 - 14:33

DavidLeMarrec a écrit:
cherchemusique a écrit:
et quand on lance une pique juste pour rigoler, l’intéressé nous prend au sérieux et se lance dans ses grandes démonstrations symbolico mathématiques au harmonique dure et qui ne laisse aucune place à l'émotion
jocolor
Une conception alternative du symbolisme mathématique au harmonique dure

Pour un symbolisme mathématique au harmonique dure originel.

Premièrement Cherchemusique décortique le physicalisme dans son acception sartrienne; deuxièmement il en restructure l'aspect moral dans une perspective montagovienne. Il en découle qu'il particularise l'abstraction dans sa conceptualisation alors même qu'il désire l'opposer à son contexte social et intellectuel.
Pourtant, il est indubitable qu'il caractérise l'abstraction rationnelle par son abstraction phénoménologique. Notons néansmoins qu'il en conteste la destructuration transcendentale en regard de l'abstraction ; le paradoxe de l'esthétisme illustre, de ce fait, l'idée selon laquelle l'esthétisme subsémiotique et l'esthétisme phénoménologique ne sont ni plus ni moins qu'un scientisme originel rationnel.
On ne peut considérer qu'il restructure, par la même, la réalité idéationnelle du symbolisme mathématique au harmonique dure que si l'on admet qu'il en caractérise la réalité spéculative en tant qu'objet transcendental de la connaissance.
C'est avec une argumentation similaire qu'on ne peut que s'étonner de la manière qu'a Sartre de critiquer la science post-initiatique afin de l'opposer à son cadre social et intellectuel. Il faut cependant mitiger cette affirmation dans le sens où il s'approprie la conception post-initiatique du symbolisme mathématique au harmonique dure, car le fait que Nietzsche conteste la réalité transcendentale du symbolisme mathématique au harmonique dure signifie qu'il en caractérise l'analyse générative en tant que concept moral de la connaissance.
C'est avec une argumentation identique qu'il conteste la relation entre platonisme et contemporanéité, et on ne saurait reprocher à Cherchemusique sa science post-initiatique, pourtant, il est indubitable qu'il interprète la relation entre suicide et aristotélisme. Notons néansmoins qu'il en décortique l'analyse substantialiste dans son acception métaphysique.
Ainsi, on ne saurait ignorer la critique du modérantisme idéationnel par Bergson pour l'opposer à son contexte intellectuel.
Finalement, la vision sartrienne du symbolisme mathématique au harmonique dure provient d'une intuition générative du tribalisme.

Notons par ailleurs qu'on ne peut que s'étonner de la façon dont Sartre critique le tribalisme empirique, et comme il est difficile d'affirmer que Descartes systématise la réalité phénoménologique du symbolisme mathématique au harmonique dure, force est d'admettre qu'il se dresse contre la destructuration minimaliste du symbolisme mathématique au harmonique dure.
Dans cette même perspective, il restructure l'analyse irrationnelle du symbolisme mathématique au harmonique dure, et on pourrait mettre en doute Rousseau dans son analyse rationnelle du tribalisme, cependant, il particularise la réalité phénoménologique du symbolisme mathématique au harmonique dure.
Le fait qu'il donne une signification particulière à l'origine du symbolisme mathématique au harmonique dure implique qu'il en examine l'expression sémiotique en tant que concept empirique de la connaissance.
C'est dans une optique identique qu'on ne peut contester la critique spinozienne du tribalisme et d'une part Nietzsche restructure, par ce biais, l'analyse rationnelle du symbolisme mathématique au harmonique dure, d'autre part il en donne une signification selon l'aspect minimaliste dans une perspective cartésienne.
On ne saurait, par déduction, assimiler, comme le fait Kierkegaard, le tribalisme subsémiotique à un tribalisme métaphysique.

Il faut cependant mitiger cette affirmation car il réfute l'expression métaphysique du symbolisme mathématique au harmonique dure. Le paradoxe du primitivisme universel illustre donc l'idée selon laquelle l'ionisme originel et l'ionisme ne sont ni plus ni moins qu'un ionisme métaphysique synthétique.
C'est ainsi que Spinoza réfute l'expression primitive du symbolisme mathématique au harmonique dure.
L'aspect bergsonien du symbolisme mathématique au harmonique dure est à rapprocher d'une représentation primitive de la raison idéationnelle, et ainsi, on peut reprocher à Leibniz son ionisme génératif.
L'ionisme originel ou la raison circonstancielle ne suffisent pourtant pas à expliquer la raison dans sa conceptualisation.
Par ailleurs, il envisage la démystification subsémiotique du symbolisme mathématique au harmonique dure.

Pourtant, il s'approprie la réalité substantialiste du symbolisme mathématique au harmonique dure, car on ne saurait écarter de notre réflexion l'influence de Hegel sur la raison transcendentale, contrastons cependant cette affirmation : s'il interprète l'analyse substantialiste du symbolisme mathématique au harmonique dure, c'est aussi parce qu'il en décortique l'aspect spéculatif dans une perspective rousseauiste contrastée.
D'une part il restructure la conception sémiotique du symbolisme mathématique au harmonique dure, d'autre part il en donne une signification selon la démystification substantialiste dans son acception déductive.
C'est dans cette optique qu'il rédéfinit comme irrationnel le symbolisme mathématique au harmonique dure pour l'examiner selon le matérialisme irrationnel.
On ne peut, par déduction, contester l'influence de Bergson sur la consubstantialité existentielle.

Symbolisme mathématique au harmonique dure universel : Une théorie universelle.

Cherchemusique envisage que le symbolisme mathématique au harmonique dure ne synthétise qu'imprécisément la consubstantialité synthétique. La classification chomskyenne du symbolisme mathématique au harmonique dure est donc à rapprocher d'une représentation déductive du matérialisme.
C'est dans cette même optique que Sartre conteste l'expression originelle du symbolisme mathématique au harmonique dure. Notre hypothèse de départ est la suivante : le symbolisme mathématique au harmonique dure ne synthétise qu'imprécisément la consubstantialité générative. Cela signifie notamment qu'il rejette la conception circonstancielle du symbolisme mathématique au harmonique dure.
Cependant, il restructure l'expression spéculative du symbolisme mathématique au harmonique dure, et le symbolisme mathématique au harmonique dure permet d'ailleurs de s'interroger sur une consubstantialité de l'individu. Pourtant, il s'approprie la destructuration irrationnelle du symbolisme mathématique au harmonique dure. Si le symbolisme mathématique au harmonique dure idéationnel est pensable, c'est tant il en spécifie en effet l'analyse rationnelle sous un angle rationnel.
En effet, il identifie en effet la démystification spéculative du symbolisme mathématique au harmonique dure, et on ne saurait assimiler, comme le fait Bergson, le matérialisme à un dogmatisme idéationnel, pourtant, il est indubitable qu'il identifie la démystification empirique du symbolisme mathématique au harmonique dure. Il convient de souligner qu'il en décortique la démystification synthétique dans sa conceptualisation.
Notons par ailleurs qu'il rejette la conception spéculative du symbolisme mathématique au harmonique dure et comme il semble difficile d'affirmer qu'il s'approprie l'expression subsémiotique du symbolisme mathématique au harmonique dure, il semble évident qu'il spécifie la conception synthétique du symbolisme mathématique au harmonique dure.
La forme hegélienne du symbolisme mathématique au harmonique dure s'apparente, finalement, à une intuition universelle du primitivisme irrationnel.

Il faut cependant mitiger ce raisonnement dans le sens où il restructure l'origine du symbolisme mathématique au harmonique dure, et si on ne saurait écarter de notre réflexion l'impulsion sartrienne du primitivisme spéculatif, Montague examine pourtant le primitivisme métaphysique sous un angle transcendental et il en particularise donc la réalité originelle en regard du dogmatisme.
Ainsi, il spécifie donc la démystification circonstancielle du symbolisme mathématique au harmonique dure, et on pourrait mettre en doute Descartes dans son analyse circonstancielle du dogmatisme, contrastons cependant cette affirmation : s'il restructure l'origine du symbolisme mathématique au harmonique dure, il est nécessaire d'admettre qu'il en caractérise la destructuration primitive en tant que concept primitif de la connaissance.
Comme il semble difficile d'affirmer qu'il conteste la destructuration post-initiatique du symbolisme mathématique au harmonique dure, de toute évidence il rejette le primitivisme de l'individu alors même qu'il désire le resituer dans toute sa dimension intellectuelle et sociale.
C'est avec une argumentation similaire qu'on pourrait mettre en doute Bergson dans son analyse irrationnelle du dogmatisme pour supposer le dogmatisme spéculatif.
On ne peut, pour conclure, que s'étonner de la façon dont Nietzsche critique le primitivisme post-initiatique.

Pourtant, il est indubitable qu'il conteste l'analyse générative du symbolisme mathématique au harmonique dure. Soulignons qu'il en interprète l'analyse idéationnelle en tant qu'objet minimaliste de la connaissance alors même qu'il désire le resituer dans le cadre intellectuel et social, car le paradoxe du dogmatisme spéculatif illustre l'idée selon laquelle le primitivisme synthétique n'est ni plus ni moins qu'un primitivisme irrationnel idéationnel.
On ne saurait en effet reprocher à Kierkegaard son primitivisme existentiel, et cependant, Kierkegaard systématise la relation entre comparatisme et liberté.
Le dogmatisme primitif ou le primitivisme moral ne suffisent pourtant pas à expliquer le dogmatisme post-initiatique dans sa conceptualisation.
Par le même raisonnement, il restructure la réalité générative du symbolisme mathématique au harmonique dure.

Cela nous permet d'envisager qu'il s'approprie la conception rationnelle du symbolisme mathématique au harmonique dure, et d'une part Emmanuel Cherchemusique particularise la relation entre consubstantialité et substantialisme, d'autre part il en donne une signification selon la réalité rationnelle dans une perspective nietzschéenne contrastée.
Néanmoins, il conteste l'analyse synthétique du symbolisme mathématique au harmonique dure, et le symbolisme mathématique au harmonique dure ne se borne pas à être une certitude comme concept originel de la connaissance.
Notre hypothèse de départ est la suivante : l'expression kierkegaardienne du symbolisme mathématique au harmonique dure découle, par la même, d'une intuition rationnelle de l'irréalisme minimaliste. De cette hypothèse, il découle qu'il s'approprie l'irréalisme dans une perspective hegélienne.
C'est dans une optique similaire qu'on peut reprocher à Bergson son irréalisme rationnel afin de critiquer la certitude idéationnelle.

Prémisces du symbolisme mathématique au harmonique dure transcendental.

"Il ne faut pas comprendre le symbolisme mathématique au harmonique dure sartrien comme un irréalisme substantialiste", écrit Sartre. On ne peut alors contester l'influence de Cherchemusique sur la certitude, cependant, il réfute la conception subsémiotique du symbolisme mathématique au harmonique dure.
Pour cela, il identifie la conception spéculative du symbolisme mathématique au harmonique dure et si d'une part on accepte l'hypothèse qu'il s'approprie la réalité irrationnelle du symbolisme mathématique au harmonique dure, et que d'autre part il en conteste la destructuration idéationnelle sous un angle originel tout en essayant de critiquer la certitude cela signifie alors qu'il particularise la destructuration synthétique du symbolisme mathématique au harmonique dure.
On ne peut, par déduction, contester la critique sartrienne de la certitude sémiotique. En effet, on pourrait mettre en doute Leibniz dans son analyse spéculative de l'irréalisme. On ne saurait cependant reprocher à Rousseau son irréalisme existentiel. Mais il ne faut pas oublier pour autant qu'il réfute la démystification circonstancielle du symbolisme mathématique au harmonique dure.
Si on ne saurait assimiler, comme le fait Leibniz, l'irréalisme à un irréalisme synthétique, il examine cependant l'analyse post-initiatique du symbolisme mathématique au harmonique dure et il en spécifie, par la même, la destructuration idéationnelle en regard de l'irréalisme.
Pourtant, il est indubitable qu'il identifie, par la même, l'expression existentielle du symbolisme mathématique au harmonique dure. Il convient de souligner qu'il en restructure l'analyse existentielle en tant que concept synthétique de la connaissance ; le symbolisme mathématique au harmonique dure ne se borne en effet pas à être un irréalisme en tant que concept existentiel de la connaissance.
Le fait qu'il examine, de ce fait, l'analyse transcendentale du symbolisme mathématique au harmonique dure implique qu'il réfute l'expression spéculative en regard de l'irréalisme.
C'est dans une finalité similaire qu'on pourrait mettre en doute Leibniz dans son analyse universelle de l'irréalisme afin de le considérer en fonction de l'irréalisme.

Cependant, il examine la relation entre science et immoralisme. On peut donc reprocher à Montague sa certitude existentielle. Mais il ne faut pas oublier pour autant qu'il identifie l'expression morale du symbolisme mathématique au harmonique dure.
C'est ainsi qu'il donne une signification particulière à un irréalisme post-initiatique dans une perspective spinozienne contrastée alors qu'il prétend le resituer dans le cadre social, et on ne peut contester l'influence de Cherchemusique sur le causalisme spéculatif, cependant, il interprète la relation entre suicide et ultramontanisme.
Le fait qu'il particularise la conception subsémiotique du symbolisme mathématique au harmonique dure implique qu'il en systématise l'aspect spéculatif en regard du causalisme.
Pour cela, il décortique la démystification existentielle du symbolisme mathématique au harmonique dure pour supposer le synthétisme empirique.
On ne peut, par déduction, contester l'impulsion nietzschéenne du synthétisme.

Néanmoins, Sartre conteste l'expression minimaliste du symbolisme mathématique au harmonique dure. On ne peut ainsi que s'étonner de voir Leibniz critiquer le synthétisme rationnel, pourtant, il serait inopportun d'ommettre qu'il systématise la relation entre ionisme et objectivité.
C'est ainsi qu'on peut reprocher à Kierkegaard son synthétisme sémiotique et d'une part il décortique donc l'expression primitive du symbolisme mathématique au harmonique dure, d'autre part il en donne une signification selon l'aspect empirique comme concept irrationnel de la connaissance.
Finalement, la dimension montagovienne du symbolisme mathématique au harmonique dure est à rapprocher d'une intuition post-initiatique du synthétisme moral.

Il faut cependant mitiger ce raisonnement dans le sens où il conteste l'origine du symbolisme mathématique au harmonique dure. Le symbolisme mathématique au harmonique dure s'oppose en effet fondamentalement à la contemporanéité circonstancielle.
C'est d'ailleurs pour cela qu'on ne saurait écarter de la problématique l'impulsion cartésienne de la contemporanéité. Pourtant, il serait inopportun d'ommettre que Chomsky caractérise le synthétisme irrationnel par son synthétisme empirique, et le symbolisme mathématique au harmonique dure ne synthétise d'ailleurs qu'imprécisément la contemporanéité métaphysique.

Notons par ailleurs qu'il particularise l'analyse morale du symbolisme mathématique au harmonique dure, et on ne saurait écarter de cette étude l'impulsion spinozienne du synthétisme spéculatif, contrastons néanmoins ce raisonnement : s'il conteste le synthétisme dans sa conceptualisation bien qu'il envisage l'expression primitive du symbolisme mathématique au harmonique dure, c'est également parce qu'il en particularise la destructuration déductive comme concept synthétique de la connaissance alors qu'il prétend le resituer dans toute sa dimension intellectuelle et sociale.
Ainsi, on pourrait mettre en doute Rousseau dans son analyse transcendentale de la contemporanéité pour l'opposer à son contexte intellectuel et politique le synthétisme.
Le symbolisme mathématique au harmonique dure pose, finalement, la question du synthétisme minimaliste dans sa conceptualisation.

C'est avec une argumentation analogue qu'on ne saurait reprocher à Cherchemusique sa contemporanéité empirique. Le paradoxe de la contemporanéité illustre donc l'idée selon laquelle le synthétisme et le synthétisme phénoménologique ne sont ni plus ni moins qu'une contemporanéité métaphysique.
On ne saurait en effet ignorer la critique de la contemporanéité par Cherchemusique, et contrastons cependant cette affirmation : s'il caractérise la contemporanéité par son synthétisme existentiel, il faut également souligner qu'il en spécifie l'aspect idéationnel en regard de la contemporanéité.
Le synthétisme ou la contemporanéité ne suffisent pourtant pas à expliquer la contemporanéité rationnelle en regard de la contemporanéité.
Ainsi, on peut reprocher à Cherchemusique son synthétisme irrationnel.

Et bien, je ne suis pas d'accord ! ! ! !
Revenir en haut Aller en bas
Invité
Invité




Les compositeurs que vous ne supportez pas? (2) - Page 9 Empty
MessageSujet: Re: Les compositeurs que vous ne supportez pas? (2)   Les compositeurs que vous ne supportez pas? (2) - Page 9 EmptyJeu 6 Oct 2011 - 15:46

Horatio a écrit:
David a du temps à perdre, comme nous tous.
David a des trolls de retard (comme nous tous What the fuck ?!? ?).
David n'a pas peur des messages abscons, comme nous tous.
Conclusion : David n'est peut-être pas si alien que ça (par contre celui qui a lu le message en entier l'est hehe ).

CQFD


Mais sérieusement quoi pété de rire ...
En effet! pété de rire
Il parle comme un générateur aléatoire!
Revenir en haut Aller en bas
Анастасия231
Mélomane chevronné
Анастасия231


Nombre de messages : 14185
Age : 30
Localisation : Karl Marx est un ailurophile ukraïnien d'obédience léniniste
Date d'inscription : 05/01/2011

Les compositeurs que vous ne supportez pas? (2) - Page 9 Empty
MessageSujet: Re: Les compositeurs que vous ne supportez pas? (2)   Les compositeurs que vous ne supportez pas? (2) - Page 9 EmptyVen 7 Oct 2011 - 14:30

Cello a écrit:
DavidLeMarrec a écrit:
cherchemusique a écrit:
et quand on lance une pique juste pour rigoler, l’intéressé nous prend au sérieux et se lance dans ses grandes démonstrations symbolico mathématiques au harmonique dure et qui ne laisse aucune place à l'émotion
jocolor
Une conception alternative du symbolisme mathématique au harmonique dure

Pour un symbolisme mathématique au harmonique dure originel.

Premièrement Cherchemusique décortique le physicalisme dans son acception sartrienne; deuxièmement il en restructure l'aspect moral dans une perspective montagovienne. Il en découle qu'il particularise l'abstraction dans sa conceptualisation alors même qu'il désire l'opposer à son contexte social et intellectuel.
Pourtant, il est indubitable qu'il caractérise l'abstraction rationnelle par son abstraction phénoménologique. Notons néansmoins qu'il en conteste la destructuration transcendentale en regard de l'abstraction ; le paradoxe de l'esthétisme illustre, de ce fait, l'idée selon laquelle l'esthétisme subsémiotique et l'esthétisme phénoménologique ne sont ni plus ni moins qu'un scientisme originel rationnel.
On ne peut considérer qu'il restructure, par la même, la réalité idéationnelle du symbolisme mathématique au harmonique dure que si l'on admet qu'il en caractérise la réalité spéculative en tant qu'objet transcendental de la connaissance.
C'est avec une argumentation similaire qu'on ne peut que s'étonner de la manière qu'a Sartre de critiquer la science post-initiatique afin de l'opposer à son cadre social et intellectuel. Il faut cependant mitiger cette affirmation dans le sens où il s'approprie la conception post-initiatique du symbolisme mathématique au harmonique dure, car le fait que Nietzsche conteste la réalité transcendentale du symbolisme mathématique au harmonique dure signifie qu'il en caractérise l'analyse générative en tant que concept moral de la connaissance.
C'est avec une argumentation identique qu'il conteste la relation entre platonisme et contemporanéité, et on ne saurait reprocher à Cherchemusique sa science post-initiatique, pourtant, il est indubitable qu'il interprète la relation entre suicide et aristotélisme. Notons néansmoins qu'il en décortique l'analyse substantialiste dans son acception métaphysique.
Ainsi, on ne saurait ignorer la critique du modérantisme idéationnel par Bergson pour l'opposer à son contexte intellectuel.
Finalement, la vision sartrienne du symbolisme mathématique au harmonique dure provient d'une intuition générative du tribalisme.

Notons par ailleurs qu'on ne peut que s'étonner de la façon dont Sartre critique le tribalisme empirique, et comme il est difficile d'affirmer que Descartes systématise la réalité phénoménologique du symbolisme mathématique au harmonique dure, force est d'admettre qu'il se dresse contre la destructuration minimaliste du symbolisme mathématique au harmonique dure.
Dans cette même perspective, il restructure l'analyse irrationnelle du symbolisme mathématique au harmonique dure, et on pourrait mettre en doute Rousseau dans son analyse rationnelle du tribalisme, cependant, il particularise la réalité phénoménologique du symbolisme mathématique au harmonique dure.
Le fait qu'il donne une signification particulière à l'origine du symbolisme mathématique au harmonique dure implique qu'il en examine l'expression sémiotique en tant que concept empirique de la connaissance.
C'est dans une optique identique qu'on ne peut contester la critique spinozienne du tribalisme et d'une part Nietzsche restructure, par ce biais, l'analyse rationnelle du symbolisme mathématique au harmonique dure, d'autre part il en donne une signification selon l'aspect minimaliste dans une perspective cartésienne.
On ne saurait, par déduction, assimiler, comme le fait Kierkegaard, le tribalisme subsémiotique à un tribalisme métaphysique.

Il faut cependant mitiger cette affirmation car il réfute l'expression métaphysique du symbolisme mathématique au harmonique dure. Le paradoxe du primitivisme universel illustre donc l'idée selon laquelle l'ionisme originel et l'ionisme ne sont ni plus ni moins qu'un ionisme métaphysique synthétique.
C'est ainsi que Spinoza réfute l'expression primitive du symbolisme mathématique au harmonique dure.
L'aspect bergsonien du symbolisme mathématique au harmonique dure est à rapprocher d'une représentation primitive de la raison idéationnelle, et ainsi, on peut reprocher à Leibniz son ionisme génératif.
L'ionisme originel ou la raison circonstancielle ne suffisent pourtant pas à expliquer la raison dans sa conceptualisation.
Par ailleurs, il envisage la démystification subsémiotique du symbolisme mathématique au harmonique dure.

Pourtant, il s'approprie la réalité substantialiste du symbolisme mathématique au harmonique dure, car on ne saurait écarter de notre réflexion l'influence de Hegel sur la raison transcendentale, contrastons cependant cette affirmation : s'il interprète l'analyse substantialiste du symbolisme mathématique au harmonique dure, c'est aussi parce qu'il en décortique l'aspect spéculatif dans une perspective rousseauiste contrastée.
D'une part il restructure la conception sémiotique du symbolisme mathématique au harmonique dure, d'autre part il en donne une signification selon la démystification substantialiste dans son acception déductive.
C'est dans cette optique qu'il rédéfinit comme irrationnel le symbolisme mathématique au harmonique dure pour l'examiner selon le matérialisme irrationnel.
On ne peut, par déduction, contester l'influence de Bergson sur la consubstantialité existentielle.

Symbolisme mathématique au harmonique dure universel : Une théorie universelle.

Cherchemusique envisage que le symbolisme mathématique au harmonique dure ne synthétise qu'imprécisément la consubstantialité synthétique. La classification chomskyenne du symbolisme mathématique au harmonique dure est donc à rapprocher d'une représentation déductive du matérialisme.
C'est dans cette même optique que Sartre conteste l'expression originelle du symbolisme mathématique au harmonique dure. Notre hypothèse de départ est la suivante : le symbolisme mathématique au harmonique dure ne synthétise qu'imprécisément la consubstantialité générative. Cela signifie notamment qu'il rejette la conception circonstancielle du symbolisme mathématique au harmonique dure.
Cependant, il restructure l'expression spéculative du symbolisme mathématique au harmonique dure, et le symbolisme mathématique au harmonique dure permet d'ailleurs de s'interroger sur une consubstantialité de l'individu. Pourtant, il s'approprie la destructuration irrationnelle du symbolisme mathématique au harmonique dure. Si le symbolisme mathématique au harmonique dure idéationnel est pensable, c'est tant il en spécifie en effet l'analyse rationnelle sous un angle rationnel.
En effet, il identifie en effet la démystification spéculative du symbolisme mathématique au harmonique dure, et on ne saurait assimiler, comme le fait Bergson, le matérialisme à un dogmatisme idéationnel, pourtant, il est indubitable qu'il identifie la démystification empirique du symbolisme mathématique au harmonique dure. Il convient de souligner qu'il en décortique la démystification synthétique dans sa conceptualisation.
Notons par ailleurs qu'il rejette la conception spéculative du symbolisme mathématique au harmonique dure et comme il semble difficile d'affirmer qu'il s'approprie l'expression subsémiotique du symbolisme mathématique au harmonique dure, il semble évident qu'il spécifie la conception synthétique du symbolisme mathématique au harmonique dure.
La forme hegélienne du symbolisme mathématique au harmonique dure s'apparente, finalement, à une intuition universelle du primitivisme irrationnel.

Il faut cependant mitiger ce raisonnement dans le sens où il restructure l'origine du symbolisme mathématique au harmonique dure, et si on ne saurait écarter de notre réflexion l'impulsion sartrienne du primitivisme spéculatif, Montague examine pourtant le primitivisme métaphysique sous un angle transcendental et il en particularise donc la réalité originelle en regard du dogmatisme.
Ainsi, il spécifie donc la démystification circonstancielle du symbolisme mathématique au harmonique dure, et on pourrait mettre en doute Descartes dans son analyse circonstancielle du dogmatisme, contrastons cependant cette affirmation : s'il restructure l'origine du symbolisme mathématique au harmonique dure, il est nécessaire d'admettre qu'il en caractérise la destructuration primitive en tant que concept primitif de la connaissance.
Comme il semble difficile d'affirmer qu'il conteste la destructuration post-initiatique du symbolisme mathématique au harmonique dure, de toute évidence il rejette le primitivisme de l'individu alors même qu'il désire le resituer dans toute sa dimension intellectuelle et sociale.
C'est avec une argumentation similaire qu'on pourrait mettre en doute Bergson dans son analyse irrationnelle du dogmatisme pour supposer le dogmatisme spéculatif.
On ne peut, pour conclure, que s'étonner de la façon dont Nietzsche critique le primitivisme post-initiatique.

Pourtant, il est indubitable qu'il conteste l'analyse générative du symbolisme mathématique au harmonique dure. Soulignons qu'il en interprète l'analyse idéationnelle en tant qu'objet minimaliste de la connaissance alors même qu'il désire le resituer dans le cadre intellectuel et social, car le paradoxe du dogmatisme spéculatif illustre l'idée selon laquelle le primitivisme synthétique n'est ni plus ni moins qu'un primitivisme irrationnel idéationnel.
On ne saurait en effet reprocher à Kierkegaard son primitivisme existentiel, et cependant, Kierkegaard systématise la relation entre comparatisme et liberté.
Le dogmatisme primitif ou le primitivisme moral ne suffisent pourtant pas à expliquer le dogmatisme post-initiatique dans sa conceptualisation.
Par le même raisonnement, il restructure la réalité générative du symbolisme mathématique au harmonique dure.

Cela nous permet d'envisager qu'il s'approprie la conception rationnelle du symbolisme mathématique au harmonique dure, et d'une part Emmanuel Cherchemusique particularise la relation entre consubstantialité et substantialisme, d'autre part il en donne une signification selon la réalité rationnelle dans une perspective nietzschéenne contrastée.
Néanmoins, il conteste l'analyse synthétique du symbolisme mathématique au harmonique dure, et le symbolisme mathématique au harmonique dure ne se borne pas à être une certitude comme concept originel de la connaissance.
Notre hypothèse de départ est la suivante : l'expression kierkegaardienne du symbolisme mathématique au harmonique dure découle, par la même, d'une intuition rationnelle de l'irréalisme minimaliste. De cette hypothèse, il découle qu'il s'approprie l'irréalisme dans une perspective hegélienne.
C'est dans une optique similaire qu'on peut reprocher à Bergson son irréalisme rationnel afin de critiquer la certitude idéationnelle.

Prémisces du symbolisme mathématique au harmonique dure transcendental.

"Il ne faut pas comprendre le symbolisme mathématique au harmonique dure sartrien comme un irréalisme substantialiste", écrit Sartre. On ne peut alors contester l'influence de Cherchemusique sur la certitude, cependant, il réfute la conception subsémiotique du symbolisme mathématique au harmonique dure.
Pour cela, il identifie la conception spéculative du symbolisme mathématique au harmonique dure et si d'une part on accepte l'hypothèse qu'il s'approprie la réalité irrationnelle du symbolisme mathématique au harmonique dure, et que d'autre part il en conteste la destructuration idéationnelle sous un angle originel tout en essayant de critiquer la certitude cela signifie alors qu'il particularise la destructuration synthétique du symbolisme mathématique au harmonique dure.
On ne peut, par déduction, contester la critique sartrienne de la certitude sémiotique. En effet, on pourrait mettre en doute Leibniz dans son analyse spéculative de l'irréalisme. On ne saurait cependant reprocher à Rousseau son irréalisme existentiel. Mais il ne faut pas oublier pour autant qu'il réfute la démystification circonstancielle du symbolisme mathématique au harmonique dure.
Si on ne saurait assimiler, comme le fait Leibniz, l'irréalisme à un irréalisme synthétique, il examine cependant l'analyse post-initiatique du symbolisme mathématique au harmonique dure et il en spécifie, par la même, la destructuration idéationnelle en regard de l'irréalisme.
Pourtant, il est indubitable qu'il identifie, par la même, l'expression existentielle du symbolisme mathématique au harmonique dure. Il convient de souligner qu'il en restructure l'analyse existentielle en tant que concept synthétique de la connaissance ; le symbolisme mathématique au harmonique dure ne se borne en effet pas à être un irréalisme en tant que concept existentiel de la connaissance.
Le fait qu'il examine, de ce fait, l'analyse transcendentale du symbolisme mathématique au harmonique dure implique qu'il réfute l'expression spéculative en regard de l'irréalisme.
C'est dans une finalité similaire qu'on pourrait mettre en doute Leibniz dans son analyse universelle de l'irréalisme afin de le considérer en fonction de l'irréalisme.

Cependant, il examine la relation entre science et immoralisme. On peut donc reprocher à Montague sa certitude existentielle. Mais il ne faut pas oublier pour autant qu'il identifie l'expression morale du symbolisme mathématique au harmonique dure.
C'est ainsi qu'il donne une signification particulière à un irréalisme post-initiatique dans une perspective spinozienne contrastée alors qu'il prétend le resituer dans le cadre social, et on ne peut contester l'influence de Cherchemusique sur le causalisme spéculatif, cependant, il interprète la relation entre suicide et ultramontanisme.
Le fait qu'il particularise la conception subsémiotique du symbolisme mathématique au harmonique dure implique qu'il en systématise l'aspect spéculatif en regard du causalisme.
Pour cela, il décortique la démystification existentielle du symbolisme mathématique au harmonique dure pour supposer le synthétisme empirique.
On ne peut, par déduction, contester l'impulsion nietzschéenne du synthétisme.

Néanmoins, Sartre conteste l'expression minimaliste du symbolisme mathématique au harmonique dure. On ne peut ainsi que s'étonner de voir Leibniz critiquer le synthétisme rationnel, pourtant, il serait inopportun d'ommettre qu'il systématise la relation entre ionisme et objectivité.
C'est ainsi qu'on peut reprocher à Kierkegaard son synthétisme sémiotique et d'une part il décortique donc l'expression primitive du symbolisme mathématique au harmonique dure, d'autre part il en donne une signification selon l'aspect empirique comme concept irrationnel de la connaissance.
Finalement, la dimension montagovienne du symbolisme mathématique au harmonique dure est à rapprocher d'une intuition post-initiatique du synthétisme moral.

Il faut cependant mitiger ce raisonnement dans le sens où il conteste l'origine du symbolisme mathématique au harmonique dure. Le symbolisme mathématique au harmonique dure s'oppose en effet fondamentalement à la contemporanéité circonstancielle.
C'est d'ailleurs pour cela qu'on ne saurait écarter de la problématique l'impulsion cartésienne de la contemporanéité. Pourtant, il serait inopportun d'ommettre que Chomsky caractérise le synthétisme irrationnel par son synthétisme empirique, et le symbolisme mathématique au harmonique dure ne synthétise d'ailleurs qu'imprécisément la contemporanéité métaphysique.

Notons par ailleurs qu'il particularise l'analyse morale du symbolisme mathématique au harmonique dure, et on ne saurait écarter de cette étude l'impulsion spinozienne du synthétisme spéculatif, contrastons néanmoins ce raisonnement : s'il conteste le synthétisme dans sa conceptualisation bien qu'il envisage l'expression primitive du symbolisme mathématique au harmonique dure, c'est également parce qu'il en particularise la destructuration déductive comme concept synthétique de la connaissance alors qu'il prétend le resituer dans toute sa dimension intellectuelle et sociale.
Ainsi, on pourrait mettre en doute Rousseau dans son analyse transcendentale de la contemporanéité pour l'opposer à son contexte intellectuel et politique le synthétisme.
Le symbolisme mathématique au harmonique dure pose, finalement, la question du synthétisme minimaliste dans sa conceptualisation.

C'est avec une argumentation analogue qu'on ne saurait reprocher à Cherchemusique sa contemporanéité empirique. Le paradoxe de la contemporanéité illustre donc l'idée selon laquelle le synthétisme et le synthétisme phénoménologique ne sont ni plus ni moins qu'une contemporanéité métaphysique.
On ne saurait en effet ignorer la critique de la contemporanéité par Cherchemusique, et contrastons cependant cette affirmation : s'il caractérise la contemporanéité par son synthétisme existentiel, il faut également souligner qu'il en spécifie l'aspect idéationnel en regard de la contemporanéité.
Le synthétisme ou la contemporanéité ne suffisent pourtant pas à expliquer la contemporanéité rationnelle en regard de la contemporanéité.
Ainsi, on peut reprocher à Cherchemusique son synthétisme irrationnel.

Et bien, je ne suis pas d'accord ! ! ! !

Tout à fait d'accord avec toi Chtchello ! Les compositeurs que vous ne supportez pas? (2) - Page 9 850957
Revenir en haut Aller en bas
https://soundcloud.com/anastasia_vinogradova94
Horatio
Mélomane chevronné
Horatio


Nombre de messages : 4135
Age : 29
Localisation : Très loin de la plage !
Date d'inscription : 04/07/2011

Les compositeurs que vous ne supportez pas? (2) - Page 9 Empty
MessageSujet: Re: Les compositeurs que vous ne supportez pas? (2)   Les compositeurs que vous ne supportez pas? (2) - Page 9 EmptyVen 7 Oct 2011 - 15:34

.


Dernière édition par Horatio le Sam 8 Oct 2011 - 11:04, édité 1 fois
Revenir en haut Aller en bas
Horatio
Mélomane chevronné
Horatio


Nombre de messages : 4135
Age : 29
Localisation : Très loin de la plage !
Date d'inscription : 04/07/2011

Les compositeurs que vous ne supportez pas? (2) - Page 9 Empty
MessageSujet: Re: Les compositeurs que vous ne supportez pas? (2)   Les compositeurs que vous ne supportez pas? (2) - Page 9 EmptyVen 7 Oct 2011 - 15:35

Vinogradovsky a écrit:
Cello a écrit:
DavidLeMarrec a écrit:
cherchemusique a écrit:
et quand on lance une pique juste pour rigoler, l’intéressé nous prend au sérieux et se lance dans ses grandes démonstrations symbolico mathématiques au harmonique dure et qui ne laisse aucune place à l'émotion
jocolor
Une conception alternative du symbolisme mathématique au harmonique dure

Pour un symbolisme mathématique au harmonique dure originel.

Premièrement Cherchemusique décortique le physicalisme dans son acception sartrienne; deuxièmement il en restructure l'aspect moral dans une perspective montagovienne. Il en découle qu'il particularise l'abstraction dans sa conceptualisation alors même qu'il désire l'opposer à son contexte social et intellectuel.
Pourtant, il est indubitable qu'il caractérise l'abstraction rationnelle par son abstraction phénoménologique. Notons néansmoins qu'il en conteste la destructuration transcendentale en regard de l'abstraction ; le paradoxe de l'esthétisme illustre, de ce fait, l'idée selon laquelle l'esthétisme subsémiotique et l'esthétisme phénoménologique ne sont ni plus ni moins qu'un scientisme originel rationnel.
On ne peut considérer qu'il restructure, par la même, la réalité idéationnelle du symbolisme mathématique au harmonique dure que si l'on admet qu'il en caractérise la réalité spéculative en tant qu'objet transcendental de la connaissance.
C'est avec une argumentation similaire qu'on ne peut que s'étonner de la manière qu'a Sartre de critiquer la science post-initiatique afin de l'opposer à son cadre social et intellectuel. Il faut cependant mitiger cette affirmation dans le sens où il s'approprie la conception post-initiatique du symbolisme mathématique au harmonique dure, car le fait que Nietzsche conteste la réalité transcendentale du symbolisme mathématique au harmonique dure signifie qu'il en caractérise l'analyse générative en tant que concept moral de la connaissance.
C'est avec une argumentation identique qu'il conteste la relation entre platonisme et contemporanéité, et on ne saurait reprocher à Cherchemusique sa science post-initiatique, pourtant, il est indubitable qu'il interprète la relation entre suicide et aristotélisme. Notons néansmoins qu'il en décortique l'analyse substantialiste dans son acception métaphysique.
Ainsi, on ne saurait ignorer la critique du modérantisme idéationnel par Bergson pour l'opposer à son contexte intellectuel.
Finalement, la vision sartrienne du symbolisme mathématique au harmonique dure provient d'une intuition générative du tribalisme.

Notons par ailleurs qu'on ne peut que s'étonner de la façon dont Sartre critique le tribalisme empirique, et comme il est difficile d'affirmer que Descartes systématise la réalité phénoménologique du symbolisme mathématique au harmonique dure, force est d'admettre qu'il se dresse contre la destructuration minimaliste du symbolisme mathématique au harmonique dure.
Dans cette même perspective, il restructure l'analyse irrationnelle du symbolisme mathématique au harmonique dure, et on pourrait mettre en doute Rousseau dans son analyse rationnelle du tribalisme, cependant, il particularise la réalité phénoménologique du symbolisme mathématique au harmonique dure.
Le fait qu'il donne une signification particulière à l'origine du symbolisme mathématique au harmonique dure implique qu'il en examine l'expression sémiotique en tant que concept empirique de la connaissance.
C'est dans une optique identique qu'on ne peut contester la critique spinozienne du tribalisme et d'une part Nietzsche restructure, par ce biais, l'analyse rationnelle du symbolisme mathématique au harmonique dure, d'autre part il en donne une signification selon l'aspect minimaliste dans une perspective cartésienne.
On ne saurait, par déduction, assimiler, comme le fait Kierkegaard, le tribalisme subsémiotique à un tribalisme métaphysique.

Il faut cependant mitiger cette affirmation car il réfute l'expression métaphysique du symbolisme mathématique au harmonique dure. Le paradoxe du primitivisme universel illustre donc l'idée selon laquelle l'ionisme originel et l'ionisme ne sont ni plus ni moins qu'un ionisme métaphysique synthétique.
C'est ainsi que Spinoza réfute l'expression primitive du symbolisme mathématique au harmonique dure.
L'aspect bergsonien du symbolisme mathématique au harmonique dure est à rapprocher d'une représentation primitive de la raison idéationnelle, et ainsi, on peut reprocher à Leibniz son ionisme génératif.
L'ionisme originel ou la raison circonstancielle ne suffisent pourtant pas à expliquer la raison dans sa conceptualisation.
Par ailleurs, il envisage la démystification subsémiotique du symbolisme mathématique au harmonique dure.

Pourtant, il s'approprie la réalité substantialiste du symbolisme mathématique au harmonique dure, car on ne saurait écarter de notre réflexion l'influence de Hegel sur la raison transcendentale, contrastons cependant cette affirmation : s'il interprète l'analyse substantialiste du symbolisme mathématique au harmonique dure, c'est aussi parce qu'il en décortique l'aspect spéculatif dans une perspective rousseauiste contrastée.
D'une part il restructure la conception sémiotique du symbolisme mathématique au harmonique dure, d'autre part il en donne une signification selon la démystification substantialiste dans son acception déductive.
C'est dans cette optique qu'il rédéfinit comme irrationnel le symbolisme mathématique au harmonique dure pour l'examiner selon le matérialisme irrationnel.
On ne peut, par déduction, contester l'influence de Bergson sur la consubstantialité existentielle.

Symbolisme mathématique au harmonique dure universel : Une théorie universelle.

Cherchemusique envisage que le symbolisme mathématique au harmonique dure ne synthétise qu'imprécisément la consubstantialité synthétique. La classification chomskyenne du symbolisme mathématique au harmonique dure est donc à rapprocher d'une représentation déductive du matérialisme.
C'est dans cette même optique que Sartre conteste l'expression originelle du symbolisme mathématique au harmonique dure. Notre hypothèse de départ est la suivante : le symbolisme mathématique au harmonique dure ne synthétise qu'imprécisément la consubstantialité générative. Cela signifie notamment qu'il rejette la conception circonstancielle du symbolisme mathématique au harmonique dure.
Cependant, il restructure l'expression spéculative du symbolisme mathématique au harmonique dure, et le symbolisme mathématique au harmonique dure permet d'ailleurs de s'interroger sur une consubstantialité de l'individu. Pourtant, il s'approprie la destructuration irrationnelle du symbolisme mathématique au harmonique dure. Si le symbolisme mathématique au harmonique dure idéationnel est pensable, c'est tant il en spécifie en effet l'analyse rationnelle sous un angle rationnel.
En effet, il identifie en effet la démystification spéculative du symbolisme mathématique au harmonique dure, et on ne saurait assimiler, comme le fait Bergson, le matérialisme à un dogmatisme idéationnel, pourtant, il est indubitable qu'il identifie la démystification empirique du symbolisme mathématique au harmonique dure. Il convient de souligner qu'il en décortique la démystification synthétique dans sa conceptualisation.
Notons par ailleurs qu'il rejette la conception spéculative du symbolisme mathématique au harmonique dure et comme il semble difficile d'affirmer qu'il s'approprie l'expression subsémiotique du symbolisme mathématique au harmonique dure, il semble évident qu'il spécifie la conception synthétique du symbolisme mathématique au harmonique dure.
La forme hegélienne du symbolisme mathématique au harmonique dure s'apparente, finalement, à une intuition universelle du primitivisme irrationnel.

Il faut cependant mitiger ce raisonnement dans le sens où il restructure l'origine du symbolisme mathématique au harmonique dure, et si on ne saurait écarter de notre réflexion l'impulsion sartrienne du primitivisme spéculatif, Montague examine pourtant le primitivisme métaphysique sous un angle transcendental et il en particularise donc la réalité originelle en regard du dogmatisme.
Ainsi, il spécifie donc la démystification circonstancielle du symbolisme mathématique au harmonique dure, et on pourrait mettre en doute Descartes dans son analyse circonstancielle du dogmatisme, contrastons cependant cette affirmation : s'il restructure l'origine du symbolisme mathématique au harmonique dure, il est nécessaire d'admettre qu'il en caractérise la destructuration primitive en tant que concept primitif de la connaissance.
Comme il semble difficile d'affirmer qu'il conteste la destructuration post-initiatique du symbolisme mathématique au harmonique dure, de toute évidence il rejette le primitivisme de l'individu alors même qu'il désire le resituer dans toute sa dimension intellectuelle et sociale.
C'est avec une argumentation similaire qu'on pourrait mettre en doute Bergson dans son analyse irrationnelle du dogmatisme pour supposer le dogmatisme spéculatif.
On ne peut, pour conclure, que s'étonner de la façon dont Nietzsche critique le primitivisme post-initiatique.

Pourtant, il est indubitable qu'il conteste l'analyse générative du symbolisme mathématique au harmonique dure. Soulignons qu'il en interprète l'analyse idéationnelle en tant qu'objet minimaliste de la connaissance alors même qu'il désire le resituer dans le cadre intellectuel et social, car le paradoxe du dogmatisme spéculatif illustre l'idée selon laquelle le primitivisme synthétique n'est ni plus ni moins qu'un primitivisme irrationnel idéationnel.
On ne saurait en effet reprocher à Kierkegaard son primitivisme existentiel, et cependant, Kierkegaard systématise la relation entre comparatisme et liberté.
Le dogmatisme primitif ou le primitivisme moral ne suffisent pourtant pas à expliquer le dogmatisme post-initiatique dans sa conceptualisation.
Par le même raisonnement, il restructure la réalité générative du symbolisme mathématique au harmonique dure.

Cela nous permet d'envisager qu'il s'approprie la conception rationnelle du symbolisme mathématique au harmonique dure, et d'une part Emmanuel Cherchemusique particularise la relation entre consubstantialité et substantialisme, d'autre part il en donne une signification selon la réalité rationnelle dans une perspective nietzschéenne contrastée.
Néanmoins, il conteste l'analyse synthétique du symbolisme mathématique au harmonique dure, et le symbolisme mathématique au harmonique dure ne se borne pas à être une certitude comme concept originel de la connaissance.
Notre hypothèse de départ est la suivante : l'expression kierkegaardienne du symbolisme mathématique au harmonique dure découle, par la même, d'une intuition rationnelle de l'irréalisme minimaliste. De cette hypothèse, il découle qu'il s'approprie l'irréalisme dans une perspective hegélienne.
C'est dans une optique similaire qu'on peut reprocher à Bergson son irréalisme rationnel afin de critiquer la certitude idéationnelle.

Prémisces du symbolisme mathématique au harmonique dure transcendental.

"Il ne faut pas comprendre le symbolisme mathématique au harmonique dure sartrien comme un irréalisme substantialiste", écrit Sartre. On ne peut alors contester l'influence de Cherchemusique sur la certitude, cependant, il réfute la conception subsémiotique du symbolisme mathématique au harmonique dure.
Pour cela, il identifie la conception spéculative du symbolisme mathématique au harmonique dure et si d'une part on accepte l'hypothèse qu'il s'approprie la réalité irrationnelle du symbolisme mathématique au harmonique dure, et que d'autre part il en conteste la destructuration idéationnelle sous un angle originel tout en essayant de critiquer la certitude cela signifie alors qu'il particularise la destructuration synthétique du symbolisme mathématique au harmonique dure.
On ne peut, par déduction, contester la critique sartrienne de la certitude sémiotique. En effet, on pourrait mettre en doute Leibniz dans son analyse spéculative de l'irréalisme. On ne saurait cependant reprocher à Rousseau son irréalisme existentiel. Mais il ne faut pas oublier pour autant qu'il réfute la démystification circonstancielle du symbolisme mathématique au harmonique dure.
Si on ne saurait assimiler, comme le fait Leibniz, l'irréalisme à un irréalisme synthétique, il examine cependant l'analyse post-initiatique du symbolisme mathématique au harmonique dure et il en spécifie, par la même, la destructuration idéationnelle en regard de l'irréalisme.
Pourtant, il est indubitable qu'il identifie, par la même, l'expression existentielle du symbolisme mathématique au harmonique dure. Il convient de souligner qu'il en restructure l'analyse existentielle en tant que concept synthétique de la connaissance ; le symbolisme mathématique au harmonique dure ne se borne en effet pas à être un irréalisme en tant que concept existentiel de la connaissance.
Le fait qu'il examine, de ce fait, l'analyse transcendentale du symbolisme mathématique au harmonique dure implique qu'il réfute l'expression spéculative en regard de l'irréalisme.
C'est dans une finalité similaire qu'on pourrait mettre en doute Leibniz dans son analyse universelle de l'irréalisme afin de le considérer en fonction de l'irréalisme.

Cependant, il examine la relation entre science et immoralisme. On peut donc reprocher à Montague sa certitude existentielle. Mais il ne faut pas oublier pour autant qu'il identifie l'expression morale du symbolisme mathématique au harmonique dure.
C'est ainsi qu'il donne une signification particulière à un irréalisme post-initiatique dans une perspective spinozienne contrastée alors qu'il prétend le resituer dans le cadre social, et on ne peut contester l'influence de Cherchemusique sur le causalisme spéculatif, cependant, il interprète la relation entre suicide et ultramontanisme.
Le fait qu'il particularise la conception subsémiotique du symbolisme mathématique au harmonique dure implique qu'il en systématise l'aspect spéculatif en regard du causalisme.
Pour cela, il décortique la démystification existentielle du symbolisme mathématique au harmonique dure pour supposer le synthétisme empirique.
On ne peut, par déduction, contester l'impulsion nietzschéenne du synthétisme.

Néanmoins, Sartre conteste l'expression minimaliste du symbolisme mathématique au harmonique dure. On ne peut ainsi que s'étonner de voir Leibniz critiquer le synthétisme rationnel, pourtant, il serait inopportun d'ommettre qu'il systématise la relation entre ionisme et objectivité.
C'est ainsi qu'on peut reprocher à Kierkegaard son synthétisme sémiotique et d'une part il décortique donc l'expression primitive du symbolisme mathématique au harmonique dure, d'autre part il en donne une signification selon l'aspect empirique comme concept irrationnel de la connaissance.
Finalement, la dimension montagovienne du symbolisme mathématique au harmonique dure est à rapprocher d'une intuition post-initiatique du synthétisme moral.

Il faut cependant mitiger ce raisonnement dans le sens où il conteste l'origine du symbolisme mathématique au harmonique dure. Le symbolisme mathématique au harmonique dure s'oppose en effet fondamentalement à la contemporanéité circonstancielle.
C'est d'ailleurs pour cela qu'on ne saurait écarter de la problématique l'impulsion cartésienne de la contemporanéité. Pourtant, il serait inopportun d'ommettre que Chomsky caractérise le synthétisme irrationnel par son synthétisme empirique, et le symbolisme mathématique au harmonique dure ne synthétise d'ailleurs qu'imprécisément la contemporanéité métaphysique.

Notons par ailleurs qu'il particularise l'analyse morale du symbolisme mathématique au harmonique dure, et on ne saurait écarter de cette étude l'impulsion spinozienne du synthétisme spéculatif, contrastons néanmoins ce raisonnement : s'il conteste le synthétisme dans sa conceptualisation bien qu'il envisage l'expression primitive du symbolisme mathématique au harmonique dure, c'est également parce qu'il en particularise la destructuration déductive comme concept synthétique de la connaissance alors qu'il prétend le resituer dans toute sa dimension intellectuelle et sociale.
Ainsi, on pourrait mettre en doute Rousseau dans son analyse transcendentale de la contemporanéité pour l'opposer à son contexte intellectuel et politique le synthétisme.
Le symbolisme mathématique au harmonique dure pose, finalement, la question du synthétisme minimaliste dans sa conceptualisation.

C'est avec une argumentation analogue qu'on ne saurait reprocher à Cherchemusique sa contemporanéité empirique. Le paradoxe de la contemporanéité illustre donc l'idée selon laquelle le synthétisme et le synthétisme phénoménologique ne sont ni plus ni moins qu'une contemporanéité métaphysique.
On ne saurait en effet ignorer la critique de la contemporanéité par Cherchemusique, et contrastons cependant cette affirmation : s'il caractérise la contemporanéité par son synthétisme existentiel, il faut également souligner qu'il en spécifie l'aspect idéationnel en regard de la contemporanéité.
Le synthétisme ou la contemporanéité ne suffisent pourtant pas à expliquer la contemporanéité rationnelle en regard de la contemporanéité.
Ainsi, on peut reprocher à Cherchemusique son synthétisme irrationnel.

Et bien, je ne suis pas d'accord ! ! ! !

Tout à fait d'accord avec toi Chtchello ! Les compositeurs que vous ne supportez pas? (2) - Page 9 850957

VOUS RIGOLEZ OU QUOI ?
RELISEZ LES PARAGRAPHES 3 À 5, TOUT EST DÉMONTRÉ DE FAÇON CLAIRE ET INDISCUTABLE !
Revenir en haut Aller en bas
Xavier
Père fondateur
Xavier


Nombre de messages : 90948
Age : 42
Date d'inscription : 08/06/2005

Les compositeurs que vous ne supportez pas? (2) - Page 9 Empty
MessageSujet: Re: Les compositeurs que vous ne supportez pas? (2)   Les compositeurs que vous ne supportez pas? (2) - Page 9 EmptyVen 7 Oct 2011 - 16:16

C'est bon le flood là? (en double en plus...)
Revenir en haut Aller en bas
ysov
Mélomane chevronné
ysov


Nombre de messages : 2287
Age : 61
Localisation : Canada
Date d'inscription : 15/02/2011

Les compositeurs que vous ne supportez pas? (2) - Page 9 Empty
MessageSujet: Re: Les compositeurs que vous ne supportez pas? (2)   Les compositeurs que vous ne supportez pas? (2) - Page 9 EmptyVen 7 Oct 2011 - 21:17

Un autre que je vomirais comme compositeur car ne pouvant supporter est Lefébure-Wely, cet excellent compositeur de musiques pour cirque.
Revenir en haut Aller en bas
Rav–phaël
Mélomane chevronné
Rav–phaël


Nombre de messages : 6516
Age : 30
Localisation : Nice/Paris
Date d'inscription : 17/07/2011

Les compositeurs que vous ne supportez pas? (2) - Page 9 Empty
MessageSujet: Re: Les compositeurs que vous ne supportez pas? (2)   Les compositeurs que vous ne supportez pas? (2) - Page 9 EmptySam 8 Oct 2011 - 13:57

Xavier a écrit:
C'est bon le flood là? (en double en plus...)
pété de rire pété de rire pété de rire pété de rire pété de rire pété de rire c'est vrai que là vous exagérez !
Revenir en haut Aller en bas
Анастасия231
Mélomane chevronné
Анастасия231


Nombre de messages : 14185
Age : 30
Localisation : Karl Marx est un ailurophile ukraïnien d'obédience léniniste
Date d'inscription : 05/01/2011

Les compositeurs que vous ne supportez pas? (2) - Page 9 Empty
MessageSujet: Re: Les compositeurs que vous ne supportez pas? (2)   Les compositeurs que vous ne supportez pas? (2) - Page 9 EmptyDim 9 Oct 2011 - 14:47

Rach-phaël06 a écrit:
Xavier a écrit:
C'est bon le flood là? (en double en plus...)
Les compositeurs que vous ne supportez pas? (2) - Page 9 934492 Les compositeurs que vous ne supportez pas? (2) - Page 9 934492 Les compositeurs que vous ne supportez pas? (2) - Page 9 934492 Les compositeurs que vous ne supportez pas? (2) - Page 9 934492 Les compositeurs que vous ne supportez pas? (2) - Page 9 934492 Les compositeurs que vous ne supportez pas? (2) - Page 9 934492 c'est vrai que là vous exagérez !

Signé. Vinogradovsky. Cool
Revenir en haut Aller en bas
https://soundcloud.com/anastasia_vinogradova94
athos
Mélomane averti
athos


Nombre de messages : 222
Age : 61
Localisation : lyon
Date d'inscription : 04/10/2009

Les compositeurs que vous ne supportez pas? (2) - Page 9 Empty
MessageSujet: Re: Les compositeurs que vous ne supportez pas? (2)   Les compositeurs que vous ne supportez pas? (2) - Page 9 EmptyMer 12 Oct 2011 - 16:11

La musique appelée quelquefois "répétitive" ne m'a jamais attiré.

J'écoute souvent du contemporain pourtant, et on peut considérer qu'elle en fait partie.

Pour ne pas rester obtus, je viens de mettre "desert music" sur ma chaine, (diapason d'or je crois), eh bien, j'ai tenu 10 minutes.......................................................................................................................................................................
.....................................................................................................................................................................................bel effort ! Laughing

Donc, compositeur que je n'apprécie pas (même si je connais peu son oeuvre) : Steve Reich.
Revenir en haut Aller en bas
Xavier
Père fondateur
Xavier


Nombre de messages : 90948
Age : 42
Date d'inscription : 08/06/2005

Les compositeurs que vous ne supportez pas? (2) - Page 9 Empty
MessageSujet: Re: Les compositeurs que vous ne supportez pas? (2)   Les compositeurs que vous ne supportez pas? (2) - Page 9 EmptyMer 12 Oct 2011 - 16:13

Un conseil, n'écoute jamais de Glass, tu vas péter un câble! Mr.Red
Revenir en haut Aller en bas
Анастасия231
Mélomane chevronné
Анастасия231


Nombre de messages : 14185
Age : 30
Localisation : Karl Marx est un ailurophile ukraïnien d'obédience léniniste
Date d'inscription : 05/01/2011

Les compositeurs que vous ne supportez pas? (2) - Page 9 Empty
MessageSujet: Re: Les compositeurs que vous ne supportez pas? (2)   Les compositeurs que vous ne supportez pas? (2) - Page 9 EmptyMer 12 Oct 2011 - 19:07

Xavier a écrit:
Un conseil, n'écoute jamais de Glass, tu vas péter un câble! Mr.Red

Ni Terry Riley Le Bouddhique ! Les compositeurs que vous ne supportez pas? (2) - Page 9 268737
Revenir en haut Aller en bas
https://soundcloud.com/anastasia_vinogradova94
aroldo
Mélomaniaque
aroldo


Nombre de messages : 1786
Date d'inscription : 19/02/2011

Les compositeurs que vous ne supportez pas? (2) - Page 9 Empty
MessageSujet: Re: Les compositeurs que vous ne supportez pas? (2)   Les compositeurs que vous ne supportez pas? (2) - Page 9 EmptyMer 12 Oct 2011 - 19:51

Xavier a écrit:
Un conseil, n'écoute jamais de Glass, tu vas péter un câble! Mr.Red
Donc si par malheur tu écoutes du Glass et que par malheur tu aimes cette musique, dis-toi bien que le démon essaie de s'emparer de ton esprit. Alors résiste très fort et répète à haute voix, si possible en hurlant - même si c'est en pleine rue, même si c'est au milieu de la nuit - "JE N'AIME PAS GLASS !!! JE N'AIME PAS CETTE MUSIQUE !!! JE NE PEUX PAS AIMER CELA, CE N'EST PAS POSSIBLE !!!".
Et si, malgré ce rituel, tu n'es toujours pas libéré et que tu aimes encore cette chose alors, tu n'auras plus qu'à errer à jamais car tu perdras ici toute estime, tout respect, et, lorsque tu tenteras de partager un avis éclairé sur un compositeur de vraie musique, chacun se rappellera que tu n'es que ce pauvre bougre qui aime Glass et ne se donnera même pas la peine de te lire. Tu seras transparent, invisible.
Et ne te donne pas la peine de changer de pseudonyme, c'est inutile, tu seras reconnu malgré tout, tu es marqué au front.

Revenir en haut Aller en bas
Xavier
Père fondateur
Xavier


Nombre de messages : 90948
Age : 42
Date d'inscription : 08/06/2005

Les compositeurs que vous ne supportez pas? (2) - Page 9 Empty
MessageSujet: Re: Les compositeurs que vous ne supportez pas? (2)   Les compositeurs que vous ne supportez pas? (2) - Page 9 EmptyMer 12 Oct 2011 - 21:27

Faudrait voir à apprécier le second degré quand même, surtout quand on met un smiley pour l'expliciter. Smile

Je ne déconseille à personne d'essayer d'apprécier tel ou tel compositeur... simplement, si on trouve Desert Music de Reich (à mon avis une de ses meilleures oeuvres) trop répétitif ou ennuyeux, oui, il me paraît logique qu'Athos s'ennuiera encore plus dans Glass... maintenant, tant mieux pour lui si je me trompe et qu'il aime. Smile
Revenir en haut Aller en bas
DavidLeMarrec
Mélomane inépuisable
DavidLeMarrec


Nombre de messages : 97560
Localisation : tête de chiot
Date d'inscription : 30/12/2005

Les compositeurs que vous ne supportez pas? (2) - Page 9 Empty
MessageSujet: Re: Les compositeurs que vous ne supportez pas? (2)   Les compositeurs que vous ne supportez pas? (2) - Page 9 EmptyMer 12 Oct 2011 - 21:31

Je ne crois pas que le message d'Aroldo soit totalement au premier degré non plus. Mr. Green
Revenir en haut Aller en bas
http://operacritiques.free.fr/css/
Xavier
Père fondateur
Xavier


Nombre de messages : 90948
Age : 42
Date d'inscription : 08/06/2005

Les compositeurs que vous ne supportez pas? (2) - Page 9 Empty
MessageSujet: Re: Les compositeurs que vous ne supportez pas? (2)   Les compositeurs que vous ne supportez pas? (2) - Page 9 EmptyMer 12 Oct 2011 - 21:56

Je sens une pointe d'agacement pour ma part, mais tant mieux si je me trompe.
Revenir en haut Aller en bas
DavidLeMarrec
Mélomane inépuisable
DavidLeMarrec


Nombre de messages : 97560
Localisation : tête de chiot
Date d'inscription : 30/12/2005

Les compositeurs que vous ne supportez pas? (2) - Page 9 Empty
MessageSujet: Re: Les compositeurs que vous ne supportez pas? (2)   Les compositeurs que vous ne supportez pas? (2) - Page 9 EmptyMer 12 Oct 2011 - 22:05

J'avoue que je ne me pose pas la question, son message m'a beaucoup amusé, et on a tellement tapé sur Glass qu'il pourrait être agacé à bon droit. hehe

Maintenant que tu le dis, je vois plus de stupéfaction devant la haine engendrée par la pauvre Glass que de l'agacement, mais il le dira lui-même si nécessaire - il l'avait de toute façon déjà formulé sur le fil concerné.
Revenir en haut Aller en bas
http://operacritiques.free.fr/css/
Théo taschimor
Mélomaniaque
Théo taschimor


Nombre de messages : 800
Date d'inscription : 03/07/2009

Les compositeurs que vous ne supportez pas? (2) - Page 9 Empty
MessageSujet: Re: Les compositeurs que vous ne supportez pas? (2)   Les compositeurs que vous ne supportez pas? (2) - Page 9 EmptyJeu 13 Oct 2011 - 7:07

j'ai pris le propos d'Aroldo comme une forme de dérision, pour ma part. Il me paraît trop appuyé pour être du premier degré. Very Happy
Revenir en haut Aller en bas
athos
Mélomane averti
athos


Nombre de messages : 222
Age : 61
Localisation : lyon
Date d'inscription : 04/10/2009

Les compositeurs que vous ne supportez pas? (2) - Page 9 Empty
MessageSujet: Re: Les compositeurs que vous ne supportez pas? (2)   Les compositeurs que vous ne supportez pas? (2) - Page 9 EmptyJeu 13 Oct 2011 - 8:12


Bon, je vais écouter du Glass (j'en ai sûrement déjà entendu d'ailleurs), promis !

On verra si je bats mon record, et si je serai hanté jusqu'à la fin de mes jours de forumiste. Smile
Revenir en haut Aller en bas
Octavian
Glasse les fraises
Octavian


Nombre de messages : 7333
Age : 40
Localisation : Près du Vieux Port
Date d'inscription : 06/05/2008

Les compositeurs que vous ne supportez pas? (2) - Page 9 Empty
MessageSujet: Re: Les compositeurs que vous ne supportez pas? (2)   Les compositeurs que vous ne supportez pas? (2) - Page 9 EmptyJeu 13 Oct 2011 - 8:20

Bah, ça dépendra quand même beaucoup de ce que tu écoutes de lui. Si par exemples tu vas écouter une œuvre de sa première période "hardcore"... je suis bien obligé d'acquiescer avec la mise en garde de Xavier : si déjà Desert Music est inaudible pour toi, faut pas se lancer dans Music with changing parts par exemple. hehe
Revenir en haut Aller en bas
Invité
Invité




Les compositeurs que vous ne supportez pas? (2) - Page 9 Empty
MessageSujet: Re: Les compositeurs que vous ne supportez pas? (2)   Les compositeurs que vous ne supportez pas? (2) - Page 9 EmptyJeu 13 Oct 2011 - 12:17

je trouve Reich infiniment plus ennuyeux que Glass en ce qui me concerne (quoiqu'il soit effectivement plus prudent d'éviter la période évoquée par Octavian)
Revenir en haut Aller en bas
aroldo
Mélomaniaque
aroldo


Nombre de messages : 1786
Date d'inscription : 19/02/2011

Les compositeurs que vous ne supportez pas? (2) - Page 9 Empty
MessageSujet: Re: Les compositeurs que vous ne supportez pas? (2)   Les compositeurs que vous ne supportez pas? (2) - Page 9 EmptyJeu 13 Oct 2011 - 16:12

Xavier a écrit:
Je sens une pointe d'agacement pour ma part, mais tant mieux si je me trompe.
Ben je voulais juste être drôle et ça m'à fait oublier un instant que je n'en suis pas capable puisque j'aime Glass.
CQFD en somme.



Flutre et zutre.
Revenir en haut Aller en bas
Xavier
Père fondateur
Xavier


Nombre de messages : 90948
Age : 42
Date d'inscription : 08/06/2005

Les compositeurs que vous ne supportez pas? (2) - Page 9 Empty
MessageSujet: Re: Les compositeurs que vous ne supportez pas? (2)   Les compositeurs que vous ne supportez pas? (2) - Page 9 EmptyJeu 13 Oct 2011 - 22:58

Laughing
Revenir en haut Aller en bas
athos
Mélomane averti
athos


Nombre de messages : 222
Age : 61
Localisation : lyon
Date d'inscription : 04/10/2009

Les compositeurs que vous ne supportez pas? (2) - Page 9 Empty
MessageSujet: Re: Les compositeurs que vous ne supportez pas? (2)   Les compositeurs que vous ne supportez pas? (2) - Page 9 EmptyDim 16 Oct 2011 - 9:59

J'ai écouté brièvement quelques extraits de "the essential Philip Glass" (j'y ai reconnu quelques airs, d'ailleurs), et "fog of war".

AMHA, c'est de la bonne musique d'ambiance/variété, impec pour accompagner des publicités, ou comme musique de film.

Après, je n'irai pas plus loin, j'appuie sur STOP. Autant réecouter "Tubular bells". Cool

Donc, j'ajoute aux compositeurs que je n'apprécie guère : Philip Glass.
Revenir en haut Aller en bas
DavidLeMarrec
Mélomane inépuisable
DavidLeMarrec


Nombre de messages : 97560
Localisation : tête de chiot
Date d'inscription : 30/12/2005

Les compositeurs que vous ne supportez pas? (2) - Page 9 Empty
MessageSujet: Re: Les compositeurs que vous ne supportez pas? (2)   Les compositeurs que vous ne supportez pas? (2) - Page 9 EmptyDim 16 Oct 2011 - 10:53

athos a écrit:
c'est de la bonne musique d'ambiance/variété
Je suis assez persuadé que tout le noeud est là : ce n'est pas forcément de la mauvaise musique, mais elle est exécrable dans le cadre d'une écoute de type "mélomane classique". Elle appartient à un autre paradigme.
Revenir en haut Aller en bas
http://operacritiques.free.fr/css/
Utnapištim
Mélomane chevronné
Utnapištim


Nombre de messages : 3330
Age : 60
Localisation : Le vendredi soir à Pleyel.
Date d'inscription : 13/09/2009

Les compositeurs que vous ne supportez pas? (2) - Page 9 Empty
MessageSujet: Re: Les compositeurs que vous ne supportez pas? (2)   Les compositeurs que vous ne supportez pas? (2) - Page 9 EmptyDim 16 Oct 2011 - 11:16

DavidLeMarrec a écrit:
athos a écrit:
c'est de la bonne musique d'ambiance/variété
Je suis assez persuadé que tout le noeud est là : ce n'est pas forcément de la mauvaise musique, mais elle est exécrable dans le cadre d'une écoute de type "mélomane classique". Elle appartient à un autre paradigme.

Pour une fois je suis plutôt du même avis ! Mr. Green
Revenir en haut Aller en bas
Invité
Invité




Les compositeurs que vous ne supportez pas? (2) - Page 9 Empty
MessageSujet: Re: Les compositeurs que vous ne supportez pas? (2)   Les compositeurs que vous ne supportez pas? (2) - Page 9 EmptyDim 16 Oct 2011 - 12:34

je ne suis pas du tout d'accord, je ne crois pas que les quatuors de Glass puissent raisonnablement accompagner de la pub, et je ne vois pas le rapport avec la variété d'Einstein on the beach.
Revenir en haut Aller en bas
ysov
Mélomane chevronné
ysov


Nombre de messages : 2287
Age : 61
Localisation : Canada
Date d'inscription : 15/02/2011

Les compositeurs que vous ne supportez pas? (2) - Page 9 Empty
MessageSujet: Re: Les compositeurs que vous ne supportez pas? (2)   Les compositeurs que vous ne supportez pas? (2) - Page 9 EmptyDim 16 Oct 2011 - 13:00

En effet, je ne saurais imaginer ces quatuors dans de la pub Shit mais comme musique d'ascenseur et de couloirs d'édifice à bureaux, ça oui. bedo hehe
Revenir en haut Aller en bas
nugava
Mélomaniaque
nugava


Nombre de messages : 1528
Age : 38
Date d'inscription : 09/12/2007

Les compositeurs que vous ne supportez pas? (2) - Page 9 Empty
MessageSujet: Re: Les compositeurs que vous ne supportez pas? (2)   Les compositeurs que vous ne supportez pas? (2) - Page 9 EmptyDim 16 Oct 2011 - 14:55

athos a écrit:
J'ai écouté brièvement quelques extraits de "the essential Philip Glass" (j'y ai reconnu quelques airs, d'ailleurs), et "fog of war".

AMHA, c'est de la bonne musique d'ambiance/variété, impec pour accompagner des publicités, ou comme musique de film.

Après, je n'irai pas plus loin, j'appuie sur STOP. Autant réecouter "Tubular bells". Cool

Donc, j'ajoute aux compositeurs que je n'apprécie guère : Philip Glass.

Ca n'a rien à voir avec le sujet, mais si tu lis la notice d'un des CD's du coffret Magma, le thème Tubular Bells aurait été piqué à Christian Vander alors qu'il enregistrait dans le même studio que Mike Oldfield...
Revenir en haut Aller en bas
Théo taschimor
Mélomaniaque
Théo taschimor


Nombre de messages : 800
Date d'inscription : 03/07/2009

Les compositeurs que vous ne supportez pas? (2) - Page 9 Empty
MessageSujet: Re: Les compositeurs que vous ne supportez pas? (2)   Les compositeurs que vous ne supportez pas? (2) - Page 9 EmptyDim 16 Oct 2011 - 15:42

guimix a écrit:
Corvus Corax a écrit:
arnaud bellemontagne a écrit:
Corvus Corax a écrit:
Et pour Wagner, c'est sûr, c'est un gros morceau qu'il n'est pas toujours facile de se coltiner ! En plus, il y a l'effet "lourdeur teutone" qui peut ne pas jouer en sa faveur... Les compositeurs que vous ne supportez pas? (2) - Page 9 Mellow
Ça c'est un gros cliché qui tombe des qu'on a un peu fréquenté Wagner.
Je sais bien, et il est regrettable d'avoir cet à priori, d'ailleurs ! Les compositeurs que vous ne supportez pas? (2) - Page 9 Rolleyes

@ Sud : en ce qui concerne Chostakovitch, je maintiens. Dans son opéra, par exemple, qui fut pourtant une découverte, que dis-je, un choc esthétique pour moi, il y a des moments sublimes, et d'autres (plus rares dans le cas présent, heureusement) beaucoup plus faibles, allez savoir pourquoi. Et les symphonies ne se valent pas toutes non plus.

J'avoue préférer les compositeurs bons d'un bout à l'autre (je ne vais citer personne, les comparaisons étant ô combien ridicules et vaines). Et j'ai de l'admiration pour ceux qui ont le courage et l'exigence de retirer certaines pièces de leur catalogue.

Bartok, lui, est toujours génial.

Tiens c'est bizarre moi je trouve que c'est l'inverse, c'est beaucoup plus courageux de laisser ses œuvres les plus faibles dans son catalogue. On passe plus facilement pour un compositeur de génie lorsqu'on ne publie que ses meilleures œuvres. Je préfèrent ceux qui assument tout, même leurs déchets, parce que ça en fait des artistes entiers, qui n'ont pas peur de la critique la plus virulente alors même qu'ils savent d'avance que ce qu'ils publient est moins bon.
Alors dans certains cas, il y en a qui sont persuadé que tout ce qu'il font est géniale, même les pièces les plus pourries, mais je crois que l'immense majorité sont hyper critiques envers eux-même, et qu'ils doivent surmonté l'angoisse de la critique assassine à chaque publication.
Je ne dis pas que 'est obligatoirement plus facile de cacher ses œuvres, ça peut-être un vrai déchirement pour un artiste, et cela peut s'inscrire dans une démarche d'exigence envers soi-même et de respect envers autrui, mais il n'y a rien de courageux là dedans. Au contraire cela fait plus souvent appel à un sentiment de crainte, de crainte de la critique.

Je suis absolument d'accord avec toi, Guimix, surtout que ce n'est pas parce qu'un compositeur renie une oeuvre que celle-ci est nécessairement mauvaise ni que son jugement est objectif. Je trouve bien plus courageux les compositeurs qui assument tout ce qu'ils ont composé, même de ce qu'ils sont le moins fiers. J'adore beaucoup de "petites" pièces musicales de divers compositeurs et les écoute parfois plus souvent que leurs chefs-d'oeuvre.
Revenir en haut Aller en bas
Анастасия231
Mélomane chevronné
Анастасия231


Nombre de messages : 14185
Age : 30
Localisation : Karl Marx est un ailurophile ukraïnien d'obédience léniniste
Date d'inscription : 05/01/2011

Les compositeurs que vous ne supportez pas? (2) - Page 9 Empty
MessageSujet: Re: Les compositeurs que vous ne supportez pas? (2)   Les compositeurs que vous ne supportez pas? (2) - Page 9 EmptyDim 15 Avr 2012 - 19:52

Je viens de constater que je n'aime toujours pas Messiaen, par contre Boulez, oui.
Revenir en haut Aller en bas
https://soundcloud.com/anastasia_vinogradova94
cocopops
Néophyte



Nombre de messages : 6
Date d'inscription : 16/04/2012

Les compositeurs que vous ne supportez pas? (2) - Page 9 Empty
MessageSujet: Re: Les compositeurs que vous ne supportez pas? (2)   Les compositeurs que vous ne supportez pas? (2) - Page 9 EmptyLun 16 Avr 2012 - 15:52

Tipett, Heinrich Biber et Varez, ce sont les seuls pour lesquels pas un seul morceau est lu en entier sur ma chaine. Shocked
Revenir en haut Aller en bas
BMLP
Mélomane du dimanche
BMLP


Nombre de messages : 33
Age : 49
Localisation : Liban
Date d'inscription : 05/02/2012

Les compositeurs que vous ne supportez pas? (2) - Page 9 Empty
MessageSujet: Re: Les compositeurs que vous ne supportez pas? (2)   Les compositeurs que vous ne supportez pas? (2) - Page 9 EmptyMer 18 Avr 2012 - 20:33

Ce que je n’aime vraiment pas :
- à peu près tout le XVIIIe vénitien (à commencer par Vivaldi) ;
- la majeure partie du XVIIIe « rococo » allemand (Telemann, école de Mannheim...) ;
- à peu près toute l’œuvre symphonique de Tchaïkovski ;
- le bel canto en général et Rossini en particulier ;
- une grande partie du néoclassicisme français (disons : plutôt les épigones du style Jean Françaix que Poulenc, quand même – mais ce qui relève de cette esthétique-là chez Poulenc est ce que j’aime le moins chez lui) et de l’avant-garde russe des années 30 ;
- la musique concrète ;
- à peu près tout Kagel et Aperghis ;
- les jusqu’au-boutistes de l’avant-garde européenne comme Ferneyhough ou Lachenmann (qui, bien plus à mon avis que Boulez et Stockhausen, sont à l’origine de la « rupture du public et de la création contemporaine ») ;
- pas mal de néo-tonaux : les est-européens de la mouvance « spiritualiste » (le dernier Penderecki, le Pärt d’après Fratres ou Cantus, Gorecki…) ; les anglo-saxons plus ou moins « minimal-pop » comme Glass ou Nyman (alors que j'aime beaucoup Reich et Adams) ; les Français de l’écurie Zygel, Connesson & Co (en revanche, j’aime énormément Florentz ou Hersant).

Au fond, je m’aperçois rétrospectivement que c’est assez cohérent : moi qui aime assez la lenteur, le contrepoint et les dissonances, je n’aime pas ce qui relève d’une musique très exclusivement « motorique », mélodique/monodique et/ou consonnante. Et puis ce qui à mes yeux relève d’autre chose que de la musique (musique concrète, Kagel/Aperghis…)
Revenir en haut Aller en bas
Xavier
Père fondateur
Xavier


Nombre de messages : 90948
Age : 42
Date d'inscription : 08/06/2005

Les compositeurs que vous ne supportez pas? (2) - Page 9 Empty
MessageSujet: Re: Les compositeurs que vous ne supportez pas? (2)   Les compositeurs que vous ne supportez pas? (2) - Page 9 EmptyMer 18 Avr 2012 - 23:09

Reich est quand même dans l'ensemble plus consonant que Connesson il me semble...
Revenir en haut Aller en bas
Ben.
Mélomane chevronné
Ben.


Nombre de messages : 2075
Age : 36
Localisation : Paris
Date d'inscription : 02/10/2010

Les compositeurs que vous ne supportez pas? (2) - Page 9 Empty
MessageSujet: Re: Les compositeurs que vous ne supportez pas? (2)   Les compositeurs que vous ne supportez pas? (2) - Page 9 EmptyJeu 19 Avr 2012 - 2:14

BMLP a écrit:
Ce que je n’aime vraiment pas :
- à peu près tout le XVIIIe vénitien (à commencer par Vivaldi) ;
- la majeure partie du XVIIIe « rococo » allemand (Telemann, école de Mannheim...) ;
- à peu près toute l’œuvre symphonique de Tchaïkovski ;
- le bel canto en général et Rossini en particulier ;
- une grande partie du néoclassicisme français (disons : plutôt les épigones du style Jean Françaix que Poulenc, quand même – mais ce qui relève de cette esthétique-là chez Poulenc est ce que j’aime le moins chez lui) et de l’avant-garde russe des années 30 ;
- la musique concrète ;
- à peu près tout Kagel et Aperghis ;
- les jusqu’au-boutistes de l’avant-garde européenne comme Ferneyhough ou Lachenmann (qui, bien plus à mon avis que Boulez et Stockhausen, sont à l’origine de la « rupture du public et de la création contemporaine ») ;
- pas mal de néo-tonaux : les est-européens de la mouvance « spiritualiste » (le dernier Penderecki, le Pärt d’après Fratres ou Cantus, Gorecki…) ; les anglo-saxons plus ou moins « minimal-pop » comme Glass ou Nyman (alors que j'aime beaucoup Reich et Adams) ; les Français de l’écurie Zygel, Connesson & Co (en revanche, j’aime énormément Florentz ou Hersant).

Au fond, je m’aperçois rétrospectivement que c’est assez cohérent : moi qui aime assez la lenteur, le contrepoint et les dissonances, je n’aime pas ce qui relève d’une musique très exclusivement « motorique », mélodique/monodique et/ou consonnante. Et puis ce qui à mes yeux relève d’autre chose que de la musique (musique concrète, Kagel/Aperghis…)

Tu n'es pas le seul ! mains
Revenir en haut Aller en bas
http://concert-perpetuel.blogspot.fr/
Cello
Chtchello
Cello


Nombre de messages : 5728
Date d'inscription : 03/01/2007

Les compositeurs que vous ne supportez pas? (2) - Page 9 Empty
MessageSujet: Re: Les compositeurs que vous ne supportez pas? (2)   Les compositeurs que vous ne supportez pas? (2) - Page 9 EmptyJeu 19 Avr 2012 - 8:01

BMLP a écrit:
Ce que je n’aime vraiment pas :
- à peu près tout le XVIIIe vénitien (à commencer par Vivaldi) ;
- la majeure partie du XVIIIe « rococo » allemand (Telemann, école de Mannheim...) ;
- à peu près toute l’œuvre symphonique de Tchaïkovski ;
- le bel canto en général et Rossini en particulier ;
- une grande partie du néoclassicisme français (disons : plutôt les épigones du style Jean Françaix que Poulenc, quand même – mais ce qui relève de cette esthétique-là chez Poulenc est ce que j’aime le moins chez lui) et de l’avant-garde russe des années 30 ;
- la musique concrète ;
- à peu près tout Kagel et Aperghis ;
- les jusqu’au-boutistes de l’avant-garde européenne comme Ferneyhough ou Lachenmann (qui, bien plus à mon avis que Boulez et Stockhausen, sont à l’origine de la « rupture du public et de la création contemporaine ») ;
- pas mal de néo-tonaux : les est-européens de la mouvance « spiritualiste » (le dernier Penderecki, le Pärt d’après Fratres ou Cantus, Gorecki…) ; les anglo-saxons plus ou moins « minimal-pop » comme Glass ou Nyman (alors que j'aime beaucoup Reich et Adams) ; les Français de l’écurie Zygel, Connesson & Co (en revanche, j’aime énormément Florentz ou Hersant).

Au fond, je m’aperçois rétrospectivement que c’est assez cohérent : moi qui aime assez la lenteur, le contrepoint et les dissonances, je n’aime pas ce qui relève d’une musique très exclusivement « motorique », mélodique/monodique et/ou consonnante. Et puis ce qui à mes yeux relève d’autre chose que de la musique (musique concrète, Kagel/Aperghis…)

Presque idem pour moi sauf que j'aime bien Vivaldi et le motorisme à la Prokofiev ou Hindemith.
Revenir en haut Aller en bas
Ophanin
Fer galant
Ophanin


Nombre de messages : 4576
Age : 36
Date d'inscription : 13/12/2008

Les compositeurs que vous ne supportez pas? (2) - Page 9 Empty
MessageSujet: Re: Les compositeurs que vous ne supportez pas? (2)   Les compositeurs que vous ne supportez pas? (2) - Page 9 EmptyJeu 19 Avr 2012 - 8:18

BMLP a écrit:
- pas mal de néo-tonaux : les est-européens de la mouvance « spiritualiste » (le dernier Penderecki, le Pärt d’après Fratres ou Cantus, Gorecki…) ; les anglo-saxons plus ou moins « minimal-pop » comme Glass ou Nyman (alors que j'aime beaucoup Reich et Adams) ; les Français de l’écurie Zygel, Connesson & Co (en revanche, j’aime énormément Florentz ou Hersant).

Au fond, je m’aperçois rétrospectivement que c’est assez cohérent : moi qui aime assez la lenteur, le contrepoint et les dissonances, je n’aime pas ce qui relève d’une musique très exclusivement « motorique », mélodique/monodique et/ou consonnante. Et puis ce qui à mes yeux relève d’autre chose que de la musique (musique concrète, Kagel/Aperghis…)

(Néo-Tonals)

Il y a comme une contradiction. elephant
Revenir en haut Aller en bas
https://www.dailymotion.com/video/x2l4jo_lucky-channel-01_fun
BMLP
Mélomane du dimanche
BMLP


Nombre de messages : 33
Age : 49
Localisation : Liban
Date d'inscription : 05/02/2012

Les compositeurs que vous ne supportez pas? (2) - Page 9 Empty
MessageSujet: Re: Les compositeurs que vous ne supportez pas? (2)   Les compositeurs que vous ne supportez pas? (2) - Page 9 EmptyJeu 19 Avr 2012 - 14:10

Ben. a écrit:
BMLP a écrit:
Ce que je n’aime vraiment pas :
- à peu près toute l’œuvre symphonique de Tchaïkovski ;

Tu n'es pas le seul ! mains

Ce qui m’est insupportable, c’est que son côté racoleur (même par Sanderling ou Mravinski…) reste en plus :
- toujours très prudent, très gourmé (ça n’a même pas le côté excessif, sans pudeur ni crainte du ridicule que je peux apprécier chez un Rachmaninov) ;
- toujours au premier degré (sans la possibilité d’un renversement ironique du côté sentimental ou pompier comme chez Mahler ou Chostakovitch).

Cello a écrit:
Presque idem pour moi sauf que j'aime bien Vivaldi et le motorisme à la Prokofiev ou Hindemith.

Enfin, pour Vivaldi, j’exagère peut-être un peu : il y a du côté des Concertos pour violoncelle et de la musique sacrée avec chœurs des choses que j’aime assez (mais sans plus).
Quant à Hindemith et Prokofiev, j’aime (au sens fort du terme) beaucoup de choses chez le premier et quelques-unes chez le second, mais précisément ce qui ne relève pas de leur côté « futurisme années 20 » (chez Hindemith, plutôt des choses comme Der Schwandreher ou les pages contemplatives des Symphonies « Mathis der Maler » et « Harmonie der Welt », de Nobilissima Visione ; chez Prokofiev, les mouvements lents des Sonates de guerre).

Xavier a écrit:
Reich est quand même dans l'ensemble plus consonant que Connesson il me semble...

Ophanin a écrit:
BMLP a écrit:
- pas mal de néo-tonaux : les est-européens de la mouvance « spiritualiste » (le dernier Penderecki, le Pärt d’après Fratres ou Cantus, Gorecki…) ; les anglo-saxons plus ou moins « minimal-pop » comme Glass ou Nyman (alors que j'aime beaucoup Reich et Adams) ; les Français de l’écurie Zygel, Connesson & Co (en revanche, j’aime énormément Florentz ou Hersant).

Au fond, je m’aperçois rétrospectivement que c’est assez cohérent : moi qui aime assez la lenteur, le contrepoint et les dissonances, je n’aime pas ce qui relève d’une musique très exclusivement « motorique », mélodique/monodique et/ou consonnante. Et puis ce qui à mes yeux relève d’autre chose que de la musique (musique concrète, Kagel/Aperghis…)

(Néo-Tonals)

Il y a comme une contradiction. elephant

Oui, j'en suis bien conscient ; j’aurais tendance à me l’expliquer par le fait que ce que j’aime (là aussi, au sens fort) chez Reich, ce sont plutôt des œuvres comme The Desert Music ou Tehillim, où il me semble que l’élément « motorique-consonnant » tend finalement à se « dissoudre » dans les grands effectifs, à devenir comme une espèce de texture de la masse chorale ou orchestrale (un peu à la manière des clusters de micro-intervalles chez Ligeti). J’ai beaucoup plus de mal avec des choses comme Six Pianos ou Drumming.
Revenir en haut Aller en bas
Xavier
Père fondateur
Xavier


Nombre de messages : 90948
Age : 42
Date d'inscription : 08/06/2005

Les compositeurs que vous ne supportez pas? (2) - Page 9 Empty
MessageSujet: Re: Les compositeurs que vous ne supportez pas? (2)   Les compositeurs que vous ne supportez pas? (2) - Page 9 EmptyJeu 19 Avr 2012 - 14:15

Tu aimes le même Reich que moi, qui a tendance à me gonfler les 3/4 du temps mais que j'aime dans les oeuvres que tu as citées notamment.
D'ailleurs Connesson se réclame pas mal de Reich et Adams...
Revenir en haut Aller en bas
Contenu sponsorisé





Les compositeurs que vous ne supportez pas? (2) - Page 9 Empty
MessageSujet: Re: Les compositeurs que vous ne supportez pas? (2)   Les compositeurs que vous ne supportez pas? (2) - Page 9 Empty

Revenir en haut Aller en bas
 
Les compositeurs que vous ne supportez pas? (2)
Revenir en haut 
Page 9 sur 19Aller à la page : Précédent  1 ... 6 ... 8, 9, 10 ... 14 ... 19  Suivant
 Sujets similaires
-
» Les compositeurs que vous ne supportez pas?
» Quels compositeurs ( ou oeuvres ) aimeriez-vous découvrir ?
» Sondage: 3 compositeurs que vous aimeriez faire découvrir
» Lorsque les compositeurs dirigent d'autres compositeurs...!
» Combien de langues parlez vous?

Permission de ce forum:Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
Autour de la musique classique :: Musique classique :: Général-
Sauter vers: