Playlist (73)

Lili Boulanger - Faust et Hélène - Lynne Dawson/Bonaventura Bottone/Jason Howard/Orchestre Symphonique de la BBC-Yan Pascal Tortelier
   

Wagner : L'or du Rhin (Kirill Petrenko, Bayreuth 2013 : Wolfgang Koch, Oleksandr Pushniak, Lothar Odinius, Norbert Ernst, Claudia Mahnke, Elisabet Strid, Nadine Weissmann, Martin Winkler, Burkhard Ulrich, Günther Groissböck, Sorin Coliban, Mirella Hagen, Julia Rutigliano, Okka von der Damerau)
Gounod : Faust, extraits en allemand (Wilhelm Schüchter, 1964 : Hilde Güden, Rudolf Schock, Gottlob Frick, Hugh Beresford, Ursula Schirrmacher)

Lucien a écrit:

Ligeti, Poème symphonique

Tu t'amuses bien avec les métronomes ?  

Xavier a écrit:

Liadov: Baba-Yaga, le Lac enchanté, Kikimora/T.Fischer

    (surtout pour Kikimora, une des grandes pages russes de cette période à mon sens)

C'est quand même contemporain du Scherzo Fantastique et le premier acte du Rossignol était déjà arrivé à sa faim. De plus, Scriabine commençait à concevoir Prométhée.

Perso, je préfère Le Lac Enchanté, d'un debussysme exquis, quoique moins extraverti en effet (et l'orchestration est plus simple).

Brahms : Symphonie n°1 / Karajan
   

Polyeucte a écrit:

Wagner : L'or du Rhin (Kirill Petrenko, Bayreuth 2013 : Wolfgang Koch, Oleksandr Pushniak, Lothar Odinius, Norbert Ernst, Claudia Mahnke, Elisabet Strid, Nadine Weissmann, Martin Winkler, Burkhard Ulrich, Günther Groissböck, Sorin Coliban, Mirella Hagen, Julia Rutigliano, Okka von der Damerau)

Comment est-ce orchestralement ?

DavidLeMarrec a écrit:

Polyeucte a écrit:

Wagner : L'or du Rhin (Kirill Petrenko, Bayreuth 2013 : Wolfgang Koch, Oleksandr Pushniak, Lothar Odinius, Norbert Ernst, Claudia Mahnke, Elisabet Strid, Nadine Weissmann, Martin Winkler, Burkhard Ulrich, Günther Groissböck, Sorin Coliban, Mirella Hagen, Julia Rutigliano, Okka von der Damerau)

Comment est-ce orchestralement ?

Assez chouette je trouve... plutôt lyrique que très détaillé... mais pas non plus lourd... j'aime bien! (oui, c'est pas forcément très précis et clair comme description...)

Monteverdi - Orfeo - Harnoncourt(1969)
       

Bernstein : West Side Story (original soundtrack)
    C'est vraiment super! Et tellement mieux que le "remake" opératique avec Carreras et Te Kanawa

Ah oui après avoir écouté l'original on ne peut plus écouter le remake opératique.Carreas et Te Kanawa n'ont pas la culture "swing" de Broadway que recquiert impérativement cette musique.  

Vino-Lobosvsky a écrit:

Xavier a écrit:

Liadov: Baba-Yaga, le Lac enchanté, Kikimora/T.Fischer

    (surtout pour Kikimora, une des grandes pages russes de cette période à mon sens)

C'est quand même contemporain du Scherzo Fantastique et le premier acte du Rossignol était déjà arrivé à sa faim. De plus, Scriabine commençait à concevoir Prométhée.

Oui c'est moins moderne, mais ça ne rend pas ces pièces sans valeur.


Lourié: Le Chapelet/Gerassimova

  

La voix de la muse/Gerassimova

   

arnaud bellemontagne a écrit:

Ah oui après avoir écouté l'original on ne peut plus écouter le remake opératique.Carreas et Te Kanawa n'ont pas la culture "swing" de Broadway que recquiert impérativement cette musique.  

Et surtout ça alourdit totalement la chose : oui c'est grandiose... mais beaucoup moins sensible et touchant je trouve!

Lourié: 2 mazurkas opus 7/Skanavi
Incantations/Gerassimova

  

Polyeucte a écrit:

DavidLeMarrec a écrit:

Polyeucte a écrit:

Wagner : L'or du Rhin (Kirill Petrenko, Bayreuth 2013 : Wolfgang Koch, Oleksandr Pushniak, Lothar Odinius, Norbert Ernst, Claudia Mahnke, Elisabet Strid, Nadine Weissmann, Martin Winkler, Burkhard Ulrich, Günther Groissböck, Sorin Coliban, Mirella Hagen, Julia Rutigliano, Okka von der Damerau)

Comment est-ce orchestralement ?

Assez chouette je trouve... plutôt lyrique que très détaillé... mais pas non plus lourd... j'aime bien! (oui, c'est pas forcément très précis et clair comme description...)

En tout cas, ça ressemble au Petrenko que j'aime.

Polyeucte a écrit:

arnaud bellemontagne a écrit:

Ah oui après avoir écouté l'original on ne peut plus écouter le remake opératique.Carreas et Te Kanawa n'ont pas la culture "swing" de Broadway que recquiert impérativement cette musique.  

Et surtout ça alourdit totalement la chose : oui c'est grandiose... mais beaucoup moins sensible et touchant je trouve!

Te Kanawa, c'est même une catastrophe intégrale dans ce répertoire, ça ne ressemble vraiment à rien. Carreras, c'est un peu rigide, l'anglais est mauvais, mais ça reste écoutable. Quand même très loin de l'idéal, je suis d'accord. Franchement, j'écouterais plutôt Serge Reggiani en Wotan que Te Kanawa à nouveau dans de la comédie musicale.

Bartok: Le Mandarin merveilleux, ballet/Solti Francfort

     

Version médiocre.

Polyeucte a écrit:

arnaud bellemontagne a écrit:

Ah oui après avoir écouté l'original on ne peut plus écouter le remake opératique.Carreas et Te Kanawa n'ont pas la culture "swing" de Broadway que recquiert impérativement cette musique.  

Et surtout ça alourdit totalement la chose : oui c'est grandiose... mais beaucoup moins sensible et touchant je trouve!

Tout à fait.
Et quelle réussite!
De la grande et belle musique populaire.  

Liszt - La Vallée d'Obermann.
Brendel

Scriabine: Le Poème de l'extase/N.Järvi

     

Salvatore Sciarrino.
Il Giornale della Necropoli

C'est magique cette musique. Il faut l'écouter en fermant les yeux. Sciarrino n'a pas besoin de texte pour nous raconter une histoire. Il crée tout un monde de "personnages", de "présences", plutôt.

Dimitri Chostakovitch - 7 Poèmes d’Alexandre Blok op.127 - Galina Vichnievskaïa/Mstislav Rostropovitch/Ulf Hoelscher/Vasso Devetzi
 

Escaich: Vertiges de la croix

    

Honegger Jeanne d'Arc au Bûcher (début)

Jamais écouté.C'est bien ?

Je te répondrai quand j'aurai eu le temps d'écouter le cycle en entier, ok ? (car le début ..... bof: c'est de la musique trop narrative et descriptive pour moi).

Ca marche.  

  https://classik.forumactif.com/t4640-arthur-honegger-oeuvres-vocales

Escaich: Chaconne/Casadesus

    

Tchaïkovsky - Manfred, Symphonies n°1, n°4, n°5 & n°6 - LPO / Jurowski
Le LPO est parvenu grâce à Jurowski à une discipline collective et une fiabilité quasiment dignes des Philharmoniques de Saint-Pétersbourg et Berlin.
Et Jurowski est un très grand chef, ces enregistrements ont toute leur place dans la discographie pléthorique de ces œuvres. De plus ce sont de vrais lives, une seule soirée, une seule prise (si les pochettes ne mentent pas).

Debussy: 5 poèmes de Baudelaire/Marcelle Bunlet, Olivier Messiaen

    

Messiaen n'était pas un grand pianiste, et Bunlet pas une debussyste très gracieuse. (l'accordeur n'était pas en forme non plus  )

Xavier a écrit:

Messiaen n'était pas un grand pianiste, et Bunlet pas une debussyste très gracieuse. (l'accordeur n'était pas en forme non plus  )

 

nono
Sofferte onde serene
Ca a été écrit pour Pollini (ils étaient proches, je crois)

Lourié: Lamentations de la vierge/Gerassimova

  

Trois rois mages

  

Lourié: Dans le sanctuaire d'un rêve doré pour soprano et choeur mixte

   

Villa-Lobos:Symphonie n°7 (St Clair)

Merveilleux.

Ma préférée avec la 10.

Stravinsky: Scherzo fantastique/T.Fischer

    

arnaud bellemontagne a écrit:

Villa-Lobos:Symphonie n°7 (St Clair)

Merveilleux.

Ma préférée avec la 10.

Je croyais que c'était la 6  

J'aime beaucoup la 6 mais la 7 c'est encore un autre niveau de flamboyance et de souffle épique.  

Soit dit en passant si tu savais où Villa-Lobos se situe parmi mes compositeurs préférés... 

S'il est devant Wagner et Schoenberg, je démissionne du forum.

arnaud bellemontagne a écrit:

J'aime beaucoup la 6 mais la 7 c'est encore un autre niveau de flamboyance et de souffle épique.  

Soit dit en passant si tu savais où Villa-Lobos se situe parmi mes compositeurs préférés... 

Je disais ça que je ne connais que la 2°, la 3° et la 10°. Pour savoir à laquelle donner la priorité  

Xavier a écrit:

S'il est devant Wagner et Schoenberg, je démissionne du forum.

Le Ring d'un côté et les Gurrelieder de l'autre: tu prends pas beaucoup de risques  
Non, il est pas à ce niveau là (qui le peut?) mais il est très très haut.
Je vais balourder mon nouveau classement demain.  

Cololi a écrit:

arnaud bellemontagne a écrit:

J'aime beaucoup la 6 mais la 7 c'est encore un autre niveau de flamboyance et de souffle épique.  

Soit dit en passant si tu savais où Villa-Lobos se situe parmi mes compositeurs préférés... 

Je disais ça que je ne connais que la 2°, la 3° et la 10°. Pour savoir à laquelle donner la priorité  

La 7 en priorité.  
Ensuite tu peux aller sur la 1 et la 4 qui sont 2 symphonies de très grande qualité.

Xavier a écrit:

S'il est devant Wagner et Schoenberg, je démissionne du forum.

 

Villa-Lobos:Rudepoema pour piano (Sonia Rubinsky Naxos)

Un Villa-Lobos étonnant, aux teintes crépusculaires parfois très proches du monde tourmenté et héliocentrique de Scriabine.

Il faut que tu écoutes ça Xavier!!!  

Héliocentrique  
Tu ne nous l'avais jamais faite celle là  

___Vinvent D'indy - Fantaisie sur des thèmes populaires français pour hautbois principal et orchestre.    Lajos Lencsès: soliste.
Magnifique! Irrésistible hautbois!

___Jacques Ibert - Concerto pour flûte et orchestre - 1934 - Michaël Faust: soliste.    
Très beau concerto pour flûte, plus principalement à partir du superbe et très émouvant second mouvement et la partie médium du troisième dont s'échappe une exquise mélodie.

___Camille Saint-Saëns - Romance en ut majeur pour violon et orchestre op.48 - Michaël Erxleben: soliste.   
Simplement délicieux!

___Jean Françaix - Quadruple Concerto pour flûte, clarinette, hautbois, basson et orchestre.  
J'ai l'impression d'écouter un rire musical avec ce que cela peut avoir de guilleret et même de gentillet. D'une immédiateté plaisante, il ne reste rien après.

Cololi a écrit:

Héliocentrique  
Tu ne nous l'avais jamais faite celle là  

Je passais là par quasar, et qu'est-ce que je vois !

Schubert: symphonie no 8 "Inachevée". Karl Böhm et le Philharmonique de Vienne, sur DGG.
     
Deux versions, à moins que ce ne soit la même: la première est issue d'un cd DGG Japon et contient un programme J. Strauss et le Prélude au 1er Acte des Meistersinger. Enregistré au Suntory Hall de Tokyo, une salle à l'acoustique renommée.

La deuxième est également issue de la filiale japonaise de DGG et est couplée avec son extraordinaire neuvième de Dvorak de 1979. On ne précise pas le lieu de l'enregistrement (Musikverein?).

Les seules indications des deux livrets (en japonais) sont que le cd Schubert-Strauss-Wagner serait le fruit de concerts donnés en tournée à Tokyo en mars '75. Selon l'autre (Schubert-Dvorak), la date serait juin 77. Dans les deux cas on entend de discrètes toux et les deux mouvements chronomètrent à 5 secondes de différence. Et dans les deux cas c'est l'orchestre qui est la star de ces magnifiques captations. Quels timbres chaleureux, soyeux, quel phrasé à la fois viril et caressant ! 

Dans les années 70-80, Böhm dans Schubert (8 et 9 en 75 et 8 à nouveau en 77) pouvait être lent et minutieux, alors que dans Bruckner (1971) et Dvorak (1979) il devenait impétueux, volcanique, rageur.

arnaud bellemontagne a écrit:

Villa-Lobos:Rudepoema pour piano (Sonia Rubinsky Naxos)

Un Villa-Lobos étonnant, aux teintes crépusculaires parfois très proches du monde tourmenté et héliocentrique de Scriabine.

Il faut que tu écoutes ça Xavier!!!  

J'ai déjà écouté la version orchestrale, que j'avais bien aimé. (sans en être tout excité comme toi  )

Rabaud: Symphonie n°2/Couton

   

Brahms: symphonie no 1. Karl Böhm et le Philharmonique de Vienne. Live from Suntory Hall, Tokyo. Un bref mais très net cafouillage vers 2:30 de III surprend de la part de cet illustre partenariat. Sinon, cet enregistrement de mars 1975 nous fait entendre un Brahms de 4 minutes plus bref, mais aussi moins tendu que celui fait deux mois plus tard au Musikverein.

Böhm en studio était toujours plus lent qu'en concert. La vitalité qui se dégage de ses enregistrements de studio provenait d'un travail sur le rythme (attaques et relâches, accents) qui semblait moins le préoccuper dans le feu de l'action - à moins que ce ne fût l'orchestre qui se concentrât sur la production de leur son légendaire au détriment (a peine) de l'articulation. La plus grosse différence se situe au niveau des percussions (timbales seulement pour presque toutes les oeuvres qu'ils jouèrent ensemble): rageuses et fracassantes en concert vs parfaitement à leur place en studio. Fascinant pour les Böhmophiles.

Rabaud: La procession nocturne/Couton

   

Eglogue

   

Strauss: Feuersnot/Fricke