Playlist (127)

Sibelius - Symphonies n°1 (1899) & 4 (1911) - Hallé Orchestra, dir. Barbirolli

charles.ogier a écrit:

Je n'ai pas lu ce texte, mais UNE note peut-elle être annonciatrice d'un nouveau système harmonique?

William Byrd
* Sellinger's Round
Glenn Gould, piano

Selon Gould, la réponse serait affirmative.
Il faut lire le texte et écouter la pièce.
Cette note, d'une durée de deux temps, revêt un caractère primordial mais il faut la resituer dans la pièce et resituer la pièce dans son époque, elle survient comme dénouement de l'oeuvre après une longue série de variations et elle met fin à longue tradition parmi les compositeurs des Tudors.
Placer une note comme ça, à la fin d'une morceau, vous laisse comme suspendu dans le vide et ouvre la voie vers l'inconnu.
Avant cette pièce, ça ne se faisait pas, on aurait jamais osé, mais à partir de ce moment, plus rien ne sera comme avant.
Byrd fait donc preuve d'audace, il innove et sans doute est-ce la raison qui suscite l'admiration de Gould.

/watch?v=xyfZOZwuFM8

Rav-phaël a écrit:

Cololi a écrit:

Diable, Nilsson, Corelli, DFD, ça c'est de l'hétérogène

Oh tu sais, je suis loin de vos compétences de mélomanes en la matière.
Je me contente d'écouter, c'est une question qui me passe par dessus
la tête la plupart du temps, malheureusement ou heureusement   .
Ça m'étonne que ça t'étonne, tu ne connais pas cette version par Maazel ?
Je m'imaginais pourtant qu'elle est un basique ultra–connue pour Tosca ;

Je ne suis pas un collectionneur de versions (je sais quel casting je veux ^^). Non je ne la connais pas.
Non si tu veux : Nilsson est suédoise et avec une voix de titan, ce n'est pas vraiment ce que je viserais pour Tosca. DFD est un chanteur de lied, avec une voix plutôt légère à l'inverse de Nilsson et Corelli, qui sont des glottes ^^.
Et DFD, certes je vénère, mais ce n'est pas lui que je prendrais pour Scarpia (question de couleur), surtout avec Nilsson et Corelli à côté.

Mais ça ne veut pas dire que ce soit une mauvaise version ... car le fait que ce soit une bonne une mauvaise version dépasse tout ces paramètres.

Les Pianos de la Nuit...






Au programme ce soir :   L. Beethoven – W.A. Mozart – C. Saint-Saëns – S. Prokofiev – F. Bridge – F. Chopin

1) Ludwig van Beethoven (1770-1827) :

Concerto n°5 en mi bémol majeur, Op. 73

= Stephen Bishop, piano ; Colin Davis, Orchestre symphonique de Londres

(Philips, mai 1969)

2) Wolfgang Amadeus Mozart (1756-1791) :

Concerto n°24 en ut mineur, K. 491

= Denis Matthews, piano ; Hans Swarowsky, Orchestre de l'Opéra de Vienne

(Vanguard, juin 1958)

3) Camille Saint-Saëns (1835-1921) :

Concerto n°4 en ut mineur, Op. 44

= Pascal Rogé, piano ; Charles Dutoit, Philharmonia Orchestra

(Decca, juillet 1979)

Dans les pas de Vino :

Kara Karaev : Concerto pour violon (1967) - Gidon Kremer, USSR Radio & TV Symphony Orchestra, Vladimir Kozhukhar



www.deezer.com/fr/album/6413748 ou /channel/UCw3kq_VZeUi3afNSbBYDYEg/search?query=karayev

Richard Strauss
* Ainsi parlait Zarathoustra op.30
Philharmonie de la Radio Néerlandaise
Jakub Hrůša

4) Sergueï Prokofiev (1891-1953) :

Concerto n°4 en si bémol majeur, Op. 53

= John Browning, piano ; Erich Leinsdorf, Orchestre symphonique de Boston

(RCA, novembre 1967)

François Couperin (1685 moins 17 - 1750 moins 17)
Messe pour les Couvents - 1690*
Jehan Titelouze (1563 - 1733 moins 100)
Hymnes

André Isoir, Orgue (Jean-Georges-Koenig Bon Pasteur, Angers)

* Je me demande bien ce que le jeune Bach (BWV 565: 1705; Bach a vingt ans) demandait au presque jeune Couperin dans ces lettres perdues.

5) Frank Bridge (1879-1941) :

Sonata for piano

= Kathryn Stott, piano

(Conifer, décembre 1989)

Vraiment édifiant le premier mouvement, qui occupe presque la moitié de l'oeuvre.
Un quart d'heure de vapeurs impressionnistes alla Debussy, des suspensions lisztiennes, des zébrures scriabiniennes,
des saillies barbaro-bartokiennes, des motricités qui font penser à Prokofiev...
Tout cela lié par une écriture très sûre et assertive.

Dimitri Chostakovitch
* Symphonie no.10 en mi mineur op.93
Orchestre Royal Philharmonique de Stockholm
Sakari Oramo

6) Frédéric Chopin (1810-1849) :

Fantaisie-impromptu en ut dièse mineur, Op. 66
Mazurkas n°23 en ré majeur & 25 en si mineur, Op. 33
Mazurkas n°26 en ut dièse mineur, Op. 66
Polonaise n°6 en la bémol majeur, Op. 53
Scherzo n°2 en si bémol mineur, Op. 31
Nocturne n°5 en fa dièse majeur, Op. 15
Valse n°6 en ré bémol majeur, Op. 64
Impromptu n°2 en fa dièse majeur, Op. 36
Étude n°5 en sol bémol majeur, Op. 10

= Nelson Freire, piano

(Sony, décembre 1982)

Un disque bien court (trois quarts d'heure)
mais qui regroupe quelques unes des pages les plus appréciées de Chopin.

Dimitri Chostakovitch
* Symphonie no.13 'Babi Yar'
Philharmonie de la Radio Néerlandaise
Sergei Aleksashkin, basse
Dima Slobodeniouk

La basse et le choeur ont des voix tout à fait acceptables.
Enregistré au Concertgebouw d'Amsterdam

Martinu L'otario L'Epopee De Gilgamesh

Les deux symphonies de William Walton

Kirill Karabits
Orchestre Symphonie de Bournemouth

Rameau - Les Indes galantes (1735), II^e entrée : Les Incas du Pérou
Bernard Delétré (Huascar), Isabelle Poulenard (Phani), Jean-Paul Fouchécourt (Don Carlos)
Les Arts Florissants, dir. William Christie

Mozart : L'Enlèvement au Sérail (Solti)

Très chouette.  

Certains passages "exotiques" m'ont curieusement fait penser à des séquences de la symphonie n°100 de Haydn...

Certes, c'est moins ambitieux et achevé que les Da Ponte mais c'est déjà de la bien belle ouvrage.  

Par contre le livret est un peu inconsistant...

Ursula Mamlok (1923–2016) :
— Sonatina pour deux clarinettes (1957)
— Rhapsody pour clarinette, alto et piano (1989)
— Concert Piece for 4 pour flute, hautbois, alto et percussion (1964)
— Movements pour flute, contrebasse, vibraphone et percussion (1966)
— Divertimento pour flute, violoncelle et deux percussionnistes (1969/75)
— Variations and Interludes pour quatuor de percussion (1971)
— Concerto for oboe, two pianos and percussion (1980)
Charles Neidich et Ayako Oshima, clarinettes
Charles Neidich, Hsin-Yun Huang, Stephen Gosling
Ensemble musikFabrik
Schlagquartett Köln


(cd 2/2)

arnaud bellemontagne a écrit:

Par contre le livret un peu inconsistant...

C'est de la provoque, hein ? Pour me faire encore écrire trois pages ?

Blague à part, oui, pour le coup... le livret est gentil. Tu as à peu près exactement la même histoire (réduite en un acte) dans la I^ère entrée des Indes Galantes ("Le Turc généreux"), et apparemment dans La Rencontre imprévue ou les Pèlerins de la Mecque de Gluck (mais celui-là je ne le connais que de réputation), Zaïde du même Mozart, deux ans plus tôt, partait déjà dans la même direction (mais est resté inachevé), et à plusieurs reprises aussi dans la littérature de l'époque, chez Voltaire, Lesage, Bernardin de Saint-Pierre... Et probablement chez bien d'autres moins, ou encore moins, passés à la postérité. Bref, c'est du topos. Mais du topos porté par une musique comme ça, j'en fais volontiers mon quatre-heures de temps en temps.

Britten les 3 quatuors

Octavian a écrit:

Bref, c'est du topos. Mais du topos porté par une musique comme ça, j'en fais volontiers mon quatre-heures de temps en temps.

Ah oui, moi aussi.


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Sibelius : Symphonie n°5 (Bernstein Vienne DG)

Vraiment une de mes symphonies préférées de Sibelius...quel lyrisme!

arnaud bellemontagne a écrit:

Sibelius : Symphonie n°5 (Bernstein Vienne DG)

Vraiment une de mes symphonies préférées de Sibelius...quel lyrisme!  

Oui moi aussi je l'adore, surtout depuis que je l'ai entendu en concert dans une interprétation assez formidable (Thomas Sondergard & BBC National Orchestra of Wale- Seine Musicale).
Si tu veux essayer une autre optique que l'excellente version Bernstein, je te conseille d'essayer le dernier enregistrement de Rattle avec Berlin.  Je ne sais pas si on trouve ça en dehors de l'intégrale (qui n'est pas irréprochable d'ailleurs mais quelques belles réussites dont cette 5ème). On y retrouve des textures plus claires et légères, un allant et un naturel qui m'ont beaucoup plu.

Christine Donkin
* Magnificat
Elektra Women's Choir
Morna Edmundson

Nancy Telfer
* Missa Brevis
Elektra Women's Choir
Morna Edmundson



Deux oeuvres de musique sacré de compositrices canadiennes contemporaines.
L'Ensemble qui interprète ces oeuvres, l'Elektra Women's Choir, est tout à fait remarquable.



/watch?v=DAIFzdaKTrE
/watch?v=l5BIVFK6pig

*Nico a écrit:

arnaud bellemontagne a écrit:

Sibelius : Symphonie n°5 (Bernstein Vienne DG)

Vraiment une de mes symphonies préférées de Sibelius...quel lyrisme!  

Oui moi aussi je l'adore, surtout depuis que je l'ai entendu en concert dans une interprétation assez formidable (Thomas Sondergard & BBC National Orchestra of Wale- Seine Musicale).
Si tu veux essayer une autre optique que l'excellente version Bernstein, je te conseille d'essayer le dernier enregistrement de Rattle avec Berlin.  Je ne sais pas si on trouve ça en dehors de l'intégrale (qui n'est pas irréprochable d'ailleurs mais quelques belles réussites dont cette 5ème). On y retrouve des textures plus claires et légères, un allant et un naturel qui m'ont beaucoup plu.

Pas irréprochable ? Qu'est-ce qui te paraît perfectible là-dedans ? Pour moi, c'est vraiment ce qui se fait de mieux ; il y a aussi bien, comme Oramo, Storgårds, Ashkenazy, voire Saraste ou Maazel, mais c'est quand même assez vertigineusement abouti de tous les côtés, avec le supplément, il est vrai, de cette limpidité propre au son Berlin façonné par Rattle.

Je n'ai entendu que les bandes de la tournée au Barbican (alors que ce sont les bandes de concert de la Philharmonie sur le disque, me semble-t-il), donc je ne peux pas juger de la prise de son, mais elle est d'ordinaire très bonne sur ce label, et la conception interprétative du cycle est assez vertigineuse, vraiment l'une des rares intégrales où tout est ultime…

Donc je suis curieux de l'endroit où pointent tes réserves, sans doute dans des détails qui correspondent plus à mes inclinations, je suppose.

*Nico a écrit:

Si tu veux essayer une autre optique que l'excellente version Bernstein, je te conseille d'essayer le dernier enregistrement de Rattle avec Berlin.  Je ne sais pas si on trouve ça en dehors de l'intégrale (qui n'est pas irréprochable d'ailleurs mais quelques belles réussites dont cette 5ème). On y retrouve des textures plus claires et légères, un allant et un naturel qui m'ont beaucoup plu.

Spoiler:

Un avis auquel je ne peux que m'associer (sur la 5ᵉ: comme David, je suis un inconditionnel de toute l'intégrale).
Sinon, pour d'autres versions récentes, peut-être moins sophistiquées, mais elles aussi du côté de la transparence et de l'allant: Storgårds / BBC Philharmonic (Chandos, 2013) et Elder / Hallé (Hallé, 2014).

*Nico a écrit:

arnaud bellemontagne a écrit:

Sibelius : Symphonie n°5 (Bernstein Vienne DG)

Vraiment une de mes symphonies préférées de Sibelius...quel lyrisme!  

Oui moi aussi je l'adore, surtout depuis que je l'ai entendu en concert dans une interprétation assez formidable (Thomas Sondergard & BBC National Orchestra of Wale- Seine Musicale).
Si tu veux essayer une autre optique que l'excellente version Bernstein, je te conseille d'essayer le dernier enregistrement de Rattle avec Berlin.  Je ne sais pas si on trouve ça en dehors de l'intégrale (qui n'est pas irréprochable d'ailleurs mais quelques belles réussites dont cette 5ème). On y retrouve des textures plus claires et légères, un allant et un naturel qui m'ont beaucoup plu.

J'ai déjà cette (superbe) intégrale.
Merci à toi.

Schubert : Lieder (concert livre 1957 DFD / Moore)

Ce n'est pas ça le paradis ? watch?v=ycvK5_RZZgk
Inutile de chercher ailleurs ...

Ivo Pogorelich, dont c'est l'anniversaire aujourd'hui, l'occasion est trop belle:

L. v. Beethoven
* Sonate no.32 op.111
Maurice Ravel
* Gaspard de la Nuit

Ravélavélo a écrit:

charles.ogier a écrit:

Je n'ai pas lu ce texte, mais UNE note peut-elle être annonciatrice d'un nouveau système harmonique?

William Byrd
* Sellinger's Round
Glenn Gould, piano

Selon Gould, la réponse serait affirmative.
Il faut lire le texte et écouter la pièce.  
Cette note, d'une durée de deux temps, revêt un caractère primordial mais il faut la resituer dans la pièce et resituer la pièce dans son époque, elle survient comme dénouement de l'oeuvre après une longue série de variations et elle met fin à longue tradition parmi les compositeurs des Tudors.
Placer une note comme ça, à la fin d'une morceau, vous laisse comme suspendu dans le vide et ouvre la voie vers l'inconnu.
Avant cette pièce, ça ne se faisait pas, on aurait jamais osé, mais à partir de ce moment, plus rien ne sera comme avant.
Byrd fait donc preuve d'audace, il innove et sans doute est-ce la raison qui suscite l'admiration de Gould.

/watch?v=xyfZOZwuFM8

suspendu
C'est exact

resituer la pièce dans son époque
J'avoue: je ne suis pas du tout familier de la musique de la renaissance anglaise, et il m'est impossible de la replacer.

En fait, je ne peux pas apprécier l'importance de ce si♭
Mais,  grâce à lui, je me suis remis dans l'oreille O.Gibbons et de W.Byrd, que je préfère.

Merci.

charles.ogier a écrit:

Ravélavélo a écrit:

charles.ogier a écrit:

Je n'ai pas lu ce texte, mais UNE note peut-elle être annonciatrice d'un nouveau système harmonique?

William Byrd
* Sellinger's Round
Glenn Gould, piano

Selon Gould, la réponse serait affirmative.
Il faut lire le texte et écouter la pièce.  
Cette note, d'une durée de deux temps, revêt un caractère primordial mais il faut la resituer dans la pièce et resituer la pièce dans son époque, elle survient comme dénouement de l'oeuvre après une longue série de variations et elle met fin à longue tradition parmi les compositeurs des Tudors.
Placer une note comme ça, à la fin d'une morceau, vous laisse comme suspendu dans le vide et ouvre la voie vers l'inconnu.
Avant cette pièce, ça ne se faisait pas, on aurait jamais osé, mais à partir de ce moment, plus rien ne sera comme avant.
Byrd fait donc preuve d'audace, il innove et sans doute est-ce la raison qui suscite l'admiration de Gould.

/watch?v=xyfZOZwuFM8

suspendu
C'est exact

resituer la pièce dans son époque
J'avoue: je ne suis pas du tout familier de la musique de la renaissance anglaise, et il m'est impossible de la replacer.

En fait, je ne peux pas apprécier l'importance de ce si♭
Mais,  grâce à lui, je me suis remis dans l'oreille O.Gibbons et de W.Byrd, que je préfère.

Merci.

La signification de cette note suspendue marquerait le passage de la Renaissance au Baroque.
Cette note ne marque pas une révolution musicale, juste un signe précurseur de ce qui va arriver 62 ans après la mort de Byrd avec la naissance de Bach.

François Couperin (1668-1733)
Leçons de ténèbres pour le mercredy

Alfred Deller, contre-ténor
Philip Todd, ténor
Rahaël Perulli, viole de gambe
Michel Chapuis, orgue

Je ne connaissais pas cette interprétation. C'était le bon soir.

xoph a écrit:

Je ne connaissais pas cette interprétation.

Non? Pourtant, nous devons être quelques-uns dont ce disque (magnifique, faut-il le redire?) aura constitué une des toutes premières entrées dans ce répertoire...

Benedictus a écrit:

xoph a écrit:

Je ne connaissais pas cette interprétation.

Non? Pourtant, nous devons être quelques-uns dont ce disque (magnifique, faut-il le redire?) aura constitué une des toutes premières entrées dans ce répertoire...

Deller aussi c'est un pionnier.

Benedictus a écrit:

Non?

si ! Mais comme tu le sais, pour François Couperin: mon entrée fut Scott Ross. Et il est vrai que c'est souvent dans un second temps que je vais vers les œuvres vocales; même si la version - Gérard Lesne / Il Seminario Musicale - m'avait déjà converti. Et il y a certains monuments, si monumentaux que l'on hésite à s'en approcher.

Ma Playlist de la semaine:

Réécoute de deux symphonies-fétiches (partagées avec David, qui préfère toutefois les versions Naxos, il me semble):

• Moeran: Symphonie en sol mineur:

Vernon Handley / Ulster Orchestra
Belfast, IX.1987
Chandos

• Alfvén: Symphonie n°4 en ut mineur, op. 39 «Från havsbandet»:

Elisabeth Söderström (soprano), Gösta Winbergh (ténor), Stig Westerberg / Orchestre Philharmonique de Stockholm
Stockholm, II.1979
Bluebell

Deux autres symphonies-fétiches (plus communément inscrites au grand répertoire) dans des interprétations très claires, équilibrées et allantes:

• Nielsen: Symphonie nº4 «L’Inextinguible», op. 29 / FS 76:

Osmo Vänskä / BBC Scottish Symphony Orchestra
Glasgow, V.2001
BIS

• Sibelius: Symphonie nº5 en mi bémol majeur, op. 82:

Sir Mark Elder / Hallé
En public, Manchester, XI.2014
Hallé

Par ailleurs, de chouettes découvertes dues:

- à lulu, Vino et Alifie:

• Kara Karayev: Symphonie nº3:

Dmitry Yablonsky / Orchestre Philharmonique de Russie
Moscou, III.2008
Naxos
Une œuvre vraiment singulière, personnelle. Voir ici.

- à lulu:

• Gerald Eckert: Studie über Nelly Sachs (2004/08) pour soprano, flûte, harpe, accordéon, percussion, violon et contrebasse. Schächte - les nuages d’automne (2002) pour flûte, alto et harpe:

Gerald Eckert / ensemble reflexion K: Sarah Maria Sun (soprano), Beatrix Wagner (flûte), Eva Ignatjeva (harpe), Kirstin Maria Pientka (alto), Eva Zöllner (accordéon), Guillaume Chastel (percussion), Lenka Zupkova (violon), Kirstján Sigurleifsson (contrebasse)
2013
Neos
Deux œuvres d’une poésie paradoxale. Voir ici.

- à Mélo:

• Dufay: Missa Se la face ay pale:

Cantica Symphonia / Giuseppe Maletto
Roletto, VII.2011
Glossa
Une lecture atypique mais envoûtante. Voir ici.

Soirée Mozart.

- Concerto pour piano n°24 (Uchida/Tate)

- Symphonie n°39 (Bernstein Sony)

- Quintette n°3 (Amadeus)
Le premier mouvement me fait penser un peu au final de la symphonie n°40...


Le concerto pour piano m'a frappé par la puissance de son inspiration.

Belle soirée.

arnaud bellemontagne a écrit:

Soirée Mozart.

- Concerto pour piano n°24 (Uchida/Tate)

- Symphonie n°39 (Bernstein Sony)

- Quintette n°3 (Amadeus)
Le premier mouvement me fait penser un peu au final de la symphonie n°40...


Le concerto pour piano m'a frappé par la puissance de son inspiration.

Belle soirée.

Beau programme et excellente thématique de soirée.
J'abonde dans le même sens pour au moins une oeuvre:
* Concerto no. 24 (Schiff/Végh)

Concertos pour violon de Britten et Hindemith

Othmar Schoeck
Sérénade pour petit orchestre (1906-07)

Édith Canat de Chizy : Alive pour quatuor à cordes        2003 / Quatuor Ébène

Édith Canat de Chizy : Formes du Vent pour violoncelle        2003 / Bertrand

Édith Canat de Chizy : Falaises pour violoncelle et quatuor à cordes        2003 / Bertrand, Quatuor Ébène

Édith Canat de Chizy : Les Rayons du Jour pour alto et orchestre        2004 / Chaves, Orchestre de Paris (Eschenbach)

Édith Canat de Chizy : Wild pour alto et violoncelle        2003 / Herzog, Merlin
 +

Erich Itor Kahn : Adagio pour violon et piano        1946 / Prelle, Gunther

Erich Itor Kahn : Inventions pour piano        1937 / Gunther (IV, VII, VIII)
 +

arnaud bellemontagne a écrit:

Soirée Mozart.

Rav-phaël a écrit:

Journée Messiaen droit devant     !!!

Deux bons choix !

Erich Itor Kahn : Trois Chansons Populaires pour soprano et piano        1938 / Gayer, Gunther

Erich Itor Kahn : Four Pieces on Medieval German Poems pour soprano et piano        1930 / Gayer, Gunther

Erich Itor Kahn : Three Bagatelles pour piano        1935-40 / Gunther
 +
Erich Itor Kahn : Nenia Judaeis Qui Hac Aetate Perierunt pour violoncelle et piano        1940-41 / Sessions, Gunther
 +