Playlist (137)

L. v. Beethoven
* Symphonie no.1 op.21
* Symphonie no.6 'Pastorale' op.68
The London Classical Players (sur des instruments d'époque)
Roger Norrington
CD EMI, 1988



Norrington fait ressortir des sonorités inouïes comme dans son enregistrement des Ouvertures de Rossini.  

Gennady Banshchikov (1943-) : Symphonie N° 3 (1989)
Orchestre Symphonique Académique de Novossibirsk
Arnold Katz, direction

Immense !

Ola Gjeilo
* Northern Lights (Oeuvres chorales)
Harrington String Quartet
Emmanuel Lopez, violoncelle solo
Belledin, saxophone ténor (solo)
Phoenix Chorale
Charles Bruffy
1 CD Chandos, 2012



C'est très beau, recueilli et apaisant, chanté en latin.
En plus la pochette est jolie.


/watch?v=-s4_FsuOvG4

C.-F. Gounod
* Symphonies nos. 1 & 2
Iceland Symphony Orchestra
Yan Pascal Tortelier



Musique magnifique.
De toute beauté, ça ressemble tellement à du Mozart...

COMPOSTELA
AD VESPERAS SANCTI IACOBI
CODEX CALIXTINUS: XIIè siècle

Ensemble Organum / Marcel Pérès

Voir ICI

Brahms : Symphonie n°4 (Bernstein Sony)

Le moins qu'on puisse dire c'est qu'il a du métier le père Johannes...

Mélomaniac a écrit:

Catégorie orchestrale -rang 163°/250




Èduard Serov (1937-2016)


5) Boris Tichtchenko (1939-2010) :

Symphonie n°7

= Èduard Serov, Orchestre philharmonique de Saint-Pétersbourg

(Northern Flowers, mars 1997)

Pendant longtemps, mon horizon en musique russe fut borné par Chostakovitch et Schnittke (que je connais et apprécie depuis le lycée), arbres qui cachent
si ce n'est la forêt du moins quelques captivants compositeurs dont je ne soupçonnais guère l'attrait.
S'il y a bien une découverte que je dois à ce forum, grâce au zèle forcené de Ovni-Vino, c'est Tichtchenko, à force de voir réapparaître en playlist ce nom imprononçable,
flanqué d'enthousiastes smileys.
Il y a quelques années j'ai donc entrepris de m'initier à quelques (post)sovièteries chez un label tout acquis à la cause : quelques lourds colis commandés
à Northern Flowers m'ont procuré à peu près tout ce que ce label a édité dans le répertoire orchestral.
Chez Tichtchenko, tout ne m'a pas convaincu au même degré, par exemple la série inspirée par Dante Alighieri.
En tout cas la Symphonie n°5 (dirigée par Maxime Chostakovitch) m'a intéressé par sa désolation, ses citations (le fameux motif DSCH)...
Mais dans le corpus c'est bien la Symphonie n°7 qui mérite selon moi les palmes. D'ailleurs n'est-ce pas la préférée de notre camarade Vino ? (j'ai un doute
mais risquons l'hypothèse).
Ce qui me conquiert avant tout, ce sont des formes intelligibles et un langage lucide où je trouve aisément des repères, et où brillent une audacieuse fantaisie,
une orchestrations haute en couleurs, et un renversante efficacité discursive.
On y trouve un hommage à quelques danses du passé, revisitées avec verve et invention, dans l'esprit des collages polystylistiques de la Symphonie n°1 de Schnittke.

Elle fut écrite en 1994 et donnée en première audition trois ans plus tard par les interprètes que nous entendons ici.
Èduard Serov, le chef, connait Tichtchenko de longue date, comme l'illustre une photo du livret du CD, datée de 1967 !
L'enregistrement a été réalisé en public, ce qui explique quelques bruits ambiants. La prise de son, quoiqu'un brin grossière, s'avère particulièrement vaste et réaliste,
donnant l'illusion de se trouver dans la salle en premier rang.
L'interprétation, forte et énergique, communique au mieux le charisme de la partition.
Structurée en cinq mouvements, l'œuvre dure une petite heure.

Comme son nom l'indique, la première partie répond à une forme-sonate.
Sur de fiévreux pizzicatos de violoncelles, une clarinette dévergondée entonne une rengaine débonnaire et goguenarde.
Les violons miaulent le second bloc thématique (1'03 et 1'54) où s'intercale à nouveau la rengaine (1'29).
Une saillie de cuivres (2'19) annonce le développement qui sombre dans un climat menaçant où les bassons se trémoussent avec anxiété (4'43) dans une
chorégraphie qu'attisent les timbales (5'13). Les furieuses contrebasses emmènent tout l'orchestre vers un dissonant climax où percent les trompettes (6'03)
qui reprennent la rengaine (6'42) que des scansions déforment en valse (7'05), que les trombones dilacèrent (7'26) jusqu'à de monstrueux glissandi.
La rengaine se réactive (8'04) sous le chahut de la percussion et d'un orchestre surchauffé qui s'effondre convulsivement (8'40), jusqu'à épuisement.
La narquoise clarinette reparait alors sifflotant sa chansonnette en toute innocence (9'58) à laquelle répond la flûte.
.
Trompettes et cors lancent le Foxtrot où les pupitres s'encanaillent à qui mieux-mieux, boursouflés par les flonflons -même les cordes ne sont pas en reste (1'14).
On se croirait dans un cabaret des années 1920, revisité par des substances hallucinogènes. Comme si les rémanences de jazz n'étaient pas assez patentes,
un piano électrique et un xylophone déluré surenchérissent sur le psychédélisme (1'39-3'00) dans une séquence en abyme qui diffuse l'orchestre hideux et distordu.
Le galop se renforce par une batterie où sautille la cymbale (3'06). Un chaotique solo percussif (3'53-4'50) caricature une cadence de bebop, qui s'attire
une véhémente répartie, violemment martelée.
Le motif initial se renfloue sur les trombones (5'24), se déchaine aux contrebasses, cherche de nouvelles forces dans divers pupitres puis se résout à conclure
par une pompeuse gesticulation (7'02-7'20).
.
Cette page haletante et burlesque nécessite un répit que procurent les Variations centrales. Sur des quintes à vide lancinées aux violoncelles s'exhale
une plainte de hautbois, dans une sorte de Dirge.
Les violoncelles creusent la lamentation (2'38), puis la flûte (3'44) sur les douloureux accords que soupirent les vents. Des appels de trompette (4'37) intensifient et
accélèrent la complainte dont la mélodie circule dans un climat de plus en plus actif et oppressant que les bassons (6'37) viennent un peu apaiser par leur rumination.
La clarinette brode en contrepoint (7'27) où se greffent les souffleurs, -bois et cuivres.
Les spasmes de cordes (8'04) amènent un climax anxiogène où les violons réinstallent le motif liminaire (9'24) que récupèrent clarinette et clarinette basse
dans la phase de reflux (9'55-11'14).
.
Outre le foxtrot, la symphonie rend hommage à une danse d'une autre noblesse à travers une Valse qui évolue dans un paysage irréel. Les élans sont contrariés
par diverses interjections qui en freinent l'essor et en pervertissent l'humeur.
En guise de trio, voilà un choral de trombones (2'56-5'10) lui-même agacé par des appels de violoncelles qui tentent de restaurer la danse, et par d'étranges
roucoulades (4'02) qui rappellent qu'avec Tichtchenko la satire n'est jamais loin. Les violons réintroduisent la valse (5'12) qui n'en a guère que le nom tant
les sophistications rythmiques, les digressions, les incongruités (le violon effiloché à 7'44) dissolvent les velléités jusqu'à une coda énigmatique (8'47-9'04).
.
Le mouvement le plus long (un quart d'heure), qui vaudrait à lui seul que cette symphonie mérite un Mélomaniac d'or, fait office de final. Un exubérant Rondo !
Les tom-toms bringuebalent un désinvolte air de piccolo, partagé aux violons.
Diversion (1'36-2'05) puis le basson reprend la fifrerie (2'07), ensuite la clarinette (2'35), à la fin enrubannée par les bois, les cors, les trompettes.
Les cordes installent un intermède touffu qui freine les ardeurs (3'40-) où les trompettes (6'08) osent sonner la joyeuse mélodie introductive,
mais comme métamorphosée par une méchante fée qui impose à tout l'orchestre une marche pesante (7'01) puis saccadée (7'38).
L'épisode central erre alors dans une attente inconfortable où l'on entend plusieurs fragments thématiques sans qu'on sache comment cette dialectique va se dénouer.
Les cordes graves semblent prendre l'avantage et réussissent à remettre en selle (9'33) la fifrerie qui se reforme en divers aspects, modulés et travestis.
On bascule dans une fantasmagorie que signale un clinquant glockenspiel (11'23) sur un strident écheveau de cordes d'où émerge une clarinette (12'22)
et une flûte (12'52-13'27), qui semblent égarées dans quelque songe.
Soudain tom-tom et wood-block réinvitent le charivari qui culmine furtivement, jusqu'à une péroraison cuivrée.
C'est fini. C'est un live, un monsieur en transe crie « hourra ».

Merci pour ce compte rendu passionnant.
Ca me donne envie d'écouter cette symphonie.

G. B. Pergolèse
* Stabat Mater
Emma Kirkby, soprano
James Bowman, haute-contre
The Academy of Ancient Music
Christopher Hogwood
1 CD L'Oiseau-Lyre, 1989

Mahler, symphonie No 7
Ivan Fischer, OF de Budapest

Mozart - Sonates dites "palatines" (Kurfürstin-Sonaten) K. 301 - K. 306

David Grimal (violon Stradivarius "Ex-Roederer", 1710, archet John Dodd ca. 1770)

Mathieu Dupouy (pianoforte à queue Gräbner Frères, Dresde, 1791, collection du Musée de la musique de Paris)

Brahms : Piano Trio n°1 (Katchen/Suk/Starker)

Brahms : Quintette pour clarinette et cordes (Leister/Amadeus)
Ce mouvement lent

arnaud bellemontagne a écrit:

Brahms : Piano Trio n°1 (Katchen/Suk/Starker)

Brahms : Quintette pour clarinette et cordes (Leister/Amadeus)
Ce mouvement lent

Mais non ... Tout le quintette   .

W. A. Mozart
* Quatuor pour hautbois K.370
* Adagio et Rondo pour harmonica de verre, flûte, hautbois, alto et violoncelle K.617
* Quintette en do mineur K.406
Holliger/Hoffmann/Nicolet/Krebers/Schouten/de Munk-Gerö/Decroos
1 LP Philips, 1977

Jean-Baptiste Lully
* Dies Irae
Motet pour deux choeurs, soli et orchestre
Ensemble vocal À Coeur Joie de Valence
Orchestre Jean-François Paillard
1 LP Erato, 1977

Anaxagore a écrit:

arnaud bellemontagne a écrit:

Brahms : Piano Trio n°1 (Katchen/Suk/Starker)

Brahms : Quintette pour clarinette et cordes (Leister/Amadeus)
Ce mouvement lent

Mais non ... Tout le quintette   .

Je n'en disconviens pas, mais ce mouvement lent a quelque chose de poignant.

Rudolf von Alt (1812-1905), -Chambre du Palais Lanckoronski (détail)

Les Nuits du boudoir...





Au programme ce soir :   W.A. Mozart – A. Dvořák – A. Zemlinsky – A. Roussel – S. Rachmaninov

1) Wolfgang Amadeus Mozart (1756-1791) :

Quatuor avec piano en sol mineur, K. 478
Quatuor avec piano en mi bémol majeur, K. 493

Clifford Curzon, piano
Norbert Brainin, violon
Peter Schidlof, alto
Martin Lovett, violoncelle

(Decca, septembre 1952)

Par le ton et la sonorité, osmose parfaite entre le pianiste anglais et les archets des jeunes Amadeus,
qui réenregistreront ces deux quatuors trente ans plus tard, en février 1981 autour du clavier de Walter Klien.

D'Indy / Symphonie Cévenole (Baudo)

Sur certaines phrases, nul doute qu'il a appris chez Franck...mais j'aime !

2) Antonín Dvořák (1841-1904) :

Quatuor n°12 en fa majeur, Op. 96

Rudolf Koeckert, violon
Willi Buchner, violon
Oskar Riedl, alto
Josef Merz, violoncelle

(DG, novembre 1950)

D'Indy / Symphonie n°2 (Plasson)      

Par rapport à la Cévenole (jolie, rafraîchissante mais sans réelle profondeur), on est vraiment à un autre niveau là. J'ai même entendu du peu de Sibélius dans le premier mouvement. Le quatrième est vraiment très beau en tout cas, c'est celui qui a emporté mon adhésion, car, il faut le dire, la symphonie reste un peu longue...

3) Alexander Zemlinsky (1871-1941) :

Quatuor à cordes n°2, Op. 15

Walter Levin, violon
Henry Meyer, violon
Peter Kamnitzer, alto
Jack Kirstein, violoncelle

(DG, décembre 1980)

4) Albert Roussel (1869-1937) :

Quatuor en ré majeur, Op. 45

Alfred Loewenguth, violon
Maurice Fuéri, violon
Roger Roche, alto
Pierre Basseux, violoncelle

(Decca US, octobre 1950)

Cette captation munichoise s'avère un peu abrasive, ne cherche pas à séduire, mais elle taraude tous les pores de l'Adagio,
et ancre les climats dans une rugosité qui confine à l'étrange dans les allegros.
Une lecture sans concession, volontiers cabossée, qui exalte les frictions harmoniques et la vigueur belliqueuse du langage roussélien.

5) Sergueï Rachmaninov (1875-1945) :

Trio élégiaque n°2 en ré mineur, Op. 9

Menahem Pressler, piano
Isidore Cohen, violon
Bernard Greenhouse, violoncelle

(Philips, mai 1986)

Franz Liszt : Sonate pour piano        1853 / Loriod

Franz Liszt : Sonate pour piano        1853 / Jacquinot
     

Thierry Escaich : Erinnerung pour orchestre à cordes        2009 / Orchestre de l'Opéra National de Lyon (Bloch)

Thierry Escaich : Suite symphonique de Claude pour orchestre        2014 / Orchestre de l'Opéra National de Lyon (Bloch)


La deuxième oeuvre, franchement...

aurele a écrit:

Tu trouves? Elle est pourtant sacrément cette version dans le genre hédoniste-lénifiant.

miroir(s)

Orchestre de Montpellier / Michael Schønwandt
Elsa Dreisig, soprano

pas pour moi ...

Poulenc / Sonate pour clarinette et piano (Portal-Février)

Ce mouvement lent, un miracle de recueillement...

anaëlle a écrit:

aurele a écrit:

Benedictus a écrit:

Tu trouves? Elle est pourtant sacrément cette version dans le genre hédoniste-lénifiant.

Je suis d'accord avec Anaëlle ! Je me rappelle la première fois que je l'ai entendu, j'ai appuyé sur play, 1 seconde plus tard et les larmes aux yeux grands ouverts, figés dans l'émerveillement, il s'était écoulé toute la symphonie...

Benedictus a écrit:

Tu trouves? Elle est pourtant sacrément cette version dans le genre hédoniste-lénifiant.

Avant de voir ton message, j'étais en train de leur écrire « je laisse Benedictus vous disputer ».

Elle est très bien cette version, mais d'une part pas du niveau d'intérêt des meilleurs Abbado de Lucerne, à mon sens, et d'autre part effectivement très loin de tes goûts. Très rond, assez peu contrasté, très tranquille, plutôt hédoniste. J'avais été un peu déçu aussi – parce que le dernier Abbado a en général une certaine intensité, que je n'ai pas perçue ici (mais il a peu pratiqué Bruckner, me semble-t-il).

Rav-phaël a écrit:

anaëlle a écrit:

aurele a écrit:

Spoiler:

Benedictus a écrit:

Tu trouves? Elle est pourtant sacrément cette version dans le genre hédoniste-lénifiant.

Je suis d'accord avec Anaëlle ! Je me rappelle la première fois que je l'ai entendu, j'ai appuyé sur play, 1 seconde plus tard et les larmes aux yeux grands ouverts, figés dans l'émerveillement, il s'était écoulé toute la symphonie...

Oui, c'est le principe de la micro-sieste; de fait, ce disque est excellent à ce effet.

W. A. Mozart
Symphonies nos. 31 'Paris', 35 'Haffner' & 36 'Linz'
Royal Concertgebouw Orchestra, Amsterdam
Josef Krips
1 CD Philips, 1972/1973//1989

Franz Schubert
* Symphonies nos. 3, 5 & 8 'L'Inachevée'
City of Birmingham Orchestra
Edward Gardner
1 CD Chandos, 2018/2019

Brahms : Sonate pour piano n°1 (Couteau)

Kancheli / Morning Prayers (Davies)

Tout à fait splendide, je m'y suis laissé totalement embarquer !

Dimitri Chostakovitch
* Symphonie no.12 'L'Année 1917'
Igor Stravinsky
* Chant funéraire op.5
* L'Oiseau de feu (Suite)
Orchestre Symphonique Radio Vienne
Cornelius Meister
1 CD Capriccio, 2019

Emeryck a écrit:

Thierry Escaich : Erinnerung pour orchestre à cordes        2009 / Orchestre de l'Opéra National de Lyon (Bloch)

Thierry Escaich : Suite symphonique de Claude pour orchestre        2014 / Orchestre de l'Opéra National de Lyon (Bloch)


La deuxième oeuvre, franchement...

Je n'ai pas écouté la suite symphonique, mais l'opéra est pour moi une de ses meilleures œuvres.

Xavier a écrit:

Emeryck a écrit:

Thierry Escaich : Erinnerung pour orchestre à cordes        2009 / Orchestre de l'Opéra National de Lyon (Bloch)

Thierry Escaich : Suite symphonique de Claude pour orchestre        2014 / Orchestre de l'Opéra National de Lyon (Bloch)


La deuxième oeuvre, franchement...

Je n'ai pas écouté la suite symphonique, mais l'opéra est pour moi une de ses meilleures œuvres.

Je n'ai pas écouté l'opéra, mais la suite semble être découpée un peu n'importe comment ; enfin, après, je n'aime pas spécialement la musique (de cette pièce) mais je pense que ça irait déjà mieux si c'était mieux découpé. D'ailleurs, j'ai l'impression que dans ces deux œuvres, Escaich pompe pas mal chez les spectraux et ne dit finalement pas grand-chose.

Retour aux sources avec Boris Alexandrovitch Tchaikovsky !  

Symphonie de chambre (1967)
Les Signes du Zodiaque, cantate pour soprano, clavecin & cordes (1974)
Quatre préludes pour orchestre de chambre (1984)
Concerto pour clarinette et orchestre de chambre (1957)
Orchestre de chambre de Leningrad
Margarita Miroshnikova, soprano
Grigory Korchmar, clavecin
Adil Feodorov, clarinette
Edward Serov, direction

Symphonie N° 1 (1947)
Orchestre Philharmonique de Volgograd
Edward Serov, direction

Symphonie N° 2 (1967)
Orchestre Philharmonique de Moscou
Kirill Kondrashin, direction

Brahms : Sonate pour piano n°2 (Couteau)

J. Strauss
* Ouvertures 'La Chauve-Souris' & 'Le Baron Tzigane'
Karajan/Berlin, EMI

Giuseppe Verdi
Choeurs et Musique de Ballet
* Il Trovatore (Scène II, Choeur des Bohémiens)
* Macbeth (3 mouvements de ballet, Acte III)
Coro e Orchestra del Teatro alla Scala
Claudio Abbado, DG

Jean Sibelius
* Le Cygne de Tuonela (poème symphonique)
* Tapiola (poème symphonique)
Karajan / Berlin, EMI

J'intègre Verdi, surtout pour sa musique de ballet, par curiosité.

Patrick Marcland : Mètres pour flûte, alto et harpe        1972 / Trio Debussy

Patrick Marcland : Variants pour seize instruments        1975 / Nouvel Orchestre Philharmonique (Amy)
 
Patrick Marcland : Paroles pour douze voix mixtes        1982 / Groupe vocal de France (Tranchant)
 +
Patrick Marcland : Verset pour dix-sept instruments        1979 / Ensemble Intercontemporain (Mercier)

Patrick Marcland : Failles pour flûte, alto, harpe et orchestre        1975-77 / Trio Debussy, Nouvel Orchestre Philharmonique (Amy)
 +

Franz Schubert
Goethe-Lieder

Voir ICI

Rachmaninov, concertos pour piano No. 1 & 4
Pennario, Previn, Royal PO

Brahms: Symphonie no.2
Klemperer / Philharmonia Orchestra (EMI)

Ces jours ci
Joseph Haydn (1732-1809)
Symphonies londoniennes

Marc Minkowski / Les Musiciens du Louvre • Grenoble

je suis pas bien luné en ce moment, ou j'aime mieux ce Haydn là : "quiconque me connaît bien sait que je dois beaucoup à Emanuel Bach"



-------------------------
Jean-Sébastien Bach (1685-1750)
Œuvres "libres" pour orgue, disque II intégrale

Michel Chapuis, Orgue, église du Rédempteur Copenhague

une densité effarante de micro-siestes; j'y perds mon souffle ! Une telle chose ne devrait pas être autorisée. Ah ! le prélude en sol majeur BWV 568, le trio en sol mineur BWV 584, la passacaille et fugue en do mineur BWV 582 ...

Benedictus a écrit:

Rav-phaël a écrit:

Je suis d'accord avec Anaëlle ! Je me rappelle la première fois que je l'ai entendu, j'ai appuyé sur play, 1 seconde plus tard et les larmes aux yeux grands ouverts, figés dans l'émerveillement, il s'était écoulé toute la symphonie...

Oui, c'est le principe de la micro-sieste; de fait, ce disque est excellent à ce effet.

Et voilà et voilà... Je m'y attendais, il l'a fait...