Playlist (145)

lulu a écrit:

or après ça devient beaucoup plus délicat de tracer des lignes je trouve... peut-être que la « pluralité » et l’absence d’écoles tant vantée elle se produit seulement maintenant... ou alors c’est juste le manque de recul...

Ah, c'est intéressant, ça: je m'étais fait exactement la même réflexion (sauf que dans mon cas, c'est moins le manque de recul que moins de temps - et peut-être aussi moins de motivation - pour suivre ce qui se fait là, maintenant.)

Benedictus a écrit:

(sauf que dans mon cas, c'est moins le manque de recul que moins de temps - et peut-être aussi moins de motivation - pour suivre ce qui se fait là, maintenant.)

y a évidemment aussi de ça aussi de mon côté.

Arvo Pärt
* Miserere
* Festina Lente
* Sarah Was Ninety Years Old
Ensemble Hilliard / Paul Hillier
Orchestre du Beethovenhalle de Bonn / Dennis Russell Davies
1 CD ECM New Series, 1991

Antanas Rekašius :
Epitafija pour saxophone, violoncelle et percussion (1968)
Atonika pour piano (1970)
Fonograma pour saxophone, violoncelle et percussion (1980)
Fluorescencijos pour violoncelle et synthétiseur (1981)
Musica dolente e con brio pour saxophone, violoncelle et percussion (1980)

Apartment House :
Frank Gratkowski, saxophone
Anton Lukoszevieze, violoncelle
Simon Limbrick, percussion
Kerry Young, synthétiseur
Philip Thomas, piano

W. A. Mozart
* Symphonies nos. 33 & 35 'Haffner'
Academy of St. Martin in the Fields
Iona Brown
1 CD Hänssler, Musical Heritage Society, 1997 / 2001

L. v. Beethoven
* Concerto no.5 'Empereur'
Arturo Benedetti Michelangeli
Orchestre Symphonique de Vienne (Wiener Symphoniker)
Carlo Maria Giulini
1 CD DG, 1982 (ADD)



Enregistrement public.
Le jeu est légèrement en accéléré, très souple et très agile,
Prise sonore un peu floue.
Enregistrement public, rien en complément de programme.
Durée totale: 42'25.

Mompou : Música Callada (Heisser)

Aujourd’hui:

• Schmidt: Symphonie n°4 en ut majeur:

Paavo Järvi / hr-Sinfonieorchester Frankfurt
En public, Francfort, IV.2018
DG

• Schmidt: Symphonie n°4 en ut majeur¹ / Stephan: Musique pour orchestre en un mouvement²:

Kirill Petrenko / Berliner Philharmoniker
En public, Berlin, IV.2018¹, XII.2012²
Berliner Philharmoniker Recordings

Deux version récentes, remarquablement élancées et lisibles, de la 4ᵉ de Schmidt (une de mes préférées de tout le répertoire): si la version de Järvi atteint pour moi une sorte d’équilibre idéal, la version Petrenko, non moins accomplie, apporte un autre éclairage sur l’œuvre. Voir ici.

Quant à la Musique pour orchestre de Stephan, Petrenko livre sans conteste l’interprétation la plus exaltante de ce chef-d’œuvre - et renouvelle profondément la perception que l’on peut avoir de l’œuvre et du compositeur. Voir ici.

(Accessoirement, je trouve fabuleux que Petrenko ait osé programmer ces deux œuvres-là à Berlin - et y ait porté l’orchestre à ce degré d’incandescence. Certes, il y aussi, dans le même coffret des œuvres aussi courues que Beethoven 7-9 et Tchaikovski 5-6  - mais si l’association Petrenko / Berlin y montre les mêmes qualités que dans Schmidt et Stefan, je ne bouderai pas mon plaisir!)

Wolfgang Rihm : Klangbeschreibung I pour trois groupes d’orchestre (1982–87)
Wolfgang Rihm : Klangbeschreibung III pour orchestre (1984–87)
SWF Sinfonieorchester Baden-Baden und Freiburg (Michael Gielen)

la deuxième moitié des années 80 chez Rihm c’est quelque chose, il rigole pas.

Benedictus a écrit:

Aujourd’hui:

• Schmidt:

Paavo Järvi / hr-Sinfonieorchester Frankfurt
En public, Francfort, IV.2018
DG

• Schmidt: Symphonie n°4 en ut majeur¹ / Stephan:

Kirill Petrenko / Berliner Philharmoniker
En public, Berlin, IV.2018¹, XII.2012²
Berliner Philharmoniker Recordings

Deux version récentes, remarquablement élancées et lisibles, de la 4ᵉ de Schmidt (une de mes préférées de tout le répertoire): si la version de Järvi atteint pour moi une sorte d’équilibre idéal, la version Petrenko, non moins accomplie, apporte un autre éclairage sur l’œuvre. Voir ici.

Quant à la Musique pour orchestre de Stephan, Petrenko livre sans conteste l’interprétation la plus exaltante de ce chef-d’œuvre - et renouvelle profondément la perception que l’on peut avoir de l’œuvre et du compositeur. Voir ici.

(Accessoirement, je trouve fabuleux que Petrenko ait osé programmer ces deux œuvres-là à Berlin - et y ait porté l’orchestre à ce degré d’incandescence. Certes, il y aussi, dans le même coffret des œuvres aussi courues que Beethoven 7-9 et Tchaikovski 5-6  - mais si l’association Petrenko / Berlin  y montre les mêmes qualités que dans Schmidt et Stefan, je ne bouderai pas mon plaisir!)

1° écoute de la 4°.
Autant la 3° je trouve que c'est du très bon travail (entre Strauss et Marx) mais pas aussi transcendant qu'une symphonie de Mahler par ex ... la 4° va sûrement au-delà en terme d'impact sur l'auditeur (je la trouve d'un style plus mahlerien).
Dès la 1° écoute, repérer une telle force dans le propos, c'est pas souvent.

Mahler, symphonie 5, Seiji Ozawa, Boston Symphony Orchestra

Antonio Vivaldi
* C0ncerto en Ré majeur pour 2 violons, luth et basse continue
Jakob Lindberg, luth
The Drottningholm Baroque Ensemble
1 CD BIS, 1985

Wolfgang Rihm : Verzeichnung – Studie pour alto, violoncelle et contrebasse (1986)
Trio Basso

Wolfgang Rihm : Streichquartett Nr. 8 (1987–88)
Arditti Quartet

Wolfgang Rihm : Sine nomine I pour cinq cuivres (1985)
Ensemble 13

Joseph Bodin de Boismortier : Daphnis et Chloé        1747 / Le Concert Spirituel (Niquet)
 +

lulu a écrit:

Wolfgang Rihm : Klangbeschreibung I pour trois groupes d’orchestre (1982–87)
Wolfgang Rihm : Klangbeschreibung III pour orchestre (1984–87)
SWF Sinfonieorchester Baden-Baden und Freiburg (Michael Gielen)

la deuxième moitié des années 80 chez Rihm c’est quelque chose, il rigole pas.

Ah oui, Klangbeschreibung, c'est impressionnant et sans concessions!
Tu n'as pas réécouté aussi Klangbeschreibung II? (Quatre voix de femmes, cuivres et percussions - j'adore.)

Emeryck a écrit:

Joseph Bodin de Boismortier : Daphnis et Chloé        1747 / Le Concert Spirituel (Niquet)
 +

Oui, c'est joli, mais quand même pas bien passionnant.

si tu insistes...

Wolfgang Rihm : Klangbeschreibung II pour quatre voix de femmes, cinq cuivres et six percussionnistes (1986–87)
Ingrid Ade-Jesemann, Monika Bair-Jvenz, Christa Muckenheim, Christine Wittlesey
Gabrieli-Quintett, Slagwerkgroep Den Haag (Michael Gielen)

P.S. c’est normal que tu adores, c’est du Nono.

lulu a écrit:

P.S. c’est normal que tu adores, c’est du Nono.

Oui, complètement!
(Tiens, ça me fait penser: quand j'aurai éclusé les lieder de Rihm, il faudra que j'écoute ses Cantus firmus et Ricercar composés en 1990 en hommage à Nono.)

Car, donc, je me suis lancé dans une exploration chronologique des lieder de Rihm avec piano…

• Gesänge op. 1 (1968-71)¹. Vier Gedichte aus „Atemwende“ von Paul Celan (1973)². Neue Alexanderlieder (1979)³. Das Rot (1990)⁴:

Ulrike Stöve (soprano), Tatjana Blome (piano)¹. Ursula Hesse (mezzo-soprano), Axel Bauni (piano)². Yaron Windmüller (baryton), Axel Bauni (piano)³. Christoph Prégardien (ténor), Siegfried Mauser (piano)⁴.
Berlin, VII.1996¹ ³ ⁴, X.1996².
Orfeo

• Neue Alexanderlieder (1979). Lenz-Fragmente, Fünf Gedichte von J.M.R. Lenz (1980). Wölfli-Liederbuch (1980-81):

Holger Falk (baryton), Steffen Schleiermacher (piano).
Marienmünster, VI & XII.2013
MDG

C’est vraiment un corpus exceptionnel… Une mention particulière pour le sublime cycle Das Rot, que tout amateur de lied se doit de connaître (a fortiori si on aime les lieder de Killmayer.) Voir ici.

j’ai envie de dire : synchronicitey.

Wolfgang Rihm : Cantus firmus – Musik in memoriam Luigi Nono (1. Versuch) pour 14 musiciens (1990)
Wolfgang Rihm : Ricercare – Musik in memoriam Luigi Nono (2. Versuch) pour 14 musiciens (1990)
Klangforum Wien (Emilio Pomàrico)

Wolfgang Rihm : Abgewandt 2 – Musik in memoriam Luigi Nono (3. Versuch) pour 14 musiciens (1990)
Wolfgang Rihm : Umfassung – Musik in memoriam Luigi Nono (4. Versuch) pour deux groupes d’orchestre (1990)
?

Wolfgang Rihm : La lugubre gondola / Das Eismeer – Musik in memoriam Luigi Nono (5. Versuch) pour deux pianos et deux groupes d’orchestre (1990/92)
Stefan Kiefer, Gerrit Hommerson
Radio Filharmonisch Orkest (Reinbert de Leeuw)

François-Bernard Mâche (né en 1935)
Pluie d'Or
Safous Mélè pour contralto solo, choeur de femmes et ensemble d’après des fragments de Sapphô
Danaé pour 12 voix et percussions
Heol Dall pour 12 voix et deux pianos d’après Sapphô et Novalis
Invocations pour 6 voix et 2 percussionnistes d’après des papyrus magiques de l’Egypte hellénique

Musicatreize / Roland Hayrabedian

https://empreintedigitale-label.fr/wp-content/uploads/2019/12/ED13256_RES_MUSICA_1219.pdf

Benedictus a écrit:

Emeryck a écrit:

Joseph Bodin de Boismortier : Daphnis et Chloé        1747 / Le Concert Spirituel (Niquet)
 +

Oui, c'est joli, mais quand même pas bien passionnant.

Oui, tout à fait, sans aucune commune mesure avec les trouvailles et la fraîcheur de Don Quichotte chez la duchesse.

Camille Saint-Saëns
* Symphonie no.3 'avec orgue'
* Cyprès et Lauriersop.156
Matthias Eisenberg, orgue
Orchestre du Capitole de Toulouse
Michel Plasson
1 CD EMI, 1997




Plaisir de la découverte, c'est très beau, majestueux et solennel...

Wolfgang Rihm : Schattenstück pour orchestre (1982–84)
Wolfgang Rihm : Abkehr pour orchestre (1985)
Radio-Symphonieorchester Stuttgart des SWR (Christian Arming)

Liszt: Lieder/Clayton

Wolfgang Rihm : Sektor IV aus „Morphonie“ pour quatuor à cordes et orchestre (1972–73)
Wolfgang Rihm : Sub-Kontur pour orchestre (1974–75)
Wolfgang Rihm : Lichtzwang pour violon et orchestre (1975–76)
János Négyesy, violon
Wolfgang Hock, Karl Steeb, Enrique Santiago, Anton Käsmeier
SWF Sinfonieorchester Baden-Baden (Ernest Bour)

Wolfgang Rihm : Dis-Kontur pour orchestre (1974)
Symphonieorchester des Bayerischen Rundfunks (Leif Segerstam)

Jean-Sébastien Bach (1685-1750)
Cantate BWV 169 "Gott soll allein mein Herze haben"
Fondation J. S. Bach, Saint-Gall

Chœur et orchestre : Schola Seconda Pratica / 
Rudolf Lutz, dir. et orgue
Alto, Claude Eichenberger (l'une des quatre cantates pour alto solo)

Bruckner : Symphonie n°3 (Blomstedt)

Wolfgang Rihm : Vers une symphonie fleuve III pour orchestre (1992–95)
Radio-Sinfonieorchester Stuttgart des SWR (Gianluigi Gelmetti)

Wolfgang Rihm : Vers une symphonie fleuve IV pour orchestre (1997–98)
Sächsische Staatskapelle (Giuseppe Sinopoli)

Wolfgang Rihm : Vers une symphonie fleuve VI pour orchestre (2012)
SWR Sinfonieorchester Baden-Baden und Freiburg (Pablo Rus-Broseta)

Herrmann: Whitman/Gil-Ordoñez

Wolfgang Rihm : Über die Linie pour violoncelle (1999)
Benedick Klöckner

Wolfgang Rihm : Nachstudie pour piano (1992–94)
Siegfried Mauser

Vaughan Williams: Death of Tintagiles/Hickox

+

Musique de scène assez simple et très belle.

lulu a écrit:

Wolfgang Rihm : Vers une symphonie fleuve IV pour orchestre (1997–98)
Sächsische Staatskapelle (Giuseppe Sinopoli)

Wolfgang Rihm : Vers une symphonie fleuve VI pour orchestre (2012)
SWR Sinfonieorchester Baden-Baden und Freiburg (Pablo Rus-Broseta)

Ce sont des bandes radio?

Xavier a écrit:

Vaughan Williams: Death of Tintagiles/Hickox

Oh? Du RVW d'après Materlinck? Je ne connais pas du tout, c'est comment?

Musique de scène assez simple et très belle, sans grands développements évidemment.
Musique lente, contemplative, accords mineurs parallèles, solo d'alto... du Vaughan Williams assez typique.

Je l'écoute une deuxième fois.

Benedictus a écrit:

lulu a écrit:

Wolfgang Rihm : Vers une symphonie fleuve IV pour orchestre (1997–98)
Sächsische Staatskapelle (Giuseppe Sinopoli)

Wolfgang Rihm : Vers une symphonie fleuve VI pour orchestre (2012)
SWR Sinfonieorchester Baden-Baden und Freiburg (Pablo Rus-Broseta)

Ce sont des bandes radio?

oui.

Vaughan Williams: Flos campi/Hickox

Escaich: Psalmos/Langrée

La St. Pieterskerk de Leyde (Pays-Bas, province de Zuid-Holland)


Felix Mendelssohn (1809-1847) :

Symphonie n°5 en ré mineur, Op. 107 -Final
Paulus, oratorio Op. 36 -Ouverture

= Leo van Doeselaar, orgue Hill de l'église St Pieter de Leyde

(MDG, septembre 2013)

Juchés sur une travée du déambulatoire, la dégaine des tuyaux de montre, colorés et bagués façon sucre d'orge, ne laisse aucun doute : voilà une façade
typiquement anglaise. Mais nous sommes dans une église gothique néerlandaise !
Oui, car cet orgue provient de la St John's Church de Brownswood Park à Londres, où il avait été installé en 1883 par Thomas Hill, célèbre facteur britannique
à qui l'ont doit aussi le colosse de l'Hôtel de ville de Sydney (à l'époque le plus grand du monde, avec 127 jeux).
L'église londonienne fut détruite en 1989, et son orgue transféré, réinstallé et adapté par la firme Steendam, à l'instigation de la paroisse de la Pieterskerk de Leyde
qui souhaitait un instrument intérimaire pendant la restauration (1995-98) du Van Hagerbeer-orgel, chef d'œuvre du Baroque (1643) tandis que le Hill
est plus propice au répertoire romantique.
Il compte 31 jeux sur trois claviers & pédalier, dont un plan de swell organ en boîte expressive avec cuiller. Les Mixtures restent ancrées dans le classicisme, les anches
à lèvre inférieure rigide vibrent comme un compromis entre les styles français et anglais, les Principaux et Gambes un peu pincés répondent au symphonisme
du second XIX° siècle. L'ensemble sonne à la fois rond et guindé, la restauration de 2013 a su conserver le caractère so british.
Van Doeselaar est titulaire des deux tribunes depuis 1994, et il nous propose sur ce disque (entièrement dédié à Mendelssohn) des pages plutôt rares : morceaux primitifs
des célèbres Sonates, mais aussi des transcriptions (final de la Réformation, Ouverture de Paulus arrangés par W.T. Best, Variations sérieuses par Reitze Smits).

Xavier a écrit:

Musique de scène assez simple et très belle, sans grands développements évidemment.
Musique lente, contemplative, accords mineurs parallèles, solo d'alto... du Vaughan Williams assez typique.

Je l'écoute une deuxième fois.

Ok, donc totalement à côté du sujet. C'est bien ce qui m'avait semblé en l'écoutant il n'y a pas si longtemps, je crois.

Contemplative mais assez sombre tout de même.

Dans un genre plus triomphal et, avouons-le, convenu, il y a le poème symphonique de Loeffler.
J'ai écouté la pièce de Vaughan-Williams, pas vilaine, mais assez très étale, et c'est le même thème sombre aux cordes répété encore, et encore, et encore, et encore... Heureusement que ce n'est pas très long...

Xavier a écrit:

Contemplative mais assez sombre tout de même.

Tintagiles est quand même une pièce de l'épouvante et du paroxysme, c'est étrange de traiter ça aussi paisiblement.

Roussel : Symphonie n°3 (Munch)

DavidLeMarrec a écrit:

Xavier a écrit:

Contemplative mais assez sombre tout de même.

Tintagiles est quand même une pièce de l'épouvante et du paroxysme, c'est étrange de traiter ça aussi paisiblement.

Oui (enfin, l'épouvante et le paroxysme façon Maeterlinck, hein - mais quand même): quand j'avais lu ça, j'avais spontanément pensé au RVW de Job, mais apparemment c'est plutôt celui de Flos campi...

Pour ceux que ça intéresse: un enregistrement radio avec un accompagnement de... Christophe Coin et Garth Knox (altiste du Quatuor Arditti) sur France Culture ici.

Ah si, moi je trouve ça absolument terrifiant. Certes, tout est chuchoté ; paroxysme néanmoins.

Benedictus a écrit:

Pour ceux que ça intéresse: un enregistrement radio avec un accompagnement de... Christophe Coin et Garth Knox (altiste du Quatuor Arditti) sur France Culture ici.

Vu en salle : la plus grande émotion théâtre et musicale de ma vie. L'attelage étrange de musiques XXe pour alto et violoncelle était d'une poésie extraordinaire.

La bande France Culture est un peu écrasée par le texte parlé, hélas.

DavidLeMarrec a écrit:

Ah si, moi je trouve ça absolument terrifiant. Certes, tout est chuchoté ; paroxysme néanmoins.

Oui, c'est bien ce que je voulais dire par «épouvante et paroxysme façon Maeterlinck.» (Ma remarque s'adressait moins à toi qu'à des lecteurs qui iraient écouter ça en espérant un truc façon Shining ou The Exorcist.)

Benedictus a écrit:

Vu en salle : la plus grande émotion théâtre et musicale de ma vie.

Pourquoi ça ne me surprend pas vraiment?

Benedictus a écrit:

Oui, c'est bien ce que je voulais dire par «épouvante et paroxysme façon Maeterlinck.» (Ma remarque s'adressait moins à toi qu'à des lecteurs qui iraient écouter ça en espérant un truc façon Shining ou The Exorcist.)

Ah oui, non, c'est de l'épouvante par l'épure et la suggestion, clairement. On n'est pas dans la lignée esthétique des films cannibales.

xoph a écrit:

Alifie a écrit:

 sur tes bons conseils, https://classik.forumactif.com/t2376p205-# :



    /watch?v=VeeXab_N39s

L. v. Beethoven
Ouvertures
* Fidelio
* Egmont
* Leonore III
* Les Ruines d'Athènes
Philharmonie de Berlin / Karajan (DG)

Igor Stravinsky
* Le Sacre du Printemps
Philharmonie Tchèque / Ancerl (Supraphon)

DavidLeMarrec a écrit:

Ah si, moi je trouve ça absolument terrifiant. Certes, tout est chuchoté ; paroxysme néanmoins.

Du coup, je ne vois pas pourquoi Vaughan Williams serait hors-sujet.