Playlist (146)

Georg Friedrich Haas (*1953) : Hertevig-Studien pour six voix (2006)
Lasse Thoresen (*1949) : Land of Your Love pour six voix (2017/18)
Maja S. K. Ratkje (*1973) : A Dismantled Ode To The Moral Value Of Art pour six voix (2012)

Nordic Voices

1) Piotr I. Tchaikovsky (1840-1893) :

Casse-noisette, ballet en deux actes

= John Lanchbery, Philharmonia Orchestra

(Emi, mars-avril 1982)

xoph a écrit:

@gluckhand (...) Je te conseillerais Hélène Schmitt pour les sonates et partitas pour violon, non pas qu'elle puisse être un trait d'union entre une vision classique (... ou romantique) et des interprétations baroques (il faut pour ça plutôt aller du côté de Julia Fischer, ou d'Isabelle Faust par exemple) ; mais parce que son tempérament est très loin de la ligne pure et mouvante de Schayegh (que j'adore et qui m'émeut, et que tu trouves un peu distante) et porte une vision très "incarnée" qui pourrait peut-être te plaire.

Bruno Luong a écrit:

Je voudrais faire un petit avertissement de la version Hélène Schmitt (que je préfère nettement par rapport à Schayegh) : vous risquez d'être perturber par les performances violonistes mais aussi très vocales de Hélène Schmitt. Mais bon si vous supporter Glen Gould il n'y aurait pas de pb.

Pas encore écouté Schayegh. Ma préférence sur violon baroque reste Rachel Podger, qui te conviendrait peut-être mieux @Gluckhand : pas de prise de libertés "choquantes", perfection instrumentale et sonorité où l'on a pas la verdeur qui peut exister sur boyau. Hélène Schmitt ne m'avait pas autant enthousiasmé.[/quote]

J'ai  écouté Rachel Poger sur YT, et c'est superbe et ça se rapproche vraiment,aussi  des grandes versions historiques.Oui c'est vraiment interessant à écouter, mais moi j'en voulais plus à Philippe A Dragonov, qu'a son violon,dans ma critique.Là Rachel Podger, nous fait vivre et partager quelque chose, ce n'était pas vraiment le cas pour moi, dans la version Dragonov.Merci Iskender.

Rachel Podger - Bach - Salle Wigmore
https://www.youtube.com/watch?v=wTVJ0BtIoMA

lulu a écrit:

Georg Friedrich Haas (*1953) : Nacht, opéra de chambre (1995−96)
Julie Moffat, Waltraud Hoffmann-Mucher, Helmut Wildhaber
Michael Volle, Johannes Schmidt, Matteo de Monti
Klangforum Wien (Peter Rundel)

J'ai cherché cet opéra longtemps sans pouvoir  le trouver ou à un prix prohibitif .Que penses tu d' Hypérion, Lulu,de ce même compositeur, je voudrais pas être prétentieux , ni trop m'avancer, mais je trouve que Haas, gâche un peu son immense talent, même si j'ai lu la présentation qu'il en a fait là?
https://www.universaledition.com/georg-friedrich-haas-278/works/hyperion-12730

L'aléatoire, on a déjà donné et Stockhausen a fait beaucoup mieux avant, bref ce concerto pour la lumière  et orchestre ,ne m'inspire pas beaucoup, c'est le moins qu'on puisse dire,pour moi,c'est un peu du remplissage, il a fait d'autres choses, bien plus belles.Je ne suis pas preneur du tout, encore plus ,après avoir écouté du Radulescu hier, lol

Grigori Frid, concerto pour viola, piano er orchestre de cordes
Isabelle van Keulen, O. de chambre de la Gorgie Ingolstadt, Ruben Gazarian

Typiquement russe, on retrouve un mélange de Shostakovich, Ustvolskaya et de Schnittke dans les 3 mouvements

Dvořák : Humoresques, Op.101 (Firkušný)

Nielsen : Symphonie n°3 "Espansiva" (Järvi)

Schmidt : Symphonie n°3 (Järvi)
Schmidt : Symphonie n°4 (Järvi)

Duruflé : Requiem (Ledger)

Dimitri Chostakovich
* Symphonie no. 14 op. 135
+ 6 Poèmes de Marina Tsetaeva op. 143a
Julia Varady, soprano
Ortrun Wenkel, contralto (op.143a)
Dietrich Fischer-Dieskau, baryton (basse)
Concertgebouw Orchestra
Bernard Haitink (Decca 'Ovation', 1981)



L'intérêt de ce CD réside surtout dans le fait d'entendre DFD dans un répertoire plutôt inhabituel.
Il excelle davantage dans les '6 Poèmes de Marina Tsetaeva' op. 143a.

Messiaen - Quatuor pour la fin du temps

Ravélavélo a écrit:

L'intérêt de ce CD réside surtout dans le fait d'entendre DFD dans un répertoire plutôt inhabituel.
Il excelle davantage dans les '6 Poèmes de Marina Tsetaeva' op. 143a.

Les six poèmes sont chantés par Ortrun Wenkel

2) Béla Bartók (1881-1945) :

Le Mandarin merveilleux, ballet intégral

= Antal Doráti, Orchestre symphonique de la BBC

(Mercury, juillet 1964)

Le chef hongrois avait déjà gravé la Suite à Minneapolis (pour Mercury également), et il réenregistrera le ballet complet à Detroit (pour Decca), -version moderniste
et vénéneuse que j'avais retenue pour le Mélomaniac d'Or. Ici, malgré la pugnacité, la férocité grinçante exacerbée jusqu'au bruitisme, je ne peux m'empêcher
de trouver le résultat trop abstrait et schématique. L'interprétation du passage (à tabac) qui suit la course-poursuite demeure toutefois anthologique.

Mélomaniac a écrit:

Ravélavélo a écrit:

L'intérêt de ce CD réside surtout dans le fait d'entendre DFD dans un répertoire plutôt inhabituel.
Il excelle davantage dans les '6 Poèmes de Marina Tsetaeva' op. 143a.

Les six poèmes sont chantés par Ortrun Wenkel

Là, je me suis gouré royalement.
En fait, j'ai pas écouté l'Opus 143a.

Ravélavélo a écrit:

En fait, j'ai pas écouté l'Opus 143a.

C'est assez aride-râpeux...

Mélomaniac a écrit:

Ravélavélo a écrit:

En fait, j'ai pas écouté l'Opus 143a.

C'est assez aride-râpeux...

Je vais écouter plus tard, avec la plus grande attention.
J'ai acheté le CD pour la Quatorzième.
Ma troisième version.
Ma préférence va pour Storojev/Holleque/Turovsky (Chandos).

Messiaen : 3 petites liturgies de la présence divine (Bernstein)

arnaud bellemontagne a écrit:

Messiaen : 3 petites liturgies de la présence divine (Bernstein)

Y avait un beau Dali sur la couv originale :

T'as l'oeil, bien joué.

Sibelius: Scènes historiques I et II/Saraste

3) Sergueï Prokofiev (1891-1953) :

La Légende de la Fleur de Pierre, ballet en quatre actes Op. 118 -sélection

= Silvio Varviso, Orchestre de la Suisse romande

(Decca, mai 1965)

Sibelius: Symphonie n°6/Saraste (RCA)

+

Nicola Sani (*1961) : Gimme Scelsi pour ensemble (2012)
Uli Fussenegger (*1966) : San Teodoro 8 pour quatre musiciens et bande (2013)
Fabien Lévy (*1968) : à tue-tête pour 9 musiciens spatialisés (2015)
Ragnhild Berstad (*1956) : Cardinem pour ensemble (2014)

Klangforum Wien
Sylvain Cambreling, Johannes Kalitzke

Chostakovitch : Symphonie n°7 (Kondrachine)



Pas sa plus inspirée, mais j'imagine que le contexte peut expliquer son retentissement et sa notoriété.

Tournemire - Douze préludes-poèmes

Dimitri Chostakovitch
* 6 Poèmes de Marina Tsvetayeva op. 143a
Ortrun Wenkel, contralto
Concertgebouw d'Amsterdam
Bernard Haitink



L'Intro me plaît dès la première écoute: sonorités riches et chaudes du violoncelle, la voix grave de la chanteuse est d'une belle maturité, l'orchestre vient rehausser les effets dramatiques, de façon modéré, on évite les extrêmes.
Ça ressemble à du Mahler.
Il manque le texte des poèmes de Tsvetayeva en français.
Les notes du livret sont en français.
Ce cycle de lieder est considéré comme le plus personnel de Chostakovitch.

+

Tu peux avoir les traductions ici: https://www.lieder.net/lieder/get_settings.html?ComposerId=5739

Xavier a écrit:

Tu peux avoir les traductions ici: https://www.lieder.net/lieder/get_settings.html?ComposerId=5739

Merci Xavier !
Le lien va me servir aussi pour les poèmes de la Treizième.
Le livret du CD fournit les titres:

1- Mes Poèmes
2- Beaucoup de tendresse
3- Le Dialogue de Hamlet avec sa conscience
4- Le Poète et le Tsar
5- Non, le son du tambour
6- À Anna Akhmatova

https://www.lieder.net/lieder/get_author_texts.html?AuthorId=2841

Sibelius: Concerto pour violon/Batiashvili, Oramo

Xavier a écrit:

Sibelius: Concerto pour violon/Batiashvili, Oramo

Une belle version, sans être l'everest de la discographie. Je trouve ici le supplément d'engagement interprétatif qu'il manque parfois à la sonorité somptueuse Batiashvili, et Oramo fait bien plus qu'accompagner. C'est une captation live il me semble, ce qui est assez bluffant quant à la perfection du violon. (mais explique peut-être aussi un orchestre moins présent et défini que dans le remake avec Barenboim)

Ici, de notable ces derniers temps :

Rautavaara : Symphonie n°8 « The journey »
- Lahti S.O., Osmo Vänskä
- New Zealand S.O. , Pietari Inkinen
→ J’aime bien le langage de Rautavaara tout en restant parfois sur ma faim, pouvant avoir l’impression d’un robinet d’eau tiède dont je ne retiens pas grand chose. Pas de ça ici : la structure, les contrastes et l’inspiration sont une réussite. J’ai totalement adopté cette dernière symphonie.

Chausson : Poème - Roland Daugareil, Orchestre National de Bordeaux Aquitaine, Alain Lombard
→ Quelle surprise. Version absolument somptueuse. Du très grand violon : une sonorité impériale, avec une corde de sol ample et chaude, dans la lignée d’un Ferras, et un choix de nuances où l’interprète sait s’effacer devant la musique, dégageant une vraie émotion. L’orchestre colle parfaitement aux respirations du soliste. À se demander si dans ce type d’œuvre la musique ne gagne pas à être servie par un(e) violoniste qui a une culture et une pratique orchestrales, avec ce que cela induit en terme d'ego musical...

Alwyn : Sonates pour clarinette, pour hautbois, sonatine pour alto (toutes avec piano) - Trio à cordes - Conversations - Sophia Raman (piano), Robert Plane (clarinette), Sarah Francis (hautbois), Sarah-Jane Bradley (alto), Hermitage trio, Lucy Gould (violon)
→ Alwyn à son meilleur dans la musique de chambre (il n’y a que la sonate pour clarinette que je n’aime pas trop, et je n'ai pas encore écouté la sonatine hautbois/harpe). Dommage que la sonorité du hautbois soit aussi passable et vieille école. On aimerait entendre un François Leleux ou un Alexei Ogrintchouk servir cette superbe sonate. Le trio à cordes et les conversations (pour la même formation que les contrastes de Bartók) sont des bijoux.

Bartók : Le château de Barbe-bleue - Ann-Sofie Von Otter, John Tomlinson, Berliner Philharmoniker, Bernard Haitink
→ Je continue mon tour des interprétations (mais pas à suivre). Immense disque d’un opéra incroyable.

Michael Pelzel (*1978) :
...vague écume des mers... pour quatuor à cordes (2013)
Quatuor Diotima

Dance of the Magic Waterbells pour ensemble (2014)
Collegium Novum Zürich (Peter Rundel)

Dance machine pour flute et violoncelle (2014)
Karolina Öhman, Paolo Vignaroli

Cosmic Swoosh pour deux pianos, célesta et trois percussionnistes (2015) : 2. Satz
klavier duo huber/thomet
Ensemble This | Ensemble That

...danses oniriques... pour violon, violoncelle, flute, clarinette et deux pianos à distance d’un sixième de ton (2005)
Marino Formenti, Florian Müller
Klangforum Wien (Enno Poppe)

...par la brume flottante... pour petit ensemble (2004)
Klangforum Wien (Jean-Michaël Lavoie)

Iskender a écrit:

Bartók : Le château de Barbe-bleue - Ann-Sofie Von Otter, John Tomlinson, Berliner Philharmoniker, Bernard Haitink
→ Je continue mon tour des interprétations (mais pas à suivre). Immense disque d’un opéra incroyable.

J'aime beaucoup aussi .

Jules Massenet (1842-1912) :

Le Carillon, ballet

= Richard Bonynge, National Philharmonic Orchestra

(Decca, avril 1983)

Parmi les innombrables redécouvertes que l'on doit à Bonynge, spécialiste de Massenet, ce ballet d'une quarantaine de minutes, créé à l'Opéra de Vienne en février 1892.
L'histoire se passe à Courtrai au XV° siècle. Bertha, fille de l'aubergiste Rombalt, est éprise du maître-horloger Karl, mais son père voudrait qu'elle épouse Pit ou Jef,
respectivement ramoneur et boulanger.
On annonce la venue du Duc Philippe Le Bon, qui exige que les cloches de l'église Saint-Martin saluent sa visite dans la cité des Flandres, alors que Karl est loin d'avoir
achevé son ouvrage campanaire. Sûr de son méfait, Rombalt assure que si le clocher retentit, Bertha pourra se marier avec l'horloger.
Réfugié dans le clocher, Karl assiste à une vision surnaturelle qu'il court raconter à Bertha, pendant qu'en son absence Pit et Jef saccagent le carillon du beffroi.
Pourtant, l'arrivée du Duc est glorifiée par le son des battants comme il l'espérait !
C'est que grâce aux anges missionnés par Saint-Martin, Pit et Jef ont été transformés en jacquemarts cognant le bronze avec leur marteau.
Karl est remercié par une montre en or et embrasse celle qu'il lui est désormais promise.
Superbe interprétation par le chef australien et l'orchestre londonien.

Iskender a écrit:

Xavier a écrit:

Sibelius: Concerto pour violon/Batiashvili, Oramo

Une belle version, sans être l'everest de la discographie. Je trouve ici le supplément d'engagement interprétatif qu'il manque parfois à la sonorité somptueuse Batiashvili, et Oramo fait bien plus qu'accompagner. C'est une captation live il me semble, ce qui est assez bluffant quant à la perfection du violon.

Je te rejoins sur tout ça: c'est une très belle version (en live effectivement) dans laquelle il se passe quelque chose.

arnaud bellemontagne a écrit:

Messiaen : 3 petites liturgies de la présence divine (Bernstein)

J'en ai un très bon souvenir, avec un français exotique mais un feu impressionnant ! Tu confirmes ?

Xavier a écrit:

Sibelius: Scènes historiques I et II/Saraste

J'aime beaucoup ces pièces.

Thomasl47 a écrit:

Tournemire - Douze préludes-poèmes

Delvallée est vraiment (beaucoup) mieux : entre Lise Boucher et la prise de son, tout paraît un peu rond, égal, mat, ouaté ici. Ce n'est pas mal, mais en deçà de la portée visionnaire de ces pièces, à mon avis.

Iskender a écrit:

Alwyn : Sonates pour clarinette, pour hautbois, sonatine pour alto (toutes avec piano) - Trio à cordes - Conversations - Sophia Raman (piano), Robert Plane (clarinette), Sarah Francis (hautbois), Sarah-Jane Bradley (alto), Hermitage trio, Lucy Gould (violon)
→ Alwyn à son meilleur dans la musique de chambre (il n’y a que la sonate pour clarinette que je n’aime pas trop, et je n'ai pas encore écouté la sonatine hautbois/harpe). Dommage que la sonorité du hautbois soit aussi passable et vieille école. On aimerait entendre un François Leleux ou un Alexei Ogrintchouk servir cette superbe sonate. Le trio à cordes et les conversations (pour la même formation que les contrastes de Bartók) sont des bijoux.

Ah oui, rien à voir avec les symphonies… la Sonate pour hautbois & piano est une merveille absolue.

Vaclav Jan Tomasek / Eclogues / Milan Langer

Compositeur de la transition, paraît il,Vaclav Jan Tomasek (1774-1850),ce musicien tchèque ou Bohèmien à l'époque a  été admiré par les plus grands musiciens de son temps, Beethoven, Paganini, Schumann, Liszt, Berlioz, Wagner ? A l'écoute de ses éclogues ou églogues,pour piano,on sent une certaine originalité, c'est vrai, un certain style bucolique, mais on est loin d'un Beethoven ou d'un Schumann,mais ça se laisse écouter avc plaisir,d'autant que le pianiste Milan Langer,est vraiment très bon..
Pour en savoir plus / https://fr.wikipedia.org/wiki/V%C3%A1clav_Jan_Tom%C3%A1%C5%A1ek

DavidLeMarrec a écrit:

arnaud bellemontagne a écrit:

Messiaen : 3 petites liturgies de la présence divine (Bernstein)

J'en ai un très bon souvenir, avec un français exotique mais un feu impressionnant !  Tu confirmes ?

C'est tout à fait ça. Comme on ne comprend pas trop ce qu'il disent, ça masque les naïvetés du texte qui ont tendance à m'incommoder.

Chostakovitch : Symphonie n°8 (Kondrachine)


Epique, funèbre et persifleur.

Une de ses meilleures symphonies.

Plutôt sympa,cette oeuvre, bon j'en suis au début,mais de bons chanteurs,ça aide.Je finis par me demander, si Cluytens n'avait pas plutôt une vocation  penchée , plus pour la musique allemande que française.Dire que j'ai cette oeuvre avec la grande Schwarzkopf et Karajan et que je l'ai jamais écouté.Bon,il est temps de sortir les bières fraîches et de  la bonne charcuterie ,il faut que je me mette dans l'ambiance.
Plus j'avance,plus il y de beaux passages, presque straussiens par moments.De très beaux airs,surtout dans la deuxième partie.Je crois ,que ça fait partie du répertoire national allemand.Les chanteurs ou chanteuses sont vraiment tous d'un très haut niveau musical, une école de chant formidable de cette époque.Dommage, cela aurait bien appelé aussi ,une suite, par exemple,un Rosenkavalier dirigé par Cluytens.

Cycle Foulds ici : World Requiem, Mantra, Lyra Celtica (avec soprano), Apotheosis (avec violon)…

EDIT: Enfin, j'imagine que tu connais déjà tout çà...

DavidLeMarrec a écrit:

Cycle Foulds ici : World Requiem, Mantra, Lyra Celtica (avec soprano), Apotheosis (avec violon)…

J'ai comme l'impression que les anglais ont toujours un sérieux problème affectif,avec ce compositeur,préfèrant au début sa musique légère, puis l'ignorant totalement ensuite, jusqu'à son Requiem. C'est Malcolm MacDonald ,grand défenseur de Brian,qui a l'époque,a essayé de le remettre ,au goût du jour.Depuis quelques années, une série de disques tente de réhabiliter sa musique.

Saïs a écrit:

Hé, pourquoi s'en priver puisqu'il est à portée de main?  

ben, tout simplement parce que Mélo achète des coffrets pour caler les meubles de son 31 pièces, non ?

Claus-Steffen Mahnkopf (*1962) :
atsiminimas pour flute basse (2016)
coincidentia oppositorum pour flute alto (1986)
La terreur d’un ange nouveau pour flute (1997–99)
Finite Jest pour flute et soprano (2014)
succolarity pour flute (1989)
Kurtág-Cantus II pour piccolo (2013)

Shanna Pranaitis, flute
Frauke Aulbert, soprano

gluckhand a écrit:

DavidLeMarrec a écrit:

Cycle Foulds ici : World Requiem, Mantra, Lyra Celtica (avec soprano), Apotheosis (avec violon)…

J'ai comme l'impression que les anglais ont toujours un sérieux problème affectif,avec ce compositeur,préfèrant au début sa musique légère, puis l'ignorant totalement ensuite, jusqu'à son Requiem. C'est  Malcolm MacDonald ,grand défenseur de Brian,qui a l'époque,a essayé de le remettre ,au goût du jour.Depuis quelques années, une série de disques tente de réhabiliter sa musique.

Seulement trois monographies à ma connaissance : le Requiem par Botstein chez Chandos et deux disques de poèmes symphoniques & concertos déguisés avec Oramo chez Warner (et je crois un truc de plus chez Hyperion).

Tout ce que je sais, c'est que JPC, avait fait une promo, à 3,99 euros ou dans ces prix là, et j'en avais pris 5 ou 6.Moi je pensais plutôt a rééditions que nouvelles éditions,de ce répertoire qu'on connaissait peu déjà.Je me demandais même d'ou il sortait ainsi soudain, ce compositeur ,avec ses titres ronflants.


JPC, fait parfois des promotions interessantes,faut suivre c'est tout.Une fois ils ont mis tous les Naxos de Havergal Brian  pour 39 euros, quand on voit combien on vend un seul de ces disques aujourd'hui.Mais j'ai remarqué, ça tourne chez eux et ça revient.pour la musique contemporaine, il y a parfois de très bonnes affaires chez eux.

lulu a écrit:

Saïs a écrit:

Hé, pourquoi s'en priver puisqu'il est à portée de main?  

ben, tout simplement parce que Mélo achète des coffrets pour caler les meubles de son 31 pièces, non ?

Oui !, ou ça reste planqué au bout d'une étagère, au fond d'un carton, et le disque se perd, s'oublie...
Ou alors je me rappelle l'avoir acheté mais ne sais plus où je l'ai rangé.
Ou alors j'ai envie de l'écouter mais pas le temps, et quand j'ai le temps plus envie...
J'ai récemment retrouvé une série d'imports japonais commandés en 2007, encore sous cellophane

DavidLeMarrec a écrit:

Thomasl47 a écrit:

Tournemire - Douze préludes-poèmes

Delvallée est vraiment (beaucoup) mieux : entre Lise Boucher et la prise de son, tout paraît un peu rond, égal, mat, ouaté ici. Ce n'est pas mal, mais en deçà de la portée visionnaire de ces pièces, à mon avis.

J'ai cherché Delvallée mais malheureusement c'est difficilement trouvable à prix décent (en plus, chose rare, Delvallée est un musicien né dans une petite ville tout proche de chez moi du coup j'avais encore plus envie de l'écouter). Ceci dit je découvre l’œuvre avec Lise Boucher et j'aime déjà beaucoup, la prise de son est plutôt bonne je trouve. Ca tourne pas mal chez moi en écoute nocturne, très belle ambiance.

Thomasl47 a écrit:

DavidLeMarrec a écrit:

Thomasl47 a écrit:

Tournemire - Douze préludes-poèmes

Delvallée est vraiment (beaucoup) mieux : entre Lise Boucher et la prise de son, tout paraît un peu rond, égal, mat, ouaté ici. Ce n'est pas mal, mais en deçà de la portée visionnaire de ces pièces, à mon avis.

J'ai cherché Delvallée mais malheureusement c'est difficilement trouvable à prix décent (en plus, chose rare, Delvallée est un musicien né dans une petite ville tout proche de chez moi du coup j'avais encore plus envie de l'écouter). Ceci dit je découvre l’œuvre avec Lise Boucher et j'aime déjà beaucoup, la prise de son est plutôt bonne je trouve. Ca tourne pas mal chez moi en écoute nocturne, très belle ambiance.

Sur Amazon,j'ai vu qu'il y avait 2 cd de Louis Vierne par lui,pas trop cher, ainsi que du Jehan Alain au piano,toujours par Delvallée , un peu plus cher.Deux choses pas très courantes.

Ives: Symphonies n° 1 et 4 (Chicago Symphony Orchestra & Chorus, MTT) .

Ives: Symphonies n° 2 et 3 (Concertgebouw, MTT) .