Playlist (151)

DavidLeMarrec a écrit:

Au demeurant, super version des meilleurs quatuors du gaillard…

Quand j'avais écouté ce disque, il y a un peu plus d'un an, voici ce que j'en avais écrit:

Citation :

Lecture très singulière, voire étrange - très mobile, avec de surprenants contrastes dans la façon même de construire la sonorité, entre des attaques très denses aux accents presque méchants, et des moments insaisissables où le son semble fuyant, élusif, dégingandé. Il faudra que je réécoute pour essayer de comprendre où ça va, comment ça fonctionne - et accessoirement ce que j’en pense.

Et, après trois réécoutes, j'avoue ne toujours pas avoir compris cette interprétation (assurément d'une vraie singularité, faite par des musiciens qui ne sont pas des manchots, et superbement captée.)

la_pendule a écrit:

Ah bah tiens, moi ça me fait plus penser à un remake scandinave du chef-d'œuvre de Mylenie de Gouinaloux...

lulu a écrit:

la_pendule a écrit:

Prokofiev: Sonates pour violons et mélodies (Franziska Pietsch)

oh chouette, un magazine de modèles de tricot !

Анастасия231 a écrit:

Ah bah tiens, moi ça me fait plus penser à un remake scandinave du chef-d'œuvre de Mylenie de Gouinaloux...

Bien vu... J'en suis tout bouleversifié.

Benedictus a écrit:

Анастасия231 a écrit:

Ah bah tiens, moi ça me fait plus penser à un remake scandinave du chef-d'œuvre de Mylenie de Gouinaloux...

Bien vu... J'en suis tout bouleversifié.

Au risque d'être pédante, je trouve cela tout à fait bouleversant.

Ça y est, j'ai retrouvé le titre du film: c'est Le Doutage.

Prokofiev : Symphonie n°2 (Jarvi)


Rien à voir avec la première, ici tout est plus dur et rugueux.

Ah oui, les 2 et 3, c'est bien râpeux. Je ne sais pas si tu connais déjà la 3, mais tu devrais bien apprécier

Je ne connais que la 5.
Je vais toutes me les écouter.

Scriabine: Mazurkas opus 25/Ulasiuk



Wagner: Mort d'Isolde, Scène finale du Crépuscule des dieux/Norman, Tennstedt



Debussy: La Mer/Cambreling



Sibelius: Tapiola/Blomstedt



Je trouve que Blomstedt est vraiment le seul à réussir une version convaincante avec des tempi aussi lents. (19'38)

arnaud bellemontagne a écrit:

Je ne connais que la 5.
Je vais toutes me les écouter.

Ah oui, la 3, c'est dément! (jamais pu l'entendre en concert jusqu'à présent, mais Gergiev les donne toutes en avril à la Philharmonie!)

Анастасия231 a écrit:

Alfredo Casella : A Notte Alta pour piano et orchestre Op. 30bis (1917/21)
Elegia Eroica pour orchestre Op. 29 (1916)
Sun Hee You, piano
Orchestre Symphonique de Rome
Francesco La Vecchia
Studio Naxos 2010 & 2011

Deux œuvres majeures amha !

Oh que oui   . Ça et les pagine di guerra.

DavidLeMarrec a écrit:

la_pendule a écrit:

D'ailleurs puisqu'on parle d'Haydn, autant ses symphonies ne me touchent pas plus que ça, autant ses quatuors

Haydn: Quatuors à cordes op 76 (Chiaroscuro Quartet)

Là encore de la grande pochette digne d'un catalogue des 70's...

Au demeurant, super version des meilleurs quatuors du gaillard…

Je partage ton avis La pendule, pour la préférence des quatuors aux symphonies chez Haydn, et le tien David, pour l'opus 76 au-dessus du lot. Je vais donc écouter ce disque !

Ici :

Messiaen : 8 préludes pour piano - Pierre-Laurent Aimard
Fabuleux. La dernière partie de Cloches d'angoisse et larme d'adieu...  J'envie les pianistes. Pouvoir se mettre ces harmonies au bout des doigts.

Iskender a écrit:

Messiaen : 8 préludes pour piano - Pierre-Laurent Aimard
Fabuleux. La dernière partie de Cloches d'angoisse et larme d'adieu...  J'envie les pianistes. Pouvoir se mettre ces harmonies au bout des doigts.

Il m'est arrivé de le jouer en concert.

Madetoja: Symphonie n°1/Storgards

Ginastera: Concerto pour piano n°1/Wang, Mena

+

Attila Bozay (1939–1999) :
Pezzo concertato n. 2 op. 24 pour cithare et orchestre (1974–75)
Trapéz és korlát op. 12, cantate pour soprano, ténor, chœur et orchestre (1966)
Pezzo sinfonico n. 2 op. 25 pour orchestre (1975–76)

Katalin Szökefalvi-Nagy, soprano
János Bándi, ténor
Attila Bozay, cithare
Ádám Fellegi et László Almásy, pianos
Orchestre symphonique et Chœur de la Radiotélévision hongroise (György Lehel)

Iskender a écrit:

Messiaen : 8 préludes pour piano - Pierre-Laurent Aimard
Fabuleux. La dernière partie de Cloches d'angoisse et larme d'adieu...  J'envie les pianistes. Pouvoir se mettre ces harmonies au bout des doigts.

Ici, sans nous être concertés ni vivre sous le même toit :

Messiaen – 20 Regards – Aimard (Teldec 2000).
(Belle version, nettement plus aboutie que ses Ligeti un peu ternes. Pas énormément de couleurs, mais une structure extrêmement lisible et de la très belle poésie.)

Xavier a écrit:

arnaud bellemontagne a écrit:

Je ne connais que la 5.
Je vais toutes me les écouter.

Ah oui, la 3, c'est dément! (jamais pu l'entendre en concert jusqu'à présent, mais Gergiev les donne toutes en avril à la Philharmonie!)

Ca donne envie!

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Martinu : Symphonie n°5 (Thomson)

Attila Bozay (1939–1999) :
Quartetto per archi op. 9 (1964)
Quatuor Bartók

Variazioni per pianoforte op. 10 (1964)
Loránt Szűcs

Papírszeletek op. 5 pour soprano, clarinette et violoncelle, d’après Radnóti (1962)
Erika Sziklay, Tibor Dittrich, László Mező

Pezzo concertato n. 1 op. 11 pour alto et orchestre (1965)
Géza Németh
Orchestre symphonique de la Radiotélévision hongroise (János Ferencsik)

Pezzo sinfonico n. 1 op. 13 pour grand orchestre (1967)
Orchestre d’État de Hongrie (János Ferencsik)

Benedictus a écrit:

Ça y est, j'ai retrouvé le titre du film: c'est Le Doutage.

"Ce n'est pas le doute, ça n'est pas non plus le chantage... c'est... le doutage".

On ne se refait pas. Je fais mention de cet enregistrement de 3 CD pour la très haute fidélité de sa prise de son, ce qui est particulièrement rare avec les orchestre symphoniques qu'ils soient seuls ou en accompagnement.
Et cette exigence intransigeante sur ce paramètre semble bien être une des caractéristiques de l'Orchestre Royal Philarmonique de Liège puisque j'ai pu trouver deux autres CD de lui du même niveau sonore.

Schmidt: Symphonie n° 4 en ut majeur (Frankfurt Radio Symphony, P. Järvi).

Bartók: quatuor à cordes n° 1 op. 7, Sz. 40 (Quatuor Jerusalem).

Iskender a écrit:

Анастасия231 a écrit:

Alfredo Casella : A Notte Alta pour piano et orchestre Op. 30bis (1917/21)
Elegia Eroica pour orchestre Op. 29 (1916)
Sun Hee You, piano
Orchestre Symphonique de Rome
Francesco La Vecchia
Studio Naxos 2010 & 2011

Deux œuvres majeures amha !

Oh que oui   . Ça et les pagine di guerra.

La Notte di Maggio est aussi pas mal dans le style impressionnisme expressionniste décadent.

Bon, à cause grâce à la bande annonce du Doutage signalée plus haut (je ne me souvenais même plus de celui-là, tiens, moi qui croyais que le Palmashow avait été pionnier avec leur épisode sur le film d'auteur français) et qui m'a remis la sonate de Franck dans la tête...

Franck, Sonate pour violon et piano - Faust / Melnikov

(beaucoup de choses sont reprises des Inconnus ou des Nuls, parfois c'est même de la citation assumée:
par exemple https://www.youtube.com/watch?v=6HVw7yTAKBM&t=88s est clairement un hommage à
https://www.youtube.com/watch?v=kpVnkCa9Ov4&t=77s )

Stravinski : Orphée (Craft)



Pas la période la plus inspirée du prince Igor, mais il y a de fort belles séquences.

Madetoja: Symphonie n°3/Storgards



Moins inspirée que les deux premières, et une fin particulièrement bizarre. (pour ne pas dire ratée)

Martin: Symphonie/Bamert

Ginastera: Concierto argentino/Wang, Mena

Revenons aux fondamentaux.
Terry Riley : In C.
Blindman Kwartet, Ictus, 2012.
Tant il est vrai comme vous me l'aviez expliqué à l'époque qu'il n'y a pas à proprement parler d'indication, de direction, de partition, de musicien,... et de public.
 Mais c'est toujours nouveau ! Et toujours joué par des exécutants, souvent réjouis.
Les Harmonies Municipales devraient toutes apprendre cela.
Je pousse mes vieux Mahler et ma collection de Sacres pour faire de la place à ces myriades d'En Do.

Landowski: Messe de l'aurore/Cao

+

Écoutés ce samedi:

• Peter Ruzicka: Introspezione, documentation pour quatuor à cordes (Quatuor à cordes n°1) (1969-70) „… fragment…“, cinq épigrammes pour quatuor à cordes (Quatuor à cordes n°2) (1970):

Quatuor Arditti: Irvine Arditti (violon I), Graeme Jennings (violon II), Garth Knox (alto), Rohan de Saram (violoncelle)
Cologne & Wuppertal, XII.1996 & X.1997
ECM New Series

J’aime assez mais je ne suis pas forcément convaincu par l’économie de l’ensemble. Voir ici.

• Stylus Luxurians. Œuvres de Weckmann, Scheidemann, Tunder, Froberger et Ritter:

Yoann Moulin (clavecin Philippe Humeau, d’après Ruckers)
Église Notre-Dame de Centeilles, V.2020
Ricercar

• Le Fier Virtuose. Le Clavecin sous Louis XIII:

Arnaud De Pasquale (clavecin Philippe Humeau dans l’esprit italien)
Château de Montgeroult, IX.2019
Château de Versailles Spectacles

Deux très belles recommandations de Rubato: des anthologies très bien construites et supérieurement réalisées dans des répertoires «archaïques.» Voir ici.

Bartók: Quatuor à cordes n° 2 op. 17 Sz. 67 (Quatuor Jerusalem).

Zsolt Durkó (1934–1997) :
Una rapsodia ungherese pour deux clarinettes et orchestre (1965)
Psicogramma pour piano (1964)
Quatuor à cordes nº 1 (1966)
Symbols pour cor et piano (1968–69)
Fioriture pour orchestre avec chœur (1966)

Béla Kovács et Tibor Dietrich, clarinettes
Péter Solymos, piano
Quatuor Bartók
Ferenc Tarjáni, cor / Ádám Fellegi, piano
Chœur de chambre et Orchestre de la Radiotélévision hongroise (György Lehel)

Eugeniusz Rudnik (1932–2016) / Dariusz Mazurowski (*1966) : Dixi pour trois accordéons et électronique live (1967/2019)
Dariusz Mazurowski : More Equal Than Others pour accordéon et bande (2019)
Wiesław Cienciała (*1961) : Cadenza pour accordéon et électronique live (1988/2019)
Krzysztof Olczak (*1956) : Chanson pour accordéon, électronique live et bande (2008)
Krzysztof Olczak : Jestem halucynacją pour accordéon, électronic live et bande (2019) *
Christos Hatzis (*1953) : Equivoque pour accordéon et bande (1985)
Andrzej Krzanowski (1951–1990) / Krzysztof Olczak : Relief VIII pour trois accordéons et bande (1989/2019?)
Larry Lake (1943–2013) : Sticherarion pour accordéon, électronique live et bande (1984)

* Zofia Kotlicka, soprano / Magdalena Pfeifer, poème
Elżbieta Rosińska, accordéon
Krzysztof Olczak, accordéon et électronique
Szymon Piguła, accordéon
Paweł Zagańczyk, accordéon
Dariusz Mazurowski, électronique

Prokofiev : Symphonie n°3 (Chailly)


Une symphonie tourmentée et motorique, mais c'est en définitive l'Arcana de Varèse qui a retenu mon attention.

Schoenberg: Quatuors à cordes (Asaselo-Quartett)



Je suis pas un grand fan de Schoenberg mais j'aime beaucoup ses quatuors

Bartók: Quatuor à cordes n° 3 Sz. 85 (Quatuor Jerusalem).

Zsolt Durkó (1934–1997) :
Fire Music pour flute, clarinette, violon, alto, violoncelle et piano (1970–71)
Attila Lajos, Béla Kovács, Karoly Duska, Gábor Fias, János Devich, László Almásy
György Lehel, direction

Iconography No. 1 pour deux basses de viole et clavecin (1970)
Ede Banda, László Mező (violoncelles), János Sebastyén

Iconography No. 2 pour cor et ensemble de chambre (1971)
Ferenc Tarjáni, cor
Ensemble de chambre de Budapest (András Mihály)

Altamira pour chœur de chambre et orchestre (1968)
Chœur de chambre et Orchestre symphonique de la Radiotélévision hongroise (György Lehel)

Leilei Tian (*1971) : Le discours d’une larme perdue pour guitare et erhu (2012)
Wei-Chieh Lin (*1982) : Ruins pour erhu et deux interprètes (2017)
Lin-Ni Liao (*1977) : Le train de la vie III pour erhu et électronique (2012)
Heng Chen (*1990) : Aide-mémoire C pour erhu, accordéon et piano (2017)
Juan Camilo Hernández Sánchez (*1982) : Aquelarres pour erhu et accordéon (2012)
Christian Éloy (*1945) : Fold-in, musique acousmatique (2017)

Ying-Chieh Wang, erhu
Christelle Séry, guitare
Fanny Vicens, accordéon
Jennifer Hymer, piano

Bartók: Quatuor à cordes n° 4 Sz. 91 (Quatuor Jerusalem).

Tibor Szemző (*1955) : Vízicsoda pour flute et magnétophones (1982)
Steve Reich (*1936) : Music for Pieces of Wood (1973)
László Melis (1953–2018) : Etűd három tükörre pour ensemble (1982)
Frederic Rzewski (1938–2021) : Coming Together pour récitant et ensemble variable (1971)
Frederic Rzewski : Attica pour récitant et ensemble variable (1972)

Group 180



premier album de ce groupe fondateur du minimalisme hongrois.

Alfredo Casella : Sinfonia (Symphonie N° 3) Op. 63 (1939-40)
Orchestre Symphonique de Rome
Francesco La Vecchia
Studio Naxos 2011

Probablement la meilleure œuvre de sa période tardive. J'y entends même quelques éléments mahlériens en filigrane.

Bartók: Quatuor à cordes n° 5 Sz. 102 (Quatuor Jerusalem).

arnaud bellemontagne a écrit:

du prince Igor

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Martinu : Symphonie n°6 (Thomson)

Un corpus remarquable.

Bartók: Quatuor à cordes n° 6 Sz. 114 (Quatuor Jerusalem).