Playlist (151)

Plus ou moins récemment :

Edgar Varèse : Amériques pour grand orchestre        1918-21 / New-York Philharmonic (Boulez)

Frédéric Chopin : Sonate n°3 pour piano        1844 / Luisada
J'aime beaucoup cette version, elle m'a fait redécouvrir l'oeuvre. 


et bien sûr :

Gérard Masson : Pas seulement des moments des moyens d'amour... pour deux pianos et orchestre        1980 / Heisser, Planès, Nouvel Orchestre de Paris (Soudant)
 + 

Emeryck en playlist classique.

Ravel: Sonate pour violon et piano en sol/Jarry, Pludermacher

+

Ravel: Trio avec piano/Jarry, Tournus, Pludermacher



3è mvt, à 3'56 Pludermacher plante un gros si grave en octave au lieu d'un fa, pas grave, ça ne dérange personne.

Ravel: 3 Poèmes de Mallarmé/Benoît

+

Je commence un petit cycle Jean-Pierre Guézec (un des plus remarquables élèves de Messiaen - auquel il succéda à la chaire d’analyse musicale du Conservatoire en 1969… avant de mourir deux ans plus tard à l’âge de 36 ans.)

Jean-Pierre Guézec: Concert pour violon et 14 instruments (1960)¹. Concert en trois parties (1961) pour 11 musiciens²:

Régis Pasquier (violon)¹, Jean-Claude Bernède / Ensemble «Parcours 27 XXI»
Évreux, IV.1991
Salabert «Actuels»

• Jean-Pierre Guézec: Trois poèmes de Henri Michaux (1961) pour voix et piano¹. Suite pour Mondrian (1964), pour 73 musiciens²
Lise Arseguet (soprano), Martine Joste (piano)¹. Ernest Bour / Orchestre National de l’O.R.T.F.²
Paris, Radio France, 1966¹. En public, Paris, Théâtre des Champs-Élysées, 1965²

Ces deux derniers titres peuvent être écoutés sur France Musique ici, dans «Archives Jean-Pierre Guézec», un épisode du Concert de 20h d’Arnaud Merlin. (Merci à lulu pour le lien.)

Je découvre au passage l'existence du label discographique de Salabert ! Comme quoi il n'ont pas fait que dormir sur leur tas d'or (relatif).

Bach : Suite anglaise n°1 (Gould)

DavidLeMarrec a écrit:

Je découvre au passage l'existence du label discographique de Salabert !  Comme quoi il n'ont pas fait que dormir sur leur tas d'or (relatif).

Le label a cessé d'exister au début des années 90.

Ensuite, Montaigne (parfois Adda) puis Naïve ont réédité les méga-best-sellers de leur catalogue (intégrale des Quatuors de Scelsi par les Arditti, Oresteïa de Xenakis, Satyricon de Maderna, Gondwana de Murail...)

Évidemment, comme pour les disques d'orgue, les vraies pépites de ceux qui savent, ce sont les disques moins grand public devenus aujourd'hui à peu près introuvables (outre le Guézec, il y avait une chouette monographie Michèle Reverdy qui pourrait te plaire.)

je me suis amusé à les collectionner il y a quelques années et je confirme, il y a des pépites (dont effectivement Guézec et Reverdy).

Spoiler:

Content de revoir d'autres vielles trognes.
Comme quoi, il est bien ce forum. Il est seul mais/et il est bon.



John Adams : Shaker Loops, version pour orchestre à cordes, cette ALSOP de Marine, Jeunsézou, 2004.

C'est l'histoire d'un coup de vent, qui passe par tout ce qui le contrarie, l'accélère, le tarabuste, l'amuse et l'utilise.
En quatre mouvements.

Allez, pour se bercer de biais avant de se coucher en travers :
Adams, Naîve and Sentimental Music.
 Salonen, L A Philharmonic Orchstra, 2002.
Symphonie en 3 mouvements (car malgré les pudeurs du compositeur, il faut commencer à nomenclaturer les choses, sac à papier ! Ses symphonies, ses rapsodies, ses concertos ....)

C'est d'une beauté et d'une résurgente puissance  !
Et quel maniement de l'orchestre !
Je pense qu'aucun pupitre ne s'ennuie à jouer du Adams.
 Et le dernier mouvement, que je connaissais, isolé, sous le titre de Chain to the Rhythm, accolé à cet ensemble, est un délice.
On peut y entendre un orchestre qui né, virevolte, hésite, marche, insiste, puis boite, se disloque et s'éparpille au vent d'une œuvre précédemment citée.
Quelques tintinnabulations éberluantes en coda.
Un beau moment !

Chostakovitch, Symphonie n°2 - Barshai
J'aime plutôt bien la première moitié... mais après, mauvaise surprise, le fichier chez Qobuz doit être corrompu : y'a comme plein de gens qui crient ou chantent au-dessus de la musique, donc au final j'ai du mal à suivre.

Sibelius: Mélodies avec orchestre/Mattila, Oramo



Luonnotar/Mattila, Oramo

Mahler : Symphonie n°3 (Chailly)


Le final est peut être mon mouvement lent préféré de Mahler.  

Xavier a écrit:

Ravel: Sonate pour violon et piano en sol/Jarry, Pludermacher
Ravel: Trio avec piano/Jarry, Tournus, Pludermacher

Ah Gérard Jarry...    

arnaud bellemontagne a écrit:

Mahler : Symphonie n°3 (Chailly)

Le final est peut être mon mouvement lent préféré de Mahler.  

C'est sans hésitation pour moi Et la 3è est de toutes façons ma préférée.

Abnegor a écrit:

Chostakovitch, Symphonie n°2 - Barshai
J'aime plutôt bien la première moitié... mais après, mauvaise surprise, le fichier chez Qobuz doit être corrompu : y'a comme plein de gens qui crient ou chantent au-dessus de la musique, donc au final j'ai du mal à suivre.

Bein c'est plutôt rassurant qu'il y aie des gens qui chantent puisque la partition nécessite un chœur qui entonne un texte révolutionnaire à la gloire de Lénine et du socialisme communiste.

Iskender a écrit:

arnaud bellemontagne a écrit:

Mahler : Symphonie n°3 (Chailly)

Le final est peut être mon mouvement lent préféré de Mahler.  

C'est sans hésitation pour moi Et la 3è est de toutes façons ma préférée.

Pardonnez-moi les gars, pour moi c'est l'Adagio de la 9e...

arnaud bellemontagne a écrit:

Mahler : Symphonie n°3 (Chailly)


Le final est peut être mon mouvement lent préféré de Mahler.  

Avec les finals de la 2 et la 9, c'est sans doute l'un des plus beaux mouvements de Mahler tout simplement. Possiblement le plus parfait de tous.

Stravinsky: Feu d'artifice/Iwaki

Анастасия231 a écrit:

Abnegor a écrit:

Chostakovitch, Symphonie n°2 - Barshai
J'aime plutôt bien la première moitié... mais après, mauvaise surprise, le fichier chez Qobuz doit être corrompu : y'a comme plein de gens qui crient ou chantent au-dessus de la musique, donc au final j'ai du mal à suivre.

Bein c'est plutôt rassurant qu'il y aie des gens qui chantent puisque la partition nécessite un chœur qui entonne un texte révolutionnaire à la gloire de Lénine et du socialisme communiste.

C'était une boutade Mais c'est vrai que la première partie m'a bien plu, surtout considérant que ce n'est pas une œuvre qui a l'air de déchaîner les passions... et arrivé au chœur, ça m'a sorti un peu. Je vais bientôt enchaîner avec la 3, je crois que c'est pareil ?

C'est pareil pour le chant, oui, mais c'est vraiment très différent. (et moins passionnant je trouve)

Abnegor a écrit:

Mais c'est vrai que la première partie m'a bien plu, surtout considérant que ce n'est pas une œuvre qui a l'air de déchaîner les passions...

Ah, si, moi, c'est une des rares symphonies de Chosta que j'aime bien (j'en avais dit un mot ici - mais il faut vraiment l'écouter par Rojdestvenski) - juste après la 14, peut-être à égalité avec la 13.

Abnegor a écrit:

Je vais bientôt enchaîner avec la 3, je crois que c'est pareil ?

C'est pareil, mais en raté. (La conception formelle de la symphonie est très proche, mais la réalisation est tout à fait réalisme-socialiste-pompier, alors que le langage de la 2 était complètement expérimental.)

Benedictus a écrit:

Ah, si, moi, c'est une des rares symphonies de Chosta que j'aime bien (j'en avais dit un mot ici - mais il faut vraiment l'écouter par Rojdestvenski) - juste après la 14, peut-être à égalité avec la 13.

pareil pour moi... sauf que je suis jamais parvenu à venir à bout de la treizième... (mais la 2 et la 14 + les Michelangelo, ce sont des chefs-d’œuvre.)
et effectivement, Gennadiy dans la deuxième...

Suite du cycle Guézec:

• Jean-Pierre Guézec: Pièce pour orgue (1964)
Xavier Darasse (orgue)
En public, La Rochelle, IV.1972

• Jean-Pierre Guézec: Architectures colorées (1964) pour 15 musiciens. Ensemble multicolore (1965) pour 18 musiciens:

Jean-Claude Bernède / Ensemble «Parcours 27 XXI»
Évreux, IV.1991
Salabert «Actuels»

• Jean-Pierre Guézec: Formes (1966) pour 92 musiciens
Charles Bruck / Orchestre Philharmonique de l’O.R.T.F.
En public, Paris, IV.1967

Ce dernier toujours écoutable ici sur France Culture.

lulu a écrit:

sauf que je suis jamais parvenu à venir à bout de la treizième...

Je la réécoute moins, et c'est vrai qu'elle est assez éprouvante (mais moi, ce sont les symphonies purement orchestrales que je trouve vraiment pénibles - sauf la 11, je ne sais pas trop pourquoi.)

lulu a écrit:

(mais la 2 et la 14 + les Michelangelo, ce sont des chefs-d’œuvre.)

Les Michelangelo, je crois que je les préfère en version voix-piano, en fait.

lulu a écrit:

et effectivement, Gennadiy dans la deuxième...

Je trouve qu'il y a vraiment un monde entre lui et les autres (ceux que j'ai entendus, en tout cas): avec Kondrachine ou Haitink, ça sonne juste comme une 3ᵉ en un peu plus grinçant, alors qu'avec Rojdestvenski, j'ai vraiment eu l'impression de découvrir autre chose.

Benedictus a écrit:

cycle Guézec

lulu a écrit:

Oui, il faudrait vraiment lui consacrer un fil, je trouve.

Benedictus a écrit:

Les Michelangelo, je crois que je les préfère en version voix-piano, en fait.

bizarrement, alors que d’ordinaire je déteste les orchestrations, la version orchestrale me touche énormément.

Benedictus a écrit:

Oui, il faudrait vraiment lui consacrer un fil, je trouve.

oui, mais une fois qu’on a dit que c’est une conjonction entre le colorisme de Messiaen, la vision de Xenakis, le sérialisme et une conception très formaliste, que c’est le plus grand compositeur français de la génération « après Boulez », on dit quoi ?

W. A. Mozart
* Sérénade K.320 'Cor de Postillon'
Concentus Musicus de Vienne
Nikolaus Harnoncourt (Sony)

Merci pour vos éclaircissements et avis sur les Chosta

Je me fais le cycle complet par Barshai, car en fait je n'avais jamais fait tout un cycle (et certaines, je ne les ai jamais écoutées : j'avais déjà dû me faire la 2 ou la 3 il y a quelques années, je crois n'avoir jamais écouté les 13 et 15, et la 4è je ne l'ai entendue qu'une seule fois, mais carrément en salle au TCE, ça remonte à quelques années).
Je vais essayer de me refaire la 2è par Rojdestvenski un de ces quatre du coup.

Alberga: The Soul's expression/Pearse, Swensen

+

lulu a écrit:

Benedictus a écrit:

Les Michelangelo, je crois que je les préfère en version voix-piano, en fait.

bizarrement, alors que d’ordinaire je déteste les orchestrations, la version orchestrale me touche énormément.

C'est vraiment quelque chose la version orchestrale en effet.

Priorité pour Maxime Chostakovitch et Guennadi Rojdestvenski en discographie !

W. A. Mozart
* Symphonie K.385 'Haffner'
Concentus Musicus de Vienne
Nikolaus Harnoncourt (Sony)

• Antoine Fauchard: Première Symphonie pour orgue (1925). Deuxième Symphonie pour orgue (1929):

Friedhelm Flamme (orgue Schuke de la Heilig-Kreuz-Kirche, Detmold)
Detmold, IV-V, X-XI.2014 & VII.2021
CPO

Ça vient de sortir chez CPO.

Le chanoine Auguste Fauchard (1881-1957) était l’élève de Louis Vierne (auquel la Première Symphonie est d’ailleurs dédiée) et de Vincent d’Indy: si le langage s’inscrit vraiment dans la lignée du premier (mais dans des climats expressifs et des couleurs globalement plus lumineux - plutôt le Vierne des Pièces de fantaisie, avec des touches un peu widoriennes), la forme semble plus marquée par d’Indy (structure en quatre mouvements, procédés cycliques…) Un peu comme un Vierne en moins tourmenté et plus élancé.

Apparemment, les deux symphonies suivantes («Symphonie mariale» et «Symphonie eucharistique») sont plus ambitieuses - mais j’aime déjà beaucoup ce que j’entends là.

Vivement recommandé à Cololi, à Mélo (si tu nous lis...), voire à David (ça ne devrait pas te déprimer comme du Vierne.)

Tu sais me parler

Heureusement qu'il y a des gens qui défrichent ici ... j'ai pas le temps !
Je profite éhontément ... depuis déjà pas mal d'années.

J'ai failli écrire «vivement recommandé à tous les amateurs de Vierne et d'orgue symphonique français en général», mais bon, comme ça faisait trois pelés et un tondu...

Benedictus a écrit:

J'ai failli écrire «vivement recommandé à tous les amateurs de Vierne et d'orgue symphonique français en général», mais bon, comme ça faisait trois pelés et un tondu...

Un jour il y aura p être plus d'amateurs d'orgue sur ce forum !

Mais il est évident que je ne vivrai pas assez longtemps pour connaître ce moment

Si, il y a bien Mefisto, aussi, mais, le pauvre, je n'allais quand même pas lui recommander des symphonies «eucharistique» ou «mariale» composées par un chanoine...

(Il y aurait bien Anaëlle, mais je pense qu'elle n'a pas encore terminé son intégrale de L'Orgue mystique.)

qui se rappelle quand j’écoutais du Vierne ?

Mais plutôt son piano que son orgue, non? (Fauchard, tu vas trouver ça trop gentil et hédoniste à la française, je pense.)


Toujours de l’orgue, mais dans un autre genre:

• Franz Schmidt: Variations et Fugue sur un thème original (Fanfares royales de “Fredigundis”). Chaconne en ut dièse mineur:

Andreas Juffinger (orgue de la Jesus-Christus-Kirche de Berlin)
Berlin, X.1988
Capriccio

... Et Schmidt est aussi génial compositeur d’orgue que de symphonies ou de quatuors!

Et puis c’est vraiment lui: les formes-variations de très grande ampleur (respectivement 20 et 27 minutes), l’harmonie sinueuse qui module dans tous les sens et le contrepoint très dense qui multiplie les strates, la manière très «orchestrale» de composer (par rapport à Reger, par exemple, c’est frappant: il y a vraiment une recherche spécifique au niveau des timbres, des textures et des alliages - au demeurant, la Chaconne a ultérieurement fait l’objet d’une version orchestrale transposée)…

Benedictus a écrit:

Mais plutôt son piano que son orgue, non?

ah non, également de l’orgue et de la musique de chambre !

Benedictus a écrit:

Si, il y a bien Mefisto, aussi, mais, le pauvre, je n'allais quand même pas lui recommander des symphonies «eucharistique» ou «mariale» composées par un chanoine...

On m'invoque ?  

Comme je suis curieux, j'avais repéré cette parution qui est au programme ce soir, après un régime sans orgue cette semaine* afin d'attiser mon appétit (Merkel est également prévu). Tes retours enthousiastes me rendent encore plus impatient que mon disque actuel se termine !**


*Même si, ce dimanche, j'ai écouté un peu d'orgue, mais rien qui ne déchaîne les foules. De l'américain (Sowerby et surtout Stover, Nocturnes assez remarquables) et du français aussi. Isoir qui joue du Boëly, du Lefébure-Wély et surtout le Prélude de Pierné (excellente pièce au demeurant), voilà qui était fort divertissant, de la musique de foire avec un son d'accordéon surdimensionné.

** Des concertos pour saxophone "inspirés" par des compositeurs célèbres (par Canfield). Après un peu de Boissier (concertos dans la veine d'Addinsell et Rachmaninoff), je suis une cure de easy-listening sous licence Toccata avant de tenter des Nordiques plus épineux comme Fagerlund ou sucrés comme Raitio, des curiosités anglophones, et des suggestions picorées en ces lieux (musique vocale d'Eben et Nørgård, concertos de Hubay) CAR JE VOUS LIS TOUJOURS MALGRÉ MON SILENCE !

Dimitri Chostakovitch
* Symphonie no.6
Dresdner Philharmonie
Michael Sanderling (Sony)

+

lulu a écrit:

Benedictus a écrit:

Mais plutôt son piano que son orgue, non?

ah non, également de l’orgue et de la musique de chambre !

Mais tu n'aimes plus trop, si?
(Personnellement, ses Symphonies pour orgue et son Quintette avec piano sont des œuvres qui me touchent énormément.)

Mefistofele a écrit:

Benedictus a écrit:

Si, il y a bien Mefisto, aussi, mais, le pauvre, je n'allais quand même pas lui recommander des symphonies «eucharistique» ou «mariale» composées par un chanoine...

On m'invoque ?  
Comme je suis curieux, j'avais repéré cette parution qui est au programme ce soir

Curieux de savoir ce que tu en auras pensé!

je garde une certaine affection pour le quintette (que je trouve quand même un peu long et inégal)... les symphonies par contre ça fait des années que j’en ai pas écoutées...

L. v. Beethoven
* Symphonie no.6 'Pastotale'
Dresdner Philharmonie
Michael Sanderling (Sony)

Benedictus a écrit:

Toujours de l’orgue, mais dans un autre genre:

• Franz Schmidt:

Andreas Juffinger (orgue de la Jesus-Christus-Kirche de Berlin)
Berlin, X.1988
Capriccio

... Et Schmidt est aussi génial compositeur d’orgue que de symphonies ou de quatuors!

Et puis c’est vraiment lui: les formes-variations de très grande ampleur (respectivement 20 et 27 minutes), l’harmonie sinueuse qui module dans tous les sens et le contrepoint très dense qui multiplie les strates, la manière très «orchestrale» de composer (par rapport à Reger, par exemple, c’est frappant: il y a vraiment une recherche spécifique au niveau des timbres, des textures et des alliages - au demeurant, la Chaconne a ultérieurement fait l’objet d’une version orchestrale transposée)…

Je raffole absolument de la chaconne pour orchestre, quelque chose à tenter possiblement ? (Par Juffinger, ça a l'air difficile à trouver mais pas impossible non plus, sinon par Schmedling chez Ars Produktion.)

Benedictus a écrit:

Mefistofele a écrit:

Comme je suis curieux, j'avais repéré cette parution qui est au programme ce soir

Curieux de savoir ce que tu en auras pensé!

Les Chorals sur Vexilla Regis offrent à boire et à manger (le dernier est parfaitement électrisant !), le Choral seul et In Memoriam sont un peu plus étales, mais j'aime étonnament l'atmosphère apaisée dans cette dernière pièce (il y a vraiment une saveur funèbre que je goûte fort). Je me garde les symphonies pour la fin.

Mozart : Quatuor n°16 (Mosaiques)

G. B. Pergolèse
* Stabat Mater
Mirella Freni / Teresa Berganza
Solisti dell'Orchestra Scarlatti Napoli
Ettore Gracis (Archiv)

Mefistofele a écrit:

** [...] Après un peu de Boissier (concertos dans la veine d'Addinsell et Rachmaninoff), je suis une cure de easy-listening sous licence Toccata [...]

Ah ouais, Corentin Boissier c'est tellement easy-listening que je n'arrive pas à écouter plus de deux minutes...