Playlist (162)

Schoenberg : concerto pour piano (Pollini, Abbado)

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Schoenberg : concerto pour violon (Hilary Hahn, Salonen)

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Sibelius : La Jeune Fille dans la tour (Gothenburg Symphony Orchestra, Neeme Järvi)



C’est chouette de pouvoir écouter des opéras en moins d’une heure !

Cristóbal Halffter : concerto pour violon et orchestre n°1 (tiens, pourquoi préciser "Y Orquesta" ? Existe-t-il des concertos pour violon qui ne soient pas "et orchestre" ?). Christiane Edinger, Radio-Sinfonie-Orchester Frankfurt/Cristóbal Halffter

Le début m'a semblé être carrément une paraphrase de la partie centrale "d'Atmosphères" de Ligeti. On entend également une sorte d'écho du concerto pour violon du même Ligeti aux alentours de la 11ème minute (mais peut-être suis-je victime d'un mirage ?).
Edit - À la réécoute : et le concerto de chambre avec ses tic-tac déréglés, vers 20 minutes ?

Un bien beau concerto.

Un mélomane du dimanche a écrit:

Cristóbal Halffter : concerto pour violon et orchestre n°1...
Un bien beau concerto.

Bruckner - Symphonie n.2 (Venzago/Norther Sinfonia)

Massenet - Werther (version baryton)



Quasi découverte : j'ai vu cet opéra sur scène adolescent avec l'école, j'avais détesté. Je ne sais pas si c'était dû à la mise en scène ultra moderne que j'avais trouvé moche et soporifique ou plus probablement au fait qu'à l'époque j'étais plutôt dans une période grunge

Dans tous les cas, cette nouveauté me faisait de l’œil, je me lance donc sans aucun avis

J'ai conscience que ce n'est pas la version habituelle mais justement, n'ayant pas (encore) la version ténor dans l'oreille je ne serai pas gêné. Et puis j'aime bien les barytons et la distribution est magnifique, sur le papier ça colle avec mes gôuts

Wagner : La Walkyrie (Solti, 1965)

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Falla/El Amor Brujo - Reiner, orchestre de Chicago, Leontyne Price

Assez enflammé pour me plaire. Je préfère la Pantomime ici, langoureuse et romantique, que dans la version Argenta, pourtant plus brûlante.

Thomasl47 a écrit:

Massenet - Werther (version baryton)

Quasi découverte : j'ai vu cet opéra sur scène adolescent avec l'école, j'avais détesté.

J’avais vu Cendrillon à l’opéra Bastille il y a un ou deux ans : heureusement que la mise en scène était vraiment bien parce que c’était musicalement l’une des choses le plus bateau que j’avais jamais entendu …

Martinů : Double concerto pour cordes, piano et timbales (Sir Charles Mackerras, Josef Ruzicka, Jan Bouse)

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Cette musique est incroyable (ÉDIT: c’est un peu répétitif sur la durée tout de même, contrairement à l’acte préalable).

Scriabine/Nemtin : Acte Préalable (Ashkenazy, Lubimov, Trotter)

On ne peux même plus parler de chef-d’œuvre à ce point . Aucun mot ne peut décrire le monstre et à quel point c’est génial !

Tu ne sens pas des longueurs et une certaine monotonie au bout d'un moment ?

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Schoenberg : Suite op.29 (Boulez)

arnaud bellemontagne a écrit:

Tu ne sens pas des longueurs et une certaine monotonie au bout d'un moment ?

Je n’ai écouté que l’acte préalable (40 minutes), mais vraiment pas du tout, même si je peux comprendre. J’avais les larmes aux yeux pendant les 10 dernières minutes. Jamais autant d’émotion d’un coup .

ÉDIT:

Spoiler:

arnaud bellemontagne a écrit:

Tu ne sens pas des longueurs et une certaine monotonie au bout d'un moment ?

+1

Golisande a écrit:

arnaud bellemontagne a écrit:

Tu ne sens pas des longueurs et une certaine monotonie au bout d'un moment ?

+1

Songeur a écrit:

arnaud bellemontagne a écrit:

Tu ne sens pas des longueurs et une certaine monotonie au bout d'un moment ?

Je n’ai écouté que l’acte préalable (40 minutes)

L'Acte préalable, c'est l'ensemble des trois parties. (et encore, si ça se trouve, Scriabine voulait faire plus long!)

Golisande a écrit:

arnaud bellemontagne a écrit:

Tu ne sens pas des longueurs et une certaine monotonie au bout d'un moment ?

+1

En live, aucune longueur, on décolle!

https://classik.forumactif.com/t1975p50-salle-pleyel-2007-2008

Ah mais en live je le crois sans problème ! (De toute façon c'était encore plus fait pour ça que tout autre musique symphonique...)

Xavier a écrit:

Songeur a écrit:

arnaud bellemontagne a écrit:

Tu ne sens pas des longueurs et une certaine monotonie au bout d'un moment ?

Je n’ai écouté que l’acte préalable (40 minutes)

L'Acte préalable, c'est l'ensemble des trois parties. (et encore, si ça se trouve, Scriabine voulait faire plus long!)

Autant pour moi alors (mais Scriabine n’a esquissé que la première partie, non ?).

Oui, apparemment, sept jours . J’aurais bien aimé voir ce que ça aurait donné au disque .

Golisande a écrit:

Ah mais en live je le crois sans problème ! (De toute façon c'était encore plus fait pour ça que tout autre musique symphonique...)

Ce n’est même pas fait pour du concert … mais de toute façon, l’aboutissement intégral du projet ne pourrait même pas se faire aujourd’hui, pour d’autres raisons qu’à l’époque .

Golisande a écrit:

Ah mais en live je le crois sans problème ! (De toute façon c'était encore plus fait pour ça que tout autre musique symphonique...)

Ca n'est pas de la musique symphonique, il y a de la musique, certes, mais aussi du chant, de la danse, des parfums, et des attouchements entre les spectateurs!

Xavier a écrit:

Golisande a écrit:

Ah mais en live je le crois sans problème ! (De toute façon c'était encore plus fait pour ça que tout autre musique symphonique...)

Ca n'est pas de la musique symphonique, il y a de la musique, certes, mais aussi du chant, de la danse, des parfums, et des attouchements entre les spectateurs!

Je me demande comment il est possible de vénérer un compositeur aussi givré (c’est le mot, il voulait faire tout ça dans les contreforts de l’Himalaya) …

Lachrimae ou Sept Larmes
John Dowland (1604). Les Lachrimae de John Dowland ne comprennent pas seulement ses sombres Sept Larmes ; Ils comprennent également des pavanes vives et quelques allemandes. Cet enregistrement présente la sonorité sombre de trois basses de viole, plus une viole soprano, une viole ténor et un luth. Un record surprenant et extraordinaire.( Texte pochette)

Pour l'écouter / https://youtu.be/uXv9PXWs-NU?si=OG2Ya3J4asOinttF

Tristan Keuris - Concerto pour quatuor de saxophones et orchestre

Tristan Keuris (1946-1996)
Concerto : voor saxofoonkwartet en orkest (1986)
Quatuor de saxophones Raschèr
Orchestre : Orchestre philharmonique de la radio néerlandaise
Chef d’orchestre : Otto Tausk

Pour l'écouter/ https://youtu.be/RJaSC1hxRX0?si=tGBk7cMnm09YZQvl

Tristan Keuris - To Brooklyn Bridge pour 24 voix et ensemble

Tristan Keuris (1946-1996)
To Brooklyn bridge pour 24 voix et ensemble instrumental (1988)

Chœur de chambre des Pays-Bas
Quatuor de saxophones Aurelia
Orchestre : Philharmonique de La Haye
Chef d’orchestre : Anne Manson

Quelle magnifique oeuvre.

Pour l'écouter/ https://youtu.be/ArHUbKeBPZg?si=cuX9qwmwQ4HeyAwS

Prokofiev : Concerto pour violon n°1 (Bell/Dutoit)

Ecouté 3 fois en 2 jours. Ce sont des pièces écrites pour la danse, peu développées mais très entêtantes. Ce qui m'a surtout surpris, c'est à quel point Cage semble les avoir pensées pour son instrument, plutôt que des pièces pour pour piano que l'on joue sur un piano bidouillé.

Songeur a écrit:

Thomasl47 a écrit:

Massenet - Werther (version baryton)

Quasi découverte : j'ai vu cet opéra sur scène adolescent avec l'école, j'avais détesté.

J’avais vu Cendrillon à l’opéra Bastille il y a un ou deux ans : heureusement que la mise en scène était vraiment bien parce que c’était musicalement l’une des choses le plus bateau que j’avais jamais entendu …

Je pense qu'il ne faut pas chercher chez Massenet une inventivité musicale trop poussée. On est vraiment dans une forme de théâtre chantée avec, du peu que j'en ai entendu, un vrai sens du drame. Franchement, dans ses bon moments c'est simple mais qu'est-ce que ça fonctionne bien

(ceci dit je ne connais pas son opéra Cendrillon et d'ailleurs je connais très peu Massenet en fait, il était très prolifique donc il faut certainement faire le tri)

En ce qui concerne le Werther baryton d'hier, j'ai adoré

J'ai tout de suite adhéré à ce livret romantique à souhait. Les personnages sont vraiment superbes, tous dans une demi-teinte passionnante.
Charlotte est un magnifique rôle d'opéra, elle incarne aussi bien la fraîcheur de la jeunesse que le poids des responsabilités et du devoir. Je l'ai trouvé captivante et remarquablement servie par la voix de velours de Véronique Gens, à partir de l'acte III c'est splendide jusqu'au bout. Évidemment on lui donnerait un peu plus de 20 ans mais je ne suis pas certain qu'une Charlotte plus juvénile m'aurait mieux convenu.
Le Werther de Christoyannis est assez sombre forcément, et encore une fois on lui donnerait facilement plus de 23 ans, mais le rôle est de toute façon assez tragique et les brefs instants lumineux sont presque immédiatement altérés par cet amour terrible qui confine à la folie.
Les seconds rôles sont biens tenus (la fraîcheur et l'espièglerie d'Hélène Carpentier fonctionnent à merveille, à la place de Werther je crois que j'aurais succombé ) et les qualités de diction de chacun font de cette version un modèle du genre dans ce domaine, ce qui est très important pour moi.

Au final j'ai presque eu le sentiment d'un opéra "mélodies" où la puissance du mot et la force des intentions emportent tout (l'air de Werther concernant sa traduction à l'acte III, le premier et le deuxième air de Charlotte dans ce même acte   ) . La version ténor, que je ne manquerai pas d'écouter prochainement, doit certainement y gagner en héroïsme mais on doit y perdre en poids des mots et en couleurs.

D'ailleurs, j'ai tellement aimé que je me remets les deux derniers actes ce soir (parce que c'est vraiment à partir du III que ça décolle totalement, avant on prépare le terrain dans la pudeur).

Un petit mot sur l'orchestre qui m'a paru tout à fait correct même si je n'ai pas particulièrement relevé de beautés de ce côté là. La prise de son est très bonne, très précise, avec une belle localisation des voix et des instruments, c'est très confortable et agréable.

Ravel : Daphnis et Chloé (ballet complet) - O.N.Lyon, Slatkin

Schoenberg : Pierrot Lunaire (Lucy Shelton, Da Capo Chamber Players)



La version la plus effroyable et effrayante de Pierrot à ma connaissance. J’évite de l’écouter trop souvent parce qu’après suit généralement une lourde déprime (ça commence déjà).

Prestissimo a écrit:

Réécoute après 3 années. C'est excellent. La Passacaille et la dernière Chaconne se démarquent par leurs beautés expressives et mélodiques.

Je connaissais pas ce disque (dans les rares monographies qui lui sont consacrées). Ca a l'air de se recouper en partie avec celle enregistrée par Elisabeth Joyé – Uranie, mais pas que. A tenter

DerivedRelations a écrit:

Ecouté 3 fois en 2 jours. Ce sont des pièces écrites pour la danse, peu développées mais très entêtantes. Ce qui m'a surtout surpris, c'est à quel point Cage semble les avoir pensées pour son instrument, plutôt que des pièces pour pour piano que l'on joue sur un piano bidouillé.

La vis qui lui sert de clope, fait pourtant un peu bidouille sur les bords… (j'aime bien les pièces pour piano préparé, quant à moi)
Ou j'ai pas pigé ce que tu voulais dire… Que l'effet de la préparation du piano serait secondaire ? ou au contraire pensées pour son instrument "préparé" ?

Tristan Keuris (1946-1996)

Trio avec piano : viool, violoncelle, piano (1984)
Storioni Trio
écrit pour le Trio Mendelssohn

Pour l'écouter / https://youtu.be/6m6XM2BoQC0?si=hXb5JcFrZ3SxtG_K

Tristan Keuris - Concerto pour violon n° 2

Tristan Keuris (1946-1996)
Concerto pour violon n° 2 (1995)
1. Allegro moderato - 00:00 2. Molto espressivo - 13:21 3. Molto vivo - 25:23 Yayoi Toda, violon
Orchestre : Orchestre de chambre de la radio néerlandaise
Chef d’orchestre : Peter Eötvös

Vraiment superbe.

Pour l'écouter / https://youtu.be/GYAXbKrSMrA?si=a96Y3QjOBoHf_N52

Schönberg : suite op. 29 pour septuor (Ensemble intercontemporain, Boulez)

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Ça faisait longtemps que je ne l’avais pas écouté, et c’est un vrai bonheur .

xoph a écrit:

Ou j'ai pas pigé ce que tu voulais dire… Que l'effet de la préparation du piano serait secondaire ? ou au contraire pensées pour son instrument "préparé" ?

Je dirais la 2, en tout cas c'est mon sentiment, si les pièces étaient jouées sur un piano normal ce serait assez plat, mais ça prends tout son sens avec les jeux de timbres du piano préparé.

bambou a écrit:

xoph a écrit:

Ou j'ai pas pigé ce que tu voulais dire… Que l'effet de la préparation du piano serait secondaire ? ou au contraire pensées pour son instrument "préparé" ?

Je dirais la 2, en tout cas c'est mon sentiment, si les pièces étaient jouées sur un piano normal ce serait assez plat, mais ça prends tout son sens avec les jeux de timbres du piano préparé.

C'est aussi mon avis. Certain·e·s pourraient considérer que la préparation est une bidouille, qui masque un vrai travail sur les vraies sonorités d'un vrai piano. Comme le terme bidouille peut-être presque affectueux pour qui aime Cage, ou un peu dénigrant pour qui ne l'aime pas, on sait pas très bien quel est l'avis de DerivedRelations, mais je dérive, je dérive…

Dance for two
Hildegard von Bingen (1098–1179)
Konstantia Gourzi (*1962)
Johann Sebastian Bach (1685–1750)
Morton Feldman (1923–1987)
Anonymous
Nicola Matteis (autour 1650–après 1713)
John Cage (1912–1992)
James Oswald (1710–1769)
Béla Bartók (1881–1945)

Dorothee Oberlinger, flûtes à bec
Nils Mönkemeyer, alto


https://classik.forumactif.com/t821p200-flute-a-bec#1254763

Prokofiev : Concerto pour violon n°2 (Bell/Dutoit)

Je préfère nettement le n°1

arnaud bellemontagne a écrit:

Prokofiev : Concerto pour violon n°2 (Bell/Dutoit)

Je préfère nettement le n°1

Korngold : Das Wunder Der Heliane (Mauceri)

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Bartok : 3 études op. 18 (Kocsis)

Songeur a écrit:

Korngold : Das Wunder Der Heliane (Mauceri)

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Chouette ça, même si à mes yeux Die Tote Stadt reste inapprochable.

arnaud bellemontagne a écrit:

Songeur a écrit:

Korngold : Das Wunder Der Heliane (Mauceri)

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Chouette ça, même si à mes yeux Die Tote Stadt reste inapprochable.

Complètement d’accord, et l'ouverture de Violenta .

George Lloyd (1913-1998)- « Dixième symphonie » (Voyages de novembre)
Cuivres de l’Orchestre philharmonique de la BBC (G. Lloyd)

Une petite symphonie essentiellement pour les cuivres, après 11 ans de silence pour la symphonie.Après suivront la belle 11ème et enfin la 12ème. Très agréable à écouter,cette oeuvre plutôt légère ,dénote quand même un sacré savoir-faire ,pour ces instruments.Bonne introduction à un compositeur négligé et assez complexe.Sa dernière oeuvre composée ,juste avant sa mort en 1998,est un Requiem dédié à la princesse Diana.

Pour l'écouter / https://youtu.be/qmkpFx9ryBM?si=nopzLUpiP2kSp2KG

Vladimir Vlasov (1903-1986) « Symphonie »

Vladimir Vlasov, Simfonia pateticheskaia pour soprano et orchestre (1980)
Orchestre symphonique d’État de Lettonie. Vassily Sinaisky (chef d’orchestre)
Marina Ianisova (soprano)
En lisant les commentaires sur YT ,consacrés à cette symphonie, je trouve qu'on crie souvent un peu trop au chef-d'oeuvre.Cette oeuvre mérite sûrement de l'intèrêt, mais loin de là pour moi,l'idée de parler de chef-d'oeuvre.


Pour l'écouter / https://youtu.be/A6P6oKMSp4Q?si=gZDhdImirp6wwQU8

Issay Dobrowen : sonate op. 5b (Jørn Fossheim)



Je crois qu’il a fait un disque avec Ginette Neuveu. En tout cas, très belle sonate, et l’op. 5a est aussi à écouter, malgré un début un peu long.

Songeur a écrit:

Issay Dobrowen : sonate op. 5b (Jørn Fossheim)



Je crois qu’il a fait un disque avec Ginette Neuveu. En tout cas, très belle sonate, et l’op. 5a est aussi à écouter, malgré un début un peu long.

Sans me vanter, il y a un post que j'ai fait avec un grand plaisir, qui s'appelle Trésor de sonates, ou tu peux mettre les sonates que tu aimes, surtout pour ne pas les perdre de vue, comme sur la Playlist.C'est marrant que tu trouves le début long, alors que la sonate ne fait que 8 minutes et quelques.D'ailleurs, il y a beaucoup de sonates de ce genre ,que je n'ai pas eu envie de mettre sur ce post en question,justement à cause de leur brièveté.Mais tout ça n'empêche pas leur qualité et ce n'est que ma vision des choses.

Beethoven
* Quatuor op.18 no.2
Quatuor Alban Berg (EMI)

Beethoven
* Quatuor op.135
Quatuor Alban Berg (EMI)

Hamerik : Symphonie nº1 - Helsingborg S.O., Dausgaard
Schmitt : La tragédie de Salomé - São Paulo S.O., Tortelier
Debussy : Jeux - New York P.O., Boulez
Ives : Holidays symphony - Chicago S.O., Tilson-Thomas
—> J’ai voulu lui redonner une chance mais c’est assommant et vide de sens pour moi cette symphony. Il n’y a que les cinq dernières minutes qui valent le coup. .

Mozart - Don Giovanni



Quelle vie !