Playlist (162)

Beethoven
* Sonate no.4 op.7
Wilhelm Kempff, piano (DG)

Arvo Pärt
* Beatus (Oeuvres chorales)
Choeur et Orchestre de Chambre Estonien
Tõnu Kaljuste (Virgin)

Roussel : Bacchus et Ariane (Martinon)

Arvo Pärt
* Berliner Messe
Theatre of Voices / Pro Arte Singers
Paul Hillier (HM)

Quatuor Capet -
Quatuor à cordes n° 14 en do dièse mineur, opus 131 :
Beethoven : Quatuors à cordes n° 14 et 15
℗ 1995 Enregistrements de Biddulph
Le Quatuor Capet est un quatuor à cordes français, fondé en 1893, qui a existé jusqu'en 1928 ou plus tard.Wikipedia
Pierre Lalo dans son bouquin de Rameau à Ravel dit énormément de bien du quatuor Capet.On s'en rend bien compte en l'écoutant ici, malgré un son parfois éloigné et pas toujours net.

Pour l'écouter / https://youtu.be/K-acW5WRio8?si=neyvhqZmE9J9NxAx

Rameau : Hippolyte et Aricie, opéra en prologue et cinq actes | Emmanuelle Haïm et Le Concert d’Astrée




Rameau : Hippolyte et Aricie, opéra en prologue et cinq actes
00:01:52 - Prologue 00:28:24 - Acte 1 00:58:35 - Acte 2 01:28:05 - Acte 3 01:59:18 - Acte 4 02:20:40 - Acte 5

Sarah Connolly | Phèdre
Anne-Catherine Gillet | Aricie
Andrea Hill | Diane
Jaël Azzaretti | L’Amour, Une Pretresse, Une Matelote
Salomé Haller | Oenone
Marc Mauillon | Tisiphone
Aurélia Legay | La Grande Pretresse de Diane, Une Chasseresse, Une Pretresse
Topi Lehtipuu | Hippolyte
Stéphane Degout | Siège
François Lis | Pluton, Jupiter
Aimery Lefèvre | Arcas, Deuxième Parque
Manuel Nunez Camelino | Un Suivant, Mercure
Jérôme Varnier | Neptune, Troisième Parque

Le Concert d’Astrée
Sous la direction d’Emmanuelle Haïm

Je trouve que nous sommes arrivés pour l'opéra baroque et particulièrement dans Rameau, à un niveau qui frise la perfection.Les chanteurs et chanteuses sont le plus souvent vraiment  formidables.On peut jouer les difficiles et critiquer untel ou unetelle,mais nous sommes vraiment à un tel niveau ,que l'on ne peut plus ,que redescendre.Mais ce n'est que mon humble avis d'amateur.
Je pense que le grand investigateur de tout ça, reste pour moi William Christie, même s'il ne fut pas le seul,loin de là.Il a marqué l'interprètation baroque par son empreinte musicale et un son particulier ,avec son orchestre ,qu'on reconnaît aisément.
Très belle version Live du premier opéra de Rameau ou le génie de Rameau m'impressionne toujours , à chaque nouvelle écoute.

Pour l'écouter / https://youtu.be/c-4i_Rfax5M?si=1mpP927gBU9xiI1s

Saariaho - La Passion de Simone (Upshaw/Salonen)

Bon... pas mon Saariaho préféré... peut-être le texte + accent de Upshaw, tout ça est assez lourd au début, le temps de s'habituer au final y a quand même de beaux moments.

Gavriil Popov (1904-1972) - Symphonie pour quatuor à cordes, Op. 61 (1951)



https://www.youtube.com/playlist?list=OLAK5uy_mnUq0kqwE9eKxJlOtdLA4c667YOW7GKb0 (#6-9)

Stravinski : l'Oiseau de Feu (Dorati)


Je veux bien Rimsky-Korsakov et tout... ça reste une oeuvre marquée à 100% par le génie de Stravinski.

Boulez : Pli selon Pli (Boulez, ensemble Intercontemporain Pierre Boulez, Schäfer)

+

Emeryck m’a donné envie de réécouter ça attentivement, et c’est beaucoup mieux que dans mon souvenir…

Dutilleux : correspondances (Esa-Pekka Salonen, Hannigan)

+

L’un de mes Dutilleux préférés.

A la suite de Songeur :

Dutilleux - Correspondances



puis

Bernstein - Symphonies Nos.1 & 2

Andriessen : Writing to Vermeer (Reinbert de Leeuw, Barbara Hannigan)



Alsina : Sonorités lyriques pour 2 pianos

+

Jean-Sébastien Bach (1685-1750)
Sonates violon et clavecin BWV 1016, 1017, 1019
Sonate pour violon seul en Do majeur BWV 1005 (n°3)
Adagio pour clavecin seul en Sol majeur BWV 968 (arrangement du premier mouvement de la sonate BWV 1005)


Plamena Nikitassova - Violon (Jakob Stainer, autour de 1676)
Peter Waldner - clavecin d'après Johann Heinrich Harraß* (Jürgen Ammer, 2006)
* présenté comme le clavecin de Bach sur le verso de la pochette. Pas trouvé jusqu'ici si le disque existait en dur, ni de livret pour en savoir plus, enfin si un peu :

Il était une fois le célèbre « faux clavecin de Bach »:

Dutilleux: Timbres, espace, mouvement. BBC Philharmonic/Yan Pascal Tortelier.
C'est somptueux.

Carol Robinson & Carl Faia : Les Si Doux Redoux.
Il faut aimer les sons (très) aigus.

Ces deux oeuvres ne sont pas sans points communs.

Stravinski : Petrouchka (Boulez Sony)


Boulez est fabuleux, tranchant, détaillé et tout mais un peu monochrome.
Il faut que je me (re)trouve une version un peu plus colorée...

Rautavaara : concerto violon (Elmar Oliveira, Helsinki Philharmonic Orchestra, Leif Segerstam)

+ /

Rautavaara : symphonie n°7 "Angel of Light" (Osmo Vänskä)

+

Je n’avais pas un souvenir spécialement ému de mes dernières écoutes de Rautavaara (surtout de ses symphonies), mais un déclic s’est produit.

Caplet : Conte Fantastique pour harpe et cordes(Lily Laskine, quatuor Via Nova)



Je viens de découvrir ça, ça me semble presque au niveau du Miroir de Jésus, et bien au dessus de l’Épiphanie…

Songeur a écrit:

Boulez : Pli selon Pli (Boulez, ensemble Intercontemporain Pierre Boulez, Schäfer)

+

Emeryck m’a donné envie de réécouter ça attentivement, et c’est beaucoup mieux que dans mon souvenir…

 J'aimerais beaucoup entendre ça en concert...

Emeryck a écrit:

Songeur a écrit:

Boulez : Pli selon Pli (Boulez, ensemble Intercontemporain Pierre Boulez, Schäfer)

+

Emeryck m’a donné envie de réécouter ça attentivement, et c’est beaucoup mieux que dans mon souvenir…

 J'aimerais beaucoup entendre ça en concert...

Ah oui, l’effet doit être spectaculaire.

Tombeau doit effectivement être ébouriffant, mais le temps d'arriver là

arnaud bellemontagne a écrit:

Tombeau doit effectivement être ébouriffant, mais le temps d'arriver là

Les deux premières parties sont assez saisissantes je trouve … les deux suivantes un peu moins, mais rien non plus digne de .

Popov : Quartet-Symphony (BerlinTokyo)

Excellent !

Scriabine-Nemtin : Acte Préalble (Lubimov, Ashkenazy)



J’ai retrouvé ce passage génial à vers 25:00 pendant lequel Nemtin orchestre la huitième sonate (il orchestre aussi des extraits de toutes les sonates tardives il me semble).

Brahms : sonate n°2 op. 99 pour violoncelle et piano (Godfried Hoogeveen, Frédéric Meinders)

/ +

arnaud bellemontagne a écrit:

Stravinski : Petrouchka (Boulez Sony)


Boulez est fabuleux, tranchant, détaillé et tout mais un peu monochrome.
Il faut que je me (re)trouve une version un peu plus colorée...

Pour info, une Petrouchka qui sort des habitudes, torrentielle et hallucinée, formidablement détaillée elle aussi.

Gennady Tolstenko | Symphonie n°2 ¬ 9 Méditations


Gennady Tolstenko (né en 1959)
2e symphonie « 9 méditations » (1987)
Orchestre symphonique académique de Rostov, Vladimir Ponkin (dir.)

J'aime beaucoup cette symphonie de ce compositeur russe.On y sent un climat et une ambiance particulières, sûrement chargé et composé d'une musique qui remonte aux propres racines musicales du compositeur.Un compositeur à découvrir qui mérite le détour.Malheureusement,il semble n'y avoir rien d'autre de disponible ni sur YT et non plus en discographie.

Pour l'écouter / https://youtu.be/uK2ROclVJJE?si=mmQrfFa6fWO_4H4E

Songeur a écrit:

Scriabine-Nemtin : Acte Préalble (Lubimov, Ashkenazy)



J’ai retrouvé ce passage génial à vers 25:00 pendant lequel Nemtin orchestre la huitième sonate (il orchestre aussi des extraits de toutes les sonates tardives il me semble).

Plutôt des pièces courtes des opus tardifs comme les opus 73 et 74 notamment, en sonate je crois qu'il n'y a que la 8è.

Carissimi (1605-1674)/ Complete motets de Arion Romanus
(Constantiae, 1670)
Ensemble Seicentonovecento, Flavio Colusso.

"Ce coffret 3CD présente les 28 Motets qui ont été publiés sous le titre Arion Romanus, en référence à l’ancien barde grec qui, dans la mythologie romaine et grecque, a été jeté par-dessus bord par des pirates et sauvé par un dauphin. Les motets sont d’une structure variée, dans laquelle alternent récitatifs dramatiques, arias et madrigaux. Interprété par le groupe italien de musique ancienne Seicentonovecento, dirigé par Flavio Colusso" Presto

Si vous cherchez l'un des précurseurs de Haendel, ne cherchez pas plus loin, il est là ,devant vos oreilles.En vérité je n'en sais rien, mais je n'ai pu m'empêcher de penser à Haendel en écoutant ces motets.Je n'ai pas tout écouté, simplement qu'une partie,mais belle découverte d'un compositeur peu mis en avant.Même si au bout du premier disque, on cale un peu.

Pour l'écouter / https://youtu.be/aTfAmOBsfsI?si=ueH52Qr0pdmWfTdF

Pierrot Lunaire· Arnold Schoenberg · Ensemble de musique nouvelle de New York · Robert Black · Phyllis Bryn-Julson

Schoenberg : Pierrot Lunaire / Stravinsky : Octuor
℗ 1992 Enregistrements GM

Une version peu connue du Pierrot lunaire.

Pour l'écouter / https://youtu.be/Xj909B_6Am4?si=j-ued_KJwbyKZXfl

Yann Robin (1972*, quatuor à cordes n°3 "Shadows" Live

TANA QUARTET
Live à Lille, le Nouveau Siècle, quatuor n°3 de Yann Robin "Shadows"
16 mars 2016

Encore un compositeur ,dont on ne  parle jamais ou bien très peu.

Pour l'écouter / https://youtu.be/QbnkQeMfcEM?si=Bt7I1iTTeIHbbOAl

Yann Robin: Übergang II - Lemanic Modern Ensemble, direction Jean Deroyer
Co-commande du Los Angeles Philharmonic et du Lemanic Modern Ensemble.
Création européenne le 07 décembre 2018 au Studio Ernest Ansermet de Genève.

Pour l'écouter / https://youtu.be/hGuJnf_5kHk?si=AVdIIyzVHk_hxg__

@Darkmagus : merci Miles

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Stravinski : Le Sacre du Printemps (Boulez Sony)

Sacré tour de force que d'enchaîner 3 ballets géniaux.
Pas sûr qu'il y ait d'équivalent

Xavier a écrit:

Songeur a écrit:

Scriabine-Nemtin : Acte Préalble (Lubimov, Ashkenazy)



J’ai retrouvé ce passage génial à vers 25:00 pendant lequel Nemtin orchestre la huitième sonate (il orchestre aussi des extraits de toutes les sonates tardives il me semble).

Plutôt des pièces courtes des opus tardifs comme les opus 73 et 74 notamment, en sonate je crois qu'il n'y a que la 8è.

Je crois avoir entendu certains enchaînements assez caractéristiques de sa neuvième sonate et peut-être de sa sixième (c’est souvent moins frappant, et je serais bien incapable de retrouver le minutage).
Il doit aussi y avoir des extraits de préludes, peut-être moins tardifs aussi, Nemtin s’est entraîné avant en composant Nuances pendant lesquels il orchestre les op. 51, 53, 57, 58, 59, 61, 63, 65 et 74.

Messiaen : Saint François d'Assise (Kent Nagano)



Il fallait que je m’y mette, et c’est fait ! Ce n’est peut-être pas mon Messiaen préféré (certains passages m’agacent un peu), mais ça reste absolument génial comme musique . Il y a quelques influences Dutillesque je trouve, que je n’avais jamais entendu auparavant chez lui.

gluckhand a écrit:

Carissimi (1605-1674)/ Complete motets de Arion Romanus
(Constantiae, 1670)
Ensemble Seicentonovecento, Flavio Colusso.

"Ce coffret 3CD présente les 28 Motets qui ont été publiés sous le titre Arion Romanus, en référence à l’ancien barde grec qui, dans la mythologie romaine et grecque, a été jeté par-dessus bord par des pirates et sauvé par un dauphin. Les motets sont d’une structure variée, dans laquelle alternent récitatifs dramatiques, arias et madrigaux. Interprété par le groupe italien de musique ancienne Seicentonovecento, dirigé par Flavio Colusso" Presto

Si vous cherchez l'un des précurseurs de Haendel, ne cherchez pas plus loin, il est là ,devant vos oreilles.En vérité je n'en sais rien, mais je n'ai pu m'empêcher de penser à Haendel en écoutant ces motets.Je n'ai pas tout écouté, simplement qu'une partie,mais belle découverte d'un compositeur peu mis en avant.Même si au bout du premier disque, on cale un peu.

Pour l'écouter / https://youtu.be/aTfAmOBsfsI?si=ueH52Qr0pdmWfTdF

Si tu as pas vu, Musica Enchiriadis avait relayé une de ses interventions passionnantes ici :
https://classik.forumactif.com/t4274-giacomo-carissimi-1605-1674?highlight=carissimi#1198515

xoph a écrit:

gluckhand a écrit:

Carissimi (1605-1674)/ Complete motets de Arion Romanus
(Constantiae, 1670)
Ensemble Seicentonovecento, Flavio Colusso.

"Ce coffret 3CD présente les 28 Motets qui ont été publiés sous le titre Arion Romanus, en référence à l’ancien barde grec qui, dans la mythologie romaine et grecque, a été jeté par-dessus bord par des pirates et sauvé par un dauphin. Les motets sont d’une structure variée, dans laquelle alternent récitatifs dramatiques, arias et madrigaux. Interprété par le groupe italien de musique ancienne Seicentonovecento, dirigé par Flavio Colusso" Presto

Si vous cherchez l'un des précurseurs de Haendel, ne cherchez pas plus loin, il est là ,devant vos oreilles.En vérité je n'en sais rien, mais je n'ai pu m'empêcher de penser à Haendel en écoutant ces motets.Je n'ai pas tout écouté, simplement qu'une partie,mais belle découverte d'un compositeur peu mis en avant.Même si au bout du premier disque, on cale un peu.

Pour l'écouter / https://youtu.be/aTfAmOBsfsI?si=ueH52Qr0pdmWfTdF

Si tu as pas vu, Musica Enchiriadis avait relayé une de ses interventions passionnantes ici :
https://classik.forumactif.com/t4274-giacomo-carissimi-1605-1674?highlight=carissimi#1198515

Peut être que je suis borné ou réfractaire Xoph, mais je préfère découvrir par moi-même, surtout ,que j'ai acheté récemment ,l'intégrale des oratorios de Carissimi, et je lirais plutôt ce qu'on en dit ,et ce que dit Musica Enchiriadis est toujours remarquable et pertinent ,après les avoir écouté.Chacun fonctionne différemment et à sa façon,je pense .

@ Gluckhand

A ton bon plaisir.
Mais ça peut-être une occasion d'amorcer (ce fut mon cas), ou de prolonger. (Et aussi, de nourrir les échanges sur ce forum.)

Schoenberg : Gurrelieder (Abbado)

+

Satie : Parade (Doráti)

xoph a écrit:

@ Gluckhand

A ton bon plaisir.
Mais ça peut-être une occasion d'amorcer (ce fut mon cas), ou de prolonger. (Et aussi, de nourrir les échanges sur ce forum.)

Tu sais Xoph,quand je lis Musica Enchiriadis,j'ai plutôt l'impression de recevoir une leçon ,plutôt qu'un échange.Mais c'est normal,il est vraiment très calé et très compétent dans ce domaine.Rien à dire.

Ce sont effectivement des leçons, fabriquées pour une diffusion large. Par contre quand on prolonge les questions, remarques, et qu'il est sur le forum (ce qui n'est plus trop le cas, me semble) : il réagit toujours de façon simple, informée et sur un ton direct et cordial. Rien d'un cuistre donneur de leçon. Bon enfin, comme tu le sens

Jean-Philippe Rameau - Castor et Pollux (Budapest, 2023) Live

Télaïre - Judith Van Wanroij
Phébé - Véronique Gens
Castor - Reinoud Van Mechelen
Pollux - Tassis Christoyannis
Minerve/une Constellation - Olivia Doray
Vénus/Une suivante d’Hébé/Une Ombre heureuse - Hasnaa Bennani
L’Amour/Un Plaisir - Jehanne Amzal
Mars/Deuxième athlète/Jupiter - David Witczak
Premier Athlète/Le Grand-Prêtre - Attila Varga-Tóth

Chœur Purcell
Orchestre Orfeo
Chef d’orchestre György Vashegyi
Salle nationale de concert Béla Bartók, 02 mars 2023. Concert.

J'écoute ça ,cet après midi et ça promet.Je trouve que les opéras de Rameau chantés en public sont souvent supérieurs qu'en version studio.Dardanus de Pichon en public est vraiment superbe, alors que j'ai lu des critiques assez négatives sur sa version CD.György Vashegyi est vraiment aussi ,un chef remarquable dans ce répertoire.A suivre.....

Pour l'écouter / https://youtu.be/Tfg2N9OBwBo?si=he-7FcrwwcKyA_0p

arnaud bellemontagne a écrit:

@Darkmagus : merci Miles

C'est trop d'honneur Arnold

Songeur a écrit:

Dutilleux : correspondances (Esa-Pekka Salonen, Hannigan)

L’un de mes Dutilleux préférés.

J'adore la version de Tout un monde lointain ce disque. (Cela étant je ne connais pas de mauvais enregistrement parmi les nombreuses versions dont ce chef-d'œuvre bénéficie maintenant.)

Ici :
Ravel : L'enfant et les sortilèges - ON Lyon, L.Slatkin

Je crois que je deviens accro à cette œuvre.

Iskender a écrit:

Songeur a écrit:

Dutilleux : correspondances (Esa-Pekka Salonen, Hannigan)

L’un de mes Dutilleux préférés.

J'adore la version de Tout un monde lointain ce disque. (Cela étant je ne connais pas de mauvais enregistrement parmi les nombreuses versions dont ce chef-d'œuvre bénéficie maintenant.)

Justement, cette version fait partie des enregistrements les plus faibles de cette œuvre je trouve .
Il y a plus mauvais (peut-être celle de Truls Mørk) et je n’ai pas non plus une passion pour Xavier Phillips (et Edgar Moreau, mais je pense que pour le coup le chef y est pour quelque chose)…

Ligeti - Concerto pour violoncelle / Clocks and Clouds / Concerto pour violon / Sippal, Doppal, nadihegeduvel

Songeur a écrit:

Il y a plus mauvais (peut-être celle de Truls Mørk)

Pourquoi ?

Golisande a écrit:

Songeur a écrit:

Il y a plus mauvais (peut-être celle de Truls Mørk)

Pourquoi ?

Il faudrait que je réécoute. J’ai le souvenir d’une version maniérée qui fait semblant d’instaurer un climat, mais qui devient vite laborieuse.

C’est Chung qui dirige , et Mørk c’est assez formidable en général, mais il faut que je réécoute aussi (petit comparatif en perspective)…

Paolo Litta (1871-1931): Le lac d’amour, La déesse nue & Der Tod als Fiedler

Le lac d'amour
« Le Lac », « Le Cygne », « Cloches d’Antan » et « La Source qui pleure ».
Artiste : Ilona Then-Bergh :Violon
Artiste : Michael Schäfer :Klavier

"Dès les premières mesures, on songe à la Sonate pour violon et piano de Franck. Quelle étonnante musique que celle de Paolo Litta. Né en Suède, d’une mère suédoise et d’un père italien, Paolo Litta mena une carrière de pianiste et d’enseignant en Europe. L’œuvre repose sur trois influences. La première évoque le "Ring des Nibelung" de Wagner, la seconde, le roman Bruges-la-Morte (1892) de Georges Rodenbach (1855-1898) et la troisième, les toiles de Paul Gauguin. Le postromantisme et le symbolisme du poète et romancier belge, les couleurs chatoyantes de la peinture nourrissent une œuvre musicale à la fois passionnée et désespérée. La clarté et la présence de la prise de son valorisent le dialogue entre le violon d’Ilona Then-Bergh et le Bösendorfer de Michael Schäfer. On entre dans le lyrisme postromantique de cette immense partition tripartite d’une heure vingt de musique (plus de 82 minutes ce qui n’est pas loin d’un record pour un CD !). Elle fut composée entre 1909 et 1924. "Le Lac d’amour" est la première pièce, que l’on pourrait situer entre Franck et d’Indy. Une partition au charme enchanteur qui décompose le temps, au bord du rêve. "La Déesse nue" de 1912 est d’un langage plus épuré, influencé par le premier Alban Berg, celui de la Sonate pour piano. "Le Ménétrier", "la mort" est beaucoup plus tardif. En 1924, la pièce est sous-titrée “une Rhapsodie virtuose pour violon et piano”. Sa dimension n’est plus chambriste mais orchestrale. Superbe partition, superbe trilogie, d’une force expressive inouïe. (Jean Dandrésy)"ClicMusique

Pour l'écouter / https://youtu.be/YkntHj2kiCA?si=zBo78XblvOKsSu6I

Golisande a écrit:

C’est Chung qui dirige , et Mørk c’est assez formidable en général, mais il faut que je réécoute aussi (petit comparatif en perspective)…

Les Chung ont souvent fait des choses très bien (Kyung-wha aussi), mais c’est très souvent assez inégal. Je connais assez peu Mørk (j’écoute peu de violoncelle de toute façon), mais aucun souvenir probant de lui…

J’évite de comparer les versions chez Dutilleux à la suite, car son langage est quand même assez refermé sur lui-même, et donc pourrait peut-être à la longue me lasser (mais je n’en sais rien, je n’ai jamais atteint ce point de saturation).

Je connais assez peu Chung Kyung-wha (j'écoute peu de violon de toute façon), mais Myung-whun est au contraire selon moi un des chefs les plus constamment passionnants qui soient (son seul défaut est d'avoir été longtemps un spécialiste de Messiaen, mais à la perfection nul n'est tenu et je le lui pardonne aisément).