Vos découvertes du mois de décembre 2006

C'est ici que ça se passe!

(hein Vartan monsieur l'administrateur qui demande des avis sur des CDs en Hors sujet! )

Ca vient.

Découvert ceci au fond d'un vieux tiroir familial:





Passion St. Jean de Bach par Hermann Scherchen, 61 et 62



L'intégrale des quatuors de Beethoven par les Prazak.




1983



L'intégrale des concerti grossi de Haendel par... Karajan (67 à 69)


Marie-Claire Alain, Bach.



Vous en pensez quoi?

Que tu as des tiroirs bien remplis !

A priori c'est que du tout bon, mais je n'ai écouté aucun de ces disques.

vartan a écrit:

Découvert ceci au fond d'un vieux tiroir familial:

En cherchant une prise péritel pour ton lecteur DVD?
( https://classik.forumactif.com/viewtopic.forum?t=1240&postdays=0&postorder=asc&start=240 )

La 5ème de Mahler de Walter doit etre super ! en tout cas si t'en veux plus moi je suis preneur

Et puis ça aussi (j'avais pas vu):

1° livre de Couperin par Blandine Verlet

Mozart, Requiem par Jochum avec Seefried, Orch. Symph. Vienne, 1956

Mozart, Messe en ut, Fricsay, Orch. radio de Berlin, 1960

vartan a écrit:

Et puis ça aussi (j'avais pas vu):
Mozart, Messe en ut, Fricsay, Orch. radio de Berlin, 1960

Ca oui je connais et c'est une merveille.

Cherche encore, y a peut-être un peu de Boulez tout au fond.

Xavier a écrit:

vartan a écrit:

Découvert ceci au fond d'un vieux tiroir familial:

En cherchant une prise péritel pour ton lecteur DVD?
( https://classik.forumactif.com/viewtopic.forum?t=1240&postdays=0&postorder=asc&start=240 )

En fouillant chez mes parents!

Ah! Et puis ça aussi:

Xavier a écrit:

vartan a écrit:

Et puis ça aussi (j'avais pas vu):
Mozart, Messe en ut, Fricsay, Orch. radio de Berlin, 1960

Ca oui je connais et c'est une merveille.

Cherche encore, y a peut-être un peu de Boulez tout au fond.

Ce sont les disques de mon père, les Boulez, il les avait tous: Stravinski, Bartok, Debussy, Ravel...

vartan a écrit:

Xavier a écrit:

Cherche encore, y a peut-être un peu de Boulez tout au fond.

Ce sont les disques de mon père, les Boulez, il les avait tous: Stravinski, Bartok, Debussy, Ravel...

Non non moi je te parle Boulez Boulez, pas Boulez dirige autre chose...

vartan a écrit:

Ah! Et puis ça aussi:

Y avait déjà Brilliant à l'époque?

Martinon dans Debussy c'est pas le tout premier choix, mais c'est du très très bon deuxième choix à mon sens.

Ah non, il s'est arrêté à Berg et Schoenberg qu'il adorait.

Xavier a écrit:

vartan a écrit:

Ah! Et puis ça aussi:

Y avait déjà Brilliant à l'époque?

Martinon dans Debussy c'est pas le tout premier choix, mais c'est du très très bon deuxième choix à mon sens.

Un cadeau récent de Noël dernier, je ne les ai pas écoutés.

Et là je me rends compte que je suis injuste!

J'ai toujours eu l'idée qu'il n'écoutait que des vieux nanars Bach et Beethoven ultra-classiques enregistrés par des orchestres pourris.

Et il adorait Glenn Gould aussi!

Citation :

Vous en pensez quoi?

Que tu as la BO de la Divina Commedia rien qu'avec ça.


INFERNO :


L'intégrale des concerti grossi de Haendel par... Karajan (67 à 69)

Marie-Claire Alain, Bach.



PURGATORIO :



PARADISO :

Passion St. Jean de Bach par Hermann Scherchen, 61 et 62

L'intégrale des quatuors de Beethoven par les Prazak.

DavidLeMarrec a écrit:

Que tu as la BO de la Divina Commedia rien qu'avec ça.

Nel mezzo del cammin di nostra vita
mi ritrovai per una selva oscura
e Davido mi fa infine la luce

Dans mon vieux stock ci-dessus:

Le quatuor de Debussy par Orlando Quartet.

Le plus beau que j'ai jamais entendu.
Du souffle, une tension constante, une sonorité éclatante, les sourdines mystérieuses, une harmonie que je redécouvre tellement le soin apporté à la prise de son est grand. Des tempi assez lents dans l'ensemble qui apportent un climat tendre et mélancolique... Parfait.

Hier j'ai découvert le requiem de Duruflé, j'ai évidemment adorer mais j'ai du mal a choisir une version... auriez-vous une idée ?
Il y a Chung, Duruflé lui-meme, Plasson, Malmberg...

Chung avec Terfel et Bartoli?
Très mauvais disque, mauvais équilibre avec le choeur, le style n'est pas bon.
Duruflé est très bien, avec un peu de souffle dans le son.

Xavier a écrit:

Chung avec Terfel et Bartoli?
Très mauvais disque, mauvais équilibre avec le choeur, le style n'est pas bon.

Tout à fait d'accord malgré de beaux passages dans le Fauré.
Pour le Duruflé, tout dépend de de la version de la partition que tu veux .(on en a pas déjà parlé dans un autre fil ? )

Duruflé a remanié trois fois son oeuvre.
Première version pour choeur grand orchestre et soli
Deuxième version pour ensemble orchestral orgues choeurs et soli (plus intimiste et à mon goût a plus belle)
Troisième version pour orgues choeurs et soli. (deuxième choix, musique complètement désincarnée assez inouï. Ca change tout).

Pour la deuxième version je te conseille la version Piquemel chez Naxos. Un chef-d'oeuvre.

vartan a écrit:

Dans mon vieux stock ci-dessus:

Le quatuor de Debussy par Orlando Quartet.

Le plus beau que j'ai jamais entendu.
Du souffle, une tension constante, une sonorité éclatante, les sourdines mystérieuses, une harmonie que je redécouvre tellement le soin apporté à la prise de son est grand. Des tempi assez lents dans l'ensemble qui apportent un climat tendre et mélancolique... Parfait.

Pas mal du tout en effet. Ce sont aujourd'hui les Parkányi, qui font un excellent travail également. Très beaux Microludes kurtágiens, notamment.
J'avoue avoir pour des raisons d'opportunité placé un peu abusivement ces bonnes gens au Purgatorio. Il y a néanmoins une nette différence d'intérêt entre leur très bonne protestation dans ce répertoire et les deux disques exceptionnels ayant accédé au Paradiso.

DavidLeMarrec a écrit:

Pas mal du tout en effet. Ce sont aujourd'hui les Parkányi, qui font un excellent travail également. Très beaux Microludes kurtágiens, notamment.

A écouter, donc.

Citation :

Il y a néanmoins une nette différence d'intérêt entre leur très bonne protestation dans ce répertoire et les deux disques exceptionnels ayant accédé au Paradiso.

Nous protestons également!

Scherchen dans la Saint Jean de Bach, un sacré souffle ici, comme dans le souvenir que j'ai gardé de sa Saint Matthieu, dommage que les choeurs et leur direction soit assez approximative. Mais une vision passionnante.

Ma découverte du jour...

la messe en si de Bach par Thomas Hengelbrock (DHM) pour 12.65 euros en Fnac. Vraiment une trés belle version que je recommande a ceux qui veulent approfondir le sujet.

Justement, Scherchen dans la Mécensi est à entendre absolument (à nouveau disponible, réédition Westminster). L'orchestre est un peu perdu, les phrasés étranges comme souvent chez Scherchen, et moins inspirés que chez Jochum, mais le choeur est absolument formidable, incontournable !

Quant à la version Hengelbrock, c'est extrêmement sec, mais vraiment réussi, je suis bien d'accord. Plus inspiré que Brüggen, dans la même esthétique.

Pour rappel...
https://classik.forumactif.com/viewtopic.forum?t=998&highlight=messe

Karajan67 a écrit:

Hier j'ai découvert le requiem de Duruflé, j'ai évidemment adorer mais j'ai du mal a choisir une version... auriez-vous une idée ?
Il y a Chung, Duruflé lui-meme, Plasson, Malmberg...

Voici quelques versions; elles sont toutes très bonnes (effectivement, celle de Chung, remarquable chef d'orchestre par ailleurs dans d'autres répertoires, est peut-être la moins réussie de toutes)


- version avec orgue: Jean Sourisse (chef); Vincent Warnier (orgue). (+ Messe "cum jubilo" + 4 motets sur des thèmes grégoriens). Edité chez Syrius

- version avec orgue et orchestre: Stephen Cleobury (chef); Peter Barley (orgue). (+ requiem de Fauré). Ed. chez EMI

- LA version avec orchestre par M Duruflé lui-même comme chef. ( + Prélude et fugue pour orgue sur le nom d'Alain). Ed. chez Erato (existe encore???)

- version avec orchestre et orgue avec Michel Piquemal comme chef et Eric Lebrun à l'orgue (intégrale des pièces vocales + de l'oeuvre d'orgue). ed. chez Naxos

- version avec orchestre et orgue. Matthew Best (chef). (+ les 4 motets). Ed. Hyperion

- version avec orchestre et orgue. Michel Plasson (chef); Marie-Claire Alain (orgue). (+ Messe "cum jubilo" + 4 motets). Ed/ EMI

- version avec orchestre. Michel Corboz (chef). Ed. Erato

- version avec orgue. Mattias Wager (orgue). (+ Messe "cum jubilo"). Ed: Bis (attention! c'est une version plus ancienne mais superbe qu'un nouvel enregistrement de ce requiem chez Bis en SACD que je ne con nais pas).


Voilà! En espérant que vous trouverez votre bonheur et que ces versions sont encore disponibles sur le marché (aïe!)

J'en profite pour signaler du même Duruflé la messe "Cum jubilo" beaucoup moins connue que le requiem mais tout aussi magnifique! cette oeuvre est d'ailleurs souvent couplée avec son requiem dans les enregistrements. (cf plus haut)

Duruflé était un grand compositeur (un de mes préférés), mais d'une modestie maladive qui le poussait plus à détruire qu'à publier ce qu'il composait. Aussi, il reste peu de choses; mais absolument aucun déchet!: toute son oeuvre vocale et son oeuvre d'orgue tiennent sur 2 CD. Il existe aussi quelques pièces pour orchestre et un peu de musique de chambre. A découvrir.

vartan a écrit:

Xavier a écrit:

vartan a écrit:

Ah! Et puis ça aussi:

Y avait déjà Brilliant à l'époque?

Martinon dans Debussy c'est pas le tout premier choix, mais c'est du très très bon deuxième choix à mon sens.

Un cadeau récent de Noël dernier, je ne les ai pas écoutés.

Pas mal du tout; c'est Martinon quand-même! De plus, les prises de son sont très réussies malgré l'âge assez avancé de quelques-unes: beaucoup d'air et d'espace: qualités importantes qui font trop souvent défaut sur les prises de son d'orchestre depuis pas mal d'années

Je ne connaissais que la troisième symphonie de Stanford, et ce nouveau cd de cantates me confirme qu'il faut que je connaisse les six autres. Stanfors n'a peut-être pas révolutionné le langage musicale, mais ces cantates sont superbes et Gérald Finley idéal dans ce répertoire… En outre leurs mélodies font parties de celles que l'on a envie de siffler, surtout par ceux qui pratiquent les régates (n'est-ce Vartan )
2 extraits depuis amazon :

The LIttle Admiral : http://www.amazon.fr/gp/music/clipserve/B000F9SZCQ001004/1/ref=mu_sam_ra001_004/171-3096873-5959450
I Sailing At Dawn : http://www.amazon.fr/gp/music/clipserve/B000F9SZCQ001001/1/ref=mu_sam_ra001_001/171-3096873-5959450

Je ne connais pas du tout ce compositeur. Anglais?
En tout cas, ça m'a l'air bien sympathique mais le SACD va à l'encontre de mes convictions religieuses

La naissance d'Osiris ou la feste Pamilie

Le Théatre représente le Temple de Jupiter... on célèbre dans toute l'Egypte cette fête, joie et bonheur d'un peuple aimable gouverné par la sagesse et l'amour.

Déja tout un programme!

Des bergers et des bergères, des musettes et des gavottes pour ce Ballet allégorique de 1754. Livret pastoral de Louis de Cahusac.

Tout Rameau avec sa fraîcheur, ses danses et ses airs d'amours charmantes...

Hugo Reyne et son instrumentarium riche et délicieux.
De rares imperfections pour cet enregistrement live d'une quinzaine d'euro(s).

Il m'a taper dans l'oeil le cd de bataille navale

Fuligo a écrit:

Je ne connais pas du tout ce compositeur. Anglais?
En tout cas, ça m'a l'air bien sympathique mais le SACD va à l'encontre de mes convictions religieuses

Irish! prof de Rvw…
mais pro anglais!

lisible sur tout lecteur!

Karajan67 a écrit:

Il m'a taper dans l'oeil le cd de bataille navale

Oui, en plus du contenu, j'adore la pochette!

C'est un disque pour moi ! J'attache beaucoup d'importance au contenant !

Découverte relative, puisque c'est plutôt une écoute en retard...




Aux éditions Walhall, un Fliegende Holländer de 1951, dirigé par Schüchter.

L'orchestre et les choeurs hambourgeois s'en sortent parfaitement, sous une direction tout à la fois rapide et limpide. Du dynamisme, une action soutenue, le Schüchter est en grande forme, et livre une lecture enthousiasmante - un peu trop, même, on aimerait un peu plus de noirceur parfois - de l'ouvrage.

Dans ce contexte, le plateau est très classieux : Hotter, au fait de ses moyens (pas comme avec Reiner) et parfaitement accompagné (pas comme avec Ursuleac chez Krauss) ; Böhme, en Daland au timbre digne, beau chanteur ; Aldenhoff en Erik, un rôle roturier qui lui va finalement très bien.
La surprise vient surtout d'Helene Werth, par ailleurs superbe Leonore, qui nous livre ici une Senta juvénile, pleine d'énergie tout en étant quasi-parfaite vocalement, tout simplement rayonnante et habitée par le rôle. J'adore.

Prise de son très claire, sans problème technique audible ni public trop présent. Du tout bon.

Tant qu'à faire, y a un topic Vaisseau fantôme...

C'est vrai... En fait je ne voulais pas vraiment faire la critique, mais je me suis laissé emporter.

Ah les élans du coeur !

Tout à fait d'accord avec SP : Hotter à son sommet, mais surtout Aldenhoff idéalement lyrique et pathétique et Werth d'une chair frémissante, fantastique !
On connaît les talents de clarté et d'allant de Schüchter, je n'insiste pas. Une intégrale extrêmement équilibrée.

Walkyrie de Stuttgart 66 : Leitner à la direction, Del Monaco et Hillebrecht en Wälsungen, Carlos Alexander en Wotan... Silja en Brünnhilde. Chez House of Opera.


Direction énergique et, dans la mesure du brouillard sonore (cf. plus bas), pleinement maîtrisée et, semble-t-il, bien suivie par l'orchestre ; Siegmund à l'Allemand (très) perfectible, qui préfigure un peu celui que livrera plus tard Domingo dans le ton ; Sieglinde séduisante ; Wotan solidement campé, mais un peu brutal, rocailleux et parfois court (pas toujours aux moments difficiles, étrangement) ; Brünnhilde forcément exotique, mais qui colle assez formidablement au personnage (Silja est aussi vocalement plus assurée que d'habitude, bizarrement...).



Mais tout cela cache le véritable intérêt de ces CD : les mini-jeux.

Jeu n°1 : Parviendras-tu à écouter l'oeuvre ?

Oui, en poussant le volume au max, en essayant désespérément de faire abstraction de la pire prise de son qu'il m'ait jamais été donné d'entendre (et pourtant du son chaotique, chevrotant, sautillant, saturé, j'en ai l'habitude...). On finit par s'y faire, mais c'est l'épreuve suprême pour les habitués des incunables des années 20-30... A signaler : gros rhumes dans la région de Stuttgart en 66.


Jeu n°2 : Parviendras-tu à remettre les pistes dans l'ordre ?

Jeu original ma foi, que je n'avais pas encore savouré. Fin du CD2, on est au beau milieu d'une tirade de Siegmund, début du CD3, on se retrouve dans les cris de rage de Wotan contre les Walkyries. Normal, la suite et fin de l'acte 2 revient à partir de la piste 3. Suis-je bête...

Jeu n°3 : Supporteras-tu le comique à répétition ?


Belle coupure de près d'une minute dans le récitatif de Sieglinde à l'acte 1... qui redémarre au départ.
Arrachage de l'épée interrompu soudain par un retour brutal à "Siegmund heiss ich".
Et je ne parle pas des multiples micro-coupures, qui donnent toute son importance à une oreille bien exercée.



Pour pas 10 €, ç'en est presque rigolo.

Tu ne t'es pas adressé au bon éditeur (ou alors j'ai cédé avant la fin ).

Del Monaco n'a absolument rien à voir avec Domingo, si ce n'est la prononciation perfectible de l'allemand. Domingo communique le feu, d'une façon très juste, Del Monaco reste quand même planté à brailler ses notes. J'aime ça, mais un peu moins.
L'allemand est raisonnablement déformé, ça reste écoutable (on reconnaît les mots ). A l'opéra, c'est plus gérable qu'au lied, le texte prend sa légitimité en action.

Sinon, on dit beaucoup de mal de Hillebrecht, et c'est très exagéré. C'est, disons, impersonnel et pas merveilleusement chanté, mais pas indigne du tout. Par rapport aux autres Sieglinde de la discographie, on comprend bien le décalage, oui.

Silja est beaucoup plus assurée, oui, elle s'en tire fort bien.

Côté direction... pas grand chose à signaler.

Pour Del Monaco, je ne sais pas, je lui trouve vraiment une ressemblance avec Domingo - en moins élégant, effectivement.
Je n'avais pas encore eu l'occasion - à mon souvenir en tout cas - de croiser dame Hillebrecht, et je n'y trouve pas grand chose à redire, pour une fois. Triste, fougueuse, des éclats qui sonnent juste, c'est plutôt pas mal pour une chanteuse provinciale.

SP a écrit:

Pour Del Monaco, je ne sais pas, je lui trouve vraiment une ressemblance avec Domingo - en moins élégant, effectivement.
Je n'avais pas encore eu l'occasion - à mon souvenir en tout cas - de croiser dame Hillebrecht, et je n'y trouve pas grand chose à redire, pour une fois. Triste, fougueuse, des éclats qui sonnent juste, c'est plutôt pas mal pour une chanteuse provinciale.

Oui, mais disons qu'en Elisabeth et en Ariadne, ça se corse un peu. C'est bien, juste un peu prosaïque.
Dans l'absolu, je trouve ça tout à fait convenable. Mais quand on a Crespin, Janowitz, Resnik & Cie dans l'oreille, c'est un peu jeu inégal.

Ma découverte du jour...

"Maometto Secondo" de Rossini, version de Scimone avec Anderson et Ramey.
Voilà un opéra trop peu connus ! J'ai adorer, heureusement que celà se trouve encore en occase.

D'ailleurs à ce propos si quelqu'un connait une autre version ou ce que vaut le dvd de Scimone à la Fenice qui m'interesse beaucoup.

Karajan67 a écrit:

D'ailleurs à ce propos si quelqu'un connait une autre version ou ce que vaut le dvd de Scimone à la Fenice qui m'interesse beaucoup.

quelle est la distrribution?

Maometto secondo: Lorenzo Regazzo
Selimo: Federico Lepre
Paolo Erisso: Maxim Mironov
Anna: Carmen Giannattasio
Calbo: Anna Rita Gemmabella
Condulmiero: Nicola Marchesini

Direction : Claudio Scimone

Mise en scène, costumes : Pier Luigi Pizzi
Lumières : Sergio Rossi

Orchestra e Coro del Teatro La Fenice
Chef de choeur : Emanuela Di Pietro

Teatro La Fenice

Pertusi il a dejà jouer le role ?