Contextures : c'est plus complexe, assez soutenu et dense, j'aime bien mais je commence à fatiguer et ça mérite réécoute. 16 minutes chargées, qui utilisent un orchestre complet avec encore une fois des percussions à foison, une tonalité très lointaine, extrêmement torturée, et surtout une thématique plus ou moins inexistante: ce sont des bribes de motifs qui se superposent, apparaissent et disparaissent de façon aléatoire. Ce procédé étrange ne cache pas une véritable inspiration cependant, l'oeuvre a du souffle et de la gueule, c'est heureux (le finale est très jazzy d'ailleurs). C'est plus difficile que le concerto donc je n'en dis pas plus pour l'instant, à explorer.