Salle Pleyel - 2008-2009

He bien, j'étais tout seul apparemment vendredi au cycle Messiaen par l'orchestre de Radio France.

Bon c'est vrai que c'était loin d'être complet, mais ça m'a permis de me dépalcer de tout en haut de tout en haut du deuxième balcon jusqu'à derrière la scène... Et quelle claque. C'est vraiment génial d'être juste derrière les musiciens et de voir toutes les expressions du chef d'orchestre surtout que celui ci (Chung) raconte littéralement l'histoire avec son corps!
Petit plus, ça m'a permis aussi d'être assis à côté de la pianiste soliste de l'Humne à quatre.

Donc le concert sinon. Ca démarre par deux oeuvres de Messiaen : L'hymne et le concert à 4.
J'ai été assez envouté par cette petite pièce qu'était l'hymne, jouée avec beaucoup d'expression et beaucoup de hautbois!
Le concert à 4, c'était le morceau de bravoure avec la virtuosité de la pianiste. Dommage que la flute est été un peu un retrait d'où j'étais. Par contre, c'était plus dur à écouter sur la durée. Je démarre le contemporain et tenir concentré 30 minutes sur une telle atonalité, c'est dur pour mes oreilles néophytes. Mais je vais les éduquer.

Après l'netracte, nous voilà pour la symphonie 3 de Saint Sens. L'orgue est installé et j'avoue que c'est assez whaou! Il n'y a pas d'arret entre le premier et deuxième mouvement, ce qui donne un changement d'atmosphère appréciable. Je me suis pris les timbales en plein dans les oreilles surtout que le pauvre percussionniste avait sa peau désacordée et qui a fait un gros SCHLACK en plein milieu du 3eme mouvement. Mais bon, pas grave, l'orchestre était tellement habité par ce qu'ils jouaient.
Mais c'est surtout Chung qui était impressionnant à diriger ça de façon si habité. A regarder le ciel des fois, oubliant qu'il est en concert.
Je l'ai trouvé aussi très humble. Sur le concert à 4, quand il y avait les solistes seuls. Il se mettait sur le côté et les écoutait religieusement pour s'effacer devant eux.

Très très bon concert. Je ne suis vraiment pas déçu de la salle pleyel.

Tu as posté dans le sujet de programmation et abonnements.
Je déplace.

Hicks a écrit:

Bon c'est vrai que c'était loin d'être complet, mais ça m'a permis de me dépalcer de tout en haut de tout en haut du deuxième balcon jusqu'à derrière la scène... Et quelle claque. C'est vraiment génial d'être juste derrière les musiciens et de voir toutes les expressions du chef d'orchestre surtout que celui ci (Chung) raconte littéralement l'histoire avec son corps!

Le déséquilibre ne te gêne pas en arrière-scène?
C'est impressionnant, mais à la longue ces places sont fatiguantes, on entend beaucoup trop cuivres et percussions.

Citation :

Donc le concert sinon. Ca démarre par deux oeuvres de Messiaen : L'hymne et le concert à 4.
J'ai été assez envouté par cette petite pièce qu'était l'hymne, jouée avec beaucoup d'expression et beaucoup de hautbois!
Le concert à 4, c'était le morceau de bravoure avec la virtuosité de la pianiste. Dommage que la flute est été un peu un retrait d'où j'étais. Par contre, c'était plus dur à écouter sur la durée. Je démarre le contemporain et tenir concentré 30 minutes sur une telle atonalité, c'est dur pour mes oreilles néophytes. Mais je vais les éduquer.

Le 2è mouvement (Vocalise) est une pièce de jeunesse qu'il a ensuite orchestré. Tu n'as pas trouvé ça très joli? (et tonal en plus)
Sinon oui, l'Hymne est pas mal du tout. (rarement joué)

Hello!

Pour l'arrière scene, c'était la première fois et c'est vrai que c'était impressionnant. Après c'est sur que j'étais sourd avec les timbales à la sortie du concert. Mais c'était la première que j'avais réélement l'impression d'être dans l'orchestre. Ca fait quelque chose. Après c'est sur que pour écouter, c'est pas le meilleur endroit. Mais de temps en temps, ça fait plaisir.

Pour le concert à 4, je t'avoue ne plus bien me souvenir du deuxème mouvement. Je suis vraiment sorti sur le 3eme, mais en même temps, je venais de me taper une dure journée au boulot, donc ça aide pas à se concentrer.

Extraordinaire 3e symphonie de Mahler à Pleyel hier soir : orchestre du festival de Budapest dirigé par Ivan Fischer. Presque plus de monde sur scène que dans la salle, mais quel concert !

Voilà. Tout pareil !

Hier : VIVA AIIIIDA !
Tout ça pour dire qu'Aida est si rare à paris qu'on ne peut qu'être heureux d'entendre une exécution de concert....... malgré les coupures de tous les ballets ! (je le confesse, j'adooore les ballets d'Aida)
La distribution alternait le bon et le moins bon.
Je passe sur un Radames (B. Maisuraze) à la voix engorgée et qui a tendance à pousser la note plus que de raison, avec un gout des plus douteux (mais de belles intentions) et une diction incompréhensible.
H. Papian semble avoir perdu une partie de la luminosité de son timbre. Un peu "fraîche" pour son premier air (Ritorna vincitor), elle s'en sort avec les honneurs, en grande chanteuse quelle est, et qui plus est très émouvante. Ce qui est plus gênant, c'est le timbre qui semble comme se dérober dès le bas medium et les graves qui disparaissent soudain.
N. Gubisch campait une Amneris vamp' et capiteuse, plus Dalila que princesse égyptienne. Le personnage gagne en subtilité et séduction, mais la chanteuse est parfois prise au pièce de l'ampleur et de la brillance exigées par la partition (scène du jugement, avec un petit accident). Les attaques aigues sont prises avec mille précautions.
N. Smith est un Amonasro à la voix trop claire à mon goût et sans grande autorité. Excellents roi et Ramfis de K. Gorny et M. Tzonev. Une prêtresse (S. Pagin) qui, je pense, aura captivé tout le public masculin , et un messager qu'il vaut mieux oublier.
Les choeurs et l'orchestre étaient de Montpellier étaient dirigés par A. Altinoglu dont j'apprécie le dynamisme et l'attention constante qu'il porte aux chanteurs. Les changements de tempi des deux premiers actes m'ont un peu laissée perplexe (et puis les coupures...), en revanche, les deux actes suivants étaient vraiment captivants.

Freia a écrit:

Tout ça pour dire qu'Aida est si rare à paris qu'on ne peut qu'être heureux d'entendre une exécution de concert....... malgré les coupures de tous les ballets ! (je le confesse, j'adooore les ballets d'Aida)

(j'adore aussi les ballets d'Aida )
J'ai eu plus de mal avec le prêtre qu'avec Radamès.
Et j'ai beaucoup aimé Amnéris !

Frère Elustaphe a écrit:

Freia a écrit:

Tout ça pour dire qu'Aida est si rare à paris qu'on ne peut qu'être heureux d'entendre une exécution de concert....... malgré les coupures de tous les ballets ! (je le confesse, j'adooore les ballets d'Aida)

(j'adore aussi les ballets d'Aida )
J'ai eu plus de mal avec le prêtre qu'avec Radamès.
Et j'ai beaucoup aimé Amnéris !

Elvira a écrit:

ça a été enregistré pour la radio.

Oui, mais ce n'est pas la même chose que de l'entendre en vrai

Elvira a écrit:

Oui, mais ce n'est pas la même chose que de l'entendre en vrai

et de se balancer en rythme sur son siège au début de l'acte II :

plouing, plouing, plouing, plouing, plouing -plouingplouingplouing, tadaaaa
plouing, plouing, plouing, plouing, plouing -plouingplouingplouing, tadaaaa
plouing, plouing, plouing, plouing, plouing -plouingplouingplouing, tadaaaa
plouing, plouing, plouing, plouing, plouing -plouingplouingplouing, tadaaaa
plouin, plouing, plouing, plouing, plouing, plouing, plouing
plouing, plouing -plouingplouingplouing
ploum, ploum, ploum, ploum, ploum, ploum
Chi mai fra gl'inni e i plausi
Erge alla gloria il vol

Alors sui-je le seul tout émoustillé à me faire ce soir et demain le cycle Prokofiev avec le LSO?

J'ai vraiment surtout que j'aodre tout ce que j'ai entendu de Prokofiev pour l'instant (pas grand chose je concède: Roméo et Juliette, Pierre et le loup, 2 symphonies et les thèmes juifs).

Hicks a écrit:

Alors sui-je le seul tout émoustillé à me faire ce soir et demain le cycle Prokofiev avec le LSO?

J'aurais bien aimé pouvoir y aller.

Ben Hier j'étais tout seul alors pour voir le LSO jouer du Prokofiev.

Bah avis mitigé en fait.

Pleyel était archi comble, j'étais au 3eme rang sur le côté face aux contrebasses. C'était pas si mal pour le son, pour la vue dommage, mais à 8 euros, je vais pas me plaindre.

C'était Gergiev qui dirigeait. Autant dire tout de suite, c'était du très très haut niveau au point de croire au début que c'était un CD. J'avais pas encore entendu un son aussi pur (lacoustique à Pleyel est tout de même énorme!). Mais même Maazel avec le NY ne m'avait pas paru si nickel.

Bon ça démarre 1ere symphonie de Prokovief. Je la connaissais, donc ce fut plaisir. Par cotre ils ont pas chaumé, ça a du faire 10-12 minutes top chrono. Je toruve pas qu'elle casse 3 pattes à un canrad cette symphonie, très plaisante à écouter, mais c'est pas l'extase non plus.

Après on arrive au concerto pour piano N2 et là c'était incroyable. Le pianiste était Feltsman et autant dire, c'est pas un manchot le Monsieur!
Sa cadence sur le 1er mouvement m'a mis les larmes aux yeux tellement c'était beau, ça se déchaine pour devenir dissonant sur la fin mais avec des envolées dans les aigues tellement bien choisies! J'étais vraiment sous le choc.
Le reste du concerto dans la même veine avec à la fin applaudissements à tout va. Feltsman a rejoué un petit morceau en arpèges assez répétitif. C'était sensé être romantique, c'était plutôt tarte à la crême j'ai trouvé. Malheureusement je ne sais pas ce que c'était.

La symphonie n6 de Prokofiev, admirablement executée, mais je suis pas fan de celle ci. Je l'ai trouvé très pesante et un second mouvement qui n'en finissait plus. Mais faut que je lui redonne une chance.

Un encore très virtuose joué ensuite. J'ai l'impression que c'était tiré de la scène de la dispute de Roméo et Juliette, mais il n'y avait pas le thème principal des Capulets, donc j'ai un doute.

Donc voilà énorme concerto mais le reste mitigé. J'y retourne ce soir si je ne suis pas trop fatigué!

Ah oui, la 6è symphonie, une oeuvre très bizarre, un peu inintelligible je trouve.

Et le 2è concerto j'adore également.

Le bis, ce pourrait être une Etude de Chopin (Op.10 n°1, n°12, Op.21 n°1, n°12...). Je vais essayer de vérifier.

Edit : Rien trouvé comme critique de concert...

DavidLeMarrec a écrit:

Le bis, ce pourrait être une Etude de Chopin (Op.10 n°1, n°12, Op.21 n°1, n°12...). Je vais essayer de vérifier.

En effet, ça correspondrait bien à la description de Hicks:

Hicks a écrit:

un petit morceau en arpèges assez répétitif. C'était sensé être romantique, c'était plutôt tarte à la crême j'ai trouvé.

Je me suis mis de son point de vue, pas plus, hein.

M'étonnerait qu'il ait joué le Premier Prélude du Maître de l'Univers ou La Leçon de piano.

Je pencherais pour une des romances sans paroles de Mendelssohn...

En bis d'un concerto de Proko ?

Je sais pas, c'est le côté tarte à la crème et répétitif qui m'a inspiré...

MickeyZeVrai a écrit:

Je sais pas, c'est le côté tarte à la crème et répétitif qui m'a inspiré...

Dans ce cas, tu aurais dû citer aussi une tarte à la crème répétitive, mais avec des arpèges.

Les Rêves d'Amour de Liszt, par exemple.

Chopin, ce n'était pas ses noctures, ca c'est sur non c'était vaiment bizarre, genre des acrrods en arpèges en doubles croches en continu genre:

Do Mi(ascendant) Do Sol (descendant) *4 en continu puis
La Do La Mi *4

etc.... Avec des accords plaqués à gauche!

Ce ne sont pas les vraies notes, je me rappelle plus très bien, mais c'était un motif assez simple et répétitif.

Enfin le pianiste a préféré l'émotion à la virtuosité pour le Encore, j'ai pas été fan du tout. Ca m'a fait penser à du ..........Philip Glass!

Hicks a écrit:

Et quelle claque. C'est vraiment génial d'être juste derrière les musiciens et de voir toutes les expressions du chef d'orchestre

Je confirme, j'adore ces places, d'autant qu'elles sont dans la catégorie la moins chère (ou l'une des moins chères). J'avais entendu Casadesus et l'orchestre de Lille dans la 4ème de Mahler, c'était fantastique. Voir le chef de face comme ça, comment dire... on s'identifie ! Là où le bat blesse, c'est pour les solistes : la sopran aurait pu rester dans la loge, ça n'aurai pas changer grand-chose pour moi...

Xavier a écrit:

on entend beaucoup trop cuivres et percussions.

ça par contre c'est indiscutable. Et ce qui fut supprotable dans la 4ème ne l'aurait probablement pas été dans la suivante...

Bah hier soir j'étais justement en arrière scene pour le cycle 2 de Proko.

J'étais tellement fatigué que je suis parti à l'entracte, mais très très bau concerto pour Violon (et le encore était incroyable). Par contre je suis moyennement réceptifs aux symphonies, même si la 2eme qui était jouée ce soir était celle qui m'a le plus plu!

c'est franchement injuste, les trois nocturnes de Liszt sont de très belles pièces (pas comme les plats de nouilles du même nom de Chopin).

Même pas. C'est anecdotique, mais tout à fait joli.

sud273 a écrit:

c'est franchement injuste, les trois nocturnes de Liszt sont de très belles pièces (pas comme les plats de nouilles du même nom de Chopin).

Sais-tu que tu ne m'aides pas?

HS

Moi j'allais dire flood.

Par définition des élucubrations sur Liszt et Chopin c'est du flood

voilà flood déplacé, vous pouvez en revenir à Prokofiev...
ça reste du flood ailleurs évidemment. A toute opinion, le silence est préférable

Vartan, Xavier... nous cherchons avec passion cette tarte à la crème arpégée obsessionnelle... par définition ce ne peut être de Liszt, même si la provocation est grosse... il fallait absolument corriger.

Maintenant, on a de nouveaux éléments, moi personnellement je ne vois pas trop ce que veut dire Hicks.

Je suis le seul à aller voir Matthias Gorne dans Le cor merveilleux de l'enfant ce soir ?

Ah, c'était trop bien ce concert !

Ca a commencé doucemment par l'ouverture La fiancée de Messine et le Konzertstück pour quatre cors et orchestre de Schumann. N'étant pas fan de l'orchestral pur ni de Schumann, j'avoue n'avoir pas été très attentif, mais ça m'a semblé bien interprété, vif etc. Quand j'ai tilté "quatre cors" + cornistes de l'OP j'ai eu un peu peur à cause de tout ce que j'en avais entendu, mais c'était vraiment très bien, rien à redire. Ils ont même été bissés. Pour Mahler c'était par contre vraiment excellent, très contrasté, très clair et avec des couleurs magnifiques.
Après l'entracte j'ai pu passer du deuxième balcon (qui est déjà très bien, avec la super acoustique en plus) au premier et admrer les traits de Super Matthias.
Je ne vais pas m'étendre sur sa qualité de chanteur que tout le monde a pu constater, mais vraiment l'impact physique est incroyable. Il n'a l'air de rien comme ça (quoiqu'il est plus grand que ce que j'imaginais) à ne pas savoir quoi faire de ses bras, se tocher régulièrement le nez... Et puis au fur et à mesure on le voit bouger ses mains au gré des vagues de l'orchestre, se dresser sur la pointe de pieds pour attraper une note un peu haute puis se mouvoir complètement en fonction de la musique et habiller les personnages. Le voir faire tour à tour le paysan, la jeune fille, l'âne et le militaire est un régal. Tout est habité, sans jamais surjouer, faisant parfois rire ou frissonner.
Bref, autant vous dire que j'étais dans tous mes états, je voulais absolment aller le voir. Entouré de gens qu'il semblait connaitre venus le féliciter, il a du trouver étrange de voir un petit gars tremblant venir balbutier quelques mots dans un anglais déplorable.

Matthias qui est il chantait quoi?

Wolferl a écrit:

Quand j'ai tilté "quatre cors" + cornistes de l'OP j'ai eu un peu peur à cause de tout ce que j'en avais entendu, mais c'était vraiment très bien, rien à redire.

Tu as dû entendre Super JR.

Xavier a écrit:

Matthias qui est il chantait quoi?

Mince, c'est vrai que j'oublie de dire tout ça.

C'était évidemment Matthias Goerne qui chantait Des Knaben Wunderhorn.

Dirigé par Eschenbach?

Oui, chef.

Pour ceux que ça intéresse, le concert est retransmis jeudi 6 novembre à 14h30 sur France Musique.

Merci, je cherchais mais ne trouvais pas. Je crois aussi qu'on a Goerne aussi sur Fr. Musique le 3 novembre dans l'après-midi.

Demain soir:

25/10/2008 20:00

Orchestre National du Capitole de Toulouse
Tugan Sokhiev : direction
Nelson Freire : piano

Edvard Grieg
Concerto pour piano

Dmitri Chostakovitch
Symphonie n°5

Wolferl a écrit:

Quand j'ai tilté "quatre cors" + cornistes de l'OP j'ai eu un peu peur à cause de tout ce que j'en avais entendu, mais c'était vraiment très bien, rien à redire.

Ah, mais ce sont de très bons instrumentistes. Il y en a juste deux qui sont (et c'est une chance) aussi bêtes que méchants. (Car Dieu sait qu'ils sont méchants...)

Citation :

Je ne vais pas m'étendre sur sa qualité de chanteur que tout le monde a pu constater, mais vraiment l'impact physique est incroyable.

Oui, on dirait toujours qu'il enveloppe la salle dans le velours de sa voix. Ce n'est pas du tout un gros volume, mais il a quelque chose de prégnant, c'est terrible.

Dommage quand même qu'il ne chante que les mêmes tubes, sans arrêt... Je prends plus de plaisir à l'écouter que DFD, mais si on doit compter sur lui pour enregistrer du Zelter et du Schoeck, on n'est pas rendus...
Il est vrai que les temps discographiques sont difficiles, mais il en va de même en concert.

Ca intéresse quelqu'un d'aller voir Boulez diriger la 4ème de Mahler et les Knaben Wunderhorn par Dorothea Röschmann lundi 3 novembre ?
Je suis un imbécile, je pourrai pas y aller...

Ich !

Wolferl a écrit:

les Knaben Wunderhorn

Tu voulais te les taper combien de fois dans l'année?