Plácido Domingo

Otello a écrit:

Xavier a écrit:

Donc tu écoutes toutes les interprétations de toutes les oeuvres de tous les compositeurs??

de toutes les oeuvres de tous les compositeurs que j'aime oui.

Et pourquoi pour les oeuvres et les compositeurs tu ne t'obliges pas de la même façon, pour pouvoir apporter la contradiction également?

@Otello:J'espère pour toi que tu n'aimes ni Haydn, ni Mozart, ni Beethoven, ni Schubert...

ni Bach

arnaud bellemontagne a écrit:

@Otello:J'espère pour toi que tu n'aimes ni Haydn, ni Mozart, ni Beethoven, ni Schubert...

ben bien sûr que si!! pourquoi ?

Xavier a écrit:

Otello a écrit:

Xavier a écrit:

Donc tu écoutes toutes les interprétations de toutes les oeuvres de tous les compositeurs??

de toutes les oeuvres de tous les compositeurs que j'aime oui.

Et pourquoi pour les oeuvres et les compositeurs tu ne t'obliges pas de la même façon, pour pouvoir apporter la contradiction également?

excuse moi mais là je ne pige pas bien ta question!!

Otello a écrit:

arnaud bellemontagne a écrit:

@Otello:J'espère pour toi que tu n'aimes ni Haydn, ni Mozart, ni Beethoven, ni Schubert...

ben bien sûr que si!! pourquoi ?

Tu ecoutes toutes les interpretations de toutes leurs oeuvres?

arnaud bellemontagne a écrit:

Otello a écrit:

arnaud bellemontagne a écrit:

@Otello:J'espère pour toi que tu n'aimes ni Haydn, ni Mozart, ni Beethoven, ni Schubert...

ben bien sûr que si!! pourquoi ?

Tu ecoutes toutes les interpretations de toutes leurs oeuvres?  

Si tu te limites aux opéras de Mozart, aux lieds de Schubert, à Fidelio et aux oratorio de Hadyn ... il y a déjà de quoi y passer ... une vie.

Otello, tu as écouté toutes les versions de tous les quatuors de Haydn?

arnaud bellemontagne a écrit:

Otello a écrit:

arnaud bellemontagne a écrit:

@Otello:J'espère pour toi que tu n'aimes ni Haydn, ni Mozart, ni Beethoven, ni Schubert...

ben bien sûr que si!! pourquoi ?

Tu ecoutes toutes les interpretations de toutes leurs oeuvres?  

dès que je le peux oui! je ne vois pas pourquoi tu ricanes!

@Xavier:Là même David peut pas suivre...

arnaud bellemontagne a écrit:

Là même David peut pas suivre...

Ah mais si pardon ... David lui c'est toutes les œuvres composées en occident
Même celles où c'est lui qui fait les fouilles en bibliothèque pour découvrir une œuvre inconnue

Ouais mais pas toutes les versions!
A part s'il a le pouvoir de se cloner.

Otello a écrit:

arnaud bellemontagne a écrit:

Otello a écrit:

arnaud bellemontagne a écrit:

@Otello:J'espère pour toi que tu n'aimes ni Haydn, ni Mozart, ni Beethoven, ni Schubert...

ben bien sûr que si!! pourquoi ?

Tu ecoutes toutes les interpretations de toutes leurs oeuvres?  

dès que je le peux oui! je ne vois pas pourquoi tu ricanes!

Je pense que tu sous-entends "oeuvres vocales", sans cela c'est juste impossible, même en plusieurs vies...

Cololi a écrit:

Si tu te limites aux opéras de Mozart, aux lieds de Schubert, à Fidelio et aux oratorio de Hadyn ... il y a déjà de quoi y passer ... une vie.

rajoute tous les opéras de Rossini, de Bellini, de Donizetti, de Verdi, de Puccini et de tant d'autres compositeurs italiens, français, allemands, russes, ... et idem pour plein d'oeuvres religieuses et de concertos, et de symphonies et j'ai 47 ans et ma vie est loin d'être terminée (du moins je l'espère). ça fait plus de 40 ans que tout a commencé dans ce domaine pour moi et franchement en dehors de mon boulot, ça occupe tout le reste de ma vie.

je signale quand même que c'est complètement hors-sujet par rapport à Domingo et que ma petite vie perso, on s'en fout complètement!

C'était juste pour comprendre ce qui peut pousser à cette démarche qui est un peu incompréhensible (voire absurde) à mes yeux.

Ce dialogue entre le sociopathe exhaustif et le sociopathe qui écoute toutes les versions des pièces à quatre modulations par mesure, et qui s'émerveille de l'excentricité du sociopathe exhaustif, est absolument divin.

... dit le troisième sociopathe.

Xavier a écrit:

C'était juste pour comprendre ce qui peut pousser à cette démarche qui est un peu incompréhensible (voire absurde) à mes yeux.

l'amour des oeuvres, la volonté de les voir respectées et la lutte contre le moutonisme déculturé et déculturant.

DavidLeMarrec a écrit:

Ce dialogue entre le sociopathe exhaustif et le sociopathe qui écoute toutes les versions des pièces à quatre modulations par mesure, et qui s'émerveille de l'excentricité du sociopathe exhaustif, est absolument divin.

... dit le troisième sociopathe.

Otello a écrit:

Xavier a écrit:

C'était juste pour comprendre ce qui peut pousser à cette démarche qui est un peu incompréhensible (voire absurde) à mes yeux.

l'amour des oeuvres, la volonté de les voir respectées et la lutte contre le moutonisme déculturé et déculturant.

Précisément, comment peux-tu souffrir d'entendre autant de versions (la majorité semble-t-il) les "défigurer"?

arnaud bellemontagne a écrit:

@Xavier:Là même David peut pas suivre...

Détrompe toi , ça serait plutôt nous qui ne pouvons pas suivre David

Placido Domingo hospitalisé à Madrid après une embolie pulmonaire

http://www.lemonde.fr/culture/article/2013/07/09/placido-domingo-hospitalise-a-madrid-apres-une-embolie-pulmonaire_3445153_3246.html

sebby a écrit:

Placido Domingo hospitalisé à Madrid après une embolie pulmonaire

http://www.lemonde.fr/culture/article/2013/07/09/placido-domingo-hospitalise-a-madrid-apres-une-embolie-pulmonaire_3445153_3246.html

Aïe ! Voila une mauvaise nouvelle  

Le Trovatore de Salzbourg défile ; je l'enregistre et j'écouterai vraiment attentivement dans un second temps (je n'aime pas trop faire des commentaires en temps réel tellement la relation à une représentation se construit, pour moi, sur un temps long qui est, a minima, celui de l'écoute intgérale).
Mais j'ai lu ceci sur le blog du Wanderer : sans rien laisser de côté, sans illusions ni facilités non plus, c'est une vraie déclaration d'amour qu'il fait à Domingo.
"Placido Domingo est le Conte di Luna, il ose cette saison (il l'a déjà fait à Berlin) l’un des rôles de baryton les plus exposés ; dès l’entrée Tace la notte, on reste frappé par la largeur du son, le timbre d’une couleur intacte, même si c’est celle d’un ténor, mais peu importe…par la tenue du chant : c’est miraculeux et émouvant. Et il balen del suo sorriso, pratiquement le seul authentique chant d’amour de la partition, est dit avec un tel art, avec un tel phrasé qu’on en reste ébahi. Mais l’immense artiste qu’il est, un miracle vivant, éprouve de très sérieuses difficultés dans les ensembles au tempo plus rapide (par exemple, le trio du premier tableau « le duel ») où on le sent contraint de reprendre systématiquement son souffle, et donc faire quelques fautes de mesure malgré l’extrême attention de Daniele Gatti : on le sent souffrir et c’est un peu difficile pour l’auditeur. Mais, il y a 41 ans, en 1973, j’écoutais Il Trovatore pour la première fois avec un certain Placido Domingo dans Manrico, je le retrouve quatre décennies plus tard dans ce même Trovatore, chantant avec la même intelligence, la même concentration, le même engagement. Je ne peux exprimer l’immense émotion qui me traverse, même en écrivant ces lignes, et l’immense respect pour ce monument qu’est notre Placido."
http://wanderer.blog.lemonde.fr/2014/08/11/salzburger-festspiele-2014-il-trovatore-de-giuseppe-verdi-le-9-juillet-2014-dir-mus-daniele-gatti-ms-en-scene-alvis-hermanis-avec-placido-domingo-et-anna-netrebko/

J'ai lu moi aussi cet article. On ne peut nier que Domingo à son âge reste impressionnant en terme d'engagement dramatique et de générosité mais il faut arrêter l'imposture qui consiste à s'approprier les rôles de baryton chez Verdi.

Oh ! Moi, tu sais, ce que j'en pense...
Je ne rouvrirai pas un débat vieux comme les premiers Simone Boccanegra de Domingo (et même plus largement, comme son Figaro et son esquisse-de-projet-d'embryon de Don Gio')... et auquel j'ai, d'ailleurs, abondamment participé ; ici ou là  !

aurele a écrit:

il faut arrêter l'imposture qui consiste à s'approprier les rôles de baryton chez Verdi.

Pour élargir : ailleurs que chez Verdi, ça serait moins problématique, à ton avis ?
(EDIT: spontanément, je l'aurais attendu dans Scarpia ; lequel ne semble pas vouloir venir  .)

Non, ce ne serait pas moins problématique mais le baryton-verdi est un baryton particulier.
Je ne sais pas ce que cela peut donner en Athanaël par exemple, rôle qu'il a déjà chanté me semble-t-il 3-4 fois, au-delà d'un français qui n'est pas le plus idiomatique qui soit
En Scarpia, cela n'irait pas du tout : un grave faible, il s'étranglerait dans les aigus.

Je regarde en ce moment même son dernier "Il trovatore" dans lequel il incarne le Comte de Luna et je dois dire qu'il reste très impressionnant ... Toujours une énergie, une présence ... C'est définitivement un grand artiste ce Domingo

L'énergie et la présence ne suffisent pas, surtout dans un rôle taillé pour un baryton-Verdi.

aurele a écrit:

Non, ce ne serait pas moins problématique mais le baryton-verdi est un baryton particulier.
Je ne sais pas ce que cela peut donner en Athanaël par exemple, rôle qu'il a déjà chanté me semble-t-il 3-4 fois, au-delà d'un français qui n'est pas le plus idiomatique qui soit
En Scarpia, cela n'irait pas du tout : un grave faible, il s'étranglerait dans les aigus.

Enfin un rôle comme Athanaël ne me semble pas plus facile que ce fameux "baryton-verdi"...

Je suis d'accord, mais il relève ce défi comme il se doit. Certes son timbre reste trop aiguë pour ce rôle et on le sent beaucoup, mais ça reste une très bonne production. ça donne aussi l'occasion de voir que Placido n'a rien perdu de sa voix et que son côté Baryton lui permet de faire beaucoup de choses. Il m'étonnera toujours   

L'aigu est forcé chez Domingo.

aurele a écrit:

L'énergie et la présence ne suffisent pas, surtout dans un rôle taillé pour un baryton-Verdi.

J'ai toujours trouvé la définition Baryton-Verdi assez floue cela dit, je sais encore moins différencier cette voix des autres Barytons

Le Wanderer, il a le droit d'être ému par tout ce qu'il veut mais on n'a quand même pas le droit de raconter tout et n'importe quoi!
On peut avoir avoir beaucoup de respect pour l'immense carrière de Domingo sans pour autant se prosterner devant tout ce qu'il est en train de faire, surtout quand c'est mauvais. Or, dans ce Trovatore, Domingo, certes apparemment quelque peu souffrant, a été non seulement mauvais mais il a été la catastrophe vocale de la soirée! Oui il y a énergie et engagement scénique appréciables surtout pour son âge (mais dans l'absolu il ne s'est pas non plus montré ce soir l'acteur du siècle, occupé qu'il était d'ailleurs à régulièrement s'essuyer la bouche!)! Donc bravo pour une telle santé physique à cet âge là mais ça s'arrête là!
Parce que pour ce qui est du chant, pauvre Verdi!! Entre les prises d'air inconsidérées, les aigus ratés ou mal engagés, les ruptures permanentes du phrasé et donc de la dynamique du chant verdien, les coups de glottes incongrus et quelques aboiements, la décoloration du timbre dès le haut medium, les tentatives de forcer un grave inexistant, ... le tout sur un timbre de ténor qui n'a à la base rien à faire là, le pauvre Giuseppe s'en est pris plein la tronche! Rarement le Comte de Luna aura été aussi mal chanté avec notamment son Aria totalement ratée! Tout le phrasé verdien y a été littéralement détruit et pour cause: de toute la soirée, Domingo n'a fait que se battre contre l'asphyxie. Chaque fois qu'il a ouvert la bouche, Verdi était absent! (d'autant que certains effets véristes du plus mauvais goût pointaient de ci de là!)
Or, je suis désolé mais Verdi passe avant Domingo!
Et fort heureusement, Verdi, on l'a eu ce soir, pleinement, royalement, sublimement avec Anna Netrebko!

Otello a écrit:

Le Wanderer, il a le droit d'être ému par tout ce qu'il veut mais on n'a quand même pas le droit de raconter tout et n'importe quoi!

Ben en fait...

Si, on a le droit!   

Polyeucte a écrit:

Enfin un rôle comme Athanaël ne me semble pas plus facile que ce fameux "baryton-verdi"...

Loin s'en faut, on est d'accord ; donc, soit ça marche partout, soit ça ne marche nulle part, pas plus dans Verdi que dans Massenet ou Puccini (Schicchi à venir). Mais je ne sais pas, peut-être que Massenet ça paraît présenter moins d'enjeux  ? 

Otello a écrit:

Entre les prises d'air inconsidérées, les aigus ratés ou mal engagés, les ruptures permanentes du phrasé et donc de la dynamique du chant verdien, les coups de glottes incongrus et quelques aboiements, la décoloration du timbre dès le haut medium, les tentatives de forcer un grave inexistant, ... le tout sur un timbre de ténor qui n'a à la base rien à faire là, le pauvre Giuseppe s'en est pris plein la tronche!

Pour le coup, du point de vue du son seul, moi j'ai trouvé (de loin) que c'était beaucoup plus convaincant, "centré"/concentré voire sombre que beaucoup de ses prestations récentes (y compris que son dernier album que j'aime beaucoup pourtant et que j'écoute même régulièrement, a priori plus confortable dans une zone, elle, a priori inconfortable, grâce au studio) ; ajoutons qu'il était annoncé souffrant (il est généralement si ce n'est plus libre de son, mais au moins plus large de souffle, au-delà de l'engagement qui laisse béant et devant lequel on ne peut que s'agenouiller bien humblement).

Xavier a écrit:

Otello a écrit:

Le Wanderer, il a le droit d'être ému par tout ce qu'il veut mais on n'a quand même pas le droit de raconter tout et n'importe quoi!

Ben en fait...

Si, on a le droit!  

Et, de fait, personne ne s'en prive  !

N'empêche que j'ai pas remarqué tout ces "défauts" et que j'ai apprécié (Je dois être moins puriste )

Rwandrall a écrit:

j'ai apprécié (Je dois être moins puriste )

Allez va, ne t'inquiète pas ; dans l'ensemble, on est au moins deux  !

Rwandrall a écrit:

N'empêche que j'ai pas remarqué tout ces "défauts" et que j'ai apprécié (Je dois être moins puriste )

peut-être pas non plus entendu et donc pas l'oreille éduquée à la manière dont cette musique doit être interprétée ... c'est pas grave, ça arrive. Et dans cette aria il y a notamment, et c'est une des composantes majeures du chant verdien, tout un legato qui doit se déployer sans aucune rupture, sans aucune reprise d'air incongrue et qui est portée par l'orchestre. Il suffit d'écouter cette aria chantée par de vrais barytons au style verdien pour réaliser l'étendue du ravin et du ravage fait par Domingo: Robert Merrill, Ettore Bastianini, Sherrill Milnes, Mario Sereni, Piero Cappuccilli, Giorgio Zancanaro, Leo Nucci, et plus près de nous, Dimitri Hvorostovsky.

Je suis d'accord   
Mais ce qui m'a fait apprécier cette production c'est que les chanteurs y prenaient un plaisir fou ! Malgrès la difficulté de cette pièce Verdienne.
Surtout Papy Domingo qui y mettait un effort fou mais au vu de son âge personne ne s'attendait à quelque chose de parfait dans l'esprit Verdien.
Ce constat étant fait, son Comte était quand même impressionnant. Le timbre sombre n'y étant pas, il y mettait plus de tension. Le phrasé étant défectueux, il y mettait plus de passion.
Après c'est vrai que j'aurai pas dit non pour un vrai Baryton Verdi parce que tout ça manquait de poids.

Rwandrall a écrit:

Ce constat étant fait, son Comte était quand même impressionnant. Le timbre sombre n'y étant pas, il y mettait plus de tension. Le phrasé étant défectueux, il y mettait plus de passion.

oui mais le souci, c'est que ça n'était plus du chant verdien (problématique quand l'ouvrage est de Verdi!) et que ça s'est transformé dans du Mascagni mal chanté. Si la voix d'un authentique baryton n'est pas là, si le phrasé est défectueux (à la vérité c'était bien pire que çà!), si le style n'est pas respecté, ... donc rien de ce qui est indispensable pour Verdi n'est au rendez-vous.
On appelle ça du malcanto! Eh ben oui désolé pappy Domingo y a mis peut-être de la tension et de la passion mais il a mal chanté, très mal chanté!
Il faut arrêter ce cinéma qui veut qu'à chaque fois qu'il ouvre la bouche, quelle que soit sa prestation, on continue à applaudir davantage la carrière de 52 années qu'autre chose et ce, avec toujours ce même argument qu'on lit de droite et de gauche: " ah oui mais vous comprenez à son âge et avec la carrière qu'il a derrière lui, quel tour de force tout de même!"
Oui chapeau pour l'endurance et pour la carrière mais ça n'excuse pas tout et je le répète: Verdi passe avant Domingo!

Rwandrall a écrit:

Le timbre sombre n'y étant pas, il y mettait plus de tension. Le phrasé étant défectueux, il y mettait plus de passion.

Ce que ne faisaient pas nécessairement des barytons du même âge (voire moins) estampillés "verdiens" (timbre et "manière") par les commentateurs et, eux, audiblement à bout de moyens (spontanément, je pense à Tagliabue en 53, c'est à dire à 55 ans, à la Scala avec Callas/Votto). Toutes choses étant égales par ailleurs et sans prétendre que la prestation de Domingo était parfaite ; ce que tu dis bien mais qu'on ne lit pas forcément (on peut avoir apprécié dans la globalité sans avoir d'oeillères).
Donc, évidemment, ce n'est ni Battistini, ni Ruffo, ni De Luca, ni Molinari (un peu plus "tassé", lui). Mais personne n'a prétendu le contraire, après tout ; et c'est bien, là, toute la nuance (puisqu'on en est à raffiner, dans tous les sens du terme)  !

Va falloir se le farcir lors de la retransmission de I due foscari en direct de Londres; désolant   . Quand arrêtera-t-il de se prendre pour un baryton?

Quand sa voix ne lui permettra plus de le faire   

J'ai un autre pronostic, mais comme il ne va faire plaisir à personne, je le garde pour moi.

Il arrêtera dans la tombe!

Il nous enterrera tous   

Rwandrall a écrit:

Il nous enterrera tous   

Il en a déjà enterré tellement (dont certains, de flatteuse réputation ; et même supposément plus/mieux armés que lui) que ça ne m'étonnerait pas  !

Pavarotti fait un bien maigre triomphe comparé à Domingo à la Fnac

Rwandrall a écrit:

Quand sa voix ne lui permettra plus de le faire   

Comme il n'a jamais été baryton, elle ne lui permet déjà pas de le faire