Signatures.

jerome a écrit:

Non.
Je sais pas si sa femme serait d'accord, ça serait délicat.

C'est en rapport avec l'aide précieuse que ce gentilhomme m'apporte dans mes déboires informatiques.

Ca explique cette signature un peu étrange

Kiwi a écrit:

jerome a écrit:

Je sais pas si sa femme serait d'accord, ça serait délicat.

Oh, avec des fleurs et une boîte de chocolat, tout passe.

Voilà bien la nature profonde des femmes

Toujours aussi galant Col . Comment est ce qu'on va te caser?

calbo a écrit:

Toujours aussi galant Col . Comment est ce qu'on va te caser?

Je ne fais que conclure logiquement la phrase de Kiwi

Avec des fleurs et du chocolat, pardi !

Kiwi a écrit:

Avec des fleurs et du chocolat, pardi !

Ok, je vois.
J'en connais un qui a intérêt à se ramener avec des fleurs et des chocolats (et pas du Lindt ... ou autre dégueulasserie industrielle )

Cololi a écrit:

calbo a écrit:

Toujours aussi galant Col . Comment est ce qu'on va te caser?

Je ne fais que conclure logiquement la phrase de Kiwi

Bien sûr . T'as plus qu'à te faire pardonner

antrav a écrit:

Kiwi a écrit:

Avec des fleurs et du chocolat, pardi !

Et un petit cd des Jackson Five, ça motivera.

Rien ne motive plus qu'un bon billet de 100 euro (ou alors un cheque en blanc quel manque de romantisme )

Edit : j'efface maintenant que tout le monde a vu et a bien rigolé...

Glocktahr a écrit:

Edit : j'efface maintenant que tout le monde a vu et a bien rigolé...

Zut, j'ai raté

Abnegor a écrit:

Glocktahr a écrit:

Edit : j'efface maintenant que tout le monde a vu et a bien rigolé...

Zut, j'ai raté

Je le réécris pas car c'était vraiment gore et Xavier m'en voudrait. Disons que j'essayais d'expliquer (avec humour) ce que rach pouvait espérer de la vie, des dames, avec 100 euros.

Glocktahr a écrit:

Abnegor a écrit:

Glocktahr a écrit:

Edit : j'efface maintenant que tout le monde a vu et a bien rigolé...

Zut, j'ai raté

Je le réécris pas car c'était vraiment gore et Xavier m'en voudrait. Disons que j'essayais d'expliquer (avec humour) ce que rach pouvait espérer de la vie, des dames, avec 100 euros.

Ah mince j'ai loupé ça aussi du coup

Aurèle, je ne trouve pas le jeu dont tu parles dans ta signature...

ici : https://classik.forumactif.com/t5514-petit-jeu-pour-s-amuser

C'était pour le fun et cela n'a eu aucun succès.

Je cite la signature d' Oblazeo : "l'art a besoin d'une philosophie interprétative capable de dire ce qu'il ne peut dire, alors que seul l'art serait cependant capable de le dire par le fait qu'il ne le dit pas.
ADORNO"

C'est le genre de trucs qui me dégoute de la philo. Ca à l'air puissant et logique mais je ne suis pas sur que ça veuille dire qqch, si qqn veut tenter une traduction...

Glocktahr a écrit:

Je cite la signature d' Oblazeo : "l'art a besoin d'une philosophie interprétative capable de dire ce qu'il ne peut dire, alors que seul l'art serait cependant capable de le dire par le fait qu'il ne le dit pas.
ADORNO"

C'est le genre de trucs qui me dégoute de la philo. Ca à l'air puissant et logique mais je ne suis pas sur que ça veuille dire qqch, si qqn veut tenter une traduction...

Je ne trouve pas que ça ait l'air logique, mais question de sensibilité.

Comment traduire ce machin ? ... Un truc du genre : l'art seul peut tout dire, y-compris ce qu'il ne peut pas dire...

Mais bon, la philo et moi...

Picrotal a écrit:

Glocktahr a écrit:

Je cite la signature d' Oblazeo : "l'art a besoin d'une philosophie interprétative capable de dire ce qu'il ne peut dire, alors que seul l'art serait cependant capable de le dire par le fait qu'il ne le dit pas.
ADORNO"

C'est le genre de trucs qui me dégoute de la philo. Ca à l'air puissant et logique mais je ne suis pas sur que ça veuille dire qqch, si qqn veut tenter une traduction...

Je ne trouve pas que ça ait l'air logique, mais question de sensibilité.

Comment traduire ce machin ? ... Un truc du genre : l'art seul peut tout dire, y-compris ce qu'il ne peut pas dire...

Mais bon, la philo et moi...

Ou encore, que seul l'art détient la clef qui nous ouvre les portes de l'extase créatrice et donc pouvoir nous amener tout droit à la vérité suprême !

C'est pas si compliqué, il faut l'interpréter de façon rigoureuse.

Le sujet est l'incapacité sociale de l'art, on ne peut le commenter qu'en le réduisant et le déformant ; hors l'art ne vit que pour ce qu'il a à dire mais qui par son abstraction est fragile et subjectif, comme une promesse au loin. Il faudrait donc commenter l'art par l'art, mais le serpent se mord la queue. D'où l’énigme source de puissance du message d'une œuvre d'art.
Toutes authentique œuvre d'art à quelque chose d'indéfinissable, qui dépasse la plus brillante et sincère analyse ; au mieux celle-ci ne sera que renforcer le pouvoir de communication mystérieux de l’œuvre, que renforcer son statut d'oeuvre d'art.

C'est beau.

Siegmund a écrit:

C'est pas si compliqué, il faut l'interpréter de façon rigoureuse.

Le sujet est l'incapacité sociale de l'art, on ne peut le commenter qu'en le réduisant et le déformant ; hors l'art ne vit que pour ce qu'il a à dire mais qui par son abstraction est fragile et subjectif, comme une promesse au loin. Il faudrait donc commenter l'art par l'art, mais le serpent se mord la queue. D'où l’énigme source de puissance du message d'une œuvre d'art.
Toutes authentique œuvre d'art à quelque chose d'indéfinissable, qui dépasse la plus brillante et sincère analyse ; au mieux celle-ci ne sera que renforcé le pouvoir de communication mystérieux de l’œuvre, que renforcer son statut d'oeuvre d'art.

Ouhla, c'est beau mais j'ai pas assez de neurones (et je dis ça sans mépris, ça veut surement dire qqch mais je n'ai pas les moyens intellectuels pour comprendre).

"l'art a besoin d'une philosophie interprétative capable de dire ce qu'il ne peut dire, alors que seul l'art serait cependant capable de le dire par le fait qu'il ne le dit pas.
ADORNO"

Le problème c'est qu'on ne peut pas expliquer la philosophie hors contexte. Sur la base de cette phrase a priori, je vois plusieurs sens possibles, mais le sens réel ne peut être établit que par l'analyse avec ce qui précède et ce qui suit - Adorno n'étant pas spécialement un penseur à aphorismes.
Il me semble, de ce que je connais d'Adorno, que l'hypothèse la plus probable formulée simplement serait qu'Adorno explique que l'oeuvre d'art est un message, que ce dont elle est le message n'est pas son message lui-même et que c'est grâce à cela qu'il est effectif et que ne peux pas l'être son interprétation. Je prends un exemple simple: un panneau de limitation de vitesse sur la route est un message aux conducteurs. Moi, je peux interpréter ce message, et produire un autre message que celui du panneau à mon interlocuteur pour lui expliquer: ce panneau est là pour éviter qu'il arrive des accidents. Et précisément ce panneau est là pour éviter des accidents, mais son message n'est pas "il faut éviter des accidents", mais bien "vitesse limitée à 50 km/h". Ainsi, ce panneau seul est capable de porter l'absence d'accidents, par le fait même qu'il ne le dit pas - tandis que moi, en expliquant que ce panneau est là pour éviter les accidents, je n'ai nullement influencé ou non l'apparition d'un accident avec la voiture qui se présente peu après. L'art pour être effectif, ne doit donc pas se dire lui-même, mais porter un message qui permet l'accomplissement de ce qu'il ne dit pas.
Un dernier exemple: si je te dis le mot "grandiose", tu ne ressentiras pas nécessairement en toi une émotion bouleversée vis-à-vis de la grandeur de ce que je viens de te dire. Au contraire, si je ne dis pas le mot grandiose, et que par un récit bouleversant je fais naître en toi le sentiment du grandiose, alors j'aurais su "te dire le grandiose" sans dire le mot "grandiose", j'aurais donc su te le dire par le fait que je ne l'aurai pas dit.
C'est la grande question de l'effectivité de l'art, à savoir qu'une analyse n'est pas effective comme l'est l'oeuvre qu'elle explique, car elle ne dit tout simplement pas la même chose. Et par là, seul l'artiste, par l'art, est capable de dire certaines choses.

Ah ok, j'ai à peu près compris, merci pour ce long message.

La signature de Cello :

"… Que nul semblant de rien en face.
Com ele aprisme son ami,
Oiez com el l’a devanci :
« Sire Tristran, por Deu le roi,
Si grant pechié avez de moi,
Qui me mandez a itel ore "

J'aurais du mal à lire des livres comme ça.

En général ce sont des textes proposés en éditions « bilingues ».

Picrotal a écrit:

En général ce sont des textes proposés en éditions « bilingues ».

Ah ok merci.

Tiens je n'avais pas fait attention à la signature de Parsifal...

Glocktahr a écrit:

La signature de Cello :

"… Que nul semblant de rien en face.
Com ele aprisme son ami,
Oiez com el l’a devanci :
« Sire Tristran, por Deu le roi,
Si grant pechié avez de moi,
Qui me mandez a itel ore "

J'aurais du mal à lire des livres comme ça.

Picrotal a écrit:

En général ce sont des textes proposés en éditions « bilingues ».

Ah ben oui, je fais le malin mais je ne suis pas fou .

Tiens !

Comme c'est étrange !

La mienne vient juste de changer !

(Bon, j'avoue : je fais un peu de pub pour mon nouveau BT)

"Écouter Leontyne Price devrait être remboursé par la Sécurité Sociale"

Parce qu'il faut aller chez un ORL après c'est ça ?

Nan parce qu'elle permet de se nettoyer les z'oreilles après avoir écouté Wagner

calbo a écrit:

Nan parce qu'elle permet de se nettoyer les z'oreilles après avoir écouté Wagner

J'ai fais l'expérience après avoir vu un capitaliste en cravate rouge et ça a fonctionné.

Discoble .

On n'arrête pas de découvrir de nouvelles sources sur les compositeurs passés

A chaque fois que je tombe sur un de tes posts, je dois absolument relire ta signature de bout en bout. Et je me marre à chaque fois. Ca ralentit considérablement ma participation au forum .

Je viens de découvrir la signature d'Aroldo

Spoiler:

La signature de Parsifal rappelle que, quelquefois, Desproges pouvait vraiment faire preuve de mauvaise foi. Je lui pardonne tout, il avait le génie de son côté, mais bon. Le peu que j'ai lu de Duras m'a soufflé par son style étonnant, éloquent, discret mais terriblement raffiné et efficace à la fois. Un grand écrivain, forcément. Mais elle avait le malheur d'être moche et vieille, et ça les hommes ne pardonnent pas. On les voit aujourd'hui se pâmer devant des écrivaillonnes pathétiques parce qu'elles ont un joli cul, mais une nana avec du talent ça les laisse moqueurs si le physique ne suit pas. En revanche, ils seraient les premiers à trouver indécents que l'on puisse rejeter un auteur mâle à cause de son apparence.

Et puis, surtout, Duras faisait nettement moins de fautes de conjugaison... A moins que, dans le cas de la signature de Parsifal, cela soit voulu.

Mauvaise foi peu être, mais tellement drôle. L'anecdote racontant qu'il s'amusait dans les restaurants, par exemple, à laisser dans le livre d'or : "Ge m'é byen raigaler" signé Marguerite Duras, avec autant si ce n'est plus de fautes que j'en ai faite là me fait toujours mourir de rire !

La signature de cololi :

"Laissons les jolies femmes aux hommes sans imagination - Proust (Albertine disparue)"

Je ne sais pas trop quoi dire mais je trouve ça intéressant.

C'était pour se consoler parce qu'il arrivait pas à pécho, le Proust, c'est tout.

Xavier a écrit:

C'était pour se consoler parce qu'il arrivait pas à pécho, le Proust, c'est tout.

Oui. C'est pour ça que c'est assez triste.

C'est surtout parce qu'il était homo

je crois pas que ce soit les femmes qu'il essayait de pécho

Plus sérieusement, c'est bien plus complexe que ça.

Oui, pas d'homophobie primaire !

Picrotal a écrit:

La signature de Parsifal rappelle que, quelquefois, Desproges pouvait vraiment faire preuve de mauvaise foi. Je lui pardonne tout, il avait le génie de son côté, mais bon. Le peu que j'ai lu de Duras m'a soufflé par son style étonnant, éloquent, discret mais terriblement raffiné et efficace à la fois. Un grand écrivain, forcément. Mais elle avait le malheur d'être moche et vieille, et ça les hommes ne pardonnent pas. On les voit aujourd'hui se pâmer devant des écrivaillonnes pathétiques parce qu'elles ont un joli cul, mais une nana avec du talent ça les laisse moqueurs si le physique ne suit pas. En revanche, ils seraient les premiers à trouver indécents que l'on puisse rejeter un auteur mâle à cause de son apparence.

Et puis, surtout, Duras faisait nettement moins de fautes de conjugaison... A moins que, dans le cas de la signature de Parsifal, cela soit voulu.

Objection votre honneur et foin de cet argument fallacieusement anti-machiste, Duras n'a pas toujours été vieille et moche, elle n'avait qu'à moins picoler.

Ceci dit, on peut apprécier ou pas l'écrivain, voire la cinéaste (personnellement, je serais moins cruel que Parsifal à propos d'India Song), mais ce qui est certain c'est que ses écrits sur le cinéma, regroupés en un opuscule que Parsifal a dû lire, sont assez gratinés. Ce sont certainement eux dont il se moque avant tout dans sa signature.

Et il faut tout de même reconnaître que Parsifal maîtrise assez bien le style Duras, cf. https://classik.forumactif.com/t6190p550-le-jeu-des-films-a-coucher-dehors#780521

Ave do Brasil a écrit:

Oui, pas d'homophobie primaire !

Ce n'en était pas, juste une évidence…

Picrotal a écrit:

La signature de Parsifal rappelle que, quelquefois, Desproges pouvait vraiment faire preuve de mauvaise foi. Je lui pardonne tout, il avait le génie de son côté, mais bon. Le peu que j'ai lu de Duras m'a soufflé par son style étonnant, éloquent, discret mais terriblement raffiné et efficace à la fois. Un grand écrivain, forcément. Mais elle avait le malheur d'être moche et vieille, et ça les hommes ne pardonnent pas. On les voit aujourd'hui se pâmer devant des écrivaillonnes pathétiques parce qu'elles ont un joli cul, mais une nana avec du talent ça les laisse moqueurs si le physique ne suit pas. En revanche, ils seraient les premiers à trouver indécents que l'on puisse rejeter un auteur mâle à cause de son apparence.

De mauvaise foi pas forcément son œuvre de cinéaste est particulièrement absconse et puis pour ma part le pas mal que j'ai lu de Duras m'a soufflé par un style pénible, fatigant a force de répétition, avec des phrase tordu dans tout les sens pour essayer de donner un vernis avant gardiste/intellectuel/poétique/métaphysique/hallucinés/sibyllins, rayez la mention que vous voudrez, a des histoires qui n'excède que rarement un sentimentalisme harlequin (Barbara Cartland, Marguerite Duras même combat! ), la principale différence c'est que chez Duras il y a plus de sexe (et encore dans certains romans harlequin... )
Sinon c'est marrant le machisme c'est l'argument qu'on balance souvent aux détracteur de Duras, on me l'a déjà dit ça, on a beau concentré nos critique sur les oeuvres, dire clairement ce qui nous dérange avec des arguments purement littéraire non c'est parce qu'elle est une femme qu'on ne peut la voir en peinture, évidement rien a voir avec une quelconque opinion littéraire
Je pense que si Duras est la cible de tant de moquerie, ce n'est pas parce qu'elle était une femme mais plutôt a cause de son personnage, avec sa façon de parler en faisant de longue pause comme si elle était la pythie délivrant son message au monde entier, sa façon de se mêler de tout quitte a faire du tort a certaine personne (son article sur l'affaire Gregory), et je pourrais donner une longue liste des bêtises qu'elle a pu écrire sur le cinema (je conseille la lecture de son livre les yeux verts c'est trés drôle), Alifie en a donné un exemple dans le jeux des films a coucher dehors: "le seul cinéma possible : qu'il n'y ait plus de cinéma !" je pense que c'est a Duras en tant que personnalité culturelle omniprésente après son prix Goncourt et ayant la grosse tête que Desproges se réfère avec sa petite phrase, plus qu'a son talent d'écrivain...

(India Song j'avoue que je ne comprendrais jamais ce que l'on peut trouver a ce truc autant ses livres a la limite je peux comprendre, mais alors ses films )

Parsifal a écrit:

India Song j'avoue que je ne comprendrais jamais

Pourtant la musique du film est très facile à jouer au piano !

Ceci étant, n'aurais-tu pas une petite tendance à un certain conservatisme en matière de cinéma, excluant, outre Marguerite Duras, les Straub, Rohmer, un certain cinéaste transalpin dont tu reconnais tout de même l'importance, sans compter que tu n'as vu aucun des passionnants films de 4h30 d'Angelopoulos (probablement les meilleurs d'ailleurs, toute plaisanterie mise à part) ou encore les trépidants thrillers des frères Taviani. A côté de ça, ta passion pour la filmographie du couple de réalisateurs Bernard-Henri & Arielle (tes Straub à toi ?) laisse pantois !

Alifie a écrit:

Parsifal a écrit:

India Song j'avoue que je ne comprendrais jamais

Pourtant la musique du film est très facile à jouer au piano !

Ceci étant, n'aurais-tu pas une petite tendance à un certain conservatisme en matière de cinéma

Peut être
cela dit j'adore la première partie d'Hiroshima mon amour (la plus expérimentale) malgré le texte insupportable et d'une manière général j'aime bien Resnais (grosse admiration pour Providence et Je t'aime je t'aime)
Ensuite Fellini, Kubrick, Kurosawa (pour certains films au moins), Welles, le Godard premiére période, Bergman, Tarkovski, Lynch, Bela Tarr (oui oui aussi étonant que ça puisse paraitre ) Cassavetes, Seijun Suzuki, Oshima, Wakamatsu, Yoshida, Tsui Hark (un vrai expérimentateur), Bresson et même Melville ne me semble pas des figures particulièrement conservatrices

Rohmer ce n'est quand même pas très expérimental/ transgressif/avant-gardiste ou je ne sais quoi… * (ou alors hélène et les garçons l'est aussi ). Et puis côté conservatisme, Rohmer, il s'y connait

*il me semble qu'esthétiquement, il avait une fâcheuse tendance à regarder vers le XVIIe…