Playlist (48)

alexandre. a écrit:

Allez tous écouter ça bande de mécréants, on verra si vous faîtes toujours les malins après :

D'accord Oussama!

Strauss : Sonate pour piano et violon op 18
Schubert : Lieder - hors cycle (DFD / Moore)

Rach-phaël06 a écrit:

ysov a écrit:

Pas mal, quelques similitude, mais si tu remarques bien l'expression de Rudi comme dit bien Alexandre Oussama, il semble en avoir fumé du bon... Donc, le Druken et ses bulles va mieux que Yoda.

Clara Schumann: Trio avec piano op.17. Une des saprés belles oeuvres de cette pianiste compositrice.

Une merveille, ces 4 CDs ! Les Busch-Serkin, bien sûr…

Mozart, Concerto K.466. Yvonne Lefebure, Furt
Beethoven, Symphonie 6, Furt à Lugano en 1954
Bruckner, Symphonie 9. Abendroth

C'est le pied, les vacances !

Brahms : Ouverture tragique + 3e symphonie, Abbado

Mahler: Symphonie No.1 (Walter/NBC)

Ah tiens, moi aussi:
Mahler ~ Symphonie no 1 (Tennstedt) Une lecture claire, évidente. Magnifique, vivement que je puisse écouter les autres.

Et maintenant:
Janequin, Sermisy ~ Les cris de Paris (Ensemble Clément Janequin)

jibv a écrit:

Ah tiens, moi aussi:
Mahler ~ Symphonie no 1 (Tennstedt) Une lecture claire, évidente. Magnifique, vivement que je puisse écouter les autres.

Sa 6e est épique .

Abbado me convainc beaucoup dans cette 3e de Brahms. Très solaire.

Xavier a écrit:

WoO se lamente depuis un moment mais il a raison: c'est vraiment dommage tous ces commentaires qui se perdent en Playlist, alors qu'il y a des sujets qui n'attendent que de recevoir tout ça.
Faites ce petit effort qui consiste à chercher le sujet adéquat et à y poster, les indexs ont été mis à jour, faites en sorte que ça n'ait pas été fait pour rien!
C'est quand même mieux pour retrouver une discussion plus tard, sinon tout se perd...

Ben d'un autre côté, ça permet d'avoir des avis différents sur moult choses et d'avoir des idées de découverte sans avoir à naviguer dans 36 fils (ça en devient une pelote). Quitte à aller approfondir la chose dans le topic dédié.
Et même si, avec les vacances, ça débite sur les playlists.... faut suivre, je travaille, moi.

Ne t'en fais pas, il y en a encore qui bossent ici .

Schubert, Quatuor n°14, Berg
Schubert, Quatuor n°14, Busch
Ils sont insupportables ces Berg, les Busch c'est quand même autre chose.

Horatio a écrit:

jibv a écrit:

Ah tiens, moi aussi:
Mahler ~ Symphonie no 1 (Tennstedt) Une lecture claire, évidente. Magnifique, vivement que je puisse écouter les autres.

Sa 6e est épique .

Je le note dans mon programme pour demain.

Horatio a écrit:

Ne t'en fais pas, il y en a encore qui bossent ici .

C'est vrai qu'en CH vous avez moins de congés qu'en France à Noël...

alexandre. a écrit:

Schubert, Quatuor n°14, Berg
Schubert, Quatuor n°14, Busch
Ils sont insupportables ces Berg, les Busch c'est quand même autre chose.

Je ne sais pas pour Schubert, mais pour les avoir écoutés tous les deux dans Beethoven récemment, je suis tout à fait d'accord.

Mahler: Symphonie No.2; Klemperer

jibv a écrit:

Horatio a écrit:

Ne t'en fais pas, il y en a encore qui bossent ici .

C'est vrai qu'en CH vous avez moins de congés qu'en France à Noël...

J'finis le 23. Au soir. .

______________________
Abbado, toujours aussi solaire dans cette 3e. Bon sang, je ne m'attendais pas à une pareille claque.

Charpentier : Médée
invocation de l'acte III (le sommet bien que les grands duos et le triomphe du I soient paroxystiques eux aussi)
Hunt / Christie II

LULLY : Atys
acte II
Christie 2011

Ah, j'ai acheté aussi le Pelléas de Dutoit, une version superbe, même si je n'ai pour l'instant écouté que le CD 1. J'adore le Golaud de Cachemaille, comme son Nevers. Mais j'ai des difficultés à trouver Baudo qui m'avait tout l'air de version ultime... il va falloir que je la commande un jour.

Horatio a écrit:

Abbado me convainc beaucoup dans cette 3e de Brahms. Très solaire.

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Mahler : 7eme symphonie, version Bernstein 1985

Ravel : Gaspard de la Nuit, version Samson François idem

Percy Bysshe a écrit:

alexandre. a écrit:

Schubert, Quatuor n°14, Berg
Schubert, Quatuor n°14, Busch
Ils sont insupportables ces Berg, les Busch c'est quand même autre chose.

Je ne sais pas pour Schubert, mais pour les avoir écoutés tous les deux dans Beethoven récemment, je suis tout à fait d'accord.

_____________________

Sinon, ici, j'ai obéi à Alexandre

Mozart, Sonates pour violon K.380 et 481
Schubert, Rondo pour piano et violon D.895
Brahms, Sonate opus 108. Là on peut pleurer, vraiment… Ce qui se passe est au-delà des mots…

@ jbv et sa réponse à Xavier.

Xavier a ce soucis qui est très logique, car en effet, se limiter qu'au playlist pour s'affirmer serait le carphanaüm subito presto, sans compter que ça disparaît tranche par tranche. L'idée d'élaborer dans un topic qui disparait éventuellement c'est correct, mais pour le bénéfice des néophytes qui veulent savoir, les topics durables doivent être à l'occasion visités par les habitués comme nous, afin de transmettre
et que ça RESTE.

Mais je suis le premier à déroger sur cette nécessité... car tu as raison le temps est tel que se fendre en quatre est pas évident du tout.

Mariefran a écrit:

Percy Bysshe a écrit:

alexandre. a écrit:

Schubert, Quatuor n°14, Berg
Schubert, Quatuor n°14, Busch
Ils sont insupportables ces Berg, les Busch c'est quand même autre chose.

Je ne sais pas pour Schubert, mais pour les avoir écoutés tous les deux dans Beethoven récemment, je suis tout à fait d'accord.

_____________________

Sinon, ici, j'ai obéi à Alexandre

Mozart, Sonates pour violon K.380 et 481
Schubert, Rondo pour piano et violon D.895
Brahms, Sonate opus 108. Là on peut pleurer, vraiment… Ce qui se passe est au-delà des mots…

Sérieusement, bien d'accord et d'ailleurs je les possède aussi en 78 tours.

Pas possible, ce sont des concerts édités par Music and Arts

Et pourtant je les possède bel et bien en 78 tours avec ce duo.

Tu sais, ça ne sert à rien de ripper des cd pour graver des 78 trs.

Beau lapsus de ta part. Mais sérieusement, je possède environs deux milles 78 tours et ce duo et les pièces citées par Mariefran en font partie.

ysov a écrit:

Beau lapsus de ta part. Mais sérieusement, je possède environs deux milles 78 tours et ce duo et les pièces citées par Mariefran en font partie.

C'est volontaire donc ça ne peut être un lapsus non ?

Depuis quand on rippe un cd afin de graver un 78 tours? Le terme de ''lapsus '' est pas le bon, mais incohérence en affirmation cela oui. Ne me dis pas que tu fais le babouin, dans le sens métaphorique que tu cherches des puces chez l'autre? En terme plus homo érectus adipus sapiens, tu cherches noise?

Dans le boîtier Adolf Busch/Rudolf Serkin montré plus haut, paru chez M&A, il y a aussi, outre celles de Brahms, les deux Sonates de Schumann qui sont fabuleuses, les opus 105 et 121. Deux des trois Sonates de Brahms (les deux premières) ont aussi été enregistrées « officiellement » pour HMV. Elles avaient été rééditées en CD couplées à une interprétation hallucinante du Trio avec cor, opus 40.

Sinon, pour les diminutifs affectueux, Adolf Busch appelait en effet Rudolf Serkin « Rudi » en famille.

Pour Slava, je croyais, mais je pense bien que j'avais tort, que c'est un diminutif de Mstislav (Rostropovitch par exemple). Mais on peut aussi donner le diminutif Slava pour Sviatoslav Richter. En tout cas, c'est sous ce surnom que Heinrich Neuhaus, son professeur, parlait de lui à Sofronitsky. Si c'est affectueux, je ne vois pas où serait le problème à être ambigu.

Volodia, n'est-ce pas vraiment le diminutif par lequel on appelait Vladimir Horowitz ?

À propos de Vladimir Vladimirovitch Sofronitsky, son diminutif parmi ses intimes était Vovochka. On l'appelait ainsi dans sa famille, mais c'est aussi comme ça que Leonid Nikolaïev, son professeur au conservatoire de Leningrad, l'appelait lors des cours. En famille et parmi les intimes, j'ai pourtant l'impression qu'on l'appelait plus volontiers encore Vova. Heinrich Neuhaus, qui a sans doute été son ami le plus intime, l'appelait ainsi, Vova. À noter que lui-même, auprès de son épouse et de leurs enfants, aimer s'appeler et être appelé « Petit Agneau ». Par exemple, lors de son opération de l'appendicite (prévue fin février ou début mars 1939), il a fait savoir par lettre à son épouse que : « Durant les prochains jours, le Petit Agneau sera coupé. »

Belles précisions! Tu contribues à notre apprentissage chapeau Scherzian!

Widor Messe Op.36 à Saint-Sulpice. Vraiment superbe!

Bellini, la sonnambula, acte 2, dessay.

Je suis définitivement fan, je vais aller en discographie pour les dvds.

Scherzian a écrit:

Pour Slava, je croyais, mais je pense bien que j'avais tort, que c'est un diminutif de Mstislav (Rostropovitch par exemple). Mais on peut aussi donner le diminutif Slava pour Sviatoslav Richter. En tout cas, c'est sous ce surnom que Heinrich Neuhaus, son professeur, parlait de lui à Sofronitsky. Si c'est affectueux, je ne vois pas où serait le problème à être ambigu.

J'ai vérifié dans le Dictionnaire des prénoms russes d'Elena Pereverzeva pour Sviatoslav. Ce diminutif commun n'a rien de surprenant, construit sur la dernière syllabe similaire dans les deux prénoms.

Citation :

Volodia, n'est-ce pas vraiment le diminutif par lequel on appelait Vladimir Horowitz ?

C'est fort possible, c'est l'un des diminutifs les plus communs de Vladimir.

Citation :

À propos de Vladimir Vladimirovitch Sofronitsky, son diminutif parmi ses intimes était Vovochka. On l'appelait ainsi dans sa famille, mais c'est aussi comme ça que Leonid Nikolaïev, son professeur au conservatoire de Leningrad, l'appelait lors des cours. En famille et parmi les intimes, j'ai pourtant l'impression qu'on l'appelait plus volontiers encore Vova. Heinrich Neuhaus, qui a sans doute été son ami le plus intime, l'appelait ainsi, Vova. À noter que lui-même, auprès de son épouse et de leurs enfants, aimer s'appeler et être appelé « Petit Agneau ». Par exemple, lors de son opération de l'appendicite (prévue fin février ou début mars 1939), il a fait savoir par lettre à son épouse que : « Durant les prochains jours, le Petit Agneau sera coupé. »

Quelle érudition!

Percy Bysshe a écrit:

Quelle érudition!

Oui sur ce forum il y a vraiment des gens qui déchirent dans le genre. David bien sûr, mais il y en a d'autres, on apprend vraiment des trucs (bon après c'est pas évident de ressortir des trucs aussi pointus en société), ya vraiment des passionnés.

Théodore Dubois : Le Paradis perdu. Un bel oratorio XIXe!

Oui, la fréquentation de ce forum est très enrichissante.

Pour terminer cette belle soirée Mahler:
Mahler: Chants d'un compagnon errant (DFD/Fürtwangler)

@ Glocktahr
Faut pas exagérer, ce que j'ai dit plus haut est dispo dans le livre en russe Vspominaya Sofronitskogo :

Spoiler:

On y trouve notamment toute une série de lettres envoyées par le pianiste à sa première épouse, dans les années 1934-1941. La plupart ont été traduites en italien par Valerij Voskobojnikov dans un long article en deux parties dans la revue Nuova Rivista Musicale Italiana (n°3/2009, p. 368-410, juillet/septembre, et n°4/2009, p. 532-574, octobre/décembre) :

Spoiler:

Il y a si peu de choses publiées à propos de Sofronitsky que je suis comme une éponge, c'est tout...

Ben déjà c'est pas tous les forums francophones où on peut trouver des gens capables de lire un livre en russe ou en italien...

ça y est, tu arrives à lire le russe maintenant… Que de progrès en quelques mois !

Je voulais justement m'y mettre, au russe. C'est une damnation quand on est passionné de ne rien comprendre de ce qui est écrit et dit.
L'alphabet ce n'est même pas un si grand problème problème, j'en ai fait l'expérience récemment: j'ai appris à lire le grec ancien en deux heures (sans rien comprendre de ce que je lisais).
Il faut que je m'y mette.

Beethoven: Quatuor No.16 Op.135 (Busch)
Dans le III, cette version des Busch est d'une bonté insondable, le dénuement le plus tendre qu'il puisse être, puis quelle tristesse! Les Beethoven sont à mourir de tristesse dès le début du mouvement, qu'ils jouent deux fois plus vite que les Busch!
Quelle musique!

Au début de ce III du 135, Beethoven fait ce qu'il a fait aussi à quelques autres reprises dans ses quatuors de la fin : unir les quatre voix instrumentales en une seule sonorité. (On trouve ça aussi au début du mouvement lent du 127, sûrement aussi à d'autres endroits auxquels je ne pense pas pour le moment.) Écouter l'œuvre en direct, ce « geste instrumental » est émouvant au dernier degré, à pleurer, ces quatre voix individuelles qui surgissent l'une après l'autre du néant, dans un crescendo très lent et patient de masse et d'intensité, jusqu'à la fusion, avant la différenciation des voix de nouveau. Le III du 135, c'est aussi la frontière de la variation et du développement permanent, sans doute avec le mouvement lent du 127 le point le plus extrême que Beethoven ait atteint sous ce rapport.

EDIT : D'ailleurs, ce geste d'union des quatre voix instrumentales au tout début (union quasi monophonique, puisque c'est simplement l'arpège fa, la bémol, ré bémol, fa) sera repris transfiguré à la toute dernière pseudo-variation, lors des douze dernières mesures de ce III du 135, à partir de semplice, où chacune des trois voix graves du quatuor répète inlassablement, avec de simples et menues altérations de celui-ci (surtout au violoncelle), un motif harmonico-mélodico-rythmique qui lui est propre mais qui n'est rien en lui-même, tandis que le chant du violon I, porté par les trois autres instruments, se fait de plus en plus intense mais s'effondrerait sans les soubassements qui lui sont offerts. Au début, c'est une union dans une unité préétablie. À la fin, c'est une union par le biais de la diversité. L'aspect dialogique est très poussé (l'écriture à quatre parties). Sacrée trajectoire, ce mouvement (surtout si on songe au Più lento central, carrément beklemmt dans toute cette sérénité quasi classique)...

RE-EDIT : D'ailleurs, ce serait intéressant de savoir ce que Richard Wagner pensait du mouvement lent du 127. Je ne serais pas surpris du tout qu'il l'ait porté très haut.

ysov a écrit:

@ jbv et sa réponse à Xavier.

Xavier a ce soucis qui est très logique, car en effet, se limiter qu'au playlist pour s'affirmer serait le carphanaüm subito presto, sans compter que ça disparaît tranche par tranche. L'idée d'élaborer dans un topic qui disparait éventuellement c'est correct, mais pour le bénéfice des néophytes qui veulent savoir, les topics durables doivent être à l'occasion visités par les habitués comme nous, afin de transmettre
et que ça RESTE.

Mais je suis le premier à déroger sur cette nécessité... car tu as raison le temps est tel que se fendre en quatre est pas évident du tout.

Oui, bien sûr je comprends tout-à-fait. Je disais ça pour taquiner un tantinet.

Ceci dit, une étude a montré que parfois on passe autant de temps à chercher des choses quand c'est très rangé, compartimenté, que quand c'est le bazar intégral. Encore une fois, il y a une question de juste milieu à touver. C'est déprimant

Un jour j'ai rencontré DLM et Natrav. On a beaucoup parlé de Lully.

Un jour j'ai rencontré DLM et Natrav. Ils ont essayé de me parler de lully

Percy Bysshe a écrit:

Je voulais justement m'y mettre, au russe. C'est une damnation quand on est passionné de ne rien comprendre de ce qui est écrit et dit.
L'alphabet ce n'est même pas un si grand problème problème, j'en ai fait l'expérience récemment: j'ai appris à lire le grec ancien en deux heures (sans rien comprendre de ce que je lisais).
Il faut que je m'y mette.

Exactement pareil que toi pour l'envie de parler russe et l'apprentissage de l'alphabet grec. Sauf qu'en ayant essayé le russe il y a quelques mois, je m'y suis cassé les dents C'est le genre de langues pour lesquelles il me faudrait plus de temps libre pour digérer l'apprentissage.

LULLY : petits motets, Christie

Debussy : arrangements d'oeuvres tardives. Ma question de départ, c'était : pourquoi j'aime bien les Etudes, et pas Jeux ? Hypothèse : c'est lié à l'orchestration. Réponse temporaire : non.
- Jeux pour 4 pianos - /watch?v=6awyfy4zK14&feature=related - kitsch.
- 2 Etudes orchestrées par Jarrell - /watch?v=KbhB3wGUE_o&feature=related - pas mal mais ça ramollit le trait.
- Bonus : Prélude à l'après-midi d'un faune pour flûte et piano. Un peu niaiseux mais sympa.
Si vous avez d'autres idées dans le genre, je veux bien.

Mahler: Symphonie No.4 (Sinopoli/Banse); Rückertlieder (Fischer-Dieskau/Barenboïm)

jerome a écrit:

Debussy : arrangements d'oeuvres tardives. Ma question de départ, c'était : pourquoi j'aime bien les Etudes, et pas Jeux ? Hypothèse : c'est lié à l'orchestration. Réponse temporaire : non.
- Jeux pour 4 pianos - /watch?v=6awyfy4zK14&feature=related - kitsch.
- 2 Etudes orchestrées par Jarrell - /watch?v=KbhB3wGUE_o&feature=related - pas mal mais ça ramollit le trait.
- Bonus : Prélude à l'après-midi d'un faune pour flûte et piano. Un peu niaiseux mais sympa.
Si vous avez d'autres idées dans le genre, je veux bien.

Deux préludes pour piano et clarinette rafraîchissants, en particulier je trouve qu'ils sont vraiment bien caractérisés par l'interprétation:
Bruyères: /watch?v=oahLa20tku4
La danse de Puck: /watch?v=F1QS0Y0IXQU

Mahler: Symphonie No.5 (Järvi)

Moussorgsky : Chants et danses de la mort, Borodina/Sokhiev, orchestre national du capitole de Toulouse