Playlist (56)

Mariefran a écrit:

Debussy, Pelléas et Mélisande. Sege Baudo. Merci à Xavier, c'est vraiment une version magnifique, très équilibrée !

Voilà qui fait saliver !

chaud pain : scherzi (pogorelich)

brr

Liszt, Harmonie poétique et religieuse n°9
Szymanowski, Mazurkas opus 50-1, 17, 18 et 3
Debussy, Sélection des Préludes, livre 1.
Sviatoslav Richter à Budapest. Mais pourquoi n'a-t-il pas joué Minstrels et La fille aux cheveux de lin ce soir-là ???? Il est chiant à ne presque jamais jouer les cahiers en entier…

Mahler / Symphonie #3 - Mariss Jansons, Royal Concertgebouw Orchestra ; Bernarda Fink
Le premier mouvement me fait toujours autant jouir intérieurement avec enchaînement de frissons et de poils hérissés
Tant que j'y suis dans l'hérissement de poils :
Gaubert / Les Chants de la mer - Orchestre Philharmonique Du Luxembourg, Marc Soustrot
Une seconde "La Mer" qui n'a décidément rien a envier a Debussy. J'aime énormément cette oeuvre

Rav-phaël a écrit:

Gaubert / Les Chants de la mer - Orchestre Philharmonique Du Luxembourg, Marc Soustrot
Une seconde "La Mer" qui n'a décidément rien a envier a Debussy. J'aime énormément cette oeuvre

Mendelssohn, Romances sans paroles, extraits
Chopin, Nocturne opus 9-1, Vases op.34-3 et 70-1, Mazurkas op. 63-3, 67-3, 68-3, op.posth.
Debussy, Reflets dans l'eau / Hommage à Rameau / Mouvement / Hommage à Haydn
Schubert, Sonate D.664
Richter à Budapest

Mariefran a écrit:

Rav-phaël a écrit:

Gaubert / Les Chants de la mer - Orchestre Philharmonique Du Luxembourg, Marc Soustrot
Une seconde "La Mer" qui n'a décidément rien a envier a Debussy. J'aime énormément cette oeuvre

Mais si mais si

Mozart / Sonate pour piano #13 - Vladimir Horowitz

Mariefran a écrit:

Liszt, Harmonie poétique et religieuse n°9
Szymanowski, Mazurkas opus 50-1, 17, 18 et 3
Debussy, Sélection des Préludes, livre 1.
Sviatoslav Richter à Budapest. Mais pourquoi n'a-t-il pas joué Minstrels et La fille aux cheveux de lin ce soir-là ???? Il est chiant à ne presque jamais jouer les cahiers en entier…

Oui il a fait ça pour pas mal de trucs, des fois d'une manière complètement absurde (études d'exécution transcendantes...). Pourquoi donc?

Polyeucte a écrit:

Ben. a écrit:

Rusalka, op. 114 (extraits); Dvořák - Flemming, Mackerras, Česká filharmonie
Le travai orchestral de Mackerras est d'une qualité exceptionnelle, et c'est peut-être le rôle où j'ai préféré Flemming, au final.

ça fait une éternité que je ne l'ai pas écouté tiens! Alors que j'ai écouté plein de fois la Rusalka de Dargomijsky récemment... alors hop, je vais m'y remettre à cet enregistrement!

Je ne connais pas, malheureusement.

-

Concerto pour violoncelle, op. 68; Britten - Mørk, N. Järvi, Orchestre philharmonique de Bergen

Vier Letzte Lieder; Strauss - Furtwängler, Flagstaad, Philharmonia Orchestra (1950)

Symphonie n°39, KV 543; Mozart - Furtwängler, Philharmonique de Berlin (1942)

Symphonie n°2, op. 27; Rachmaninov - Jansons, Philharmonique de Saint-Pétersbourg

Ben. a écrit:

Polyeucte a écrit:

Ben. a écrit:

Rusalka, op. 114 (extraits); Dvořák - Flemming, Mackerras, Česká filharmonie
Le travai orchestral de Mackerras est d'une qualité exceptionnelle, et c'est peut-être le rôle où j'ai préféré Flemming, au final.

ça fait une éternité que je ne l'ai pas écouté tiens! Alors que j'ai écouté plein de fois la Rusalka de Dargomijsky récemment... alors hop, je vais m'y remettre à cet enregistrement!

Je ne connais pas, malheureusement.

C'est dispo sur Musique Ouverte...
C'est très différent, avec un texte de Pouchkine pour la plus grande partie... les personnages sont vus sous un autre angle... Super je trouve!



Sinon :
Strauss : Elektra, extraits des trois rôles avec Leonie Rysanek

Verdi : Un ballo in maschera (Bruno Bartoletti, 1970 : Renata Tebaldi, Luciano Pavarotti, Sherrill Milnes, Helen Donath, Regina Resnik, Leonardo Monreale, Nicolai Christov, José van Dam)

Un des rares enregistrements en fait où je trouve Pavarotti super!
Et quelle distribution!

Schumann, Novelettes opus 21-1 et 2
Haydn, Sonate Hob.XVI:35
Chopin, Rondo à la mazur
Debussy, Préludes livre II
Richter à Budapest

Dvorak: Quintette avec piano en La Majeur op.81 (Rubinstein-Guarneri)

Punaise mais que c'est beau!!! Dvorak à son meilleur, une imagination inépuisable, un lyrisme chauffé à blanc, une poésie inimitable...c'en est presque schubertien par moments!
Le deuxième mouvement compte parmi les plus belles pièces que je connaisse...

Beethoven / Six lieder Op 48 - Fischer-Dieskau ; Hertha Klust
Blondeau / Quatuor #1, #2, #3 d'après les sonates de Beethoven - Quatuor Ad Fontes

benvenuto a écrit:

Ben. a écrit:

Après, cet orchestre éclairé, et cette orchestration plus totale, plus ambitieuse, se retrouve à mon sens dès la 7è, qui à est peut-être la plus inspirée et la plus complexe du point de vue de l'écriture musicale, des reprises thématiques et de la répartition des pupitres, notamment dans l'utilisation de bois très typés "slaves" et propres au compositeur (surtout dans les deux mouvements centraux).

Tu prêches un converti! J'adore la 7ème, une des plus denses en effet, même si je retrouve un peu ce genre de couleurs orchestrales mates dans le 1er mouvement.

Cette Septième est vraiment à part chez Dvorak - et cette fois, son premier mouvement me paraît à peu près tout ce qu'il a écrit dans le domaine symphonique (il tient parfaitement la comparaison avec Brahms ici). La différence que je verrais avec le I de la Sixième, c'est une pâte sonore à la fois plus sombre et intense, mais paradoxalement plus aérée, notamment grâce à une utilisation plus intelligente des cordes, à une autonomie mélodique moins marquée (les développements viennent plus naturellement, les grands arcs mélodiques chers à Dvorak ne se referment pas sur eux-mêmes - n'oublions pas qu'il a mis longtemps pour maîtriser et contenir son don mélodique) et à la raréfaction des répétitions (très courantes dans les symphonies du compositeur tchèque). Le mode mineur est aussi l'une des clés de la couleur très spéciale de cette symphonie

Ben. a écrit:

L'ami Horatio a parfaitement raison, mais il se gardera bien de te conseiller la version de Kertész qui te propose d'écouter un LSO à son meilleur historique, dans un enregistrement quasi référence pour cette symphonie.
Pour le coup, tu as un très bel orchestre.

Je la voyais arriver celle-là . Et pour jouer les méchantes langues, je dirais que tu auras meilleur temps d'aller écouter Rowicki - là au moins, chef et orchestre ont eu le temps de lire les partitions ...

_________________
Dvorak : 7e symphonie, Monteux


(Merci à Utna !)

Horatio a écrit:

benvenuto a écrit:

Ben. a écrit:

Après, cet orchestre éclairé, et cette orchestration plus totale, plus ambitieuse, se retrouve à mon sens dès la 7è, qui à est peut-être la plus inspirée et la plus complexe du point de vue de l'écriture musicale, des reprises thématiques et de la répartition des pupitres, notamment dans l'utilisation de bois très typés "slaves" et propres au compositeur (surtout dans les deux mouvements centraux).

Tu prêches un converti! J'adore la 7ème, une des plus denses en effet, même si je retrouve un peu ce genre de couleurs orchestrales mates dans le 1er mouvement.

Cette Septième est vraiment à part chez Dvorak - et cette fois, son premier mouvement me paraît à peu près tout ce qu'il a écrit dans le domaine symphonique (il tient parfaitement la comparaison avec Brahms ici). La différence que je verrais avec le I de la Sixième, c'est une pâte sonore à la fois plus sombre et intense, mais paradoxalement plus aérée, notamment grâce à une utilisation plus intelligente des cordes, à une autonomie mélodique moins marquée (les développements viennent plus naturellement, les grands arcs mélodiques chers à Dvorak ne se referment pas sur eux-mêmes - n'oublions pas qu'il a mis longtemps pour maîtriser et contenir son don mélodique) et à la raréfaction des répétitions (très courantes dans les symphonies du compositeur tchèque). Le mode mineur est aussi l'une des clés de la couleur très spéciale de cette symphonie

Ben. a écrit:

L'ami Horatio a parfaitement raison, mais il se gardera bien de te conseiller la version de Kertész qui te propose d'écouter un LSO à son meilleur historique, dans un enregistrement quasi référence pour cette symphonie.
Pour le coup, tu as un très bel orchestre.

Je la voyais arriver celle-là . Et pour jouer les méchantes langues, je dirais que tu auras meilleur temps d'aller écouter Rowicki - là au moins, chef et orchestre ont eu le temps de lire les partitions ...

_________________
Dvorak : 7e symphonie, Monteux


(Merci à Utna !)

Oui c'est bien aussi Rowicki, même les gens de goûts finissent toujours par refaire tourner leurs disques de Kertész en priorité.

Tu en as pensé quoi de Monteux? Quelle couleur orchestrale cette version...

Symphonie n°3, op. 44; Rachmaninov - Jansons, Philharmonique de Saint-Pétersbourg

Schubert, Variations D.576
Schumann, Fantasiestücke (sélection)
Rachmaninov, Préludes (sélection)
Richter à Budapest

Ben. a écrit:

Oui c'est bien aussi Rowicki, même les gens de goûts finissent toujours par refaire tourner leurs disques de Kertész en priorité.

Je ne savais pas que les gens de goût aimaient les cuivres tonitruants ...

Ben. a écrit:

Tu en as pensé quoi de Monteux? Quelle couleur orchestrale cette version...

Etonnant oui, autant par ces plans sonores parfaitement colorés dessinés et colorés, autant que par l'énergie qu'elle dégage (la fin du I !). Seul bémol, les mouvements sont un peu lents au démarrage. Une version diesel quoi .

D'ailleurs, connais-tu la version de Szell de cette Septième ? Je n'ai pu entendre que les 8e et 9e, et j'avais beaucoup aimé.

Horatio a écrit:

Ben. a écrit:

Oui c'est bien aussi Rowicki, même les gens de goûts finissent toujours par refaire tourner leurs disques de Kertész en priorité.

Je ne savais pas que les gens de goût aimaient les cuivres tonitruants ...

Ben. a écrit:

Tu en as pensé quoi de Monteux? Quelle couleur orchestrale cette version...

Etonnant oui, autant par ces plans sonores parfaitement colorés dessinés et colorés, autant que par l'énergie qu'elle dégage (la fin du I !). Seul bémol, les mouvements sont un peu lents au démarrage. Une version diesel quoi .

D'ailleurs, connais-tu la version de Szell de cette Septième ? Je n'ai pu entendre que les 8e et 9e, et j'avais beaucoup aimé.

Oui, c'est avec Cleveland, chez Sony. Je ne sais pas si ça se trouve encore facilement, mais c'est une version agréable. Par contre, j'ai toujours trouvé que Szell dirigeait tout Dvořák de la même manière: on dirait qu'il joue toutes les symphonies comme des poèmes symphoniques de Saint-Saens...
Au niveau des idées, il y a bien mieux ailleurs à mon sens, mais Cleveland fait le job, et c'est assez parfait techniquement.

Ca n'a évidemment pas la classe d'un Kertész (il suffit de réécouter le Scherzo de Kertész pour comprendre ce que le mot nuance signifie), c'est pour ça que je ne saurais que te conseiller cette version.

Sérieusement, je ne désespère pas, parce que la 7è/Kertész/LSO est un tel chef d'oeuvre que je vais encore longtemps t'embêter avec !

Citation :

Sérieusement, je ne désespère pas, parce que la 7è/Kertész/LSO est un tel chef d'oeuvre que je vais encore longtemps t'embêter avec !

Raisonnons un peu. Kertesz/Dvorak doit être quelque part dans ma liste de 250 "approfondissements" sur Amazon ; on peut donc rester optimistes !

___________________
Sibelius : 4e symphonie, Ansermet

Pessimiste, mais je rajoute aussi fragile ; l'orchestre a quelques ratés, on ne le sent pas tout à fait à l'aise.

Chausson: Trio avec piano/Trio Wanderer

Wagner : der Fliegende Holländer
Böhm 1971 / Stewart, Ridderbusch, Esser, G. Jones





Je suis frappé par le nombre de formules orchestrales et vocales dignes d'un Bellini ou d'un Donizetti. Le duo Hollandais / Senta pourrait avoir été écrit par Meyerbeer... Sans parler de l'air de Daland au II !

Et confirmation (pas forcément une conséquence du côté italianisant) que c'est pour moi un des tout meilleurs opéras de Wagner.

Je crois qu'il n'est plus besoin de présenter cette version assez définitive du point de vue orchestral, et aux appas vocaux irrésistibles : Jones n'est pas encore vibrante et déjà émouvante, Stewart magnifique, Ridderbusch absolument parfait.

En ce moment :


Meyerbeer : les Huguenots
Minkowski 2011 (Petersen, Delunsch, Lezhneva, Cutler, Lapointe, Rouillon, Varnier)

Greif: Trio avec piano



Je ne peux pas dire que je n'aime pas, mais je trouve toujours ça fatiguant, Greif.
Fatiguant, pas dans le sens ennuyeux, dans le sens bruyant et éprouvant.

Percy Bysshe a écrit:

Mariefran a écrit:

Liszt, Harmonie poétique et religieuse n°9
Szymanowski, Mazurkas opus 50-1, 17, 18 et 3
Debussy, Sélection des Préludes, livre 1.
Sviatoslav Richter à Budapest. Mais pourquoi n'a-t-il pas joué Minstrels et La fille aux cheveux de lin ce soir-là ???? Il est chiant à ne presque jamais jouer les cahiers en entier…

Oui il a fait ça pour pas mal de trucs, des fois d'une manière complètement absurde (études d'exécution transcendantes...). Pourquoi donc?

Minstrels et La fille aux cheveux de lin, je crois qu'ils ne les a jamais joué en concert. Il n'a joué que le IIème Livre en intégrale, et encore pendant une seule année (cahier tout de même documenté au moins 4 fois), quand il l'a repris au début des années 1990, il n'en jouait plus que six ou sept.

Les choix les plus incompréhensible concernent les études de Chopin je crois, là c'est très bizarre. Les Grieg aussi, il joue tout le premier livre de pièces lyriques sauf les deux dernières.
Le plus dramatique c'est peut-être de n'avoir jamais voulu jouer en public D.959 (voire l'intégrale des sonates de Beethoven).
Bon en même temps son répertoire était tellement monumental que c'est difficile de lui reprocher de ne pas avoir une approche exhaustive (d'ailleurs quand on voit le niveau des intégrales consacrées à Chopin, Schumann, Liszt, on peut se demander si ces démarches sont nécessaires).
Et puis il a joué les deux cahiers du CBT en entier, et ça c'est une marque de goût.

-----------

Schubert, Quintette avec violoncelle, Tokyo / Watkin

Britten, Sérénade pour ténor, cor et cordes - Nocturne, Padmore / Britten Sinfonia / Shave
Très beau programme (Britten est trop rare) et Padmore est exceptionnel dans cette musique.

Récital Liszt, Lugansky

Récital Liszt, de la Salle

Schumann, Symphonie n°4, LSO / Böhm
Mariefran a très bon goût, elle l'avait classé deuxième de son groupe dans l'écoute en aveugle alors que c'est typiquement le genre de version qui pâtit terriblement d'une écoute par extraits.

Mozart, Quintettes K.515 & K.516, Talich / Rehak

Glière Les sirènes - Esipov

Brahms: Ballade No.4 Op.10 (Grinberg); Intermezzos Op.117 (Yudina)
Si humain...

Récital Mozart et Prokofiev par Virsaladze, qui vient d'être posté sur Youtube: /watch?v=lWorMWZACBY

Concerto pour piano n°5, op. 55; Prokofiev - S. Richter, W. Rowicki, Orchestre philharmonique de Varsovie

Suite Portena De Ballet, pour deux pianos; Piazzolla - Biagini, Marzocchi

Symphonie nº 2, "A London Symphony"; Vaughan Williams - Sir A. Boult, Orchestre Philharmonique de Londres

Wagner: Siegfried, actes 1 et 2/Sawallisch-Lehnhoff

Greif: Sonate pour 2 violoncelles "The Battle of Agincourt"

Ces derniers jours :

Rimsky-Korsakov

Symphonies nos. 1-3
Sinfonietta Op. 31 (E. Svetlanov)

Glazounov

Symphonies nos. 1-2-6 (V. Polyansky)
La Forêt, La Mer, Rapsodie Orientale (E. Svetlanov)

Glinka

Jota Aragonesa
Summer Night in Madrid
Kamarinskaïa
Valse-Fantaisie (E. Svetlanov)

Rachmaninoff

Symphonies nos. 2 et 3
Danses Symphoniques (V. Ashkenazy)

Bon, passons aux choses sérieuses :

Glinka

Ivan Susanin (Ivan Marinov/Sofia National Opera Chorus and Orchestra)

Dargomïzhsky

The Stone Guest (A. Chistiakov/Bolshoï Theatre Orchestra)

Rimsky-Korsakov

The Tsar's Bride (A. Chistiakov)
Mlada (E. Svetlanov)
The Legend of The Invisible City of Kitezh (V. Gergiev)

Tchaïkovsky

Snegurochka (A. Chistiakov)

Dargomïzhsky

Russalka (E. Svetlanov)

Glazounov

Raymonda (E. Svetlanov)

Charpentier : Te deum et la messe des trépassés, Christie-Agnew

Marais : Alcyone, Christie
Desmarest : Didon, Rousset
LULLY : Cadmus et Hermione, Dumestre

Jan Václav Voříšek : Impromptus, opus 7 ; Fantaisie, opus 12 ; Variations en si bémol majeur, opus 19 ; Sonate pour piano en si bémol mineur, opus 20 -- Radoslav Kvapil.

Satie: Gnossiennes 1-6

Dvorak : Rusalka (Charles Mackerras, 1998 : Ben Heppner, Renée Fleming, Franz Hawlata, Dolora Zajick, Eva Urbanová)


C'est fou comme l'ouverture ressemble à l'Intermède Fantastique de La Nonne Sanglante de Gounod!

J'ai tourné toute la matinée entre :
- le Deuxième Concerto pour piano de Bartok (Sviatoslav Richter, piano - Orchestre de Paris, Lorin Maazel)
- le Cinquième Concerto pour piano de Saint-Saens (Aldo Ciccolini; Serge Baudo: Orchestre De Paris)
Deux merveilles ! Ravel avait bien raison. Le 5e concerto pour piano représentait pour lui le summum du métier et de l'économie. "Comment arrive t-on à un résultat parfait avec si peu de matière ?"

Chausson: Poème de l'amour et de la mer/Kolassi-Froment



Merci Mariefran!

Mozart, Sonate K.280
Beethoven, Sonate opus 101
Chopin, 4 Scherzos
Richter à Budapest. Magnifique CD, Mozart et Chopin sont à couper le souffle !

Xavier a écrit:

Chausson: Poème de l'amour et de la mer/Kolassi-Froment



Merci Mariefran!

Je me le réserve pour ce soir. (En fait je réécoutais Norman/Jordan ce matin et c'est ça qui m'a poussé à chercher une autre version, car malgré l'excellente direction du chef suisse, il faut se taper la prononciation impossible et le manque de finesse de Norman...)


En attendant:

Reich: Different Trains / Smith Quartet (2005, Signum Classics)
Je n'avais pas écouté ça depuis des années et c'est bien mieux que dans mon souvenir finalement. Très convaincant même.

Mais Norman reste hypnotisante je trouve!...

adriaticoboy a écrit:

Je me le réserve pour ce soir. (En fait je réécoutais Norman/Jordan ce matin et c'est ça qui m'a poussé à chercher une autre version, car malgré l'excellente direction du chef suisse, il faut se taper la prononciation impossible et le manque de finesse de Norman...)

Alors faut essayer la version avec Felicity Lott! Même chef suisse (peut-être même encore plus fin il me semble) et une chanteuse avec une belle diction et un art des nuances vraiment magique!

Tout à fait d'accord, c'est peut-être ma version préférée jusqu'ici.

Korngold / Sonate pour violon, opus 6 - Sonja van Beek & Andreas Froelich
Tchaikovsky / Six pièces pour piano, opus 19 - Emil Gilels
Tchaikovsky /Symphonie Manfred - Gennadi Rozhdestvensky Moscow Radio Symphony

Haendel, Suite n°5
Chosta, Préludes et fugues 4-12-23-14-17-15
Prokofiev, Visions fugitives 3 à 6, 8 et 9
Richter à Budapest

Polyeucte a écrit:

Dvorak : Rusalka (Charles Mackerras, 1998 : Ben Heppner, Renée Fleming, Franz Hawlata, Dolora Zajick, Eva Urbanová)


C'est fou comme l'ouverture ressemble à l'Intermède Fantastique de La Nonne Sanglante de Gounod!

-

Souvenirs, op. 28, version pour piano; Barber - Daniel Pollack

Sonate 1er Octobre 1905, Sur un sentier broussailleux; Janáček - Leif Ove Andsnes
La sonate est une pièce tout à fait étonnante et audacieuse. L'interprétation d'Andsnes insiste sur le caractère dramatique et violemment contrasté du morceau.

Sonate pour violoncelle, op. 8; Kodály - Tortelier

Mahler, symphonie 4, Bernstein, Wiener Philarmoniker, Edith Mathis, live mai 1972 DGG DVD

Beethoven, Sonates opus 2-1, 10-3, 14-1 et 26. Richter à Budapest

Beethoven, Concerto n°4 / Sonate opus 109. Edwin Fischer, Bayerischen Rundfunks, Jochum

Debussy : Grand tour des images pour piano
- Emil Gilels
- Arturo Benedetti Michelangeli
- Claudio Arrau
et deux fascinants Reflet dans l'eau
L'un de Debussy et l'autre de Paderewski :
Edit : /watch?v=9c_yZPIqoz0&feature=share

Villazon, airs de Gounod et Massenet, Evelino Pidò, ORTF Philharmonic Orchestra

Beethoven, Sonates opus 13, 57 et 110. Edwin Fischer