Playlist (59)

Dukas, la Péri. Boston SO, Munch (concert 1957)
Beethoven, opus 111. Kocsis en concert. Pas mal du tout !

Serge Rachmaninoff : Concerto pour piano et orchestre n°4 en sol mineur, opus 40 -- Arturo Benedetti Michelangeli, Franco Caracciolo, Orchestre de la RAI de Rome.
Ludwig van Beethoven : Concerto pour piano et orchestre n°5 en mi bémol majeur, opus 73 -- Arturo Benedetti Michelangeli, Jan Krenz, Orchestre symphonique national danois.

Mahler la 2 toujours par Tennsted. Moins fascinant. Ça se laisse entendre néanmoins.
Fallait peut être pas commencer par la 10

De Tennstedt, chef sous-estimé chez nous, j'aime beaucoup l'Eroica chez EMI.

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Wagner, Les Maîtres Chanteurs de Nuremberg - Kubelik

Jouni Kaipainen, Concerto pour basson. Otto Vitanen, Tampere Philharmonic Orchestra, Hannu Lintu
Fort sympathique, belle performance du basson; C'est chouette

Franz Schubert : Sonate pour piano n°16 en la mineur, D845 (opus 42) -- Sviatoslav Richter.

Stravinsky - Symphonie en trois mouvements, Quatre études, Pulcinella - CSO / Boulez
Superbe album.

Vaughan Wailliams: Concerto pour deux pianos/Boult

Dvořák - Concerto pour violon - Oïstrakh / Kondrachine

Dvořák - Concerto pour piano - Richter / Kleiber

Feinberg - Sonate n°5 - Favorin

Praetorius - Christmette - McCreesh

Alexandre Scriabine : Polonaise, opus 21 ; Préludes (opus 13 n°1,6, 16 n°1,3,4, 17 n°1,3,4,6, 22 n°1, 27 n°1, 31 n°1-4, 33 n°1-3, 35 n°2, 37 n°1, 39 n°2-4, 48 n°2) ; Études (opus 8 n°1,2,4,5,7-9, 42 n°2,4,6) ; Énigme, opus 52 n°2 ; Ironies, opus 56 n°2 ; Désir, opus 57 n°1 ; Poème satanique, opus 36 -- VVS.

Rachmaninov: Sonate pour violoncelle

Simone Dinnerstein (en concert hier soir)
Chopin, Brahms, Schumann (1 nocturne, 1 intermezzo, Kinderszenen), et 2 partitas de Bach (1-2).
Autant dans le répertoire romantique son interprétation déliée et lente ne m'a pas emballée, autant ses 2 Partitas ont été superbes. Elle privilégie le chant à la géométrie et à l'architecture, avec une belle respiration; tout ça semble montrer un long compagnonnage ou en tous cas une évidente affinité avec cette musique.

Rameau: des morceaux choisis des Fêtes d'Hébé: Arts Florissants, Christie

Ludwig van Beethoven : Sonate pour piano n°23 en fa mineur, opus 57 -- Valentina Lisitsa (dans le tuyau).

Ce qui me surprend souvent, avec cette pianiste, c'est l'antagonisme du nombre de ses gestes « parasites », tout ce qu'elle fait quand il n'y a aucun contact avec le clavier, donc en réalité aucune raison de faire quoi que ce soit de si particulier que ça, des gestes qui vont, pour la plupart, dans le sens de l'illusion de l'ondulant, de l'ondoyant, de l'onctueux et du vaporeux, et du résultat sonore qu'elle en tire, qui reste, la plupart du temps, mécanique, abrupt et cassant, tout sauf organique. Dans le I de l'Appassionata, les nombreuses séries de notes répétées, dépourvues de tension comme de direction, en deviennent presque drolatiques à force d'arbitraire (ça me fait penser aux dernières répliques de La Cantatrice chauve). Le mécanisme de production sonore ne permet pas de différenciation entre les deux thèmes principaux du mouvement, ce qui est quand même gênant pour un mouvement de forme sonate, surtout celui-ci où les caractères devraient être très puissamment différenciés, dès la première entrée du second thème. Je ne m'étends pas sur les variations du II, ici un long tunnel d'ennui pesant, comme dans 99,9% des cas... Dans le genre casse-tympans, le III fait très fort. Ça ferraille et ça vrombit de partout. Le passage en arpèges et sa reprise (décidément, rien ne nous sera épargné) sont d'une nullité insondable, incapables de donner un sens à la pièce, joués de la même façon que le reste (!). On a l'impression d'écouter une machine à coudre et on donnerait n'importe quoi pour que ça finisse. Ça finit d'ailleurs par arriver à la coda : au lieu d'en être l'acmé centripète, elle est au reste du mouvement ce que la panne de secteur est à l'électrocution.

Philippe VLB a écrit:

Vinopathe a écrit:

Philippe VLB a écrit:

Vinopathe a écrit:

Àh ouf, je pensais que c'était une demande d'entrer dans la confrérie des Beethoven rouges.

"Beethoven rouges" ? Que cela veut-il dire ? Je ne connais pas cette expression.

Il existe un fil musique soviétique : https://classik.forumactif.com/t1560-musique-sovietique-1917-1980?highlight=musique+sovi%E9tique (vers le milieu de la page, un peu avant...)

Merci pour le lien.

Donc, si je comprends bien et suis bien ton humour , tu considères que les compositeurs qui ne furent pas soviétiques sont sans talent, interchangeables, des plagiaires ? .....Des imposteurs, quoi. C'est ça ?

Oui, c'est ça, tu as bien résumé la situation. Autant Glinka est Trotskiste que Schumann est Kapitaliste...

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Prokofiev

L'Amour des Trois Oranges/Delgat

Je commence à l'apprécier à sa juste valeur, les chanteurs de Gergiev ne sont guère endurant lorsqu'il est question de prononciation intelligible. Mais bon, son orchestre est davantage brillant et exubérant. La prise de son Melodiya en vaut son pesant de poulets congelés.

Serge Prokofiev : Concerto pour piano et orchestre n°1 en ré bémol majeur, opus 10 -- Rudolf Kehrer, Kirill Kondrachine, Orchestre philharmonique de Moscou (studio 1961).

Symphonie n°3; Mahler - Boulez, Von Otter, Vienne

Symphonie n°4; Mahler - Fischer, BFO
Plus j'écoute ce couplage Fischer/BFO, plus je suis persuadé qu'il n'y en a aucun autre à ce niveau d'excellence en activité aujourd'hui.

Ben. a écrit:

Plus j'écoute ce couplage Fischer/BPO, plus je suis persuadé qu'il n'y en a aucun autre à ce niveau d'excellence en activité aujourd'hui.

RDV à Pleyel le 26 septembre ?

Resigned a écrit:

Ben. a écrit:

Plus j'écoute ce couplage Fischer/BPO, plus je suis persuadé qu'il n'y en a aucun autre à ce niveau d'excellence en activité aujourd'hui.

RDV à Pleyel le 26 septembre ?

Oh que oui ! Quel programme fantastique en plus !

Ben. a écrit:

Resigned a écrit:

Ben. a écrit:

Plus j'écoute ce couplage Fischer/BPO, plus je suis persuadé qu'il n'y en a aucun autre à ce niveau d'excellence en activité aujourd'hui.

RDV à Pleyel le 26 septembre ?

Oh que oui ! Quel programme fantastique en plus !

Ah bah tiens je l'avais pas vu. J'irai voir si il y a des places de dernière minute (reste plus que 2e et 1ere catégorie )

Symphonie n°1; Sibelius - Sargent, BBC

Symphonie n°3; Dvořák - Rowicki, LSO

Mendelssohn: Piano Trio No. 1 in D minor, Op. 49 / Beaux Arts Trio

Berg, Concerto pour violon (À la mémoire d'un ange), Stern, Bernstein, New York Philharmonic

Dutilleux, Métaboles / The Shadows of time / Symphonie n°2 "le Double". Orchestre du Capitole de Toulouse, Plasson
ça y est, j'ai eu le déclic, j'adore

Wagner: Siegfried, acte 3/Pappano-Warner

Boismortier : Daphnis & Chloé, Niquet

Dvorak: Klaviertrio e-moll, op. 90, Dumky / Beaux Arts

Suk - O matince - Moravec
Une très belle œuvre (comme souvent avec Suk).

Martinů - Symphonie n°5 - Česká filharmonie / Ančerl

Victoria - Officium Defunctorum, Motets - Herreweghe

Tchaïkovsky : Variations rococo, Rostropovitch/Rozhdestvensky

Horatio a écrit:

Tchaïkovsky : Variations rococo, Rostropovitch/Rozhdestvensky

Symphonie n°5; Mahler - Neumann

Danses de Lachie; Janacek - Neumann

Concert de l'ODP :

http://orchestredeparis.com/concert-2012-09-13.htm

Sambagnard a écrit:

Concert de l'ODP :

http://orchestredeparis.com/concert-2012-09-13.htm

Merci pour le lien je suis en train de me le passer. La qualité est très bonne.

Dutilleux, Le Loup. Orch. de la Société des Concerts du Conservatoire, George Prêtre
Dutilleux, Symphonie 1. Orch. National de Lille, Casadesus
Dutilleux, Le Loup. Jean Anouilh, Orch. du Théâtre des Champs)elysées, Paul Bonneau

atomlegend a écrit:

Sambagnard a écrit:

Concert de l'ODP :

http://orchestredeparis.com/concert-2012-09-13.htm

Merci pour le lien je suis en train de me le passer. La qualité est très bonne.

Bah dis donc
Très chouette ce stabat de Poulenc . Agréablement surpris. J'attends l'intervention de M.Delunsch

Edit:
Génial en fait ce truc. . C'est super "chiader" niveau orchestration, l'entrelacement des chœurs, de l'orchestre.
La Mimi est parfaite

Schubert, Sonate D.664. Grinberg

Ben. a écrit:

Horatio a écrit:

Tchaïkovsky : Variations rococo, Rostropovitch/Rozhdestvensky

Spoiler:

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Webern : Symphonie op. 21, Boulez/Berlin

Il lève vachement haut les bras dans Prokofiev le Lang Lang quand même

Bartók - Quatuors - Mikrokosmos

Chostakovitch : 2e concerto pour piano, Chosta's Family

Strauss : Eine Alpensinfonie / Haitink - Concertgebouw Orchestra/ Philips

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Je trouve moi le son quelque peu indéfini. Et d'ailleurs peu convaincu par la direction, ça flotte tout en étant séquentiel.

Siegmund a écrit:

Je trouve moi le son quelque peu indéfini. Et d'ailleurs peu convaincu par la direction, ça flotte tout en étant séquentiel.

Qu'appelles-tu indéfini ? La partie qui était présente jusqu'à alors est justement un regroupement de solos au côté un peu rêveur, que cela "flotte" ne me choque pas.

Les vents font de l'excellent boulot là et j'aurais dû mal à te suivre si tu dis le contraire.

Debussy, Bilitis. Gens puis Piau puis Joachim

Siegmund a écrit:

Je trouve moi le son quelque peu indéfini. Et d'ailleurs peu convaincu par la direction, ça flotte tout en étant séquentiel.

Je suis tombé sur la fin de l' "Oiseau de Feu" et de ce que j'en ai entendu, ça manquait de "punch" et de sonorité dans l'orchestre. Avec pas vraiment d'émotion. J'ai trouvé ça un peu tristounet. Et je suis d'accord avec toi.

Stockhausen, licht, vendredi !

Disons que d'une part, le son est assez fondu / fouillis (certes, la prise de son est large) ; les détails s'enchainent sans vraiment se distinguer ni même souvent vraiment sortir de la masse. Les cordes n'ont pas grand soyeux et donnent ce coté mal défini, un peu indistinct.

La direction en elle même est assez séquentielle, même s'il s'agit de la Suite de l'Oiseau de feu et que les transition y soient moins faciles. Toujours est-il que je la trouve quelque peu lâche, sans idée et suivi rythmique dans la longueur, on passe d'un passage à l'autre en laissant faire les instrumentistes qui récitent la partition sans en exacerber les dynamique, sans mettre chaque détail à sa place et valeur. Du coup, il y a pas mal de chose qui tombent plus ou moins à plat ; même si malgré tout, la partition est joué sans erreurs ou errances.

Pour les solistes, on trouve bien plus d'excellence ailleurs, dans une discographie certes prestigieuses ; j'ai une impression inégale mais jamais luxueuse.
Et l'appel de cors lors de la berceuse est complètement raté, les notes sont mâchées avec précipitation et sonorité fausse. Je crois que Jarvi ne s'y trompe pas en essayant de trouver dans l'urgence un échappatoire coté cordes ; car le charme en fut bien amoché.

Siegmund a écrit:

Disons que d'une part, le son est assez fondu / fouillis (certes, la prise de son est large) ; les détails s'enchainent sans vraiment se distinguer ni même souvent vraiment sortir de la masse. Les cordes n'ont pas grand soyeux et donnent ce coté mal défini, un peu indistinct.

La direction en elle même est assez séquentielle, même s'il s'agit de la Suite de l'Oiseau de feu et que les transition y soit moins faciles. Toujours est-il que je la trouve quelque peu lâche, sans idée et suivi rythmique dans la longueur, on passe d'un passage à l'autre en laissant faire les instrumentistes qui récitent la partition sans en exacerber les dynamique, sans mettre chaque détail à sa place et valeur. Du coup, il y a pas mal de chose qui tombent plus ou moins à plat ; même si malgré tout, la partition est joué sans erreurs ou errances.

Pour les solistes, on trouve bien plus d'excellence ailleurs, dans une discographie certes prestigieuses ; j'ai une impression inégale mais jamais luxueuse.
Et l'appel de cors lors de la berceuse est complètement raté, les notes sont mâchées avec précipitation et sonorité fausse. Je crois que Jarvi ne s'y trompe pas en essayant de trouver dans l'urgence un échappatoire coté cordes ; car le charme en fut bien amoché.

Tu expliques les choses mieux que moi , et de ce que j'ai entendu :

Handel, Agrippina, Actes II et III, René Jacobs, Akamu

Berlioz, Les Troyens - Levine / Norman / Troyanos / Domingo / Monk

Je découvre cette production. C'est le 1er acte. Il faut faire abstraction de la mise en scène (facile, elle est inexistante) mais Norman en Cassandre est réellement extraordinaire !