Playlist (59)

chou-mâne : scènes de la forêt

richter musique ouverte ; pires apex/erato.

c'est pas la même limonade.
cela dit l'un révèle l'autre.

Rachmaninov - Rhapsody on a Theme by Paganini - Ashkenazy/Previn.

J'ai ete derangee il y a cinq minute par une bonne femme avec un accent indien me demandant si j'aime la cuisine italienne ( ). "Oui, bien sur, mais je prefere la musique russe", ais-je repondu, puis j'ai pose le telephone a cote des enceintes. Elle est encore en train d'ecouter...

Debussy, Petite suite. Kondrashin
Brahms, Concerto pour violon. Eduard Grach, Kondrashin. Version ultra romantique mais quel beau violon !!!!
Scriabine, L'Acte préalable. Partie I. Kondrashin. Vraiment magnifique, ce truc !
Que du bon

Mariya Yudina : le récital de Kiev, le 4 avril 1954.

Mariefran a écrit:

Debussy, Petite suite. Kondrashin
Brahms, Concerto pour violon. Eduard Grach, Kondrashin. Version ultra romantique mais quel beau violon !!!!
Scriabine, L'Acte préalable. Partie I. Kondrashin. Vraiment magnifique, ce truc !
Que du bon

Kondrashin, Golovanov... bientôt Samossoud, Gauk et Melik-Pashayev!

J'ai déjà les deux coffrets Gauk

Scherzian a écrit:

Mariya Yudina : le récital de Kiev, le 4 avril 1954.

Tu mets un batman à cause du pistolet qu'elle trimbalait pendant ses concerts ?

808 a écrit:

chou-mâne : scènes de la forêt

richter musique ouverte ; pires apex/erato.

c'est pas la même limonade.
cela dit l'un révèle l'autre.

idem pires dgg

c'est mieux je trouve.

hier soir : Schubert, symphonie "La Grande", Marc Minkowski, les Musiciens du Louvres Grenoble

Schumann - Waldszenen - Gieseking
/watch?v=J1bR4T8utr4
Remarquable, comme tous les Schumann de Gieseking

Delalande - Te Deum - Les Arts Florissants / Christie

Fratelli Sammartini - Concerti - Camerata Köln

alexandre. a écrit:

Schumann - Waldszenen - Gieseking
/watch?v=J1bR4T8utr4
Remarquable, comme tous les Schumann de Gieseking

Delalande - Te Deum - Les Arts Florissants / Christie

Fratelli Sammartini - Concerti - Camerata Köln

merci du tuyau

Webern : Concerto op. 24, Boulez/Ensemble Intercontemporain



Bruckner : 4e symphonie, Jochum/Amsterdam



Mussorgsky : Une Nuit sur le Mont chauve, Ozawa/Chicago

LULLY : Atys acte V, Christie 2011

Marais : La gamme en forme de petit opéra

Marais : Alcyone prologue, Minkowski

Samgnardidovslavatovsky a écrit:

Scherzian a écrit:

Mariya Yudina : le récital de Kiev, le 4 avril 1954.

Tu mets un batman à cause du pistolet qu'elle trimbalait pendant ses concerts ?

Non, c'était une référence pourrie et cryptique à la sévérité, au sérieux, à l'excellence et au caractère intraitable et implacable de son jeu.

Par exemple, je me repasse en boucle le premier mouvement de la sonate opus 27 n°2 de Beethoven par elle lors de ce concert de Kiev en 1954 : c'est, pour moi, un absolu éverestien. Le chant y possède un onctueux incroyable, qui forme une ligne continue sans cesse renouvelée, les triolets centraux conservent une forme « effacée » de présence profondément troublante (elle les utilise d'ailleurs de façon fascinante tout du long), et la ligne de basse est projetée avec une noirceur, une profondeur insondable, avec aussi des accents tout aussi moelleux et déployés qu'ils sont sévères et obscurs, ce qui n'est pas peu dire et intervient pour beaucoup dans la beauté noire qu'elle fait jaillir. La voix de basse et celle de soprano sont en outre imbriquées l'une à l'autre avec de microdécalages des mains qui soulignent l'harmonie tout en lui donnant un caractère inévitable tout à fait terrifiant. J'ai rarement entendu une telle variété simultanée de textures, de couleurs et de lumières, et jamais dans cette œuvre-là. C'est bouleversant. Le genre d'enregistrement de concert à te hanter pendant des mois.

Sinon, les smileys les plus élevés, dans mon système débile de notation, c'est et ensuite ; c'est un peu particulier...

Boris Tchaikovsky, Thème et 8 variations / Symphonie 2. Kondrashin. C'est vachement bien

@ Scherzian, arrête de me tenter, je suis dans une période symphonique. Yudina

Trois cantiques, op. 40; Britten - Hahessey, Pears
Mon dieu que c'est mauvais.

Spring Symphony, op. 44; Britten - Britten

Sonate pour clarinette, op. 167; Saint-Saëns - Wright, Davis

Sonates pour violon No. 1 et 2; Bartok - Jando, Pauk

Mahler:Symphonie n°6 (Bernstein DG)

Version absolument magnifique!!!

Vainberg, Concerto pour violon. Leonid Kogan, Kondrashin
Vainberg, Symphonie 5. Kondrashin

Sviridov, Oratorio pathétique. Nina Isakova, Alexander Vedernikov, Kondrashin. ça dépote grave !

martha argerich

des bouts de la collection dgg "enregistrements en solo" en aléatoire

Spoiler:

J'écoutais à l'instant:

Brahms: Intermezzo Op.117 No.2 (E. Fischer)
/watch?v=R_FXw_A-fYo&feature=plcp

La version de Yudina semble tant faire dire à cette oeuvre qu'il semblait improbable d'imaginer une autre voie aussi puissante, et imaginer que ces notes puisse servir un autre discours avec autant de conviction. C'est pourtant ce qui se passe dans cette version d'Edwin Fischer, qui d'une concentration absolument bouleversante, quasi-insoutenable. L'austérité du sentiment et de l'humeur y évite l'écueil de la sévérité, et l'accompagnement qui est pourtant servi avec une grande régularité (là où Yudina déploie une agogique beaucoup plus souple) bénéficie d'une organicité extrêmement subtil qui le fait vivre, et lui donne le fatalisme plutôt que la scolarité. Un véritable travail d'orfèvre.
Mélodiquement, la concentration est maximale, ne s'interrompt pas une seconde. Yudina joue plutôt sur la rupture, avec un style beaucoup plus vocal, Fischer nous tient sur un fil ininterrompu, avec une tension qui ne se rompt pas même lorsque l'on change de section. La cohérence nous épargne la nécessité de la respiration sonore, et cela donne à quelques sforzando un grand impact sur le plan sonore (à 3'08" sur la vidéo par exemple).
Que dire de la fin, qui est miraculeuse, lorsqu'il amène après cette note dans le grave très profond la résolution harmonique; un absolu dans la réalisation sonore.
Une interprétation pleine de sens, non pas "sens" en tant que signification, mais en tant que direction.
Vraiment magnifique... quelle musique...

Pour suivre la brucknerite aiguë qui semble sévir en ce moment:

Bruckner ~ symphonie no 3 (Jochum) Découverte.

Quelle Brucknerite?



Bruckner:Symphonie n°6 (Jochum DG)

Hildegard Von Bingen - O Rubor Sanguinis


Lilie Boulanger - Clairières dans le Ciel


Gaubert - Madrigal pour flûte et piano (1908)
Une délicieuse brise d'air frais fauréenne

/watch?v=wDW8pExB--0&feature=channel&list=UL

Percy

Myaskovsky, Symphonie 15. Kondrashin
Tchaikovsky, extraits de Casse Noisettes. Kondrashin

arnaud bellemontagne a écrit:

Quelle Brucknerite?

Ils ne mouraient pas tous, mais tous étaient frappés

arnaud bellemontagne a écrit:

Quelle Brucknerite?



Bruckner:Symphonie n°6 (Jochum DG)

Ben oui quoi, de quoi parlez-vous ?

J'attends aussi le coffret en question

Szymanowski : Symphonie 3

@ Percy

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Je termine ma réécoute de la Septième Symphonie de Br... dirigée par Eugen Jochum avec Vienne en 1939. Magnifique ! Mais faites comme si je n'avais rien dit.

arnaud bellemontagne a écrit:

Symphonie n°6[/i] (Jochum DG)

Malgré quelques petits couacs dans le 1er mouvement, une bien belle version ! Avec un dernier mouvement génial je trouve. Jochum est l'un des rares qui fait vivre ce final avec brio et le sens de la pulsation.
Par exemple Karajan réussi très bien cette symphonie dans les trois premiers mouvements (quel adagio ! ) mais s'empêtre dans le dernier en passant complètement à côté de la pulsation vive et pétillante qui convient. Enfin, c'est mon ressenti.

Vivaldi : Les quatre saisons & Autres concertos (Carmignola / Marcon / Venice baroque orchestra)

Maria Callas : Répétitions à Dallas, 1957 (Nicolas Rescigno : La Traviata, I Puritani, Anna Bolena, Macbeth, Die Entfürung aus dem Serail)

Toujours aussi folle dans ses programmes!
Par contre, c'est assez passionnant ces répétitions. Et en plus, ça casse un peu l'image de la Callas diva... il reprend selon les indications du chef, rit... enfin elle semble plutôt détendue...

kegue a écrit:

Ben oui quoi, de quoi parlez-vous ?

J'attends aussi le coffret en question

Excellent choix!!!

Je viens de finir la 6 et ce coffret me ravit de bout en bout!!!

*Niko a écrit:

arnaud bellemontagne a écrit:

Symphonie n°6[/i] (Jochum DG)

Malgré quelques petits couacs dans le 1er mouvement, une bien belle version ! Avec un dernier mouvement génial je trouve. Jochum est l'un des rares qui fait vivre ce final avec brio et le sens de la pulsation.
Par exemple Karajan réussi très bien cette symphonie dans les trois premiers mouvements (quel adagio ! ) mais s'empêtre dans le dernier en passant complètement à côté de la pulsation vive et pétillante qui convient. Enfin, c'est mon ressenti.

Oui, je viens de terminer l'écoute. L'adagio est splendide et je ne parle même pas du scherzo (toujours ce souci de créer des atmosphères avec un travail méticuleux sur les timbres)!!!

Ce Jochum est un magicien!

Je poursuis avec la 7ème Symphonie!

Polyeucte a écrit:

Maria Callas : Répétitions à Dallas, 1957 (Nicolas Rescigno : La Traviata, I Puritani, Anna Bolena, Macbeth, Die Entfürung aus dem Serail)

Toujours aussi folle dans ses programmes!
Par contre, c'est assez passionnant ces répétitions. Et en plus, ça casse un peu l'image de la Callas diva... il reprend selon les indications du chef, rit... enfin elle semble plutôt détendue...

Il faudra que je me procure ce disque !

Du coup j'écoute ça :

Maria Callas - Scènes de la folie : Donizetti (Anna Bolena), Thomas (Hamlet), Bellini (Il Pirata) - Rescigno/Philharmonia

Ravel : Concertos pour piano, Samson François/Cluytens

Vivaldi, Oracolo in Messenia, Fabio Biondi, Ann Hallenberg, Europa Galante, Magnus Steveland, Vivica Genaux, Romina Basso, Julia Lezhneva, Franziska Gottwald, Xavier Sabata

J'ai acheté le disque aujourd'hui et l'ai donc écouté. Je crois que Ino au moins en avait parlé, en rubrique concert me semble-t-il mais je n'ai pas retrouvé. Magnus Steveland est le moins convaincant et c'est embêtant pour le rôle de Polifonte, l'antagoniste principal du pasticcio. Deux mezzos dominent la distribution : Ann Hallenberg et Vivica Genaux. J'en dirai un peu plus à l'occasion en rubrique discographique.

Dowland: Songs/Hargis-O'Dette

Dowland: Lachrimae/The King's noyse

Chostakovitch: Symphonie n°10 (Kondrachine)

A part le 2ème mouvement je dois dire que je trouve ça assez ennuyeux.

arnaud bellemontagne a écrit:

Chostakovitch: Symphonie n°10 (Kondrachine)

A part le 2ème mouvement je dois dire que je trouve ça assez ennuyeux.

Ca arrive dans ces symphonies, c'est normal. C'est le prix à payer pour certaines pages jouissives !

En effet, la 8ème aussi connait cette alternance de tunnels (selon moi) et de séquences roboratives.
A mon sens seule la 4ème maintien une certaine constance dans l'intensité.

Wagner - Götterdämmerung - Böhm

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