Playlist (59)

Bach - Passion selon St Matthieu - Chailly/Gewandhausorchester

Beethoven, Sonate opus 110 et Variations Diabelli. Richter
Mahler, Lieder eines fahrenden Gesellen / Kindertotenlieder / Rückert lieder. Christa Ludwig, Boult / Vandernoot / Klemperer

Les yeux qui fascinent a écrit:

Siegmund a écrit:

Et encore, Siegmund l’apprécie à distance. Certes, c'est une réalisation admirable, sans équivalent dans son genre ; mais pas vraiment mon monde. Et puis, le problème, c'est que vue de loins il faut faire le trie entre le bordélique et le vraiment intéressant (mais il y en a !).

Ben merdre alors ! je suis le seul à vraiment apprécier Stockhausen ici, alors !..

Moi aussi j'adore Sto !

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Glinka

Rouslan et Lioudmila/Gergiev

Enfin, le retour de mes premiers souvenirs musicaux !

Moi aussi quand je veux rigoler un coup

Tu rigoles sur Gruppen ou Carré ?

Mahler : 9e symphonie, Neumann/Leipzig

Les mots me manquent . Encore plus beau qu'Ancerl...

Horatio a écrit:

Mahler : 9e symphonie, Neumann/Leipzig

Les mots me manquent . Encore plus beau qu'Ancerl...

Oui, enfin, il y a Solti.

Vinocuakosecomeakikinsky a écrit:

Tu rigoles sur Gruppen ou Carré ?

Carré, je trouve ça plus hard… c'est franchement sinistre.

Mariefran a écrit:

Vinocuakosecomeakikinsky a écrit:

Tu rigoles sur Gruppen ou Carré ?

Carré, je trouve ça plus hard… c'est franchement sinistre.

Plus hard que la première partie de Licht je suppose ?

Siegmund a écrit:

Les yeux qui fascinent a écrit:

Siegmund a écrit:

Arseny Avraamov - Symphony of Sirens

Tu en penses quoi ?

C'est génial. Une expérience.

Moi, je ne sais pas trop quoi en penser ; va falloir que je la réécoute.

C'est dispo où ?

Mariefran a écrit:

Vinocuakosecomeakikinsky a écrit:

Tu rigoles sur Gruppen ou Carré ?

Carré, je trouve ça plus hard… c'est franchement sinistre.

C'est très beau Carré !

(tiens m'en vais écouter du Stockhausen, du coup).

@vino : cool, on est deux (& 1/2 avec siegmund ; & 3/4 avec MarieFran)

Vinocuakosecomeakikinsky a écrit:

Horatio a écrit:

Mahler : 9e symphonie, Neumann/Leipzig

Les mots me manquent . Encore plus beau qu'Ancerl...

Oui, enfin, il y a Solti.

Solti/LSO ? C'est vraiment moyen, virtuose et sans âme. Quant à Solti/Chicago, aucun souvenir particulier. A mon avis, on est loin de la modernité bouleversante de Neumann...

Horatio a écrit:

Vinocuakosecomeakikinsky a écrit:

Horatio a écrit:

Mahler : 9e symphonie, Neumann/Leipzig

Les mots me manquent . Encore plus beau qu'Ancerl...

Oui, enfin, il y a Solti.

Solti/LSO ? C'est vraiment moyen, virtuose et sans âme. Quant à Solti/Chicago, aucun souvenir particulier. A mon avis, on est loin de la modernité bouleversante de Neumann...

Solti/Chicago. Certes, c'est plus uniforme mais les contrastes dans le premier mouvement sont saisissants. Et l'Adagio est à pleurer.

Horatio a écrit:

Mahler : 9e symphonie, Neumann/Leipzig

Les mots me manquent . Encore plus beau qu'Ancerl...

A tomber par terre oui !

Concerto pour violon, op. 15; Britten - Olof, Barbirolli

Chopin, Concertos pour piano et Andante spianato. Samson François, Tzipine / Kletzki
L'école française de piano, c'était quelque chose avant…

Effectivement, ce sont de superbes enregistrements.
D'ailleurs, et en partie à cause des orchestres, je crois que je préfère ces enregistrements à ceux avec Frémaux.

Arseny Avraamov

Symphony of Sirens (1922)

C'est moi ou ce type avait déjà conçu ma symphonie ?

Stravinsky - Symphonie en ut - Česká filharmonie / Václav Neumann
La seule version convaincante que j'ai entendu de cette œuvre, la pulsation est formidable.

Anton Bruckner : Symphonie n°8 en do mineur -- Eugen Jochum, Philharmonie de Hambourg (studio, janvier et février 1949).

Immense, démesurée, parfaite et écrasante sur le plan formel, mais, malgré je ne sais combien d'écoutes de ce chef-d'œuvre, je préfère toujours l'interprétation de Wilhelm Furtwängler le 17 octobre 1944 avec la Philharmonie de Vienne. (Patapé, Utna et autres amis brucknériens, patapéééé !)

Stravinsky - Pétrouchka - Leningrad / Temirkanov
Malgré mes écoutes répétées et rapprochées, cette œuvre et cette interprétation en particulier ne s'épuisent pas.

Young Apollo, op. 16; Britten - Serebrier

Les Illuminations, op. 18; Britten - Söderström, Levine

Schullhof:Flammen Acte 2

Somptueux.

Mahler : 3e symphonie, Neumann

La petite harmonie, les cuivres, tous les vents sont divins. Quel bonheur que cette immense version !

Horatio a écrit:

Mahler : 3e symphonie, Neumann

La petite harmonie, les cuivres, tous les vents sont divins. Quel bonheur que cette immense version !

Tu veux pas essayer Boult/Ferrier?


Sinfonia Da Requiem, op. 20; Britten - Britten, SWR Baden Baden

Diversions, pour piano et orchestre, op. 21; Britten - Fleischer, Comissiona

Ben. a écrit:

Horatio a écrit:

Mahler : 3e symphonie, Neumann

La petite harmonie, les cuivres, tous les vents sont divins. Quel bonheur que cette immense version !

Tu veux pas essayer Boult/Ferrier?

Si je peux trouver ça, pourquoi pas. Enfin, il faut dire que j'ai pas mal de versions de cette Troisième que je n'ai jamais (ou presque) écoutées (Bernstein, Tennstedt, Kondrashine, Sinopoli, Haitink I,...).

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Berg : Suite lyrique, Lasalle Quartet

Essaie bouboule, il fracasse tout le monde dans cette symphonie!!!

Ici:
Sibelius:Symphonie n°5 (Karajan)

Szymanowski : Stabat Mater
Stravinsky : Symphonie de psaumes

Fauré, Quatuor avec piano 1. Marguerite Long, Trio Pasquier
Fauré, Quatuor 2. Marguerite Long, Thibaud, Vieux et Fournier
Fauré, Ballade opus 19. Long, Orch. Société des Concerts du Conservatoire, Cluytens

Dutilleux : The shadows of time

kegue a écrit:

Stravinsky : Symphonie de psaumes

Le premier mouvement est à mon sens assez prémonitoire de ce que fera l'école américaine par la suite (Reich, Adams)

Sinon ,j'aime de plus en plus ce Sibelius!

Musique incroyablement fine et suggestive, ça me rappelle un peu Debussy dans la façon de faire.

arnaud bellemontagne a écrit:

kegue a écrit:

Stravinsky : Symphonie de psaumes

Le premier mouvement est à mon sens assez prémonitoire de ce que fera l'école américaine par la suite (Reich, Adams)

Oui, il y a effectivement cette filiation!
On la sent aussi aussi dans le 1er mouvement de la symphonie en 3 mouvements.

arnaud bellemontagne a écrit:

J'aime de plus en plus ce Sibelius!

Musique incroyablement fine et suggestive, ça me rappelle un peu Debussy dans la façon de faire.

C'est quand même bien moins pointilliste que le Debussy orchestral, tu ne trouves pas ? - cette manière d'utiliser l'orchestre en strates dont les mouvements relatifs créent le dynamisme propre à sa musique. Je me suis souvent demandé pourquoi Sibelius utilisait autant le tremolo aux cordes, surtout dans cette Cinquième - c'est peut-être pour l'ambiguïté créée entre le mouvement "physique" et la ligne mélodique, qui peut être statique.

Symphonie n°4; Sibelius - Toscanini, NBC

Chants bibliques, op. 99; Dvorak - DFD, Demus

Mission, Cecilia Bartoli, Philippe Jaroussky, Diego Fasolis, I Barrochisti, Coro della Radiotelevisione Svizzera

Du pur Bartoli, avec une dimension jubilatoire dans les airs/duos rapides et une science du lamento remarquable. Instrumentation de Steffani offrant des choses très belles harmoniquement. Jaroussky effacé et ce ne sont pas les duos qui marquent le plus ou m'intéressent le plus. Fasolis que j'aime beaucoup dans le baroque, cela n'est que confirmé. On est allergique ou non à Bartoli et Jaroussky après. Je n'ai pas acheté le disque pour le moment, j'hésite encore à le faire, je l'ai écouté sur spotify, version avec le plus d'extraits donc deluxe je pense. Le côté marketing même si la vente d'un disque est essentielle et toute la communication autour me freinent.

Zemlinsky: Sinfonietta opus 23/Klee

Wagner, La Walkyrie
acte I - Janowski/Jerusalem/Norman/Moll
acte II - Keilberth 1955/Hotter/Varnay/Milinkovic

Lachrymae, Réflexions sur un chant de John Dowland, op. 23; Britten - Partridge, Blyton, Britten Sinfonietta

Matinées musicales, op. 24; Britten - Boult, LPO

Quatuor à cordes, n°1, op. 25; Britten - The Britten Quartet

Verklärte Nachte, op. 4; Schoenberg - LaSalle

Hymn to St Cecilia, op. 27; A Ceremony of Carols, op. 28; Britten - Cambridge, Willcocks

Horatio a écrit:

Mahler : 3e symphonie, Neumann

La petite harmonie, les cuivres, tous les vents sont divins. Quel bonheur que cette immense version !

C'est la version avec l'orchestre de Leipzig ?

Telemann : Musique de table

Horatio a écrit:

arnaud bellemontagne a écrit:

J'aime de plus en plus ce Sibelius!

Musique incroyablement fine et suggestive, ça me rappelle un peu Debussy dans la façon de faire.

C'est quand même bien moins pointilliste que le Debussy orchestral, tu ne trouves pas ? - cette manière d'utiliser l'orchestre en strates dont les mouvements relatifs créent le dynamisme propre à sa musique. Je me suis souvent demandé pourquoi Sibelius utilisait autant le tremolo aux cordes, surtout dans cette Cinquième - c'est peut-être pour l'ambiguïté créée entre le mouvement "physique" et la ligne mélodique, qui peut être statique.

Oui c'est moins pointilliste mais il y a un petit quelque chose qui les rapproche dans le côté transparent et vaporeux, même si Sibelius est plus innervé.

Symphonie n°4; Mahler - Mengelberg, Concertgebouw
A tomber par terre.

Ligeti : Deuxième livre d'études pour piano ( Chung )

Anton Bruckner : Symphonie n°8 en do mineur -- Giuseppe Sinopoli, Staatskapelle de Dresde.

Symphonie n°2; Hovhaness - Reiner

Mendelssohn, Octuor à cordes Op20 (Kocian & Prazak Quartets)

Autant le sextuor avec piano de la même période m'a enthousiasmé, autant là, je me suis fais .....

Scherzian a écrit:

Anton Bruckner : Symphonie n°8 en do mineur -- Giuseppe Sinopoli, Staatskapelle de Dresde.

Pas mécontent d'en avoir fini avec elle. Les textures orchestrales sont uniment lourdes, pesantes et opaques. De nombreux phrasés sont souvent appuyés, surchargés d'intentions pseudo-expressives, avec une section grave des cordes souvent sirupeuse et sans grande tenue. Surtout, il ne faut pas compter sur un déploiement organique des mouvements : tout est épisodique voire désarticulé ; il y a très peu de respiration et encore moins de tension. Une grande partie de la tension formelle de l'œuvre est simplement remplacée par de grands épanchements arbitraires et du son. La Coda du IV et toute la section qui y conduit, avec le retour si abrupt et impérieux du thème principal du I, sont le parangon de cette non-tension.

Schoenberg:Variations pour orchestre (Gielen)

A mon sens le plus grand interprète de Schoenberg.

Il faut que je réecoute son intégrale Mahler au plus vite!

Symphonie n°7; Dvorak - Mackerras, Sydney
Comment faisait Mackerras pour parvenir à des miracles avec quelque orchestre que soit ?