Playlist (59)

Serge Prokofiev : Sonate pour piano n°8 en si bémol majeur, opus 84 -- Emil Gilels (en direct, 26 janvier 1967).

Ludwig van Beethoven : Sonate pour piano n°23 en fa mineur, opus 57 -- Claudio Arrau (en studio, 11-12 avril 1960).

Rachmaninoff

Symphonie no. 1 en ré mineur Op. 13
Danses Symphoniques Op. 45/Ashkenazy

Ludwig van Beethoven : Concerto pour piano et orchestre n°4 en sol majeur, opus 58 -- Claudio Arrau, Alceo Galliera, Orchestre Philharmonia (en studio, les 30-31 mai 1955).

Scherzian a écrit:

Ludwig van Beethoven : Concerto pour piano et orchestre n°4 en sol majeur, opus 58 -- Claudio Arrau, Alceo Galliera, Orchestre Philharmonia (en studio, les 30-31 mai 1955).

Qu'est-ce qui te met tant en rogne ? (Je n'ai jamais écouté cet enregistrement.)

Hippolyte a écrit:

Qu'est-ce qui te met tant en rogne ? (Je n'ai jamais écouté cet enregistrement.)

Je trouve que c'est très lourd, bien que les tempos (19'14'', 5'38'', 10'06'') soient sensiblement moins amples qu'avec Colin Davis, et que les textures restent opulentes et opaques. La cadence du I, la plus longue des deux de Beethoven, en devient presque un pensum au ralenti. Le chef d'orchestre n'est pas très inspiré, c'est le moins que je puisse dire... Au piano, je trouve aussi que le jeu est beaucoup plus déterminé par la main droite, sorte de « mélodie accompagnée » (dans les premières interventions du II, comparé à la version avec Colin Davis, c'est frappant), ce qui est étonnant, venant de Claudio Arrau ; les lignes cachées sont en retrait. Je ne connais que trois enregistrements en studio de cette œuvre par Claudio Arrau, avec Alceo Galliera en 1955, puis Bernard Haitink en 1964, enfin Colin Davis en 1984 ; il me semble que chaque version est bien meilleure que la précédente.

Je suis sans doute complètement perdu pour l'opus 58, depuis Esteban Sánchez. J'ai réécouté récemment Conrad Hansen avec Wilhelm Furtwängler et je me suis surpris à tiquer à plusieurs reprises... Pourtant, qu'est-ce que j'aime ces deux musiciens !

En revanche, l'Appassionata évoquée plus haut, un enregistrement des 11-12 avril 1960 qui avait été publié en compact par EMI dans un boîtier de cinq disques en 1991 (Claudio Arrau [1903-1991] -- Beethoven Edition), est vraiment très surprenante, sauf sans doute dans le II. Les deux mouvements extrêmes sont très prenants, déboutonnés parfois, très abrupts et sévères, avec une sonorité très dense et rude et pourtant toujours très vivante. Pour moi, parmi les enregistrements en studio de cette sonate par Claudio Arrau, c'est de très loin le meilleur.

@Scherzian, tu renoues avec Arrau après une longue bouderie ?

Dusapin, Passion. Barbara Hannigan, Georg Nigl. Vocalconsort Berlin, Ensemble Modern, Franck Ollu. Mise en scène Sasha Waltz
Revu avec bonheur ce spectacle magnifique même si l'émotion n'est pas aussi grande qu'en salle.

Horatio a écrit:

Dvorak : 8e symphonie, Neumann II puis Giulini/Philharmonia

Sans doute ma version préférée !

Bruckner - Symphonie n°8 - Kölner RSO / Klemperer
Une très très grande version.
watch?v=Cyelp8_bTvU


Beethoven - Sonate n°31, Variations Diabelli - Richter (live Prague)

Mariefran a écrit:

@Scherzian, tu renoues avec Arrau après une longue bouderie ?

Dans ma fascination de l'opus 58 au printemps et en été, j'ai réécouté de nombreuses versions et j'ai bien aimé son enregistrement avec Colin Davis et la Staatskapelle de Dresde, surtout dans le II. L'Appassionata en studio en 1960, je l'ai toujours bien aimée. Maintenant, ces enregistrements restent, pour moi, des années-lumière en retrait de ceux d'Esteban Sánchez dans l'opus 58 et d'Ernst Levy et Vladimir Sofronitsky dans l'opus 57.

Trop d'Arrau, de sonorités de bronze, de textures opulentes et massives, pas assez de l'œuvre elle-même, quoi. Fatigué aussi que les phrases aient si souvent le cou tordu par lui, avec ses interventions explicites, même si c'est « pour de bonnes raisons » (pas envie d'assister à un cours mais d'écouter une œuvre). Pas assez de variété dans les couleurs et les attaques, pas assez d'allègements, trop doctoral et interventionniste pour moi.

Je suis bien d'accord sur le fait que le meilleur enregistrement du 4e concerto de Beethoven par Arrau soit le dernier avec Davis et Dresde ; ce que tu dis, Scherzian, de celui avec Galliera en est l'ultime confirmation.

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Kodaly
Sonatine pour violoncelle et piano - Perenyi / Szucs
Intermezzo pour trio à cordes - Czech String Trio
Adagio pour violoncelle et piano - Gavrish / Sadovskaïa
Duo pour violon et violoncelle - Suk / Navarra
Sonate pour violoncelle seul - Fournier

Wagner: Tristan et Isolde, acte 1/Bychkov 2000



Amusant, quelques secondes avant le début de l'intervention du marin, alors que l'orchestre fait encore ses pizz de la fin du prélude, on entend en coulisses un instrument donner le premier intervalle au chanteur.

Frédéric Chopin : Valse n°9 en la bémol majeur, opus 69 n°1 -- Vladimir Sofronitsky (22 mai 1945).

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Réédition par un autre ingénieur du son russe absolument génial, A. Likhnitsky. (Le fichier qu'il propose en téléchargement sur son site est donné pour l'opus 70 n°2, si j'ai bien compris le lien en russe, mais il s'agit en tout cas de l'opus 69 n°1.) Je n'ai jamais entendu un 78 tours sonner de manière aussi magique ! Le jeu du jeune Sofronitsky, en particulier dans la section centrale de cette valse, juste après la reprise, à la fin de la page 2 et au début de la page 3 de la partition, est sublime et incomparable. Les fins de phrases en staccato soyeux... Le rythme et l'agogique de valse enivrée et émerveillée... Avec une distanciation toute pudique et amère, comme voilée... Aaah !

Bien que ce ne soit encore qu'un fichier MP3 à 96kb/s qu'on peut récupérer sur le site de l'ingénieur du son, ce travail de réédition surclasse le disque compact Denon COCO-80188. Je crois que A. Likhnitsky n'utilise que du matériel et des composants électroniques vintage, réalisés avant 1945, tout au long de la chaîne de reproduction, sauf l'enregistreur. À mon avis, la preuve est faite, à l'écoute, que c'est la meilleure voie possible à suivre dans ce cas. Et il a publié un disque compact entier consacré au jeune Sofronitsky ! Des enregistrements entre 1938 et 1950.





EDIT : Je viens de réécouter le disque Denon COCO-80188. En fait, l'édition Likhnitsky (AML+ Music), même limitée à 96kb/s et en monocanal, ne surclasse pas l'édition Denon : elle l'écrabouille.

Berlioz : L'Enfance du Christ (Charles Munch, 1956 : Cesare Valetti, Florence Kopleff, Gérard Souzay, Giorgio Tozzi, Lucien Olivier=
Berlioz : Harold en Italie (Charles Munch, 1958 : William Primrose)
Rameau :Pygmalion (William Christie, 1991 : Howard Crook, Sandrine Piau, Agnès Mellon, Donatienne Michel-Dansac)
Rameau : Nélée et Myrthis (William Christie, 1991 : Agnès Mellon, J'rôme Corréas, Françoise Semellaz, Donatienne Michel-Dansac, Caroline Pelon)

Schütz, Musikalische Exequien - Herreweghe

Brahms - Concerto pour piano n°2 - Guilels / Chicago SO / Reiner

Chopin - Concerto pour piano n°1 - Guilels / Philadelphia Orchestra / Ormandy

alexandre. a écrit:

Chopin - Concerto pour piano n°1 - Guilels / Philadelphia Orchestra / Ormandy

J'aime beaucoup Guilels ; j'ai écouté cet enregistrement dernièrement et j'ai été très déçu, surtout par le mouvement central, que j'ai trouvé très terne, plat.

Je préfère nettement le live avec Kondrachine, qui se situe dans les meilleures versions que je connaisse.

Gesualdo: Madrigaux, livres 5 et 6/Collegium vocale Köln

Koechlin: Paysages et marines/Ensemble Initium

En ce moment j'écoute beaucoup la troisième symphonie de Beethoven. Le deuxième mouvement est énorme.

Wagner ~ Rheingold sc 3-4 (Karajan)

Brahms - Quatuors à cordes - Juilliard

Bruckner:Symphonie n°9 (Giulini)

Les premieres secondes de cette symphonie constituent pour moi la quintessence du sacré et du grandiose.

Il n'a pas son pareil pour peindre l'infini l'ami Bruckner...

Toujours dans Bruckner:

Symphonie n°6 (Karajan)

L'Adagio est bouleversant et le Scherzo très reussi.


Euh...c'est moi ou les symphonies de Bruckner sont toutes taillées sur le même patron?

Beethoven, Appassionata. Bruno-Leonardo Gelber
Schubert, Wanderer Fantasie. Gelber
Liszt, Sonate en si mineur. Gelber
Un pianiste bien oublié aujourd'hui… Belle sonate de Liszt.

arnaud bellemontagne a écrit:

Euh...c'est moi ou les symphonies de Bruckner sont toutes taillées sur le même patron?

C'est pas faux

Encore du Stamitz (mais qu'est-ce qui m'arrive ?) 3 Mannheim symphonies, symphonie 2 op.3, symphonie 3 op.11

Mahler : Symphonie n°10 - Version Derick Cooke (Daniel Harding, Philharmonique de Vienne, 2007)

Wagner: Tristan et Isolde, acte 2/Bychkov 2000



(où l'on se rend compte que Meier faisait déjà ses petits cris de souris en guise de contre-ut en 2000)

Mariefran a écrit:

Un pianiste [Bruno-Leonardo Gelber] bien oublié aujourd'hui…

L'as-tu déjà écouté dans le Premier Concerto de Brahms, avec Decker et la Philharmonie de Munich (/watch?v=l-v8nO-OAZQ) ?

Horatio a écrit:

*Niko a écrit:

Horatio a écrit:

Dvorak : 8e symphonie, Neumann II puis Giulini/Philharmonia

Sans doute ma version préférée !

Pas la mienne malheureusement .

Tu m'en vois désolé !


Symphonie n°7; Dvorak - Rowicki, LSO

Quatuors à cordes n°1 et 2; Janacek - Lindsays

Symphonie n°3; Mahler - Tennstedt

Mazeppa, Les Préludes, Orpheus; Liszt - Sinopoli, Vienne
Sinopoli est vraiment un lisztien sans égal. Le Mazeppa est à mon avis inégalé, loin devant l'enregistrement de Karajan, qui est pourtant son poème symphonique le plus réussi au disque.

Ah tiens, je ne savais pas qu'il avait enregistré les poèmes symphoniques!
Vu sa version de la Dante, j'imagine que ça doit être chouette en effet.

Xavier a écrit:

Ah tiens, je ne savais pas qu'il avait enregistré les poèmes symphoniques!
Vu sa version de la Dante, j'imagine que ça doit être chouette en effet.

J'ai édité, c'est avec Vienne évidemment. Ca se trouve facilement chez DG. C'est un disque monumental, comme tous ses Liszt. Je ne crois pas avoir jamais entendu ailleurs une pareille compréhension des structures lisztiennes. Le Mazeppa est vraiment remarquable, d'une finesse et d'un engagement formidables. Si tu as aimé sa Dante, tu peux y aller les yeux fermés: c'est aussi bon, ce qui n'est pas peu dire.

Johannes Brahms : Concerto pour piano et orchestre n°1 en ré mineur, opus 15 -- Witold Małcużyński, Stanisław Wisłocki, Orchestre symphonique philharmonique national de Varsovie (1960).

Une rechute... C'est magnifique ! (/watch?v=YE1IAaWB-xM [Ia], /watch?v=vt1h_AVSApA [Ib], /watch?v=ArluDhuE3Qw [II], /watch?v=Z3fdeW5gctE [III])

Ben. a écrit:

Xavier a écrit:

Ah tiens, je ne savais pas qu'il avait enregistré les poèmes symphoniques!
Vu sa version de la Dante, j'imagine que ça doit être chouette en effet.

J'ai édité, c'est avec Vienne évidemment. Ca se trouve facilement chez DG. C'est un disque monumental, comme tous ses Liszt. Je ne crois pas avoir jamais entendu ailleurs une pareille compréhension des structures lisztiennes. Le Mazeppa est vraiment remarquable, d'une finesse et d'un engagement formidables. Si tu as aimé sa Dante, tu peux y aller les yeux fermés: c'est aussi bon, ce qui n'est pas peu dire.

Oui, je vois que c'est à 2 euros sur Marketplace...
Mais mon budget CD/DVD/partitions est épuisé ce mois-ci. (je viens de recevoir la partoche des Gurrelieder version piano )

Xavier a écrit:

Ben. a écrit:

Xavier a écrit:

Ah tiens, je ne savais pas qu'il avait enregistré les poèmes symphoniques!
Vu sa version de la Dante, j'imagine que ça doit être chouette en effet.

J'ai édité, c'est avec Vienne évidemment. Ca se trouve facilement chez DG. C'est un disque monumental, comme tous ses Liszt. Je ne crois pas avoir jamais entendu ailleurs une pareille compréhension des structures lisztiennes. Le Mazeppa est vraiment remarquable, d'une finesse et d'un engagement formidables. Si tu as aimé sa Dante, tu peux y aller les yeux fermés: c'est aussi bon, ce qui n'est pas peu dire.

Oui, je vois que c'est à 2 euros sur Marketplace...
Mais mon budget CD/DVD/partitions est épuisé ce mois-ci. (je viens de recevoir la partoche des Gurrelieder version piano )

Je doute que ça soit épuisé d'ici le mois prochain !

Oui, je le mets de côté... (le problème c'est que j'en ai quelques-uns déjà des trucs de côté à acheter après ma prochaine paie )

Six lieder pour orchestre, op.8; Schoenberg - Sinopoli, Dresde

Chopin, Sonate opus 35. Bruno-Leonardo Gelber
Schumann, Sonate opus 22. Gelber
Brahms, Sonate opus 5. Gelber

@ Scherzian, je ne connais pas mais je vais aller l'écouter, même si je n'aime pas youtube.

Moi non plus, mais son avantage est que c'est gratuit de chez gratuit et plutôt très complet, et qu'on peut acheter une meilleure source par la suite si on aime l'œuvre et l'interprétation et si c'est encore disponible.

Brahms, Concerto opus 15. B. L. Gelber, Munich Philharmonic Orchestra, Franz Paul Decker. Le lien YT de Scherzian

Ben. a écrit:

Horatio a écrit:

*Niko a écrit:

Horatio a écrit:

Dvorak : 8e symphonie, Neumann II puis Giulini/Philharmonia

Sans doute ma version préférée !

Pas la mienne malheureusement .

Tu m'en vois désolé !

'Faut qu'on se trouve d'urgence un nouveau terrain d'entente !

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Prokofiev : Cendrillon, Prévin

Liszt, Sonate en si mineur. Pogorelich. Très spécial, quand même…
Scriabine, Sonate 2. Pogorelich

Strauss : Vier Letzte Lieder + quelques autres (Jessye Norman, Kurt Masur... 1982)
Assez magique cette voix!

hier soir, j'ai ecouté en podcast le matin des musicien de jeudi dernier.

lors de l'emission a été diffusé :

Arthur Lourié (1892-1966)
Synthèses op. 16 (1914)
Marie-Catherine Girod (piano)

Mikhail Matiusin, Alexei Kruchenykh & Kazimir Malevich
Victoire sur le soleil (opéra futuriste, 1913)


Nikolai Foregger & son orchestre de bruits
Danses mécaniques (extrait du ballet, 1923)

Arseny Avraamov (1886-1944)
Symphonie de Sirènes
Reconstruction du concert de Bakou, 1922, par Leopoldo Amigo & Miguel Molina

Joseph Schillinger (1895-1943)
Melody(1929)
Lydia Kavina (theremin), Joshua Pierce (piano)

Dimitri Chostakovitch (1906-1975)
Odna (« Seule ») op 26, musique de film (1929)
Irina Mataeva (soprano), Anna Kiknadze (mezzo soprano), Dmitry Voropaev (ténor), Mark van Tongeren (chant harmonique), Barbara Buchholz (theremin), Vokalensemble der HfMDK Frankfurt & Frankfurt Radio Symphony Orchestra, Mark Fitz-Gerald


J'ai été frappé par k'avant gardisme de ses musique composé entre 1913 et 1923. Les expérimentation de shaeffer ou henry sont a peine plus "audacieuse" que La symphonie des sirènes ou l'extrait de l'opéra "victoire sur le soleil". ET a l'écoute j'urai daté le piano de synthèse en début de la deuxième moitité du 20ième que 1914... Bref tres etonnant. Je ne savais pas qu'il y avait eu autant d'expérimentation dans la russie de ces années là.

Brahms, Quatuors à cordes 1 et 2. Janacek Quartet

Mozart : Requiem, Savall

R. Strauss : Métamorphoses, Karajan

Strauss:Helene d'Egypte (Botstein)

Je découvre.

Scherzian a écrit:

Mariefran a écrit:

@Scherzian, tu renoues avec Arrau après une longue bouderie ?

Dans ma fascination de l'opus 58 au printemps et en été, j'ai réécouté de nombreuses versions et j'ai bien aimé son enregistrement avec Colin Davis et la Staatskapelle de Dresde, surtout dans le II. L'Appassionata en studio en 1960, je l'ai toujours bien aimée. Maintenant, ces enregistrements restent, pour moi, des années-lumière en retrait de ceux d'Esteban Sánchez dans l'opus 58 et d'Ernst Levy et Vladimir Sofronitsky dans l'opus 57.

Trop d'Arrau, de sonorités de bronze, de textures opulentes et massives, pas assez de l'œuvre elle-même, quoi. Fatigué aussi que les phrases aient si souvent le cou tordu par lui, avec ses interventions explicites, même si c'est « pour de bonnes raisons » (pas envie d'assister à un cours mais d'écouter une œuvre). Pas assez de variété dans les couleurs et les attaques, pas assez d'allègements, trop doctoral et interventionniste pour moi.

tu nous le sors à tous cou(p)s