Playlist (60)

Isaac Nathan : Don John of Austria (Alexander Briger, 2007 : Steve Davislim, Cheryl Barker, Grant Doyle, Paul Whelan, Sally-Anne Russel)
Rameau : Hippolyte et Aricie (William Christie, 1996 : Anna-Maria Panzarella, Mark Padmore, Laurent Naouri, Lorraine Hunt, Gaëlle Méchaly, Mireille Delunsch, Nathan Berg, Patricia Petibon, Paul Agnew, Yann Beuron, François Piolino...)

Mélomaniac a écrit:

Cololi a écrit:

Je trouve au contraire le sacré chez Jochum !

Beh oui Cololi, moi aussi.

Pourquoi le sacré impliquerait-il la lenteur forcenée et la léthargie sempiternelle que célèbrent quelques chefs thanatopracteurs qui embaument Bruckner dans des tempos hibernatoires ?

schumann : kreisleriana (brendel)

première écoute de cet enregistrement à la mauvaise réputation

Zeno a écrit:

Melomaniac, Tu es prêt pour la contemplation de l'Everest.

Ca alors, je n'en reviens pas !

Voilà un troublant cas de télépathie....
Car une heure avant que tu n'écrives ce message, je me décidais justement à écouter la Symphonie n°5 de Chostakovitch dirigée par Leopold Stokowski, chez le label Everest... [c'est vrai, juré...]
Aurais-je enfin trouvé une âme soeur ?

Déjà, je me sens respirer profondément par le ventre, ma colonne vertébrale affalée se redresse, mes yeux se ferment, le mysticisme me gagne...
Je vois Bach siéger à la droite du Père, et me frapper par son incomparable génie mélodique qui résonne de quelque cantate aux confins des éthers...

L'envie de conchier jusque la fin de mes jours le steack sauce bordelaise, de me convertir au macrobiotique, de me ruer sur une maigre boîte d'anchois...

Chostakovitch:Symphonie n°9 (Haitink)

Vraiment une oeuvre anecdotique de Chosta.

Beethoven:Symphonie Pastorale (Bernstein)

Tiens il y a même le coucou de Mahler.

Et quelle merveille ce mouvement lent!

Mélomaniac a écrit:

Zeno a écrit:

Melomaniac, Tu es prêt pour la contemplation de l'Everest.

Ca alors, je n'en reviens pas !

Voilà un troublant cas de télépathie....
Car une heure avant que tu n'écrives ce message, je me décidais justement à écouter la Symphonie n°5 de Chostakovitch dirigée par Leopold Stokowski, chez le label Everest... [c'est vrai, juré...]
Aurais-je enfin trouvé une âme soeur ?

Déjà, je me sens respirer profondément par le ventre, ma colonne vertébrale affalée se redresse, mes yeux se ferment, le mysticisme me gagne...
Je vois Bach siéger à la droite du Père, et me frapper par son incomparable génie mélodique qui résonne de quelque cantate aux confins des éthers...

L'envie de conchier jusque la fin de mes jours le steack sauce bordelaise, de me convertir au macrobiotique, de me ruer sur une maigre boîte d'anchois...

Par Stokowski ?

Tu comptes les manger chez McDo, tes anchois ?

arnaud bellemontagne a écrit:

Chostakovitch:Symphonie n°9 (Haitink)

Vraiment une oeuvre anecdotique de Chosta.

Misère, non... C'est ce qu'on lisait sous la plume méprisante d'un Izraíl Nestyev

arnaud bellemontagne a écrit:

Beethoven:Symphonie Pastorale (Bernstein)

Tiens il y a même le coucou de Mahler.

Eh eh, oui, bien observé...

Chostakovitch, Quatuors à cordes n° 11, 12 & 13 - Quatuor Borodine

Mélomaniac a écrit:

arnaud bellemontagne a écrit:

Beethoven:Symphonie Pastorale (Bernstein)

Tiens il y a même le coucou de Mahler.

Eh eh, oui, bien observé...

C'est accessoirement une de mes symphonies préférées de Ludwig!

Zeno a écrit:

Mélomaniac a écrit:

[...] je me décidais justement à écouter la Symphonie n°5 de Chostakovitch dirigée par Leopold Stokowski, chez le label Everest [...]

Par Stokowski ?
[...]

Oui, je ne suis pas du genre à ne jurer que par Mravinski ou Kondrachine, même si je les place très haut.

Comme j'ai très mauvais goût (comme un arrière-goût de tapenade), j'aime bien le frémissement des cordes new yorkaises que façonne Stokowski au début du Moderato, son imagination lyrique dans le Largo. Le Scherzo est autoritairement drivé, et le Finale ne verse pas excessivement dans l'emphase.
Ce qui ne gâche rien : la prise de son est très réaliste.

Beethoven, Sonates opus 27-1 et 2, opus 28. Nicolaieva le 25/01/1984

La soirée Ludwig continue:

Symphonie n°8 (Bernstein)

Ecouté en début de soirée :

Prokofiev : Symphonies 4 et 7 dirigées par Jean Martinon à la tête de l'Orchestre National de l'ORTF (Vox).

La n°4 m'ennuie toujours autant.

Tension, densité, voire une certaine acrimonie : Martinon inculque du caractère au premier mouvement de la n°7. Mais je le trouve trop imprécis et même passagèrement arythmique dans le fringant second...

Mélomaniac a écrit:

kegue a écrit:

Entièrement d'accord. Maintenant, cette première symphonie a le mérite d'être très originale pour son époque de composition. Mahler mêle ici une forme parfaitement maîtrisée à une progression dramatique très bien conçue.
Chez moi, c'était la Sixième Symphonie de Prokofiev. C'est une oeuvre que je connaissais assez mal, finalement et que j'ai appris à apprécier pleinement. Une très belle interprétation de la victoire des troupes alliers, avec son lot de réjouissances et de douleurs (whaaaa, la coda )

J'ai envie de m'allier à ton avis car j'ai toujours pensé que le Finale de cette Symphonie est fou à lier... Mais ce cas m'isole...

Ah ! Moi qui pensais que les vainqueurs venaient tous d'Auvergne (rhhho la faute )

Sinon, je viens de finir mon cycle Prokofiev avec la Septième Symphonie. Je n'aurais pas dû finir avec celle-là, que je trouve quand même un cran en dessous des autres)

kegue a écrit:

Ah ! Moi qui pensais que les vainqueurs venaient tous d'Auvergne (rhhho la faute )

Sinon, je viens de finir mon cycle Prokofiev avec la Septième Symphonie. Je n'aurais pas dû finir avec celle-là, que je trouve quand même un cran en dessous des autres)

1) C'était une remarque amicale. C'est que... je suis un peu maniaque...

2) Les grands esprits se rencontrent (lis mon post précédent), j'ai aussi écouté la Symphonie n°7 ce soir, sous la baguette de Martinon (Vox). J'adore cette oeuvre simple et efficace, dont les superbes mélodies hésitent entre émotion et amertume. Le funambulesque Scherzo, son humour grotesque, ça reste du Prokofiev pur jus...

Tu as écouté les interprétations londoniennes de Walter Weller (Decca), je crois non ? Une très bonne intégrale selon moi.

Mélomaniac a écrit:

Cololi a écrit:

Je trouve au contraire le sacré chez Jochum !

Beh oui Cololi, moi aussi.

Pourquoi le sacré nécessiterait-il la lenteur forcenée et la léthargie sempiternelle que célèbrent quelques chefs thanatopracteurs qui embaument Bruckner dans des tempos hibernatoires ?

Tu m'embarrasses avec ce post. Pour être franc, hors tout humour à deux balles comme je fais souvent, je ne peux répondre à ce que tu exprimes là qu'en noircissant l'équivalent de 20 pages. Hors de question, donc. J'ai une telle pratique de la méditation et des modifications des états de conscience (et non des niveaux, comme on lit souvent) que je fais sans doute des expériences paradoxales, qui sembleront bizarres et m'accoleront l'image d'Epinal du mec déjanté qui mange un petit pois avec de faire le fakir sur une planche à clous. Passons.
Ce que je peux te dire, c'est que Celibidache était un esprit supérieur, que cet homme avait fait un choix en pleine conscience, qu'il explora au minimum un chemin qui fait sens pour certains, dont moi. Il s'en expliquait, du reste, mais ses propos ont été moqués sur ce forum de telle façon que je préfère ne pas en dire davantage (en gros, quand tu parles de Yoga, tu es au mieux un allumé, au pire un escroc).
De toute façon, les mots "sacré", "spirituel" et d'autres sont totalement profanés, galvaudés, écartelés, instrumentalisés, pervertis, je renonce à développer, du moins en public.

Je me contente de dire que les tempi de ce chef, dans Bruckner en tout cas, sont pour moi une bénédiction, qu'ils me comblent, qu'ils me proposent une expérience d'une profondeur ineffable qui va bien au-delà de la seule musique.

arnaud bellemontagne a écrit:

La soirée Ludwig continue:

Symphonie n°8 (Bernstein)

Tu t'arrêteras après la 9° ou tu continues ?

Mélomaniac a écrit:

Zeno a écrit:

Mélomaniac a écrit:

Cololi a écrit:

Je trouve au contraire le sacré chez Jochum !

Beh oui Cololi, moi aussi.

Pourquoi le sacré nécessiterait-il la lenteur forcenée et la léthargie sempiternelle que célèbrent quelques chefs thanatopracteurs qui embaument Bruckner dans des tempos hibernatoires ?

Tu m'embarrasses avec ce post. Pour être franc, hors tout humour à deux balles comme je fais souvent, je ne peux répondre à ce que tu exprimes là qu'en noircissant l'équivalent de 20 pages. Hors de question, donc. J'ai une telle pratique de la méditation et des modifications des états de conscience (et non des niveaux, comme on lit souvent) que je fais sans doute des expériences paradoxales, qui sembleront bizarres et m'accoleront l'image d'Epinal du mec déjanté qui mange un petit pois avec de faire le fakir sur une planche à clous. Passons.
Ce que je peux te dire, c'est que Celibidache était un esprit supérieur, que cet homme avait fait un choix en pleine conscience, qu'il explora au minimum un chemin qui fait sens pour certains, dont moi. Il s'en expliquait, du reste, mais ses propos ont été moqués sur ce forum de telle façon que je préfère ne pas en dire davantage (en gros, quand tu parles de Yoga, tu es au mieux un allumé, au pire un escroc).
De toute façon, les mots "sacré", "spirituel" et d'autres sont totalement profanés, galvaudés, écartelés, instrumentalisés, pervertis, je renonce à développer, du moins en public.

Je me contente de dire que les tempi de ce chef, dans Bruckner en tout cas, sont pour moi une bénédiction, qu'ils me comblent, qu'ils me proposent une expérience d'une profondeur ineffable qui va bien au-delà de la seule musique.

Oh, je ne me doutais vraiment pas que tu réagirais à mon message...

Relis-le : je ne condamne pas la lenteur, mais je dis seulement que ce n'est pas la seule voie possible vers l'expression du sacré.
Tu as bien résumé, et honnêtement bien sûr, dans la dernière phrase de ton message : les tempi de ce chef te comblent, ils t'apportent une expérience ineffable et incomparable. C'est bien là l'essentiel.
Restons donc sur nos positions d'ouverture, qui admettent celle de l'autre sans se trahir elles-mêmes.
Et si ça peut te rassurer, les pires excès de Celibidache ne résident pas selon moi dans ses Bruckner...

Je ne pense pas du tout que la lenteur soit la seule voie possible vers l'expression du sacré. C'est juste en cohérence dans les grands mouvements lents et méditatifs à la Bruckner. Dans la lignée de Parsifal (où j'adore Kna, pour cette raison). Et je trouve aussi que le chef roumain en rajoute parfois, dans d'autres répertoires.
Du reste, il n'y a qu'une voie pour atteindre vraiment ce que chacun nommera bien comme il voudra : le silence.
Ou, du moins, les musique du silence : Hildegard von Bingen, certaines pages de Josquin des Prés, de Bach, de Schubert, de Mahler, de Debussy, d'Arvo Pärt, principalement.
J'y reviendrai prochainement avec un gros dossier sur Debussy, quand j'aurai le temps...

PS : les admin, vous ne pourriez pas déplacer ??? Sinon, on arrête là, de toute manière, dans ce fil.

Chostakovitch, Quatuors à cordes n° 7, 8 & 15 - Quatuor Borodine

Zeno a écrit:

PS : les admin, vous ne pourriez pas déplacer ??? Sinon, on arrête là, de toute manière, dans ce fil.

Fil... Fil d'Ariane... Bacchus et Ariane... Merci Zeno, je ne savais pas comment poursuivre cette soirée musicale ! ! !

Revenons-donc au sujet :

Dans ma platine, glissons l'interprétation de... hummm... allez celle de Jean Martinon (Erato) !

Brahms - Symphonie n°3 - Berliner Philharmoniker / Furtwängler (54)
/watch?v=H0ZCTtV-E9o

Trop fort le finale. Tout le passage à partir de 30'50, c'est génial d'inspiration.

...et après Albert Roussel, Florent Schmitt : La Tragédie de Salomé.

Paul Paray dirige l'Orchestre symphonique de Detroit (Mercury).

Espérons qu'à cette heure-çi la Danse de l'effroi ne me donnera aucun cauchemar...

C'est une chouette version, mais amputée des choeurs malheureusement.

Beethoven - Quatuors op.131, 132 & 135 - Yale Quartet

Mélomaniac a écrit:

arnaud bellemontagne a écrit:

La soirée Ludwig continue:

Symphonie n°8 (Bernstein)

Tu t'arrêteras après la 9° ou tu continues ?

Ecoute de la 9ème prévue pour ce soir!

Sinon ce matin:
Chostakovitch:Symphonie n°10 (Haitink)

Une très grande reussite (à la fois pour l'oeuvre et pour l'interpretation)

Chopin: Mazurkas Op.7 (Sztompka)
/watch?v=P269FXknKnw
Au-delà du cliché nationaliste, Sztompka est dans une communion d'esprit absolument délicieuse vis-à-vis de ces oeuvres; dans le haut du panier des interprétations des Mazurkas de Chopin.

arnaud bellemontagne a écrit:

Existe-t-il dans le répertoire une première symphonie aussi aboutie?

Borodine, Rachmaninoff, Honegger, Lutoslawski...

_______________________________________________________________________________

Arthur Honegger

Horace Victorieux (1920-21)/Thierry Fischer

Wouaho ! C'est grandiose et quelle orchestration ! Un pur délice métaphysique, un savoureux mélange du Pelleas und Mélisande de Schoenberg et du Sacre du Printemps.

Concerto pour violoncelle H. 72/Alban Gerhardt, violoncelle/Thierry Fischer, direction

Une version synthétisant les esprits contradictoires des Rostropovitch-Kaňka. Une promenade sereine et bucolique flirtant avec un diable en furie !

"Amphion" - Prélude, Fugue, Postlude (version 1948)/Thierry Fischer

Quelle force, quelle énergie ! Heureusement, j'ai déjà la musique du Ballet-Mélodrame complet. Pourtant ce merveilleux petit triptyque me fascine davantage !

Une Cantate de Noël (1952-53)/James Rutherford, baryton/Thierry Fischer, direction

Sans doute l’œuvre d'Honegger qui m'a le plus ému dès la première écoute.

Vinocuakosecomeakikinsky a écrit:

Arthur Honegger

Horace Victorieux (1920-21)/Thierry Fischer

Wouaho ! C'est grandiose et quelle orchestration ! Un pur délice métaphysique, un savoureux mélange du Pelleas und Mélisande de Schoenberg et du Sacre du Printemps.

Tu m'interesses,là!

arnaud bellemontagne a écrit:

Vinocuakosecomeakikinsky a écrit:

Arthur Honegger

Horace Victorieux (1920-21)/Thierry Fischer

Wouaho ! C'est grandiose et quelle orchestration ! Un pur délice métaphysique, un savoureux mélange du Pelleas und Mélisande de Schoenberg et du Sacre du Printemps.

Tu m'intéresses, là!

De plus, c'est une œuvre en soi des plus intéressantes. Un Poèmes Symphonique en forme de Ballet-Pantomime reprenant la forme canonique d'une symphonie en un mouvement (avec une partie Scherzo dans le deuxième tiers de l’œuvre). Et la coda est des plus abruptes d'Honegger !

Dis moi, sur le plan qualitatif ça navigue vraiment dans les mêmes eaux que le Sacre et Pelléas?

arnaud bellemontagne a écrit:

Dis moi, sur le plan qualitatif ça navigue vraiment dans les mêmes eaux que le Sacre et Pelléas?

Disons qu'il y a quand même des passages très personnels du compositeur. Mais d'une manière générale, oui. L'introduction est véhémente, le duo de Camille et Curiace plonge dans un postromantisme schoenbergien à souhait, bien que les harmonies soient plus moderne (ce passage en particulier me fait aussi penser à la Tragédie de Salomé de Schmitt). L'entrée des Horaces est percutante (on y entend des aspirations greco-romaines, mais l'univers du Sacre n'est pas bien loin). L'entrée de la foule est rythmiquement prodigieux (les cordes basses poussant un psalmodie haletant), encore des allusions au Sacre. Bref, l'on retrouve surtout Le Pelleas de Schoenberg dans les parties plus languissantes (Camille et Curiace, Lamentations et imprécations de Camille). Le Sacre s'occupe du reste de l’œuvre. Cela étant dit, relativisons. Cette pseudo-symphonie ne dure guère les 22 minutes. Il est certain que tout ce qui se rattache à ses influences soit représenté de manière très libre et nuancé. Le génie n'est pas bien loin non plus.

Schumann. Trio pour clarinette alto et piano. Joli mais sans plus (schumann me fait souvent cette impression là=> pas taper).

@Vino:Merci!

Copland:Appalachian Spring (Bernstein)

Ca faisait longtemps que je ne l'avais pas écouté.

Vraiment une oeuvre magnifique (enfin bon faut être sensible au style américain) et la filiation avec les oeuvres de Bernstein est patente!

Honegger

Un peu de musique de chambre avec son instrument fétiche :

Sonates pour violon et piano nos. "0"-1-2 H. 3-17-24 (1912-1916/18-1919)

Sonate pour violon seul en ré mineur H. 143 (1940)/Laurence Kayaleh, violon/Paul Stewart, piano

C'est magnifique !

Brahms ~ Symphonie n°1 (Jochum/LSO)

Shashank. JoshI&II.

Beethoven:Symphonie n°9 (Bernstein)

C'est marrant comme l'intro ouvre la voie au début de la première de Mahler, au début du Vaisseau Fantôme ou au début de l'Or du Rhin.

Brahms, opus 76, 117, 118, 119. Danses hongroises. Julius Katchen

schumann, dichterliebe, wunderlich/giesen

J'écoute peu en ce moment, alors je n'inonde plus le fil playlist de quarante posts par jours. Néanmoins, ces dernières jours j'ai écouté

Symphonies 1-4; Sibelius - Sanderling
Symphonies 7-8; Dvorak - Rowicki
Sonates diverses; Schubert - Uchida
et l'intégrale Liszt - Sinopoli et l'intégrale des oeuvres pour orchestre de Bloch par Sawicki.

Rien que du très traditionnel chez moi, donc.

Mahler:Le Chant de le Terre (Jochum)

Schubert ~ D960 (Richter/Prague)

Schubert, D. 958 et 960. Richter en 1973 et 1972

*Niko

Tss tss, ça n'arrive pas à la cheville de la version de Lupu ....

(Je mettrais bien ma propre version de la 960 sur YT, mais ça va encore m'attirer de nombreux ennuis...)

Mode provoc ON ?

Merlin a écrit:

Tss tss, ça n'arrive pas à la cheville de la version de Lupu ....

Uchida*