Playlist (67)

Mendelssohn, Quatuor n°6 (Cherubini)


Toujours un plaisir d'écouter ce chef-d'oeuvre !

F. Liszt, Trois odes funèbres. L. Howard.

je crois que je vais — malgré tout — finir par acheter son intégrale.

yamaw a écrit:

F. Liszt, Trois odes funèbres. L. Howard.

je crois que je vais — malgré tout — finir par acheter son intégrale.

Sinon y a ce best off Liszt, mais je crois que tu le possèdes déjà :

Spoiler:

tututututut.

Spoiler:

Tchaïkovski, Eugène Onéguine - Khaïkine / Vichnevskaïa / Belov / Lemechev

Beethoven, les cinq sonates pour violoncelle et piano - Gutman / Virsaladze

Korngold: Elisabeth and Essex, musique du film avec Bette Davis et Erroll Flynn. Il existe quelques versions, la mienne est de Carl Davis. Je suppose que c'est ok, quoique celle de Bernard Herrmann a meilleure réputation.

Suk. Asrael, symphonie en do mineur op. 27. J'en ai entendu une version avec Vaclav Neumann il y a une couple de semaines. Ce soir j'en ai écouté deux autres: Claus Peter Flor et l'orchestre philharmonique de Malaisie sur BIS, et Libor Pesek avec le Royal Liverpool Philharmonic. Suk est un compositeur relativement négligé hors de son pays et hors d'Angleterre, où il est hautement estimé. asrael est l'Amge de la mort. Le compositeur écrivit çette symphonie d'une durée d'une heure sous le coup de la mort de son beau-père Dvorak (trois premiers mouvements) et de sa femme Otilie (deux derniers mouvements).

Charpentier : Les Arts florissants, Christie

Dauvergne : Hercule mourant, Rousset

J. M. Hauer, Études op.22. Steffen Schleiermacher.

Martinu, Double Concerto (Conlon)


Juste génial comme musique, amateurs de violence et de folie orchestrale, écoutez ça !

Musique florentine du XIV° Siècle

= David Munrow, Early Music Consort of London

James Bowman - Nigel Rogers - Martyn Hill

Oliver Brookes : basse de viole
Mary Remnant : rebec, vièle
Robert Spencer : luth
Christopher Hogwood : orgue, harpe, percussion
Alan Lumsden : saqueboute
David Munrow : flûtes, cromorne, chalémie

(Decca, avril-mai 1969)

TragicSymph

=> Mozart, Quatuor 3, Eder SQ
=> Mozart, Quatuor 5, Eder SQ
=> Mozart, Quatuor 6, Eder SQ

=> Boulez, Dialogue de l'ombre double, Volker Hemken (arrangement pour clarinette basse).
Autant c'est beau version basson, autant en clarinette basse ça perd énormément de charme.

=> Mozart, Quintette avec clarinette, Sabine Meyer / Sextuor à cordes de Vienne
Que c'est terne et poli ! Je crois que je n'avais jamais écouté cette version célèbre. Et c'est sacrément lisse...
=> Mozart, Quintette avec clarinette, Wolfgang Meyer / Mosaïques SQ
=> Mozart, Quintette avec clarinette, Wolfgang Meyer / Carmina SQ
Ma version de chevet, avec le pendant Coppola / Kuijken SQ pour la lecture sur instruments anciens. Tout en simplicité, avec un superbe larghetto.

=> Braunfels, Quatuor 1, Auryn SQ (CPO)
=> Braunfels, Quatuor 2, Auryn SQ (CPO)
Pas particulièrement intéressant, je dois dire.

=> Delvincourt, Sonate pour violon et piano
=> Delvincourt, Boccaceries
Intéressant, même si pas au sommet de ce qui s'est produit en France dans ces années.

DavidLeMarrec a écrit:

TragicSymph

Merci, ravi de te retrouver aussi !
J'ai vu que pendant mon absence, on a eu de nouveaux adeptes Nielseniens !

Rossini, La donna del lago. Finalement ça peut être chouette Rossini.

Delius _ Concerto pour piano
Howard Shelley [ piano ] Sir Andrew Davis : Royal Scottish National Orchestra
Delius _ Paris. a Nocturne
Sir Andrew Davis : Royal Scottish National Orchestra

Debussy _ Estampes
Debussy _ Images pour piano
Jean-Efflam Bavouzet [ piano ]

Carl Nielsen (1865-1931) :

Symphonie n°3 Op. 27

= John Frandsen, Orchestre de la Radio d'Etat danoise

(Philips, 3-5 mars 1955)

Carl Nielsen (1865-1931) :

Symphonie n°1 en sol mineur Op. 7

Symphonie n°5 Op. 50

= Thomas Jensen, Orchestre de la Radio d'Etat danoise

(Decca, 14-15 juin 1952 ; 7 avril 1954)

rien de nouveau, mais bon :

J. S. Bach, L’art de la fugue. G. Sokolov.

yamaw a écrit:

J. M. Hauer, Études op.22. Steffen Schleiermacher.

j’écoute la septième étude en boucle.

Mahler : symphonie N° 6 par l'orchestre d'Atlanta et Y Levi

Schumann - Kerner-Lieder - Fischer-Dieskau / Klust

Schumann - Liederkreis op.39 - Fischer-Dieskau / Weissenborn

Mozart - Die Entführung aus dem Serail - Vienne / Solti

Moussorgski - Tableaux d'une exposition - Andsnes

Encore du Nino Rota. D'un coffret de 5 cd de ses 'Greatest Film Hits'. Les deux premiers disques sont consacrés au Parrain I, II et III. La réalisation technique (livret, interprétation et exécution) est superbe. Étonnant comme cette musique se renouvelle sans cesse. Rota avait un don unique.

Messe Super flamina babylonis de François Cosset (1610-1664). Une magnifique réalisation par Hervé Niquet et l'ensemble vocal et instrumental Les Boréades. Intitulé 'Office de la semaine sainte chez les Visitandines vers 1695’, le disque comprend l'ordinaire de la messe par Cosset, avec des interpolations de Nivers (Introït), Moulinié (Cantique), Bouteiller (graduel), Clérambault (une chaconne pour l'Offertoire), Lully (Élévation et Communion), et se termine par un motet de Lalouette. Étiquette Atma. Peu de disques m'ont enchanté autant que celui-ci. Un bijou.

A secret labyrinth, Huelgas Ensemble, Paul van Nevel
disque 1 Codex Las Huelgas
disque 11 Pierre de Manchicourt

Verdi -Choeurs célèbres

de Aïda, Otello, Un Bal Masqué, Le Trouvère, Nabucco, Rigoletto, Macbeth, I Masniaderi, Les Lombards, La Traviata, Don Carlos

(Decca, 4-7 novembre 1989)

frere elustaphe a écrit:

Rossini, La donna del lago. Finalement ça peut être chouette Rossini.

Finalement ça peut être chouette Rossini

C'est chouette Rossini! tout simplement.

Debussy : Pelléas et Mélisande, intégral/Inghelbrecht

Symphonies 3, 4, 5 et 8 de Beethoven avec Janos Ferencsik et l'Orchestre philharmonique hongrois. Je connaissais leur Eroica depuis fort longtemps. J'ai récemment acheté les autres pour une chanson, mais dans un habillage différent. L'Eroica est maintenant couplée avec la huitième. Mais se voit amputée de la reprise au premier mouvement

Quoiqu'il en soit, c'est du Beethoven de haute volée par un chef inspiré et un orchestre qui a le feu au derrière. Ce qui frappe le plus est l'attaque des phrases: incisive, dardante, avec une sonorité pleine. Dans beaucoup de fins de paragraphes musicaux un coup de fouet se fait entendre. Autrement dit c'est nerveux sans être énervé, vibrant sans être agité. Les tempi sont relativement conventionnels (j'ai entendu plus rapide), les textures font la part belle aux vents et aux timbales, comme chez Munch et Leinsdorf par exemple. Les cordes sont soyeuses et bien en chair. Seuls les cuivres pourraient avoir plus de présence. On n'entend presque pas le piccolo et les trombones dans 5:IV.

Originalement sur Hungaroton, réédité sur leur label économique Laser Light. Enregistrements datant pour la plupart de 1974 à 1976.

F. Liszt, paraphrases sur des opéras de Verdi :
— Paraphrase de concert sur Rigoletto ;
— Paraphrase de concert sur Ernani ;
— Paraphrase de concert sur le Miserere du Trovatore ;
— Salve Maria de l’opéra de Verdi Jérusalem ;
— Danza sacra e duetto finale d’Aida ;
— Finale de Don Carlos — Coro di festa e marcia funebre ;
— Réminiscences de Boccanegra de Verdi.

Claudio Arrau, 1971.

Bizet : l'Arlésienne - Suites n°s 1 et 2
Franck : Variations Symphoniques*
Symphonie en ré mineur
Roussel : Bacchus et Ariane - Suite n° 2 Op. 43
Fauré : Requiem Op. 48**

André Cluytens, Aldo Ciccolini*, Maurice Duruflé**, Martha Angelici**, Louis Noguéra**

F. Liszt, lieder S.269, 272, 273, 281, 285, 286, 294, 298, 301, 304, 305, 307, 308, 312 et 314.

Dietrich Fischer-Dieskau, baryton.
Daniel Barenboim, piano.

Rodrigo
_ Tres viejos aires de danza
_ Música para un jardín
Josep Pons : Orquesta Ciudad de Granada
Rodrigo
_ Fantasía para un gentilhombre
_ Concierto de Aranjuez
Marco Socías [ guitare ] Josep Pons : Orquesta Ciudad de Granada
Dis donc qu'est ce que c'est beau Je crois que je tombe amoureux de Rodrigo, son Música para un jardín en particulier m'émerveille, avec toutes ces couleurs, et sa poésie ! Tous ce que j'aime !

Rav-phaël a écrit:

Rodrigo
_ Tres viejos aires de danza
_ Música para un jardín
Josep Pons : Orquesta Ciudad de Granada
Rodrigo
_ Fantasía para un gentilhombre
_ Concierto de Aranjuez
Marco Socías [ guitare ] Josep Pons : Orquesta Ciudad de Granada
Dis donc qu'est ce que c'est beau Je crois que je tombe amoureux de Rodrigo, son Música para un jardín en particulier m'émerveille, avec toutes ces couleurs, et sa poésie ! Tous ce que j'aime !

Je suis très heureux que tu tombes sous le charme de ce grand compositeur espagnol tant méfié par la plupart de nos confrères/sœurs forumeurs/euses (préférant Mompou ou de Falla au génie de cet aveugle singulier !).

Schumann, Etudes symphoniques (1-4, 11-12 et 5 variations posthumes), Fantaisie opus 17, Faschingsschwank aus Wien. Richter . Deux fois

Bruckner - Symphonie n°6 - Philharmonia / Klemperer

Mozart - Die Zauberflöte - Vienne / Solti I

Chopin, 29 Mazurkas. William Kapell

Leclair : Scylla et Glaucus

Rameau : Castor et Pollux, Christie

Ruggiero Leoncavallo (1857-1919) :

Pagliacci

= Carlo Bergonzi - Joan Carlyle - Giuseppe Taddei - Ugo Benelli - Rolando Panerai

Herbert von Karajan, Choeur et Orchestre de la Scala de Milan

(DG, octobre 1965)

Schubert, Sonates D840 & D575 - Mitsuko Uchida

Beethoven, Concerto pour piano n° 1 - Michelangeli / Giulini

Schumann, Liederkreis op. 24, Dichterliebe - Ian Bostridge / Julius Drake

Un des tout meilleurs disques de lied de Bostridge - assez sobre en plus.

DavidLeMarrec a écrit:

Un des tout meilleurs disques de lied de Bostridge - assez sobre en plus.

Oui, du Bostridge sans excès, c'est beau et intelligent. J'adore ce disque. Mais je crois bien me souvenir que c'est grâce à toi que je l'ai acheté...

Milhaud : Six Petites Symphonies Opp. 43-49-71-74-75-79/Rouchon
Ballade Op. 61
Cinq Etudes pour piano et orchestre Op. 63/Korstick-Francis

Brahms
Symphonie n° 4 - Giulini / Chicago
Symphonie n° 2 - Karajan / Berlin 1977

Beethoven
Concerto pour piano n° 3 - Serkin / Bernstein

Boris Tishchenko : Symphonie n° 1 Op. 20 (1961)/Serov

euh... comment dire ?... c'est assez spécial...

CPE Bach, Fantaisies H 279 et 284, Sonates H106, 281, 68. Mathieu Dupouy

Brahms, Sextuor à cordes n° 2 - Q. Amadeus / Aronowitz / Pleeth

Beethoven, Quatuor serioso / Mozart, Quatuor 16 K.428, adagio et fugue K. 546. Chiaroscuro Quartet. Pas du tout aimé le son de ce quatuor, ça gratte désagréablement

Mariefran a écrit:

CPE Bach, Fantaisies H 279 et 284, Sonates H106, 281, 68. Mathieu Dupouy

C'est bien ? J'ai entendu son Haydn, j'ai trouvé ça horriblement maniéré, aucune ligne de chant tenue.

Charles Tessier (ca 1550)

Chansons, Airs, Villanelles



(Alpha, 01er novembre 2005)

Mélomaniac a écrit:

Spoiler:

J'aime beaucoup celui là !
_____________________
Dvořák _ Rusalka
Cheryl Barker [ Rusalka ] Rosario La Spina [ Prince ] Bruce Martin [ Vodník ] Elizabeth Whitehouse [ Foreign Princess ] Anne-Marie Owens [ Ježibaba ] ... Richard Hickox : Australian Opera and Ballet Orchestra & Chorus

André Previn et le Pittsburgh Symphony dans Le Carnaval des animaux de Saint-Saens et Ma Mère l'Oye de Ravel (étiquette Philip, 1981). Simplement idéal, à tous points de vue: programme, interprétation, exécution, prise de son. On n'en sort pas, quand il s'agit de magie des timbres, les compositeurs français sont dignes de la plus haute marche du podium. Lorsque tout est dit, je crois que ce disque est avant tout un triomphe pour les interprètes.

Scarlatti: sonates 301-318. Jan-Peter Belder. Un petit peu plus affirmatif que Ross, un peu moins que Rowland, beacoup moins que Hantaï. Je suppose qu'une intégral de trente et quelques disques doit avoir sa part de qualités et défaits. Aux deux iers de celle-ci, je n'ai aucune hésitation à la recommander. Si Rowland était disponible il emporterait mes suffrages. Je n'ai pas l'intégrale, mais avec 219 sonates réparties sur toute la production du compositeur, elle me semble la plus complète: solide, séduisante, fouillée et éblouissante quand il le faut (le défaut de Hantaï est qu'il n'est que éblouissant (mais quelle féérie sous ses doigts!). Scarlatti est un des compositeurs qui a le plus bénéficié de la renaissance du clavecin italien depuis les vingt ou trente dernières années.

Beethoven! Symphonie no. 9 avec le Philharmonique hongrois sous Janos Ferencsik. Une interprétation qui s'inscrit dans les 'mainstream' des versions classiques de Jochum, Haitink, Ansermet, Schmidt-Isserstedt, Kubelik, Monteux, Kempe, Fricsay, avec moins d'emphase dramatique que Karajan, moins d'emphase rythmique que Maag, Böhm, Bernstein, moins d'accent sur la fondation tonale que Davis, Blomstedt, moins d'effusion émotionnelle et de jaillissement rythmique que Munch ou Herreweghe, mais plus de personnalité et de touches rythmiques ou agogiques que Zinman, Harnoncourt, Gardiner. Bref, si j'ai pris la peine de les comparer mentaleent avec ces différentes versions, témoins d'esthétiques largement différentes, c'est wu'elle m'a impressionné. En particulier, j'ai apprécié le sens de progression drematique qui donne au finale son rôle d'apothéose d'une esthétique romantique naissante. En résumé: Top Ten parmi de très nombreuses versions.