Playlist (85)

Jof M a écrit:

Decaux : Clairs de lune
Frederic Chiu

   Fascinant.

Tu pourrais nous en dire un peu plus ?

Oui, ceci est un piège infâme.

DavidLeMarrec a écrit:

Tu pourrais nous en dire un peu plus ?

Oui, ceci est un piège infâme.

C'est pas gentil...   
Mais écrire ici ce que j'ai ressenti, remarqué, aimé ou pas après mes écoutes, ça me permet de le retenir, parce qu'avant de m'inscrire sur le forum il me fallait souvent bien 3 ou 4 écoutes pour commencer à rentrer dans une oeuvre. Maintenant au bout d'une ou 2 écoutes, j'arrive à tirer des choses... Je pourrais aussi l'écrire sur un bout de papier, me dira-t-on, mais du coup je ne pourrais pas profiter de vos précieuses remarques/rectifications  

Jof M a écrit:

Decaux : Clairs de lune
Frederic Chiu

   Fascinant.

    
Géniale cette oeuvre !!

Mais même si c'est pour deux lignes, ça vaut la peine d'être reporté dans l'autre fil... non seulement tu sous-estimes ce que valent tes remarques, mais en plus, même si c'était sans grand intérêt, ça lancerait quand même la discussion.

Je brûle de lire tes impressions sur Decaux.

DavidLeMarrec a écrit:

Mais même si c'est pour deux lignes, ça vaut la peine d'être reporté dans l'autre fil... non seulement tu sous-estimes ce que valent tes remarques, mais en plus, même si c'était sans grand intérêt, ça lancerait quand même la discussion.

Je brûle de lire tes impressions sur Decaux.

Mais promis, la prochaine fois que quelqu'un répond à ce que je poste en Playlist, je transfère dans le bon sujet !

Tu brûles, tu brûles... n'exagérons rien   
Et comme je suis méchant, je vais te laisser te consumer à petits feux    je n'ai pas tiré grand chose de cette première écoute, seulement que j'ai cru entendre des réminiscences debussyistes, et que ça m'a plu. Je vois que c'est sur l'IMSLP, j'essaierai donc la partition sous les yeux, ce sera plus facile.

Decaux : Clairs de Lune / Chiu
             

Anton Dvorak (1841-1904) :

Symphonie n°9 en mi mineur Op. 95

= Otto Klemperer, Philharmonia orchestra

(Columbia, octobre-novembre 1963)

Chopin : Barcarolle / Rubinstein
 

Mélomaniac a écrit:

Anton Dvorak (1841-1904) :

Symphonie n°9 en mi mineur Op. 95

= Otto Klemperer, Philharmonia orchestra

(Columbia, octobre-novembre 1963)

=> Gottschalk – Œuvres pour piano – Artur Rubinstein

Bruckner: 2ème symphonie dans une réduction pour 20 instrumentistes d'Anthony Payne (qui a complété la 3ème d'Elgar). Ensemble dirigé par Trevor Pinnock.

arnaud bellemontagne a écrit:

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Schubert:Winterreise (Hotter/Moore)

J'espère qu'il y aura un tas de motifs récurrents vu que c'est un cycle.  

EDIT: J'ai pas dépassé la 7ème plage.   

C'est strictement interdit d'écrire des choses pareilles en ces lieues !   

Je persiste et je signe.
Le Lied (chant/piano) m'ennuie prodigieusement alors que chaque seconde du Chant de la Terre ou des Ruckert Lieder m'electrise.   

arnaud bellemontagne a écrit:

Je persiste et je signe.
Le Lied (chant/piano) m'ennuie prodigieusement alors que chaque seconde du Chant de la Terre ou des Ruckert Lieder m'electrise.   

C'est dommage, mais est-ce que tu avais les textes sous les yeux ? Parce que pour ma part, sauf pour les lieder orchestraux de Mahler précisément, j'ai besoin du texte pour vraiment apprécier un lied.

Bart Simpson a écrit:

arnaud bellemontagne a écrit:

Je persiste et je signe.
Le Lied (chant/piano) m'ennuie prodigieusement alors que chaque seconde du Chant de la Terre ou des Ruckert Lieder m'electrise.   

C'est dommage, mais est-ce que tu avais les textes sous les yeux ? Parce que pour ma part, sauf pour les lieder orchestraux de Mahler précisément, j'ai besoin du texte pour vraiment apprécier un lied.

Pour ma part, chez Schubert et Schumann, je n'ai jamais eu besoin du texte pour trouver ça génial. Ceci n'est pas un incitation à faire de la sorte hein ... mais ça me semble moins impérieux que pas mal de monde le dit.
Je ne remet pas en question la "plus-value" que ça peut apporter ... je dis plutôt que la musique est largement assez passionnante déjà en elle-même (enfin ... pas seulement ... car même si on ne comprend pas ... il y a le lien entre les sonorité du texte et son lien à la musique ... et ça j'y suis très sensible - c'est même peut être le moteur principal je trouve).

J'ai les textes.
Je trouve ça monotone...au bout du 3ème lied j'en ai déjà marre.   

Cololi a écrit:

Bart Simpson a écrit:

arnaud bellemontagne a écrit:

Je persiste et je signe.
Le Lied (chant/piano) m'ennuie prodigieusement alors que chaque seconde du Chant de la Terre ou des Ruckert Lieder m'electrise.   

C'est dommage, mais est-ce que tu avais les textes sous les yeux ? Parce que pour ma part, sauf pour les lieder orchestraux de Mahler précisément, j'ai besoin du texte pour vraiment apprécier un lied.

Pour ma part, chez Schubert et Schumann, je n'ai jamais eu besoin du texte pour trouver ça génial. Ceci n'est pas un incitation à faire de la sorte hein ... mais ça me semble moins impérieux que pas mal de monde le dit.
Je ne remet pas en question la "plus-value" que ça peut apporter ... je dis plutôt que la musique est largement assez passionnante déjà en elle-même (enfin ... pas seulement ... car même si on ne comprend pas ... il y a le lien entre les sonorité du texte et son lien à la musique ... et ça j'y suis très sensible - c'est même peut être le moteur principal je trouve).

Oui ce n'est pas non plus une nécessité impérieuse, tu as raison, certains Lieder fonctionnent bien en écoute "pure", entre autres grâce au génie mélodique de Schubert. Mais à mon avis, si on n'est pas passionné par ce genre à la base, je pense que ça peut aider à rentrer dedans.

arnaud bellemontagne a écrit:

J'ai les textes.
Je trouve ça monotone...au bout du 3ème lied j'en ai déjà marre.   

Je suis un peu d'accord avec toi... alors que par exemple la mélodie russe me passionne (Rachmaninov en particulier!)

Pour le Lied, tu peux essayer le Winterreise chanté par Jon Vickers. Si là tu trouves ça monotone, alors tu peux oublier le Lied!

Je me souviens d'un disque Mahler avec Thomas Hampson qui propose des versions piano/chant de Lieder du Wunderhorn. C'est sur musicme. Ca peut être un bon test également.   

Dieu sait si je n'aime pas le piano ... mais dans le lied et la mélodie ... c'est pour moi très largement supérieur à l'orchestre. On perd toute l'intimité du genre et on rajoute des effets orchestraux inutiles.

Va falloir chercher longtemps pour trouver l'infériorité des Altenberg Lieder, du Chant de la Terre, des Ruckert Lieder, des 6 lieder op 8 de Schoenberg, du lied de Waldtaube...   

arnaud bellemontagne a écrit:

Va falloir chercher longtemps pour trouver l'infériorité des Altenberg Lieder, du Chant de la Terre, des Ruckert Lieder, des 6 lieder op 8 de Schoenberg, du lied de Waldtaube...   

Les Altenberg Lieder ... non car c'est assez intime. Le Chant de la Terre c'était justement plutôt ce que je visais.
Dans le lied de Waldtaube je ne le connais pas en version piano ... mais je trouve que l'orchestration apporte quelque chose pour le coup.

Cololi a écrit:

Le Chant de la Terre c'était justement plutôt ce que je visais.

Là encore on peut se reporter sur la magnifique réduction pour orchestre de chambre de tonton Arnold (excellent disque d'Herreweghe). Il y a aussi une version piano/chant (chez Erato je crois, je ne me souviens plus des interprètes) mais pour le coup, l'absence de couleurs peut-être lassante à la longue, surtout pour Der Abschied.

Nikolaï Rimsky-Korsakov : Le Coq d'Or - Suite pour orchestre (arrangement par Glazounov et Steinberg)/Evgeny Svetlanov

Avec Partition.


         

Alifie a écrit:

Ensemble Modern
Leitung: Jean Deroyer
Hilary Summers, Mezzosopran
Mozart-Saal in der Alten Oper
Frankfurt, 5.11.2013

. Pierre Boulez/Johannes Schöllhorn: Douze notations
. Johannes Schöllhorn: La Treizième - Hommage à Pierre Boulez
. Gustav Mahler/Arnold Schönberg: Lieder eines fahrenden Gesellen
. Pierre Boulez: Le marteau sans maître

Hessischer Rundfunk broadcast

Tu as trouvé ça comment les Notations ?

Emeryck a écrit:

Tu as trouvé ça comment les Notations ?

bref.

Alifie a écrit:

Emeryck a écrit:

Tu as trouvé ça comment les Notations ?

bref.

Tu as aimé ?

A part les Lieder eines fahrenden Gesellen, j'ai écouté ce programme radio d'une oreille un peu distraite (en faisant la cuisine puis la vaisselle) : Boulez en fond sonore me va très bien, mais je n'en pense pas grand-chose de plus.

Alifie a écrit:

A part les Lieder eines fahrenden Gesellen, j'ai écouté ce programme radio d'une oreille un peu distraite (en faisant la cuisine puis la vaisselle) : Boulez en fond sonore me va très bien, mais je n'en pense pas grand-chose de plus.

 

Cololi a écrit:

Dieu sait si je n'aime pas le piano ... mais dans le lied et la mélodie ... c'est pour moi très largement supérieur à l'orchestre. On perd toute l'intimité du genre et on rajoute des effets orchestraux inutiles.

Qu'importe le terme...
Si on te dit que c'est une symphonie avec voix ça passe mieux?

Xavier a écrit:

Cololi a écrit:

Dieu sait si je n'aime pas le piano ... mais dans le lied et la mélodie ... c'est pour moi très largement supérieur à l'orchestre. On perd toute l'intimité du genre et on rajoute des effets orchestraux inutiles.

Qu'importe le terme...
Si on te dit que c'est une symphonie avec voix ça passe mieux?

Ca ne change pas grand chose   
Je préfère avec le piano.

Mais toi qui aimes tant l'orchestre et qui détestes tant le piano?
Je ne comprends pas trop...
Pour moi ça dépend des oeuvres: évidemment que le Winterreise en version orchestrale j'ai de gros doutes (même si j'aurais la curiosité d'écouter), mais pour les Rückert, Kindertotenlieder de Mahler, 4 derniers de lieder de Strauss... qui sont vraiment faits pour être avec orchestre, même s'il y a aussi une version piano, je ne comprends pas trop.
Et évidemment il y a les Gurre et le Chant de la terre qui sont pour orchestre et uniquement pour orchestre, les cycles de Schulhoff aussi... il y a surement une raison quand même.
Shéhérazade de Ravel, tu préfères ça aussi au piano?

Xavier a écrit:

Mais toi qui aimes tant l'orchestre et qui détestes tant le piano?
Je ne comprends pas trop...
Pour moi ça dépend des oeuvres: évidemment que le Winterreise en version orchestrale j'ai de gros doutes (même si j'aurais la curiosité d'écouter), mais pour les Rückert, Kindertotenlieder de Mahler, 4 derniers de lieder de Strauss... qui sont vraiment faits pour être avec orchestre, même s'il y a aussi une version piano, je ne comprends pas trop.
Et évidemment il y a les Gurre et le Chant de la terre qui sont pour orchestre et uniquement pour orchestre, les cycles de Schulhoff aussi... il y a surement une raison quand même.
Shéhérazade de Ravel, tu préfères ça aussi au piano?

Il y a des exceptions je suis d'accord (Shéhérazade par exemple ... et les Gurre aussi ... mais ces derniers ne sont pas vraiment des lieder ... franchement ça n'a rien d'intime).
Pour moi le lied c'est pas ça de toute façon ...    Pour moi c'est Schubert, Schumann ... mais quand Mahler, Strauss and co (encore Berg c'est autre chose ... car c'est moins chargé, comme Schoenberg dans Pierrot ... c'est autre chose que Mahler et Strauss) font des "lieder" avec orchestre massif ... ça peut être génial mais on change de genre pour moi.

Ben oui, on est d'accord, c'est juste une question de mot, c'est du lied avec orchestre, ou appelle ça symphonie avec voix... ce qui compte c'est que c'est génial, peu importe qu'on appelle ça lied ou autrement. (c'en est quand même à mon avis, même si c'est une excroissance avec orchestre)
Personne n'a dit qu'il fallait écouter les lieder de Schubert et Schumann avec orchestre de toute façon.   

(Berg moins chargé? Réécoute le 1er des Altenberg quand même   On voit bien que c'est post-mahlérien tout de même.)

Tournemire : Dialogue sacré, op. 50
Michael Bundy (baryton), Claire Seaton (soprano) et Helen Crayford (piano)

  
C'est du Tournemire de la maturité (comme depuis l'op. 43 il me semble).

Bejun Mehta : Ombra Cara (airs d'Haendel, dirigés par René Jacobs...)

  

Vivaldi : Stabat Mater
Andreas Scholl (contreténor), Ensemble 415, dir. Banchini

   Le premier mouvement m'a quand même mis les larmes aux yeux.
Ils sont touchés par la grâce, j'ai trouvé ça très beau.
Peut-être que ça vient aussi de l'oeuvre (la structure en parallèle - ou cyclique, je ne sais pas - des 6 premiers mouvements), mais c'est très linéaire.
C'est une oeuvre religieuse, donc ici la relative sagesse des interprètes met en valeur la côté méditatif et la beauté de l'oeuvre.

Je connaissais déjà cette interprétation, mais bon, comme c'est du Vivaldi, je n'y avais jamais prêté attention auparavant... J'avais bien tort  

Strauss : Burlesque
Thibaudet (piano), Gewandhausorchester, dir. Blomstedt

  
Ça ne vaut pas Argerich et Abbado, mais c'est une très bonne version !

Xavier a écrit:

Ben oui, on est d'accord, c'est juste une question de mot, c'est du lied avec orchestre, ou appelle ça symphonie avec voix... ce qui compte c'est que c'est génial, peu importe qu'on appelle ça lied ou autrement. (c'en est quand même à mon avis, même si c'est une excroissance avec orchestre)
Personne n'a dit qu'il fallait écouter les lieder de Schubert et Schumann avec orchestre de toute façon.   

(Berg moins chargé? Réécoute le 1er des Altenberg quand même   On voit bien que c'est post-mahlérien tout de même.)

Sans doute que Cololi a une sensibilité à ce qui est intimiste et non à grand déploiement qui dans ce cas supprime cette atmosphère.

Enfin, certains aiment plus ressentir les effets que les notes purement et simplement aussi, d'où le pourquoi que quand ils écoutent
du réduit ça les lassent car moins d'effets, plus épurés.  

Jof M a écrit:

Vivaldi : Stabat Mater
Andreas Scholl (contreténor), Ensemble 415, dir. Banchini

   Le premier mouvement m'a quand même mis les larmes aux yeux.
Ils sont touchés par la grâce, j'ai trouvé ça très beau.
Peut-être que ça vient aussi de l'oeuvre (la structure en parallèle - ou cyclique, je ne sais pas - des 6 premiers mouvements), mais c'est très linéaire.
C'est une oeuvre religieuse, donc ici la relative sagesse des interprètes met en valeur la côté méditatif et la beauté de l'oeuvre.

Je connaissais déjà cette interprétation, mais bon, comme c'est du Vivaldi, je n'y avais jamais prêté attention auparavant... J'avais bien tort  

Oui, c'est le disque qui a fait décoller la carrière de Scholl. Ce que je préfère dans le programme, c'est le miserere, absolument splendide de couleurs et d'intelligence vocale.   

Ravel :
-Miroirs
-Le tombeau de couperin
-Menuet sur le nom d'Haydn
-Gaspard de la nuit
- Jeux d'eau
-Sonatine
-Prélude
-Valses nobles et sentimentales
-Concerto pour piano et orchestre ( Orchestre Colonne, Jasha Horenstein)
-Menuet antique
-Concerto pour la main gauche ( Orchestre Colonne, Jasha Horenstein)
-Pavane pour une infante défunte


(Vlado Perlemuter)

Bartok:Quatuor n°4 (Keller)
Beethoven:Quatuor n°16 (Berg)

Tchaïkovski : Concerto pour piano n° 2
Glemser, Polish national Radio SO, dir. Wit

  
Vaste premier mouvement digne de celui du 1er Concerto, deuxième mouvement qui se transforme en triple concerto, et final très énergique.
En plus, très bien joué.

Bien-sûr, c'est Glemser. 

De plus, c'est parmi les Tchaïkovsly que je déteste pas, car on entend pas la zizique de Casse-Noisette comme réminiscence de langage
dans ça, contrairement à pas mal d'autres oeuvres.

plenum a écrit:

Bien-sûr, c'est Glemser. 

De plus, c'est parmi les Tchaïkovsly que je déteste pas, car on entend pas la zizique de Casse-Noisette comme réminiscence de langage
dans ça, contrairement à pas mal d'autres oeuvres.

Le tout début était un peu pompeux, mais sinon ça reste généralement assez brillant ou lyrique (2ème mouvement). Du Tchaïkoski, quoi !  

Bach : L'Art de la Fugue (contrapunctus 1 à 5)
Isoir

Mouais. Je ne pense pas qu'Isoir soit l'idéal pour découvrir L'Art de la Fugue.

Georg Friedrich Händel-Dixit Dominus (Hwv 232)
  

Le Concert d'Astree & Emmanuelle Haim
Natalie Dessay & Karine Deshayes
Philippe Jaroussky & Laurent Naouri & Toby Spence

Label Virgin 2006

Jof M a écrit:

Bach : L'Art de la Fugue (contrapunctus 1 à 5)
Isoir

Mouais. Je ne pense pas qu'Isoir soit l'idéal pour découvrir L'Art de la Fugue.

Pour toi qui serait idéal?   

arnaud bellemontagne a écrit:

Pour toi qui serait idéal?   

Plutôt un claveciniste, pour bien cerner toutes les polyphonies complexes. Après, lequel, je ne sais pas.
Ou peu-être Gould, qui est très intelligible.

Debussy : Préludes (livre II)
Arrau

Il prend des tempos un peu lents, quand même.

Arrau =   

Jof M a écrit:

arnaud bellemontagne a écrit:

Pour toi qui serait idéal?   

Plutôt un claveciniste, pour bien cerner toutes les polyphonies complexes. Après, lequel, je ne sais pas.
Ou peu-être Gould, qui est très intelligible.

Gould.   Il a enregistré seulement un volume à un insipide orgue Casavant pour Columbia.

A l'orgue Kei Koïto et son approche française! Dieu que c'est convaincant comme résultat!