Playlist (85)

plenum a écrit:

Arrau =   

J'ai bâillé juste en te lisant.   
Non, franchement on peut pas dire que ce soit mauvais...

plenum a écrit:

Gould.   Il a enregistré seulement un volume à un insipide orgue Casavant pour Columbia.

A l'orgue Kei Koïto et son approche française! Dieu que c'est convaincant comme résultat!

Glenn Gould.   

Tu as essayé Monique Haas?

Mais pour les Préludes, pour moi c'est paul Jacobs.  

plenum, au sujet de l'Art de la Fugue, à l'orgue, a écrit:

A l'orgue Kei Koïto et son approche française! Dieu que c'est convaincant comme résultat!

 
  Voilà !
 
  Un disque énorme !

Oui tout-à-fait.

Une autre version que je déteste pas encore aujourd'hui et un des rares enregistrements de Marie-Claire Alain dont je ne me lasse pas
est sa version de cette Art de la Fugue au Marcussen de Rotterdam.

Pour la version clavecin, il y a bien-sûr Leonhardt, cette musique va bien d'ailleurs avec sa nature ''Meisterprufung'' , mais heureusement que ce n'est pas à l'orgue, car souvent Gustav est un valium puissant.  

Heureusement que ce n'est que de l'orgue de Bach, sinon il serait bien dommage de répandre toutes ces infos n'importe où...

(Je répondrai dans le bon fil, mais pas maintenant, et c'est de votre faute.)

=> Schubert - Symphonie n°3 - Zinman
=> Schubert - Symphonie n°4 - Zinman

=> R. Strauss - Ein Heldenleben - Zinman
=> Wagner - récital suisse - Silins, Zinman

=> Rachmaninov - Symphonie n°3 - Baltimore, Zinman
=> Rachmaninov - Danses symphoniques - Baltimore, Zinman

Mais non ce n'est pas n'importe où et Bach est universel, jusqu'à être jazzé, rockisé, popularisé initialement par Frida Boccara.  

Jof M a écrit:

Tournemire : Dialogue sacré, op. 50
Michael Bundy (baryton), Claire Seaton (soprano) et Helen Crayford (piano)

  
C'est du Tournemire de la maturité (comme depuis l'op. 43 il me semble).

Je n'ai vraiment pas été emporté du tout par ce disque : la musique vocale faisait plutôt résonner les manques du Tournemire organistique que ses forces. À mon sens.

Faut seulement s'assurer de ne pas considérer un absolu ce qui est finalement une conviction tributaire d'une perception de la journée, d'un moment.  

Prokofiev: Sonate pour piano n°6 / Berman
       
Prokofiev: Sonate pour piano n°7 / Berman
       

Jof M a écrit:

plenum a écrit:

Arrau =   

J'ai bâillé juste en te lisant.   
Non, franchement on peut pas dire que ce soit mauvais...

Comme tout ce qu'a fait interprété Arrau...  

Emeryck a écrit:

Comme tout ce qu'a fait Arrau...  

  Venant après cette citation à tiroir, ta phrase est ambigue...

Il voulait dire que c'est tiède en général, pour ne pas dire souvent endormant.   

 Emeryck, qui aime tant le piano, est bien au-dessus d'un jugement si simpliste et superficiel...

Mélomaniac a écrit:

 Emeryck, qui aime tant le piano, est bien au-dessus d'un jugement si simpliste et superficiel...

Bah j'adore Arrau dans Chopin, dans Beethoven également, dans Brahms aussi. Dans Debussy, il faudrait que j'écoute mais je ne vois pas pourquoi ce serait mauvais !   

Mélomaniac a écrit:

 Emeryck, qui aime tant le piano, est bien au-dessus d'un jugement si simpliste et superficiel...

Je parle pas de la musique de piano, mais de l'interprète. 

plenum a écrit:

Je parle pas de la musique de piano, mais de l'interprète. 

Ca ne m'avait pas échappé   

Emeryck a écrit:

Bah j'adore Arrau dans Chopin, dans Beethoven également, dans Brahms aussi. Dans Debussy, il faudrait que j'écoute mais je ne vois pas pourquoi ce serait mauvais !

Voilà !   

Bon eh bien, respectons votre faible pour les pattes d'ours.   

Caplet : Divertissements pour harpe seule / Jamet
  

plenum a écrit:

Bon eh bien, respectons votre faible pour les pattes d'ours. 

 

  

Spoiler:

Mais non je parles de doigts, lourds au toucher comme si c'était un ours qui jouait dans un cirque, non d'un estomac en lien à tes patisseries délicieuses ( il y a les pattes d'ours avec de la mélasse comme biscuit également). 

plenum a écrit:

il y a les pattes d'ours avec de la mélasse comme biscuit également

  Tu me prends pour un morfale ?!

Mais pourquoi fais-tu l'ours mal léché présentement? Arrau est ton ourson préféré ou quoi?  

Clementi: sonates. Pietro Spada. Disque 10/18 de l'intégrale sur label Arts.

Brahms: Ein Deutsches Requiem. Irmgard Seefried et George London, NYPO, Bruno Walter         (  ). Exeunt HvK et Klemperer.

Clementi: sonates. Pietro Spada. Disque 10/18 de l'intégrale sur label Arts.

Brahms: Ein Deutsches Requiem. Irmgard Seefried et George London, NYPO, Bruno Walter         (  ). Exeunt HvK et Klemperer.

Mossolov, Concerto pour piano nº1 (1926–7).  Khuntsaria/Kozhukar

l’un des seuls concertos pour piano que j’écoute avec plaisir, même si certains passages restent assez pénibles pour moi.

Jolivet, Concerto pour piano (1950).  Entremont/Jolivet

Gluck : Orfeo ed Euridice (Marc Minkowski, 2014 : Bejun Mehta, Camilla Tilling, Ana Quintans)
Superbe!

Bejun Mehta : Che puro ciel! (Récital entre baroque et classique avec Mozart, Gluck, Hasse, Traetta, Bach... dirigé par René Jacobs)
Encore une bien belle découverte ce disque...

Guilmant : Sonate pour orgue n° 7 ; Marche funèbre et chant séraphique
Joris Verdin

Du romantisme bien gentil. J'aurais pu trouver mieux pour l'interprète, je pense.

Prokofiev : Visions Fugitives
Michel Béroff

Mouais.

lucien a écrit:

Jolivet, Concerto pour piano (1950).  Entremont/Jolivet

   

Alifie a écrit:

Gomidas
[...]
Gomidas

Tiens, les Arméniens sont enrhumés aujourd'hui.

c'est visiblement l'ortographe de Komitas en achkharapar (à tes souhaits).

Alifie a écrit:

c'est visiblement l'ortographe de Komitas en achkharapar (à tes souhaits).

Un véhicule arméno-danois, où les g sont des k et les t des d ?

Beethoven:Quatuor n°7 (Berg)

Pour l'instant les Quatuors de beethoven qui m'emballent sont les 7,10,12,14 et 15.  

Le 14 c'est peut être ce que j'ai écouté de plus génial en musique de chambre (voir en musique tout court).   

DavidLeMarrec a écrit:

Alifie a écrit:

c'est visiblement l'ortographe de Komitas en achkharapar (à tes souhaits).

Un véhicule arméno-danois, où les g sont des k et les t des d ?

http://fr.wikipedia.org/wiki/Alphabet_arménien#Alphabet
http://eo.wikipedia.org/wiki/Okcident-armena_lingvo (tu lis certainement l'esperanto)
www.pimsleur.com/Learn-Armenian-Western/About-This-Language

=> www.nonesuch.com/albums/gomidas-songs

Emeryck a écrit:

lucien a écrit:

Jolivet, Concerto pour piano (1950).  Entremont/Jolivet

   

Pas sûr qu'il apprécie, au passage.  

Nikolaï Miaskovsky : Symphonie N° 22 "Ballade Symphonique" Op. 54

          

Rostislav Boïko : Symphonie N° 2 Op. 64/Evgeny Sveltanov

          

Sergueï Slonimsky : Symphonie N° 2 (1978)/Vassily Sinaïsky

         

Tōru Takemitsu (1930–1996), A Way a Lone pour quatuor à cordes (1981)
Samuel Barber (1910–1981), Quatuor à cordes op.11 (1936)
Benjamin Britten (1913–1976), Quatuor à cordes nº2 op.36 (1945)

Tokyo String Quartet

RCA/BMG, 1993 (enregistrement : juin, avril et mai 1992)

Khatchatourian, Symphonie nº3 (1947).  Kondrashin

Schoenberg : Concerto pour piano / Uchida, Boulez

Martin: Pavane couleur du temps/Stoutz

    +

Ballade pour flûte, orchestre à cordes et piano/Stoutz

    

Tournemire : Symphonie n° 8 "Le triomphe de la mort"
Moscow SO, dir. Almeida

  

Je suis en train de réfléchir... Le triomphe de la mort, avec un final tellement lumineux (et avec des cloches)... Sachant que Tournemire était un fervent catholique, on peut conjecturer sans grand risque de se tromper qu'ici, la mort est associée avec l'idée d'accès au Paradis. La mort est serait donc ici conçue comme un issue salvatrice, qui permet d'échapper à la vie terrestre et ses vices et d'obtenir la rédemption.
Voilà qui tranche avec l'image que les romantiques donnent de la mort.   

Franck : les Eolides
NYPH, dir. Masur

  

Vierne, Douze préludes pour piano (1914–5).  Delvallée

Debussy : Nocturnes / Dutoit
  

lucien a écrit:

Vierne, Douze préludes pour piano (1914–5).  Delvallée

Je les trouve un peu lourdauds et indigestes, mais je les aime bien !   

Liszt : Fantaisie et fugue sur un Choral de Meyerbeer ; Évocation à la Chapelle Sixtine
Vernet

 

Debussy : Arabesques / Thibaudet
Debussy : Masques / Thibaudet
Debussy : Estampes / Thibaudet
Ravel : Gaspard de la Nuit / François

         

Vivaldi : L'Olimpiade (Sinfonia et Acte I)
Concerto Italiano dir. Rinaldo Alessandrini, avec plein de gens...

Je vais faire un acte par jour, ça me suffit amplement...
Mon premier opéra baroque. Si j'ai bien compris, les récitatifs sont les passages où l'histoire avance, et où les chanteurs sont seulement accompagnés de la basse et font une sorte d'improvisation rythmique sur un texte, tandis que les arias et duos (et trios, peut-être ?) sont plutôt des façons de mettre la voix (accompagnée de l'orchestre) en valeur.
Et certains hommes sont chantés par des femmes : Licidas et Megacle, non ? Pourquoi ?   
C'est joli mais pas passionnant à suivre (je n'ai que la partition manuscrite, je n'arrive même pas à lire les prénoms de personnages présents dans telle ou telle scène, c'est très pénible pour suivre l'action), et j'ai commencé à décrocher un peu à la scène 4.