Playlist (86)

ovni231 a écrit:

Pierre Boulez : Dérive I (1984)/Pierre Boulez 



Boulez serait donc un génie ???  

Mais oui !!    

Alfred Hill (1870-1960) :
 
Symphonie n°6 en si bémol « celtique »
 
= Wilfred Lehmann, Orchestre symphonique de Melbourne
 
(Marco Polo, 1983)
 

Merci   

arnaud bellemontagne a écrit:

Cololi a écrit:

Wagner : Die Meistersinger von Nürnberg (Karajan / Adam / Donath / Schreier / Ridderbusch)

Pas mal mais je préfère Solti II.

Me too.

Bande de glottophiles.

Avec un orchestre comme ça, je veux bien une distribution Nilsson - Varnay - Baum - Frantz - Crass. Et là, on est quand même quelques étages au-dessus.

DavidLeMarrec a écrit:

WoO a écrit:

La pochette du disque Golovanov pour le duo de R&J ressemble à quoi ?

Il me semble que je n'ai qu'Orbelian en stock.

On a donc au moins deux fois Lemeshev dans ce Roméo!
(existe une version de 1953, dirigée par Samosud avec Tatiana Lavrova...)

Bizet : Les Pêcheurs de Perles (Frédéric Chaslin, 2008 : Antonio Figueroa, Karina Gauvin, Phillip Addis, Alexandre Sylvestre)
J'en gardais un bon souvenir et finalement... bof bof... des problèmes de mise en place, un Nadir pas très beau... Reste Addis...

Saint-Saëns : Musique de Concert pour violon et orchestre, opus 62 (Jean-Jacques Kantorov, 1995 : Olivier Charlier)
Saint-Saëns : Romance pour cor et orchestre, opus 36 (Jean-Jacques Kantorov, 1995 : Radovan Vlatkovic)
Saint-Saëns : Morceau de concert pour harpe et orchestre, opus 154 (Jean-Jacques Kantorov, 1995 : Marielle Nordmann)
Saint-Saëns : Caprice andalou pour violon et orchestre, opus 122 (Jean-Jacques Kantorov, 1995 : Olivier Charlier)
Saint-Saëns : Morceau de concert pour cor et orchestre, opus 94 (Jean-Jacques Kantorov, 1995 : Radovan Vlatkovic)
Saint-Saëns : Romance pour violon et orchestre, opus 48 (Jean-Jacques Kantorov, 1995 : Olivier Charlier)

ça fait du bien tout ce romantisme français!

Soirée Les grands classiques… autrement.

=> Mozart - Ouverture de Così pour orgue à quatre mains - Iannella, Maccaroni
=> Mozart - Ouverture des Noces pour orgue à quatre mains - Iannella, Maccaroni

=> Beethoven - Symphonie n°5 - Lamoureux, Markevitch
=> Beethoven - Symphonie n°8 - Lamoureux, Markevitch

=> Verdi - Rigoletto (en hongrois) - Gardelli

Ervin Schulhoff (1894-1942) :
 
Symphonie n°1
 
= George Alexander Albrecht, Philharmonia Hungarica
 
(CPO, septembre 1993)
 

Emeryck a écrit:

Boulez serait-il un génie ?
Mais oui !!

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Certon : Requiem (Vox Cantoris)

Ah là je pense que David fera moins le malin   

Keiser : Brockes-Passion - CD1 (Vox Luminis / Les Mufatti)

La Descente d'Orphée aux Enfers de Marc-Antoine Charpentier   

Christie, Agnew, Daneman, Zanetti, Petibon,... - Erato   

Mahler. Symphonie n°6. New Philharmonia, Barbirolli. 1967, EMI
Mahler. Symphonie n°7. OS Birmingham, Rattle. 1991, EMI
Extraits du coffret : "Mahler. The complete works" paru chez EMI en 2010.

Nicolas de Grigny (1672-1703) :
 
La Messe
 
= Bernard Coudurier, orgue Moucherel de l'église de Cintegabelle
 
(BNL, mai 1991)
 

Bach:L'Offrande Musicale (Munchinger)

Passionnante cette version pour ensemble.

Jean-Jacques Beauvarlet-Charpentier (1734-1794) :
 
Plein-jeu en mi mineur
Quartetto
Récits de flûte, de Cromorne
Grands-Choeurs
Trio de Grosse Tierce
Fugues en sol majeur, en si mineur
Kyrie de Du Mont à quatre parties
Cromorne sur les fonds
Dialogue de hautbois et flûte
Elévation - voix humaine
 
= Nicolas Gorenstein, orgue Isnard de la Basilique Sainte Marie-Madeleine de Saint-Maximin-la-Sainte-Baume
 
(Syrius, novembre 1996)
 

Beethoven. Symphonie n°9. Jones, Troyanos, Thomas, Ridderbusch. Ch. Opéra de Vienne, OP Vienne, Böhm. 1972, DGG

Bohuslav Martinů  (1890-1959) :
 
Ariane, opéra en un acte d'après la pièce Le Voyage de Thésée de Georges Neveux
 
Ariane : Celina Lindsley
Thésée : Noman Phillips
Bouroun : Vladimír Doležal
Le Minotaure : Richard Novák
Le Guarde : Miroslav Kopp
Vieil homme : Luděk Vele

Choeur de la Philharmonie tchèque, dir. Lubomír Mátl
 
Václav Neumann, Orchestre philharmonique tchèque
 
(Supraphon, avril 1986)
 

Ariane:    Magnifique opéra !

Deuxième et troisième acte de Lohengrin. Version Cluytens Bayreuth 1958. Astrid Varnay est renversante en Ortrud.

André a écrit:

Ariane:    Magnifique opéra !

Ariane de Massenet?
Ariane et Barbe-Bleue de Dukas?
Ariane à Naxos de Strauss?

Bohuslav Martinů  (1890-1959) :
 
L'Epopée de Gilgamesh, oratorio en trois parties
 
Gilgamesh : Ivan Kusnjer
Enkidu ; le Chasseur : Štefan Margita
L'esprit d'Enkidu ; Résonneur : Ludek Vele
Une femme : Eva Depoltová
Narrateur : Milan Karpíšek
 
Zdeněk Košler, Orchestre et Choeurs philharmoniques slovaques
 
(Marco Polo, novembre 1989)
 

Cololi a écrit:

Keiser : Brockes-Passion - CD1 (Vox Luminis / Les Mufatti)

Cololi a écrit:

Certon : Requiem (Vox Cantoris)

Ah là je pense que David fera moins le malin   

Clair : Cololi qui écoute de la musique, respect.

D'autant que de mon côté, que des tubes :

=> Tchaïkovski - Roméo - Kozlovsky

=> Debussy - Pelléas III,1 - Garden, Debu
=> Debussy - Pelléas II,2 - Truc

=> Mozart - Clemenza (acte II) - Harnoncourt II
=> Mozart - Bei Männern - Röschmann, Roth, ONP, I. Fischer
=> Mozart - O hjälp – Kostlinger, Radio Suédoise, Ericson

=> Mozart - Concerto pour cor n°1 - Pyatt, Marriner
=> Mozart - Concerto pour cor n°2 - Pyatt, Marriner
=> Mozart - Concerto pour cor n°3 - Pyatt, Marriner
=> Mozart - Concerto pour cor n°4 - Pyatt, Marriner

=> Mozart - Symphonie n°28 - Dresde, C. Davis
=> Mozart - Symphonie n°29 - Dresde, C. Davis
=> Mozart - Symphonie n°30 - Dresde, C. Davis
=> Mozart - Symphonie n°31 - Dresde, C. Davis
=> Mozart - Symphonie n°32 - Dresde, C. Davis
=> Mozart - Symphonie n°33 - Dresde, C. Davis
=> Mozart - Symphonie n°34 - Dresde, C. Davis
Voilà du magnifique Mozart. Dans le genre tradi, les gravures (instrumentales) de Davis sont à peu près intouchables. La Posthorn mérite le détour également, par exemple.


Et puis quand même :

=> Mendelssohn - Loreley - Trotschel
Parce que ça fait longtemps, et que c'est beau.

DavidLeMarrec a écrit:

Cololi a écrit:

Keiser : Brockes-Passion - CD1 (Vox Luminis / Les Mufatti)

Cololi a écrit:

Certon : Requiem (Vox Cantoris)

Ah là je pense que David fera moins le malin   

Clair : Cololi qui écoute de la musique, respect.

Tu ne connais pas ce compositeur et cette œuvre   

Polyeucte a écrit:

André a écrit:

Ariane:    Magnifique opéra !

Ariane de Massenet?
Ariane et Barbe-Bleue de Dukas?
Ariane à Naxos de Strauss?

Il en manque au moins un (et je ne dis pas ça parce que je suis à Kourou).

Cololi a écrit:

DavidLeMarrec a écrit:

Cololi a écrit:

Keiser : Brockes-Passion - CD1 (Vox Luminis / Les Mufatti)

Cololi a écrit:

Certon : Requiem (Vox Cantoris)

Ah là je pense que David fera moins le malin   

Clair : Cololi qui écoute de la musique, respect.

Tu ne connais pas ce compositeur et cette œuvre   

Je te trouve bien présomptueux.

DavidLeMarrec a écrit:

Cololi a écrit:

DavidLeMarrec a écrit:

Cololi a écrit:

Keiser : Brockes-Passion - CD1 (Vox Luminis / Les Mufatti)

Cololi a écrit:

Certon : Requiem (Vox Cantoris)

Ah là je pense que David fera moins le malin   

Clair : Cololi qui écoute de la musique, respect.

Tu ne connais pas ce compositeur et cette œuvre   

Je te trouve bien présomptueux.

Cololi 1 - David 0

Igor Stravinsky : Pulcinella - Mavra (encore une fois, sous une toute autre lumière !) - Octuor pour instruments à vent - Concerto pour piano, contrebasse, timbales et orchestre à vent - Sonate pour piano - Sérénade en la majeur/Igor Stravinsky

Nous sommes en présence des premières grandes œuvres néoclassiques du maître slave. Je constate avec recul qu'il n'avait pas totalement perdu le piquant de son écriture hiératique contrapuntique de Renard. Pour ce qui est de Pulcinella, c'est incontestablement un pastiche italianisant amusant et plein d'esprit, dans l'ombre de Pétrouchka à la sauce des grands maîtres italiens du XVIIIème siècle. Mavra est un opéra-bouffe exquis, l'importance que donne le compositeur aux bois est fondamental pour la suite de son processus de création à court terme : l'Octuor est sans conteste l'une de ses plus grandes réussites néoclassiques, le concerto pour piano est un obélisque sublime (il y a un passage languissant dans le largo, notamment avec les flûtes qui m'émeut). La sonate de 1924 est presque parodique, l'esprit y est très vif et dense, aussi limpide qu'une sonate en trio de Bach, il n'y a aucun longueur. Quant à la sérénade, c'est l'une de mes pièces favorites pour piano de Stravinsky, j'en suis tout de suite tombé amoureux (en plus sous les doigts brouillonnes du compositeur) !  

Strauss : Elektra (Thielemann, Herlitzius, Meier, Schwanewilms)

Bof bof   

Dietsch : Le Vaisseau Fantôme ou la Maudit des Mers (Marc Minkwski, 2013 : Russell Braun, Sally Matthews, Bernard Richter, Ugo Rabc, Eric Cutler, Mika Kares)
Gounod : La Nonne Sanglante (Hermann Bäumer, 2008 : Marco Vassall, Genadijus Bergorulko, Yoonki Baek, Natalia Atmanchuk, Iris Marie Kotzian, Frank Färber, Eva Schneidereit)
Boisselot : Velléda (David Stern, 2013 : Karine Deshayes)
Hérold : Ariane (David Stern, 2013 : Karine Deshayes)
Cherubini : Circé (David Stern, 2013 : Karine Deshayes)

shushu a écrit:

Polyeucte a écrit:

André a écrit:

Ariane:    Magnifique opéra !

Ariane de Massenet?
Ariane et Barbe-Bleue de Dukas?
Ariane à Naxos de Strauss?

Il en manque au moins un (et je ne dis pas ça parce que je suis à Kourou).

None of the above. Je faisais référence à l'Ariane de Martinu citée par Melomaniac  

Liszt: Etudes d'exécution transcendante
Berman

     
La prise est bizarre (parce que vieille je suppose), mais quel son ! Des fff à tomber raide.

Vivaldi, Vierne et Tournemire attendront demain.

L.van Beethoven-Fidelio

Choeur et orchestre de Covent Garden & Otto Klemperer
Sena Jurinac & Elsie Morison
Jon Vickers & Gottlob Frick & Hans Hotter & John Dobson & Forbes Robinson

Label Testament 1961

Je n'avais qu'un lointain souvenir des récitatifs.

Villa-Lobos:Amazonas

Jof M a écrit:

Liszt: Etudes d'exécution transcendante
Berman

     
La prise est bizarre (parce que vieille je suppose), mais quel son ! Des fff à tomber raide.

Vivaldi, Vierne et Tournemire attendront demain.

C'est métallique.
Il était fort, le Berman (cf; Mazeppa).

Moi j'ai écouté Bolet aujourd'hui, version très étrange qui n'a rien à voir.

Oubliez ça, pour les études c'est Gekic le haut du pavé! 

Domenico Scarlatti (1685-1757) :
 
22 Sonates : K. 18, 43, 56, 58, 87, 122, 141, 144, 145, 151, 158, 204a, 208, 248, 340, 415, 437, 450, 456, 472, 525, 532
 
= Pierre Hantaï, clavecin
 
(Astrée, juin 1992)
 
  Une tuerie...
 

Brahms: symphonie no 1. Orchestre philharmonique de Hambourg dirigé par Charles Mackerras. Une vieille gravure Nonesuch pleine de vie et de craquements

Dvorak: symphonie no 8 en sol. La Philharmonie tchèque sous Vaclav Neumann.

Rachmaninov: Prélude en Ut dièse mineur Op.3 no.2 - Prélude en Sol mineur Op.23 no.5
Liszt-Reger: Saint-François de Paule marchant sur les flots
Saint-Saëns-Lemare: Danse Macabre
Liszt-Robillard: Funérailles
Wagner-Bourcier: Trauermarch
Liszt-Guillou: Prométhée

Henri-Franck Beaupérin, aux grandes orgues de la Cathédrale d'Angers
Art&Musique 2003


Très beau cd. Seul réserve est à propos de Funérailles, parce que la version Kynaston est insurpassable.

Mélomaniac a écrit:

Domenico Scarlatti (1685-1757) :
 
22 Sonates : K. 18, 43, 56, 58, 87, 122, 141, 144, 145, 151, 158, 204a, 208, 248, 340, 415, 437, 450, 456, 472, 525, 532
 
= Pierre Hantaï, clavecin
 
(Astrée, juin 1992)
 
  Une tuerie...
 

Bien d'accord. Hantaï selon mon avis est un des plus grands de tous les temps (enfin, ayant laissés des enregistrements).

Je suis assez "partagé" sur ce que fait Hantai de ces sonates.
Je ne peux pas dire que je déteste non plus........
Il a remis ça avec le label Mirare (2 volumes, d'autres sonates).

Ce n'est pas faux. Cependant, il est d'un calibre que seul la question de goût y est. Il en reste pas moins que son cd de Farnaby est un des chef-d'oeuvres du genre. Seulement cela fait qu'il pourrait être parmi les plus grands connus.

Schubert: symphonie no 8, "Inachevée". New Philharmonia Orchestra, Otto Klemperer. Avec reprise dans I. Live, sur étiquette Testament. Une des grandes versions de l'oeuvre (avec Böhm WP, Neumann CPO et d'autres sans doute).

Ludwig van Beethoven (1770-1827) :
 
Symphonie n°7 en la majeur Op. 93
 
= Paul van Kempen, Orchestre philharmonique de Berlin
 
(Philips, mai-juin 1953)
 
Une de mes versions préférées.
Ah les cordes berlinoises dans les années 1950, quelle densité !
Evidemment, certains trouveront ça lourd, mais quelle puissance, et surtout quel élan, quel instinct de la pulsation et de l'accentuation...  
Et puis la captation Philips est tout bonnement renversante, un modèle absolu.

 

Camille Saint-Saëns (1835-1921) :
 
Suite algérienne Op. 60
 
Prélude, en vue d'Alger - Rapsodie mauresque - Rêverie du soir à Blida - Marche militaire française
 
= Louis Fourestier, Orchestre national de la Radiodiffusion française
 
(Pathé, septembre 1952)
 

Giuseppe Verdi (1813-1901) :
 
La Forza del Destino : Ouverture
 
= Sergiu Celibidache, Orchestre philharmonique de Munich
 
(Emi, octobre 1989)
 

Dvorak. Symphonie n°9 "Du nouveau monde". OP Berlin, Kubelik. 1972, DGG

Bach:Variations Goldberg (Ross)

Pour l'instant ce que j'ai écouté de plus satisfaisant au clavecin...il y a une fluidité appréciable.
Mais y a rien à faire... il me manque la dynamique du piano dans cette oeuvre.

Igor Stravinsky : Apollon Musagète - Le Baiser de la Fée - Capriccio pour piano et orchestre (Rubis) - Symphonie des Psaumes - Concerto en ré majeur pour violon et orchestre - Duo Concertant pour violon et piano/Igor Stravinsky & Co. 

Je passe outre sur Oedipus Rex, l’œuvre qui pour moi est la plus détestable dans le corpus stravinskyen. C'est une opinion tout à fait subjective je le reconnais.  

Je ne comprends pas non plus cette aversion collective à l'égard d'Apollon. Son architecture rappelle les ornementations subtiles et ineffables des suites pour clavecin de Louis Couperin. De plus, la texture et le travail contrapuntique des cordes rendus par Stravinsky sont tout juste phénoménaux. On pourrait croire que tout l'orchestre n'est qu'un seul et unique instrument qui porte en son sein des capacités de nuance et de rythme non négligeables. Cela étant dit, c'est baroquisant je dois l'avouer, mais il n'empêche que, musicalement parlant, l'un des derniers chefs-d’œuvre des ballets russes de Diaghilev est l'aboutissement de la pensée néoclassique du compositeur. Car il a su avec témérité dépasser sa propre condition de créateur du Sacre, alors qu'il regrettait vers la fin de sa vie qu'on ne lui avait pas donné le titre du créateur de Threni. Il faut savoir relativiser avec le travail d'Igor Stravinsky et ne pas trop se laisser hypnotiser par les effets orchestraux post-rimski-korsakoviens de ses premières œuvres scéniques qui sont légions.

Le reste est bien évidemment un concert fabuleux !