Playlist (96)

Lachenmann, Got lost pour soprano et piano (2009).  Keusch/Asbury

Mélomaniac a écrit:

Je ne bois jamais d'eau minérale à cette heure-ci...

Respighi

Concerto pour piano en La Mineur

Concerto Modo misolidio

Tözer, piano
Downes, BBC Orchestra

Chandos 1994


Dispo via Spotify: http://open.spotify.com/album/0sAOe3ihIQwJnr6CUvD7ny

Johannes Maria Staud (1974–),

  Apeiron, musique pour grand orchestre (2004/5).  Berliner Philharmoniker (Simon Rattle)
  Incipit III (Esquisse retouchée II) pour trombone solo, orchestre à cordes, deux cors et percussion (2005).  Uwe Dierksen / WDR SO (Lothar Zagrosek)
  Towards a Brighter Hue pour violon solo (2004).  Ernst Kovacic
  Violents Incidents (Hommage à Bruce Nauman) pour saxophone solo, vents et percussion (2005/6).  Marcus Weiss / Windkraft Tirol (Kasper de Roo)
  Peras, musique pour piano (2005).  Marino Formenti

Fauré: La Bonne chanson; Trio avec piano; sonates pour violoncelle; sonates pur violon. Extraits de l'Édition Fauré sur Brilliant.

Un live du magnifique Stabat Mater de Rossini. Juan Diego Florez, Ildebrando d'Arcangelo, Daniela Barcelona. Direction Gianluigi Gelmetti. Formidable !

Bruckner: deux versions de la Neuvième sous Brenboim. Avec le Berlin Phil et le Chicago Symphony. Cette dernière version me semble nettement plus engagée, moins léchée. C'est cru par endroits, très premier degré. J'aime.

Sibelius:Symphonie n°7 (Bernstein DG)

Pourquoi à chaque fois que j'ecoute cette symphonie j'ai l'impression qu'elle fait le double de sa durée effective?

Benedictus a écrit:

Roderick a écrit:

François Couperin - La Superbe
Elisabeth Jacquet de La Guerre - Sonate en sol Majeur
François Couperin - Le Parnasse ou L’Apothéose de Corelli
Jean Ferry Rebel - Onzième sonate
François Couperin - Concert instrumental sous le titre d’Apothéose composé à la mémoire immortelle de l’incomparable Monsieur de LULLY

Amandine Beyer, Ensemble Gli Incogniti (26/072014 salle Pasteur, Montpellier)

Ça fait rudement envie;

Oui, c'est rudement bien !

Benedictus a écrit:

mieux que le studio Harmonia Mundi, pour les Couperin?

Je réécoute les deux et je te dis ça. A priori oui puisque le studio ne m'a pas marqué...
J'ai surtout apprécié dans le programme la Onzième sonate de Rebel. Ce n'est plus en ligne mais...

Yuri Saulsky : Les Pommes du rajeunissement (1958)/Unknow

Que c'est beau !

Grieg: Olav Trygvason/N.Järvi

+

Il a un passage de la 2è scène qui reprend vraiment une séquence du II de Lohengrin.

Stravinsky: Le Sacre du Printemps / Philharmonia Orchestra, dir. Inbal

Superbe, cette version !

Jof a écrit:

Stravinsky: Le Sacre du Printemps / Philharmonia Orchestra, dir. Inbal

Superbe, cette version !

Tu connais la version Svetlanov ?

Stravinsky : Le Sacre du Printemps    1913 / Svetlanov

Emeryck a écrit:

Tu connais la version Svetlanov ?

Non, mais ce que tu en as dit l'autre jour fait envie.

Nielsen : 5e symphonie, Kondrashin/Amsterdam

Une œuvre belle et étrange.

Banshchikov : Sonate pour piano n°3    1974 / Berzon
 +

Je regarde depuis 19h30 (j'ai loupé la première demi-heure finissant à 19h00 et devant rentrer ensuite) Tamerlano de Haendel en direct de Bruxelles sur culturebox. Pierre Audi est à la mise en scène, Rousset dirige et la distribution la suivante :
Tamerlano
Christophe Dumaux
Bajazet
Jeremy Ovenden
Asteria
Sophie Karthäuser
Andronico
Delphine Galou
Irene
Ann Hallenberg
Leone
Nathan Berg
Zaïde
Caroline D’Haese

Cela me plaît pour le moment. Galou, Dumaux, Karthäuser et Hallenberg n'ont pas ce que l'on peut appeler des grandes voix et je ne connais pas l'acoustique de la Monnaie. La critique de forumopera met l'accent sur le fait que Galou serait inaudible dans cette salle. C'est une très bonne musicienne que j'avais entendu il y a un peu plus de deux ans dans le petit rôle d'Unolfo dans Rodelinda au TCE en version de concert. La seule que je n'ai jamais entendue en vrai parmi les quatre artistes que j'ai cités, c'est Karthaüser.

Liszt: Prélude et Fugue sur B.A.C.H.

Franck: Troisième Choral

Raymond Daveluy, aux grandes orgues Beckerath de l'Oratoire Saint-Joseph

Musicus 1982

Messiaen: Poèmes pour Mi / Oràn & Y. Loriod


L'interprétation ne me satisfait pas pleinement.

Andreas Dohmen (1962–), Versi rapportati pour saxophone, percussion et piano (2013)
Stefan Prins (1979–), Mirror Box (Flesh + Prothesis #3) pour saxophone amplifié, percussion, piano / piano midi et électronique live (2014)
Philippe Manoury (1952–), Geistliche Dämmerung pour chœur mixte et percussion, d’après Trakl (2014)
Oxana Omelchuk (1975–), Gaunerlieder pour chœur mixte (2014)

        Trio Accanto : Christian Dierstein, Marcus Weiss, Nicolas Hodges
        SWR Vokalensemble Stuttgart
        Stephen Layton, direction

Brahms:Symphonie n°4 (Kleiber)

Admirablement construite cette symphonie, à l'instar des développements des deux mouvements extrêmes

Haydn: Symphonies n^os 94 "Surprise", 100 "Militaire" & 101 "L'Horloge" / Philharmonia Hungarica, dir. Doráti

Pas mal, mais sans plus.

Essaie les Parisiennes (82-87) !

Je parlais de l'interprétation, mais c'est vrai qu'il faudrait que j'essaie autre chose que ces symphonies-tubes. Quand j'aurais le courage.

Pour l'interprétation des londoniennes essaie plutôt Bernstein (plus de peps que Dorati) ou Colin Davis (plus beau que Dorati).

Beethoven : Triple Concerto, Anne-Sophie Mutter, Mark Zeltser, Yo Yo Ma  - Berliner Philarmoniker, Herbert von Karajan.

Le fameux son Karajan, j'imagine. Très lisse, ne retient pas assez mon attention, soyeux, presque douceâtre, mais c'est de la belle étoffe. C'est assez beau. On a dû faire plus rugueux, plus sorcier aussi. L'ensemble Matheus, Jean-Christophe Spinosi, Jérôme Pernoo et Tanguy de Williencourt en direct avaient produits sur moi une forte impression. C'était sauvage en fait.

Buxtehude : Organ Vol. 1 Ton Koopman
J'écoute un ou deux morceaux lents avant d'aller m'endormir ces jours-ci. L'orgue est feutré, doux. Les morceaux rapides sont chouettes aussi. Tout cela n'a pas l'ampleur que j'ai entendue, en passant, à l'orgue d'Olivier Vernet. Jof, t'en pense quoi de ce Koopman si tu l'as réécouté depuis ?

arnaud bellemontagne a écrit:

Pour l'interprétation des londoniennes essaie plutôt Bernstein (plus de peps que Dorati) ou Colin Davis (plus beau que Dorati).

Bernstein avec qui ? Je suppose qu'il y en a plusieurs (et je ne me rappelle plus laquelle j'ai).
Merci du conseil.  

Dav' le brave a écrit:

Buxtehude : Organ Vol. 1 Ton Koopman
J'écoute un ou deux morceaux lents avant d'aller m'endormir ces jours-ci. L'orgue est feutré, doux. Les morceaux rapides sont chouettes aussi. Tout cela n'a pas l'ampleur que j'ai entendue, en passant, à l'orgue d'Olivier Vernet. Jof, t'en pense quoi de ce Koopman si tu l'as réécouté depuis ?

J'ai bien envie d'en écouter quelques morceaux après :

Mondonville: In exitu Israel / Les Arts Florissants, dir. Christie

Ajoute forcément BuxWV 213 que je découvre et qui est irrésistible.
Ce Koopman me donne l'impression d'une boîte à musique inépuisable.
Je ne sais pas ce que penserait Buxtehude.

Les Trésors du phonographe


Johannes Brahms (1833-1897) :

Symphonie n°1 en ut mineur Op. 68

= Herbert von Karajan, Orchestre du Concertgebouw d'Amsterdam

(Polydor, septembre 1943)

Schubert : Symphonie n°3 - Wiener philharmoniker; Carlos Kleiber

Quand j'écoute ces enregistrements de Kleiber le qualificatif qui me vient à l'esprit c'est vraiment "quelle classe."

Fauré : Quatuor avec piano n°1 - Domus

Une oeuvre qui fait partie de mon panthéon de la musique de chambre, et j'en reviens toujours à cette version.

Buxtehude: - Préludes en fa# mineur & mi majeur, BuxWV 146 & 141
- Nun lob mein Seel den Herren, BuxWV 213
- Nun freut euch lieben Christen g'mein, BuxWV 210
-Toccata en fa majeur, BuxWV 156
Ton Koopman (orgue Coci/Klapmeyer, Altenbruch)

Acoustique sèche.
Sa façon d'articuler est un peu excessive (au pédalier, son détaché fait pouêtpouêt avec les anches), ses registrations sont pas superbes (voire moches, mais j'ai toujours du mal avec les seules anches) et l'orgue pas magnifique.
C'est pas non plus mauvais, mais je persiste : ça sonne fluet et le propos n'est pas bien épais. Ça marche beaucoup moins bien que (certains de) ses Bach à mon sens.

Carter : Sonate pour flûte, clavecin, violoncelle et hautbois    1952 / Sollberger, Kuskin, Sherry, Jacobs

Y'a un brin de cabotinage chez Koopman qui est du jeu. L'orgue pas magnifique, bon dans les morceaux lents ou feutrés, je ne suis pas d'accord. C'est fluet, certes, et le propos est de Buxtehude et là, je n'ai pas assez comparé d'interprétations. Je ne suis un fervent de l'orgue de Buxtehude que par vos grâces, cher Jof j'écouterai vos recommandations je vous suis redevable et pour Bach, j'en suis fort éloigné si ce n'est les cantates pourvue d'orgue, comme la BWV 35 où je suis votre dévoué et très cher,
Dav' le brave.

Carter, Piano Sonata (1946).  Paul Jacobs
Barber, Piano Sonata (1949).  Vladimir Horowitz

beaucoup de points communs, à mon avis.

Mais que d'honneurs !    

Dav' le brave a écrit:

bon dans les morceaux lents ou feutrés, je ne suis pas d'accord.

C'est eux que je trouve particulièrement (m)aigrelets. Mais ce n'est que mon avis, et je n'écoute que peu de chorals. En tout cas ce n'est pas vraiment ce que j'attends dans ce genre de pièce.  

Je continue ma propagande en te conseillant une nouvelle fois Simone Stella : l'orgue est très beau, les préludes et toccatas fougueux et sanguins, les chorals satinés et d'une belle spiritualité. Bien plus réussi que Koopman, je trouve.

Et justement, ce sont des cantates de Bach dont je suis éloigné, moi.
Étrange que tu n'aimes pas l'orgue bachien alors que tu vénères le grand Buxtehude. Certaines pièces présentent pourtant une parenté plus ou moins importante.


Edit: J'ai déplacé en discographie.

Lachenamnn : Got Lost    2008 / Keusch, Drury

Je trouve ça très intimiste.

Mondonville: De profundis / Les Arts Florissants, dir. Christie

Très sympa tout ça.

Granville Bantock (1868-1946) :

Symphonie celtique, pour cordes et six harpes

= Vernon Handley, Royal Philharmonic Orchestra

(Hyperion, août 1990)

Jof a écrit:

Je continue ma propagande en te conseillant une nouvelle fois Simone Stella : l'orgue est très beau, les préludes et toccatas fougueux et sanguins, les chorals satinés et d'une belle spiritualité. Bien plus réussi que Koopman, je trouve.

Et justement, ce sont des cantates de Bach dont je suis éloigné, moi.
Étrange que tu n'aimes pas l'orgue bachien alors que tu vénères le grand Buxtehude. Certaines pièces présentent pourtant une parenté plus ou moins importante.

Simone Stella et Olivier Vernet, c'est noté. Mais je suis têtu.

Ce n'est pas que je n'aime pas l'orgue de Bach, j'aime le peu que j'en connais (moins que Buxtehude en fait, ce qui est peu de chose) mais je n'ai pas trouvé un album au moins qui m'emporte. Je passerai par une intégrale, probablement. Buxtehude est un excellent préalable, et Koopman conduit pépère Dav' le brave jusqu'à son refuge.
Dis-moi si tu peux résister à l'air d'alto de BWV 35. La partie d'orgue est trop belle.

Dav' le brave a écrit:

Ce n'est pas que je n'aime pas l'orgue de Bach, j'aime le peu que j'en connais (moins que Buxtehude en fait, ce qui est peu de chose) mais je n'ai pas trouvé un album au moins qui m'emporte. Je passerai par une intégrale, probablement. Buxtehude est un excellent préalable, et Koopman conduit pépère Dav' le brave jusqu'à son refuge.
Dis-moi si tu peux résister à l'air d'alto de BWV 35. La partie d'orgue est trop belle.

Même pas Isoir (L'Art de la fugue, les Toccatas, les Concertos...) ou Koopman (Toccatas, Sonates, Préludes et fugues) ? Ca pourrait peut-être te plaire, parce que dans les deux cas ça ne manque pas de personnalité !

Je note cette cantate pour demain. La suite au prochain épisode.

Isoir dans l'art de la fugue, je l'ai depuis deux ans, j'attends toujours d'y faire plus de trois pas. Je finis par penser que cette interprétation me bouche l'entrée à l'œuvre. Je penche vers la récente parution au piano de Angela Hewitt. Sinon ce doit être Scherchen dont j'ai entendu la dernière fugue stupéfiante qui me rattache à l'art de la fugue.
Bonne nuit.

Granville Bantock (1868-1946) :

La Sorcière de l'Atlas, poème symphonique d'après Shelley

= Vernon Handley, Royal Philharmonic Orchestra

(Hyperion, août 1990)

Quel regard magnétique quand même...

Sans parler de la coupe aérodynamique profilée...

Dukas: La Péri/Dervaux
L'apprenti sorcier/Markevitch

+

Bartok: Scènes de village/I.Fischer

Edmund Rubbra (1901-1988) :

Symphonie n°4 Op. 53

= Norman Del Mar, Philharmonia Orchestra

(Lyrita, 1990)

Une brève symphonie dolente et nostalgique, mais pas quiète.

Berg: 3 pièces opus 6/Rosbaud



Exceptionnelle version.

ovni231 a écrit:

Et qu'est-ce qu'y a comme mistral à souère... Hips

Bruckner, symphonie no 9. Orchestre métropolitain, Yannick Nézet-Séguin. Label ATMA. Une version tout d'une (immense) pièce, colorée, fortement réverbérée (enregistrement réalisé dans une vaste nef à Montréal), aux contours vibrants entourant une chair pulpeuse. Mêmes tempi que Klemperer, mais avec le double de calories. Ou encore Giulini - Vienne, avec la moitié des calories.

Haydn: Trios avec piano n^os 43 à 45 et 39 / Trio Wanderer

J'aime mieux que les Beaux-Arts.