Playlist (96)

Giuseppe Verdi (1813-1901) :

Giovanna d'Arco, opéra en trois actes

Actes II & III

Giovanna : Montserrat Caballé
Carlo VII : Placido Domingo
Giacomo : Sherrill Milnes
Delil : Keith Erwen
Talbot : Robert Lloyd

Ambrosian Opera Chorus, dir. John McCarthy

James Levine, Orchestre symphonique de Londres

(Emi, août 1972)

Beethoven. Sonates pour piano n°21, 26, 31 et 14. Freire. Decca. 2006
Bruckner. Symphonie n°9. OS Vienne, Andrae. Music&Arts, 1953

Schulhoff: Flammen (Acte 2)
Kurt Westi : Don Juan
Jane Eaglen : Donna Maria
Iris Vermillion : La Morte
Johann-Werner Prein : Der Komthur
Gerd Wolf : Arlequin
RIAS Kammerchor Berlin & DSO Berlin, dir. Mauceri

Ce serait cool d'avoir le texte.

Rav-phaël a écrit:

Le moderne, avec un peu d’habitude, ne pause normalement aucun problème   .

sans doute, mais ce n’est pas parce que c’est « moderne » qu’on doit ignorer le gout et mettre tout sur le compte du « moderne ».

surtout que cette sonate, (tout dépend du point de vue, bien sûr, mais) c’est quand même loin d’être ce qu’on peut faire de plus « moderne » en 1942... en fait moi je trouve surtout ça (sauf pour le mouvement central, précisément...) assourdissant.

anaëlle a écrit:

Mélomaniac a écrit:

anaëlle a écrit:

Vous me conseillez quoi comme enregistrement ??

Le plus somptueux, virtuose et émouvant de tous : Seiji Ozawa / Orchestre philharmonique de Berlin (DG).

Merci beaucoup
Je note tous ça

NON, NON, NON !!!!

Gennady Rozhdestvensky/Orchestre Symphonique de la Radio de Moscou (Melodiya) !

Jof a écrit:

Schulhoff: Flammen (Acte 2)
Ce serait cool d'avoir le texte.

Ça, c'est ce qu'on se dit toujours à propos de Flammen avant d'avoir lu le texte.

Duphly: Pièces de clavecin
Christophe Rousset
Aparté, 2011
D'une élégance rare et d'une mélancolie subtilement poignante. Instrument et captation somptueux.

Harvey: Speakings
Ilan Volkov / BBC Scottish Symphony Orchestra
Aeon, 2009
aussi. Harvey fait partie de ces compositeurs qui, sans aucune concession sur la modernité du langage ni sur l'ambition du projet, me semblent vraiment pouvoir toucher un public assez large (un peu comme Saariaho, mais en moins gentil, quand même). C'est profond et en même temps séduisant.

Benedictus a écrit:

Ça, c'est ce qu'on se dit toujours à propos de Flammen avant d'avoir lu le texte.

Pourquoi ?
D'après la présentation faite sur le fil Schulhoff, j'ai compris qu'il était moins important que la mise en scène, mais bon.

Bruckner, Symphonie n°8, Nézet-Séguin

Schubert:Quatuor n°14 "La Jeune Fille et la Mort" (Berg)

Ce deuxième mouvement est poignant.

EDIT:toujours cette impression de voire Mime débarquer à l'entame du 3ème mouvement.

Jof a écrit:

Benedictus a écrit:

Ça, c'est ce qu'on se dit toujours à propos de Flammen avant d'avoir lu le texte.

Pourquoi ?
D'après la présentation faite sur le fil Schulhoff, j'ai compris qu'il était moins important que la mise en scène, mais bon.

C'est un peu la caricature du pensum allégorico-subversif sans queue ni tête. Assez en avance sur son temps, finalement, en ce que ça fait un peu penser à certains nanars de Bussotti.

lucien a écrit:

Rav-phaël a écrit:

Le moderne, avec un peu d’habitude, ne pause normalement aucun problème   .

sans doute, mais ce n’est pas parce que c’est « moderne » qu’on doit ignorer le gout et mettre tout sur le compte du « moderne ».

surtout que cette sonate, (tout dépend du point de vue, bien sûr, mais) c’est quand même loin d’être ce qu’on peut faire de plus « moderne » en 1942... en fait moi je trouve surtout ça (sauf pour le mouvement central, précisément...) assourdissant.

Je sais, mais disons que je n'écoute quasiment jamais du moderne, alors Prokoviev me change un petit peu de Chopin. Cela dit, je sais que ce n'est pas forcément ce qu'il y a de plus révolutionnaire.

Bart a écrit:

Bruckner, Symphonie n°8, Nézet-Séguin

Quitte à écouter du tudesque gras, autant choisir les chefs-d'œuvre.

=> Mahler – Symphonie n°4 – Grist, NYP, Bernstein

(considérant que la 8 de Bruckner, ça vaut , ne serait-ce qu'à cause du scherzerzerzerzerzerzerzerzerzerzerzo)

Plusieurs concertos pour piano et similaire ce week-end (pour approfondissement et/ou confirmation*)

Beethoven : fantaisie pour piano, chœur et orchestre, Melvyn Tan – Roger Norrington
Beethoven : fantaisie pour piano, chœur et orchestre, Hélène Grimaud - Esa-Pekka Salonen
Liszt : fantaisie hongroise, François-René Duchâble - James Conlon
Franck : les Djinns, Sviatoslav Richter - Kirill Kondrashin
Saint-Saëns : n° 2, Emil Gilels - André Cluytens
Balakirev : n° 1, Howard Shelley - Vassily Sinaisky
Ravel : pour la main gauche, Pierre Laurent Aimard - Pierre Boulez
Prokofiev : n° 1, Sviatoslav Richter - Karel Ancerl
Prokofiev : n° 3, Martha Argerich - Claudio Abbado
Rachmaninov : n° 3, Boris Berezovsky - Eliahu Inbal
Stravinski : pour instruments à vent, Walter Klein - Heinrich Hollreiser
Bartok : n° 3, Hélène Grimaud - Pierre Boulez
Britten : rondo concertante pour orchestre à cordes, Rolf Hind - Thomas Zehetmair
Takemitsu : Riverrun pour orchestre à cordes, Noriko Ogawa – Tadaaki Otaka
Kancheli : valse bottom pour orchestre à cordes, Dennis Russell Davies, piano et direction
Ligeti : concerto, Pierre Laurent Aimard - Reinbert de Leeuw

*   La fantaisie de Beethoven qui m’avait parue nunuche et pompeuse lors de sa découverte, ne me déplait finalement pas tant que ça, j’y trouve des charmes certains (les deux versions écoutées à plusieurs heures d’intervalle: pas capable de comparer).
La fantaisie hongroise de Liszt, que j’avais adorée du temps du vinyle sous les doigts de Cherkassky me plaît toujours autant avec Duchâble
Les Djinns, confirmation que je n’aime pas beaucoup cette musique bruyante et sans finesse
Saint-Saëns : RAS.
Balakirev, découverte récente, très agréable, avec une jolie petite mélodie de quelques notes et qui se retient facilement
Ravel, j’aime toujours beaucoup, mais moins que celui en sol
Prokofiev : je ne connais que ces deux, découverts il y a peu, et j’ai honte : je préfère le 1, je sais, c’est pas bien !
Rachmaninoff : je ne me lasse jamais de ce concerto, principalement du premier mouvement qui me mets dans une extase sans nom, quelque soit les interprètes avec en toute logique une légère préférence pour la version première version entendue (Watts/Ozawa).
Stravinski : ben finalement il est pas mal ce petit concerto, plus agréable qu’à la découverte.
Bartok : confirmation, des trois, c’est celui que j’aime le moins.
Britten : tellement surpris de l’avoir enfin réellement apprécié, que je l’ai remis sur la platine.
Takemitsu : j’ai mis du temps à me faire à cette musique si peu abrasive, mais j’aime de plus en plus Takemitsu.
Kancheli : récente découverte, si on aime Pärt et Gorecki comme moi, c’est du bonheur.
Ligeti :  ce petit concerto m'est encore passé au-dessus des oreilles, la prochaine fois peut-être…

DavidLeMarrec a écrit:

=> Mahler – Symphonie n°4 – Grist, NYP, Bernstein

Peut être ma version préférée de cette symphonie.

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Mozart:Concerto pour piano n°9 "Jeunehomme" (Askenazy/Kertesz)

arnaud bellemontagne a écrit:

DavidLeMarrec a écrit:

=> Mahler – Symphonie n°4 – Grist, NYP, Bernstein

Peut être ma version préférée de cette symphonie.

Assurément la mienne, en tout cas !

Et pour ton Mozart, c'est avant tout Cooper avec le Northern Sinfonia dont je ne peux me passer. J'ai toujours peine à trouver satisfaction entière dans ces concertos, pour des raisons d'équilibre stylistique — et surtout, on a tellement de choix qu'on est toujours tenté d'en essayer une autre pour qu'elle soit plus conforme à ses goûts.

Bach: le Clavier bien tempéré, P&F nos 1 à 7. Sviatoslav Richter, piano (BMG)

Rossini: Stabat Mater. Version Fricsay. Excellent, mais un peu moins bien foutu que Gelmetti.

Elgar: P&C March no 3; Introduction and Allegro pour cordes. concerto pour violon (Ida Haendel. London Philharmonic Orchestra, Sir Adrian Boult (EMI).

George Frideric HANDEL
Il Delirio Amoroso
Natalie Dessay, Emmanuelle Haïm & Le Concert d'Astrée

DavidLeMarrec a écrit:

Bart a écrit:

Bruckner, Symphonie n°8, Nézet-Séguin

(considérant que la 8 de Bruckner, ça vaut , ne serait-ce qu'à cause du scherzerzerzerzerzerzerzerzerzerzerzo)

Je te trouve un peu dur. Je n'aime pas le scherzo non plus, et je ne pense pas que cette symphonie soit la meilleure de Bruckner (je lui préfère les 6, 7 et 9, voire même la 5), mais tout de même, le premier mouvement et l'adagio en font une oeuvre tout à fait recommandable, non ?

Edit : il est vrai toutefois qu'une tartelette a plus de valeur qu'un smiley, dans mon système tu aurais mis 2,5.

Bart a écrit:

Je te trouve un peu dur. Je n'aime pas le scherzo non plus, et je ne pense pas que cette symphonie soit la meilleure de Bruckner (je lui préfère les 6, 7 et 9, voire même la 5), mais tout de même, le premier mouvement et l'adagio en font une oeuvre tout à fait recommandable, non ?

La 6 est la moins bonne à mon goût, et d'assez loin. Mais effectivement, à part le scherzo, et en particulier les deux premiers mouvements, cette symphonie est superbe. Je veux bien t'accorder l'équivalence tartelette-souriard pour cette fois.

Bart a écrit:

DavidLeMarrec a écrit:

Bart a écrit:

Bruckner, Symphonie n°8, Nézet-Séguin

(considérant que la 8 de Bruckner, ça vaut , ne serait-ce qu'à cause du scherzerzerzerzerzerzerzerzerzerzerzo)

Je te trouve un peu dur. Je n'aime pas le scherzo non plus, et je ne pense pas que cette symphonie soit la meilleure de Bruckner (je lui préfère les 6, 7 et 9, voire même la 5), mais tout de même, le premier mouvement et l'adagio en font une oeuvre tout à fait recommandable, non ?

Edit : il est vrai toutefois qu'une tartelette a plus de valeur qu'un smiley, dans mon système tu aurais mis 2,5.

Mais ne te laisse pas influencer par David.
Il ne sait pas où est le bien et le mal en musique

DavidLeMarrec a écrit:

La 6 est la moins bonne à mon goût, et d'assez loin.

Autant je peux comprendre tes réserves sur le scherzo de la 8, autant là... que la 6 ne soit pas la plus saillante, ok, mais la moins bonne...

Joseph Haydn (1732-1809) :

Scena di Berenice, Hob. XXIV

= Jennifer Vyvyan, soprano ; Harry Newstone, Haydn Orchestra

(Decca, mai 1957)

En fait, c'est triste à admettre parce que je l'apprécie beaucoup, mais je commence à vraiment me rendre compte que David a des goûts étranges. (Oui je sais, Cololi va me dire que j'aurais dû m'en apercevoir il y a bien longtemps). Mais le pire c'est que je suis convaincu qu'il est parfaitement sincère quand il clame haut et fort ses opinions hétérodoxes.

Bart a écrit:

En fait, c'est triste à admettre parce que je l'apprécie beaucoup, mais je commence à vraiment me rendre compte que David a des goûts étranges. (Oui je sais, Cololi va me dire que j'aurais dû m'en apercevoir il y a bien longtemps). Mais le pire c'est que je suis convaincu qu'il est parfaitement sincère quand il clame haut et fort ses opinions hétérodoxes.

Gesualdo: Sacrae Cantiones. Liber secundus
James Wood / Vocalconsort Berlin
Harmonia Mundi, 2011
Une reconstitution de ce second livre dont il n'existe pas de copie complète. C'est très beau, mais on est ici clairement dans la première manière de Gesualdo: de la polyphonie renaissante plus chromatique et tourmentée que la moyenne (on pense un peu au Lassus tardif), mais loin des audaces inouïes des deux derniers livres de madrigaux. Le chœur est très beau, peut-être un tout petit peu trop lisse (c'est mieux dans les quelques motets où le chef choisit de faire du un par partie).

Chopin: 24 préludes opus 28. Allegro de concert opus 46. Prélude en do# mineur, opus 45. Pietro de Maria, piano. Extrait de l'intégrale Chopin de ce pianiste (Decca).

Bart a écrit:

En fait, c'est triste à admettre parce que je l'apprécie beaucoup, mais je commence à vraiment me rendre compte que David a des goûts étranges. (Oui je sais, Cololi va me dire que j'aurais dû m'en apercevoir il y a bien longtemps). Mais le pire c'est que je suis convaincu qu'il est parfaitement sincère quand il clame haut et fort ses opinions hétérodoxes.

Quiconque n'apprécie pas Bruckner, Elgar et Vaughan-Williams à leur juste valeur a le cerveau fêlé. Il peut en découler de nombreuses anomalies.

Rav-phaël a écrit:

Ah je vais faire mon gros Lèche-bottes, mais je soutiens entièrement le bon goût de David !  J’aime bien ses goûts moi ..  (non je ne suis pas ironique !) 

C'est mignon tout plein mon cher Raphael ... mais j'ai peur que le sens des réalités ne te soit étranger
L'admin c'est moi

anaëlle a écrit:

lucien a écrit:

Rav-phaël a écrit:

Le moderne, avec un peu d’habitude, ne pause normalement aucun problème   .

sans doute, mais ce n’est pas parce que c’est « moderne » qu’on doit ignorer le gout et mettre tout sur le compte du « moderne ».

surtout que cette sonate, (tout dépend du point de vue, bien sûr, mais) c’est quand même loin d’être ce qu’on peut faire de plus « moderne » en 1942... en fait moi je trouve surtout ça (sauf pour le mouvement central, précisément...) assourdissant.

Je sais, mais disons que je n'écoute quasiment jamais du moderne, alors Prokoviev me change un petit peu de Chopin. Cela dit, je sais que ce n'est pas forcément ce qu'il y a de plus révolutionnaire.

Enfin, dans cette sonate, Prokofiev a une approche totalement différente du piano, puisqu'il met en avant l'aspect percussif du piano (surtout dans le premier et le troisième mouvement), mais ce n'est pas pour autant que cette sonate est dénuée d'expressivité : il y a le deuxième mouvement, et puis dans le premier mouvement il y a tout de même une partie lente, qui est vraiment expressive. Cet aspect du piano est courant chez les soviétiques : je pense notamment au dernier mouvement du Concerto pour piano n°2 de Bartok mais également à la Toccata de Prokofiev ou bien les Trois Mouvement de Pétrouchka de Stravinsky.

décidément, il faut insister : Bartók n’est pas russe.

Je viens d'écouter Kathleen Ferrier avec Bruno Walter dans les Kindertotenlieder. Effet dévastateur. C'est ma première grande émotion mahlerienne depuis longtemps. Je crois que DFD ne m'a jamais fait ça.

Reinhold Friedl (1964–),

  Inside-piano, improvisation pour piano préparé
  Streichquartett Nr.2 pour quatuor à cordes (?)
  Streichquartett Nr.1 pour quatuor à cordes et inside-piano (2007)

        Reinhold Friedl, piano
        Quatuor à cordes de l’Ensemble 2e2m

(Friedl est le pianiste et le directeur artistique de Zeitkratzer.)

Oriane a écrit:

Je viens d'écouter Kathleen Ferrier avec Bruno Walter dans les Kindertotenlieder. Effet dévastateur. C'est ma première grande émotion mahlerienne depuis longtemps. Je crois que DFD ne m'a jamais fait ça.

Der Abschied, même pour une non-mahlérienne (ou mahlériano-critique) comme toi, c'est irrésistible, non ? Et cette interprétation est très émouvante, c'est vrai.


edit : j'ai lu trop vite, j'ai cru que tu parlais du Chant de la terre. Du coup, je ne connais pas cette version des Kindertotenlieder... mais qui sont un chef-d'oeuvre également !

Mahler, Symphonie n°4, Zinman
et mention spéciale

Oriane a écrit:

Je viens d'écouter Kathleen Ferrier avec Bruno Walter dans les Kindertotenlieder. Effet dévastateur. C'est ma première grande émotion mahlerienne depuis longtemps. Je crois que DFD ne m'a jamais fait ça.

Ah, oui, la première fois, ça fait un sacré choc. Et Kathleen Ferrier, on peut y rester très longtemps et très fortement addicted (c'est un ancien accro qui parle).

À voir ton avatar, on dirait bien que tu es toujours accro,, non ?

Brahms: concerto pour violon. Menuhin, Furtwängler, Orchestre du Festival de Lucerne (1949). Cosmique.

André a écrit:

À voir ton avatar, on dirait bien que tu es toujours accro,, non ?

A la musique contemporaine méchante et au cigare, en effet. A Kathleen Ferrier, sensiblement moins qu'à vingt ans, quand même (d'un autre côté, c'est de l'être encore davantage qui serait dur).

Wagner, Tristan und Isolde (Acte III), Pappano
+

Wolfgang Amadeus Mozart (1756-1791) :

Ah se in ciel, benigne stelle, K. 538
Et incarnatus est, K. 427 n°10
Alleluia, K. 164 n°4

= Jennifer Vyvyan, soprano ; Peter Maag, Orchestre philharmonique de Londres

(Decca, février 1956)

Bart a écrit:

Wagner, Tristan und Isolde (Acte III), Pappano
+

Il y a longtemps que je ne m'étais pas remis cette version, le père Domingo est assez formidable là-dedans. Il faudra que je trouve le temps de la réécouter en entier.

Camille Saint-Saens
Symphonie n3 avec orgue Matthias Eisenberg, Michel Plasson: Orchestre Du Capitole De Toulouse
     
La Foi, op.130  Michel Plasson: Orchestre Du Capitole De Toulouse


J'ai beaucoup aimé la Foi, avec le côté un peu orientalisant du Poco allegro et le côté très imposant/grandiloquent de l'Allegro moderato e maestoso.  
J'ai trouvé la 3e symphonie très ... classe -oui, vous l'avez remarqué,j'ai du mal a mettre des mots sur mes sentiments.  
Bref, belles découvertes pour moi !!  

Bart a écrit:

Bart a écrit:

Wagner, Tristan und Isolde (Acte III), Pappano
+

Il y a longtemps que je ne m'étais pas remis cette version, le père Domingo est assez formidable là-dedans. Il faudra que je trouve le temps de la réécouter en entier.

Exotique assurément, mais formidable oui. Bär, j'en ai un très bon souvenir ... le top avec DFD. Les liedersanger sont ils les meilleurs Kourvenal ?
Pape est très bon, mais il manque un truc pour être exceptionnel.
Et Stemme ... c'était très beau (même si il y a un côté gênant : c'est trop facile, trop assuré, trop beau ...)

Poulenc : "nous voulons une petite sœur" (4 chansons pour enfants), Lott/Rogé

Debussy, Beau soir, 2 et 3 de la sonate pour violon et piano - Ravel, mouvement perpétuel de la 2ème sonate - Messiaen, thème et variations (J. Jansen).

Le Messiaen est une découverte, j'en entendais parler depuis longtemps et je l'ai enfin écouté. Quelle œuvre sublime ! Décidément, je serai toujours fasciné par le Messiaen d'avant-guerre...

anaëlle a écrit:

J'ai trouvé la 3e symphonie très ... classe

Elgar et Vaughan Williams par Barbirolli, la Symphonie avec orgue de Saint-Saëns...

Aucun doute : tu as choisi la voie du bon goût...

Cololi a écrit:

Bart a écrit:

Bart a écrit:

Wagner, Tristan und Isolde (Acte III), Pappano
+

Il y a longtemps que je ne m'étais pas remis cette version, le père Domingo est assez formidable là-dedans. Il faudra que je trouve le temps de la réécouter en entier.

Exotique assurément, mais formidable oui. Bär, j'en ai un très bon souvenir ... le top avec DFD. Les liedersanger sont ils les meilleurs Kourvenal ?
Pape est très bon, mais il manque un truc pour être exceptionnel.
Et Stemme ... c'était très beau (même si il y a un côté gênant : c'est trop facile, trop assuré, trop beau ...)

D'accord avec tout ça. (Même si Stemme ne me pose aucun problème). Pape c'est très beau comme toujours, parfait techniquement, mais effectivement il me manque aussi le petit supplément d'âme d'un Talvela ou d'un Ridderbusch. Sinon, un grand atout de cette version c'est l'orchestre ! C'est finalement assez rare des versions d'une telle transparence.

Bart a écrit:

Cololi a écrit:

Bart a écrit:

Bart a écrit:

Wagner, Tristan und Isolde (Acte III), Pappano
+

Il y a longtemps que je ne m'étais pas remis cette version, le père Domingo est assez formidable là-dedans. Il faudra que je trouve le temps de la réécouter en entier.

Exotique assurément, mais formidable oui. Bär, j'en ai un très bon souvenir ... le top avec DFD. Les liedersanger sont ils les meilleurs Kourvenal ?
Pape est très bon, mais il manque un truc pour être exceptionnel.
Et Stemme ... c'était très beau (même si il y a un côté gênant : c'est trop facile, trop assuré, trop beau ...)

D'accord avec tout ça. (Même si Stemme ne me pose aucun problème). Pape c'est très beau comme toujours, parfait techniquement, mais effectivement il me manque aussi le petit supplément d'âme d'un Talvela ou d'un Ridderbusch. Sinon, un grand atout de cette version c'est l'orchestre ! C'est finalement assez rare des versions d'une telle transparence.

Complètement, c'est magique !

Marius Constant (1925-2004), Concerto pour orgue de barbarie (1988).  Pierre Charrial / Ars Nova (Philippe Nahon)

Pas de prise de risque ce soir, je reste dans mon petit panthéon bien confortable :

Fauré, Requiem (version 1893), Herreweghe