Playlist (111)

Bof. Logiquement, selon la tendance générale ici, bientôt ce topic sera à nouveau placé dans la catégorie de ce qu'il devrait être supprimé, car préjudiciable aux autres topics.

Helmut Lachenmann (1935–)

Gran Torso, Musik für Streichquartett (1971/76/88)
Grido, 3. Streichquartett (2001)
Reigen seliger Geister, 2. Streichquartett (1989)

stadler quartett

Magda Laszlo, envoûtante Jocaste pour l'Oedipus Rex de Karajan à la RAI de Rome, en 1952 .

En ce moment : Federico Moreno Torroba, Luisa Fernanda, Rafael Frühbeck de Burgos, Orquesta Filarmónica de España, Cantores de Madrid, Teresa Berganza, Julián Molina, María-Rosa del Campo, Antonio Blancas(-Laplaza) dans les principaux rôles.

C'est un disque d'extraits dont je n'ai pas trouvé la date d'enregistrement. Je sais que c'est dans les années 1960. Tous les dialogues sont coupés, ce ne sont du coup que des extraits. C'est dommage car Berganza et Molina notamment sont superbes.

Donizetti: Maria de Rudenz

L'oeuvre, sans être exceptionnelle, est intéressante mais comme toujours je suis déçu par les enregistrements / les voix d'Opera Rara...jusqu' à preuve du contraire.

Il est très probable que j'en attends plus qu'ils ne peuvent donner

Ullmann: La cruche cassée/Blu-Ray Conlon

Michael Jarrell (1958–)

...some leaves II... pour alto solo (1998)
Offrande pour harpe solo (2001)
Assonance pour clarinette solo (1983)
Assonance VII pour percussion solo (1991)
Prismes pour violon solo (2001)

Christophe Desjardins, alto
Frédérique Cambreling, harpe
Paul Meyer, clarinette
Florent Jodelet, percussion
Hae-Sun Kang, violon

Le nozze di Figaro : hai gia vinta la causa (Durand/Tézier) --------> /watch?v=Kfj01Ns4Eyg

Charles-Marie Widor

Suite Latine Op.86

Trois Nouvelles Pièces Op.87

Jane Parker Smith, à l'orgue de la Cathédrale de Coventry.

L'oiseau Lyre (1979)


Un des meilleurs enregistrements de cette musicienne, mais hélas toujours pas réédité en numérique. Chez Decca sont idiots parfois.

Marin Marais - Sémélé (Prologue) - Le Concert Spirituel_Hervé Niquet

Brahms : Concerto pour piano No.2 - Gilels / Kölner Rundfunk-Sinfonie-Orchester, dir.Rossi

Debussy : Images, Livre I - Gilels

Prokofiev : Sonate No. 3 - Gilels

Prokofiev : Visions fugitives - Gilels
+

ça y est, j'ai replongé :

Maurice Ohana (1913–1992)

Tombeau de Claude Debussy pour soprano, piano, cithare et orchestre de chambre (1962)
Silenciaire pour 6 percussions et cordes (1969)
Chiffres de clavecin pour clavecin et cordes (1968)

Sulvie Sullé, soprano
Christian Ivaldi, piano
Laure Morabito, cithare
Elisabeth Chojnacka, clavecin
Orchestre Philharmonique du Luxembourg
Arturo Tamayo, direction



je n’ai pas encore trouvé une seule œuvre d’Ohana qui ne me laisse pas à moitié circonspect.
j’aimerais bien, pourtant, c’est un univers qui m’intéresse par certains aspects, mais...
quoique, peut-être, les Signes, je n’ai pas un mauvais souvenir, il faudrait que je réécoute... les Chiffres, en revanche, j’avais apprécié à la première écoute (j’apprécie encore en partie), mais je les ai réécoutés quelques fois depuis, et ça me semble un peu, euh, frustre (dans un sens négatif).

Peut-être que tu y trouverais ton compte avec ses sept pièces pour guitare à dix cordes et son Trois Graphiques pour guitare et orchestre?

peut-être, je note.

Pärt: Te Deum/Joost

Pärt: Wallfahrtslied/Dijkstra

Pärt

Annum per annum

Helen Tucker, aux grandes orgues Beckerath de l'Oratoire Saint-Joseph



Superbe interprétation, pleine de vie et de subtilités.

Liszt: La lugubre gondole n°2/Buniatishvili

Préfères-tu cette version de celle de Brendel?

Luca Marenzio (1553-1599) :

Madrigali a quattro voci, -Libro primo

Rossana Bertini, soprano
Claudio Cavina, contralto
Giuseppe Maletto, ténor
Sergio Foresti, basse

Mara Galassi, harpe ; Andrea Damiani, luth

Rinaldo Alessandrini, clavecin et direction

(Opus 111, avril 1994)

Wagner, Siegfried, Acte I, Ring Chéreau / Boulez

Je n'ai pas vu les deux derniers volets du Ring de Kupfer, il faut que je me l'offre du coup (je n'expliquerais pourquoi je ne peux pas les voir pour ne pas raconter ma vie privée à ce niveau là). Ce ne sera que ma quatrième version du Ring en DVD. Le blu-ray n'a pas de plus value, j'ai pu m'en rendre compte en visionnant les deux premiers volets. Le retour à la maison a aussi du bon car voir sur youtube la suite du Ring de Chéreau ne m'intéressait pas, je préfère regarder avec mon DVD, même si c'est sur l'ordinateur, n'ayant pas de lecteur DVD à ma disposition immédiate car nous n'en avons qu'un à la maison et il n'est pas dans la pièce idéale et comme je suis le seul à aimer la musique classique à la maison, cela ne facilite pas les choses.

Grand Duo concertant de Weber.

Quintette et Trio de Brahms, etc. Une sonorité unique, allant du hautbois à la trompette en passant par le basson.

Thomas Tallis (c.1505-1585) :

Gaude gloriosa Mater
Suscipe, quaeso Domine
Lamentations of Jeremiah

= Andrew Parott, Taverner Consort & Choir

(Emi, mai 1987)

plenum a écrit:

Préfères-tu cette version de celle de Brendel?

A vrai dire je n'ai pas cette version en tête et ce n'est pas une pièce où j'ai tellement comparé les versions. (il me semble n'y avoir entendu que de bonnes choses)

La version Brendel est une des meilleures, mais celle de cette pianiste est à mon avis supérieure, car elle y met plus d'emphase dans les langueurs, caractère essentiel de cette oeuvre, un des chef-d'oeuvres du véritable Romantisme, exaltant la mort, la grisaille, la tristesse,
la résignation.

Je picore dans ses symphonies...



Quand je pense qu'à une époque je ne posais que des questions stupides...

ovni231 a écrit:

Je picore dans ses symphonies...



Quand je pense qu'à une époque je ne posais que des questions stupides...

T'es drôle... Il n'y a pas de quesions stupides.

Par contre, pour les réponses, ça prend un autre degré d'humilité. Ou d'originalité.

Aribert Reimann (1936–)

Unrevealed nach Lord Byron für Bariton und Streichquartett (1981)
Shine and Dark nach James Joyce für Bariton und Klavier linke Hand (1989)

Dietrich Fischer-Dieskau, baryton
Aribert Reimann, piano
Cherubini Quartett

André a écrit:

ovni231 a écrit:

Je picore dans ses symphonies...



Quand je pense qu'à une époque je ne posais que des questions stupides...

T'es drôle... Il n'y a pas de quesions stupides.

Par contre, pour les réponses, ça prend un autre degré d'humilité. Ou d'originalité.

Je suis remonté à mes messages de janvier 2011. C'éclair qu'il y a eu des grands changements depuis.

Mais je partage ton avis sur la question.

Arseny Avraamov : Symphonie des Sirènes (Bakou, 1922)/sur Tontube

Verdi, Otello, Barbirolli, New Philarmonia Orchestra, McCracken, Jones, Fischer-Dieskau, Piero de Palma, etc.

Je précise que j'écoute sur spotify, j'en suis dans l'acte IV après avoir entendu évidemment les trois premiers. Je n'en connaissais jusqu'à aujourd'hui que de larges extraits.

César Franck

Fantaisie en Do majeur

Fantaisie en La majeur

Prélude, Fugue, Variation

Pastorale

Pièce héroïque

Jean Costa, aux grandes orgues Cavaillé-Coll de Saint-Vincent-de-Paul, Paris.


Classic Production C.P.F. (1970)


L'excellent Jean Costa, un des élèves favoris de Marcel Dupré, un des premiers sinon le premier français à s'être déplacé en Allemagne
afin d'enregistrer sur des orgues historiques des précurseurs de Bach, comme à Lunebourg et Weingarten. C'est lui qui enregistra en première mondiale, la dixième Symphonie dite ''Romane'' de Widor à Saint-Sernin. Enfin, son Franck (qu'il reprendra durant les années 90
pour le label Coriolan aux orgues de Perpignan et Saint-Brieuc)est une des sommités discographique, de plus joué sur un des plus beaux
Cavaillé-Coll dont il en fut le titulaire de 1953 (mettant fin à sa suppléance à Saint-Sulpice), jusqu'en 1997. Cet instrument a bénéficié
de plusieurs innovations de son facteur, au point qu'il remporta la médaille d'or de l'exposition universelle. Boëllmann en fut le titulaire durant dix ans, Liszt joua de cet instrument plusieurs fois, puisque étant sa paroisse durant sa période parisienne. Je ne comprend pas
que le label Accord ne réédite toujours pas en 2016 les enregistrements de cet organiste, figure majeure de la musique parisienne.

Bah tiens, en voilà un orgue pour l'Orgue mystique.

Je vois que Mélo a sévi comme architecte

Ah! Tu n'aimes pas ce buffet?

Jof a écrit:

Bah tiens, en voilà un orgue pour l'Orgue mystique.

Bof, oui depuis les ajouts par Danion, mais Reims reste le mieux approprié.

Luc Ferrari : Antisonate pour piano      1953 / Maurer

Cololi a écrit:

Je vois que Mélo a sévi comme architecte

Tu confondrais un Wurlitzer et un Silbermann...

plenum a écrit:

Ah! Tu n'aimes pas ce buffet?

Dans le genre choucroute du XIX° type Garnier, ça m'a l'air gratiné

Gioacchino Rossini (1792-1868) :

Quatuors pour vents n°5 en ré majeur, n°6 en fa majeur

Jean-Pierre Rampal, flûte
Jacques Lancelot, clarinette
Gilbert Coursier, cor
Paul Hongne, basson

(Erato, février 1963)

Délicieux, miam-miam...

Wolfgang Amadeus Mozart
* Une petite musique de nuit
* Divertimento K.287
Philharmonie de Berlin
Herbert von Karajan
1 LP DGG 139 004

Clemens Gadenstätter (1966–), SAD SONGS pour saxophones, guitare électrique, percussion et piano (2011/12)
Malin Bång (1974–), kobushi burui pour saxophone ténor, percussion, piano, guitare électrique et quatre objets (2012)

Ensemble Nikel

Georg Katzer (1935–), after Carroll (Jabberwocky) pour soprano, clarinette basse, violoncelle, guitare, percussion et piano (2012)

ensemble asamisimasa

Beat Furrer (1954–), linea dell’orizzonte pour clarinette, trompette, trombone, violon, violoncelle, piano, percussion et guitare électrique (2012)

ensemble ascolta
Johannes Kalitzke, direction

William Schuman (1910-1992) :

Symphonie n°9

= Gerard Schwarz, Orchestre symphonique de Seattle

(Naxos, février 2004)

Cette oeuvre éprouvante commémore le massacre des Fosses ardéatines perpétré à Rome en mars 1944.

Bruckner: symphonie no 7. Pittsburgh Symphony Orchestra, William Steinberg.

André a écrit:

Bruckner: symphonie no 7. Pittsburgh Symphony Orchestra, William Steinberg.

Décidément, on est tous très W. Steinberg en ce moment, cf. quelques messages plus haut, hier .

Oui, bon: le report sur cd de cet enregistrement est très mal fait. L'interprétation cependant est vraiment très belle.