Playlist (115)

Superbe graphisme !

T'as prévu les anti-dépresseurs qui vont avec le programme ?

ovni231 a écrit:

Au Marteau Estival : Musiques Pulsées et Rétros

Au programme cet après-midi :

Les Quinze Quatuors à Cordes de DSCH

5) Ralph Vaughan Williams (1872-1958) :

Sinfonia antartica

= Margaret Ritchie, soprano ; John Barbirolli, Chœurs et Orchestre Hallé de Manchester

(HMV, juin-septembre 1953)

Evidemment ! Pour conclure ce programme... rafraichissant -fait 29° ici.

Osvaldo Golijov : Omaramor pour violoncelle       1991 / Weilerstein

Johann Christoph Bach (1642-1703)
Welt, Gute Nacht

Gardiner/English Baroque Soloists

L'oncle d'Eisenach, cher à Gardiner (dans musique au château du ciel, que je suis en train de lire)

Liza Lim (1966–)
Winding Bodies: 3 Knots (2013–14) pour flute, clarinette basse, piano, percussion, hardanger, violon, alto, violoncelle et contrebasse
The Heart’s Ear (1997) pour flute/piccolo, clarinette, deux violons, alto et violoncelle

Jon Øivind Ness (1968–)
Gimilen (2014) pour flute, clarinette, piano, percussion, deux violons, alto, violoncelle et contrebasse

Cikada

@lm@viv@ a écrit:

J'avais sorti un article assassin pour la mise en espace car ce qui est annoncé comme une mise en scène n'en mérite vraiment pas le nom. Du coup les solistes passaient leur temps à penser à leur jeu de scène au lieu de penser à leur chant; j'avais d'autant plus râlé que JDF et D'Arcangelo méritent nettement mieux que "ça"

Liza Lim (1966–)
Tongue of the Invisible (2010–11) d’après Hafez pour pianiste improvisateur, baryton et 16 musiciens
Uri Caine / Omar Ebrahim / musikFabrik (André de Ridder)

Chausson : Poème de l’Amour et de la Mer.  Norman, Monte-Carlo SO, dir. Jordan

Ravel : La Valse. Berliner Philharmoniker, dir. Boulez

Tchaikovsky : Symphonie No.6.  Berliner Philharmoniker, dir. Karajan

Thomas : Hamlet (Antonio de Almeida : Thomas Hampson, June Anderson, Samuel Ramey, Denice Graves, Gregory Kunde, Jean-Philippe Courtis)

J'en avais entendu des très mauvaises critiques... et en dehors d'Anderson trop lourde et manquant cruellement de poésie, ça se tient plutôt très bien!

Inutile de préciser le fil rouge ...











(Avec, comme souvent s'agissant des "doublons" chez Celibidache, une petite préférence pour la version DGG.)

Jon Øivind Ness (1968–)
The Dangerous Kitten (1998) pour trombone, trois clarinettes et sinfonietta
Schatten (1992) pour orchestre de chambre
Charm (1998) pour quatuor à cordes
Interrupted Cycles (1996) pour flute, clarinette, percussion, piano et quintette à cordes
Dandy Garbage (1993) pour sinfonietta
Sverre Riise, trombone
Cikada String Quartet
Cikada Ensemble
Oslo Sinfonietta
Trondheim Symfoniorkester
Christian Eggen, direction

(NB : les symphonies 1 & 5 à Munich)

Gaspar Cassado : Suite pour violoncelle       1926 / Weilerstein
 +
György Ligeti : Sonate pour violoncelle       1949-53 / Weilerstein
 +
Benjamin Britten : Tema Sacher pour violoncelle       1976 / Weilerstein

Bright Sheng : Seven tunes heard in China pour violoncelle       1995 / Weilerstein 

Thierry Pécou : Sikus pour violoncelle et dispositif électroacoustique       2001 / Lenzi

Charles Ives : Symphonie n°4 pour orchestre       1910-16 / Tilson-Thomas

Bronius Kutavičius (1932–) : Quatuor à cordes nº2 Anno cum tettigonia (1980) avec bande
Osvaldas Balakauskas (1937–) : Quatuor à cordes nº2 (1971)
Antanas Rekašius (1928–2003) : Quatuor à cordes nº3 (1976)
Onutė Narbutaitė (1956–) : Quatuor à cordes nº2 Atverk užmaršties vartus (1980)
Julius Juzeliūnas (1916–2001) : Gėlių kalbėjimas (1985) pour soprano et quatuor à cordes
Lilian Sukis, soprano
Valstybinis Vilniaus Kvartetas

Marx : Eine Herbstsymphonie.  American SO, dir. Botstein
  
Le 1è mouvement est vraiment somptueux !

Une de ces symphonies avec lesquelles je ne sais jamais trop que faire ; qui me laissent un peu au milieu du gué :

Elle est excellente pourtant

Cololi a écrit:

Elle est excellente pourtant

Oui, oui ; le problème vient de moi et je cherche toujours "ma" version (aujourd'hui c'est Karajan, ça pourrait être Tintner ou Swarowsky ; en tout cas un lecteur qui ne "charge" pas le trait outre mesure). Je suis fou du 2nd mouvement mais j'admire "seulement" le reste et je reste plutôt sur le seuil en regardant la nef sans réussir à y pénétrer ; mais je n'abandonne pas, la preuve ...

Peut être le classique des classiques : Jochum ?

Il faut dire qu'il s'agit d'une des symphonies de Bruckner qui s'accommode le plus mal du genre d'interprétation que tu privilégies (lecture unificatrice qui gomme les discontinuités et les contrastes, et cherche à tout intégrer dans une sorte de "grande arche").
Tente Zender/SWF (Amati) ou Andreae/Wiener Symphoniker (Music & Arts). Cela dit, les deux versions des intégrales studio de Jochum sont très bien aussi (alors que les deux que je viens de citer doivent être devenues difficiles à trouver). Cololi + 1.

Cololi a écrit:

Peut être le classique des classiques : Jochum ?

Georg Ludwig, alors ; qui est très très bien dans la n° 2.

G.L. Jochum est effectivement très bien, mais l'orchestre de Linz est tout de même assez limité, de même d'ailleurs que la prise de son radio des années 40.

Benedictus a écrit:

G.L. Jochum est effectivement très bien, mais [b]l'orchestre de Linz est tout de même assez limité, de même d'ailleurs que la prise de son radio des années 40[/i].

Mais ça, ça n'est pas rédhibitoire pour moi ; d'ailleurs, on ne peut pas dire que les enjeux (qualités et défauts) soient complètement différents s'agissant d'Adreae, par exemple.
(En réalité, je n'ai pas de grille de lecture-type pour Bruckner ; pas tellement non plus ailleurs, il me semble. J'accepte autant des visions organiques/intégrées que des matières pulvérulentes, des lectures denses, creusées quitte à trouver un esprit de "tranchée", presque de repli et, finalement, même si ce n'est jamais bonnet-blanc-et-blanc-bonnet, ma discothèque comprend aussi bien Tintner que Karajan, Celibidache qu'Andreae, Barenboim, Knappertsbusch, etc. C'est déjà assez de devoir s'orienter dans le maquis des éditions !)

Boulez : Dérive 1 (1984).  London Sinfonietta (Benjamin) [1988]
Boulez : Dérive 1 (1984).  EIC (Boulez) [1990]
Boulez : Dérive 1 (1984).  EIC (Boulez) [1996]
Boulez : Dérive 1 (1984).  EIC (Boulez) [2005]
Boulez : Dérive 1 (1984).  EOC (Kawka) [2011]

bAlexb a écrit:

Mais ça, ça n'est pas rédhibitoire pour moi ; d'ailleurs, on ne peut pas dire que les enjeux (qualités et défauts) soient complètement différents s'agissant d'Adreae, par exemple.

Certes, les Symphoniker d'Andreae ne sont pas l'orchestre le plus virtuose (mais ils sont nettement meilleurs ici que dans la plupart de leurs autres enregistrements de la même époque, cf. la série Orfeo dont une calamiteuse Bruckner 5 sous Karajan - Andreae a dû bénéficier d'un grand nombre de répétitions pour son cycle) mais quand même un bon cran au-dessus de Linz. Et l'ORF de 53 captait bien plus lisiblement que la Reichsrundfunk des années 40. De sorte que, si, quand même, la différence est assez sensible, du moins à mes oreilles.

Citation :

ma discothèque comprend aussi bien Tintner que Karajan, Celibidache qu'Andreae, Barenboim, Knappertsbusch, etc.

Euh... Là, il me semble pourtant au contraire qu'il y a bien comme une esthétique dominante qui se dessine, si on excepte Andreae...
Ce qui m'étonne d'ailleurs, c'est qu'un amateur de vieilles cires comme toi ne cite pas plutôt Schuricht, Van Beinum, Böhm (ou bien les témoignages d'avant-guerre comme sa géniale 5 de Dresde, ou ceux tres tardifs comme sa 8 de Zurich), Abendroth, Kabasta, Furtwängler (de préférence l'expressionniste des années 30-40)... À mon avis, il y a là du très, très exaltant.

Benedictus a écrit:

Ce qui m'étonne d'ailleurs, c'est qu'un amateur de vieilles cires comme toi ne cite pas plutôt Schuricht, Van Beinum, Böhm (ou bien les témoignages d'avant-guerre comme sa géniale 5 de Dresde, ou ceux tres tardifs comme sa 8 de Zurich), Abendroth, Kabasta, Furtwängler (de préférence l'expressionniste des années 30-40)... À mon avis, il y a là du très, très exaltant.

Si si, de cela j'en ai parlé ; soit dans les sujets qui leur sont dédiés, soit dans le sujet Bruckner. En fait, les noms que j'ai cités sont ceux qui me sont venus spontanément ; cela étant, j'imagine que vous sous un angle freudien ...

Mélomaniac a écrit:

Superbe graphisme !

T'as prévu les anti-dépresseurs qui vont avec le programme ?  

Merci beaucoup, je le dois à mon grand maître des banderoles thématiques adoré !

T'inquiète, je gère la faucille. Le pire c'est que ça a beau être une musique pas très optimiste, c'est hyper-addictif !

Donc, ma playlist de la semaine passée (j'organise un peu, ça a été plutôt en pointillé):

- Du quatuor décadent:
Wellesz: Quatuors 3 et 6. Q. Artis Wien. Nimbus
Schoeck: Quatuors 1 et 2. Q. Minguet. MDG
Un peu mon cœur de répertoire. Wellesz, plus «évolutif», plus perméable aux influences (le 3 très décadent à la Korngold, le 6 beaucoup plus expressionniste-inquiet); Schoeck qui au contraire semble persévérer dans l'être (d'un postromantisme en apparence plus traditionnel, mais qui creuse une harmonie toujours plus tourmentée, des atmosphères toujours plus raréfiées).

- De l'orgue baroque allemand:
Lübeck: L'Œuvre d'orgue. Coudurier. BNL
Un peu trop pétulant pour mon goût, mais une interprétation et un instrument (Norden) qui me plaisent beaucoup.

- Du contemporain:
Dai Fujikura: ice. Ogren / International Contemporary Ensemble. Kairos
Étonnant: c'est atonal, mais avec des pôles, des effets de consonance, beaucoup de jeux de couleurs instrumentalises et surtout on a à faire à un discours extrêmement fluide, mais ondoyant, insaisissable - on serait quelque part entre les spectraux et Takemitsu, pas très loin de Mantovani. C'est beau - mais il faudrait voir si ça tient la réécoute.
Bernd Richard Deutsch: Mad Dog. Poppe / Klangforum Wien. Kairos
Mouais. Ce n'est pas daubesque comme Gander, mais disons qu'on sent un peu le gars qui, structurellement, serait plutôt du genre Staud ou Schurig (de l'atonal viennois classique pour le langage, de la grande forme un peu ambitieuse pour la structure) mais qui se sent obligé de donner des gages aux «métalleux à platines» (dixit Lucien). Ces Autrichiens sont décidément des gens bizarres.

- De l'opéra français (pas forcément écoutés en entier):
David: Herculanum. Gens, Deshayes, Montvidas, Courjal... Niquet / Philharmonique de Bruxelles. Singulares/Bru-Zane
Pas l'œuvre du siècle (même si c'est assez chouette dans son genre, belle écriture orchestrale, veine lyrique assez séduisante), livret relativement risible, mais quels chanteurs!
Debussy: Pelléas et Mélisande. Spoorenberg, Souzay, Tappy... Auberson / Suisse Romande. Claves
Sans y voir (comme David?) la meilleure version, j'ai beaucoup aimé ce live genevois de 1969 (soirée d'hommage à Ansermet). Ce qui est étonnant, c'est que les trois principaux protagonistes s'y révèlent très nettement au-dessus de leurs autres prestations enregistrées dans ces rôles.

- Du grand répertoire (pas en entier non plus):
Schumann: Scènes de Faust. Gerhaher, Karg, Miles... Harding / Radio Bavaroise. BR
Splendide. Belle interprétation, tendue et extrêmement lisible de Harding; Gerhaher absolument formidable. Hâte de pouvoir l'écouter en entier.

- Du baroque français:
Couperin: Leçons de Ténèbres. Bennani, Lefilliâtre, Druet, Dumestre / Poème Harmonique. Alfa
Très bien, mais pas forcément ma tasse de thé dans ce répertoire-là: c'est du beau travail très raffiné, mais l'atmosphère est un peu trop «air de cour» pour moi (je préfère l'austérité de la version Mandrin).
Marais: Alcyone. Smith, Ragon, Huttenlocher, Le Texier, Fouchécourt, Gens... Minkowski / Musiciens du Louvre. Erato
Pas réécouté depuis des lustres, pas beaucoup mieux que dans mon souvenir (mais je n'ai écouté que I et II). Œuvre pas forcément exceptionnelle (livret un peu lâche, récitatifs guindés, style un peu trop italianisant) et surtout desservie par un plateau très mal apparié et un orchestre rêche.

ovni231 a écrit:

Pochettes Melodiya:

Tu aurais aussi pu intituler ton programme «Les binoclards rigolards».

Boris Ivanovitch Tishchenko : Quatuor à cordes n°3       1970 / Taneïev Quartet
 +

George Benjamin (1960–)
Antara (1985–87) pour ensemble et électronique

Pierre Boulez (1925–2016)
Dérive 1 (1984) pour six instruments
Mémoriale (1985) pour flute solo et huit instruments

Jonathan Harvey (1939–2012)
Song Offerings (1985) pour soprano et huit instruments

Penelope Walmsley-Clark, soprano
Sebastian Bell, flute
London Sinfonietta
George Benjamin, direction

Michael Jarrell (1958–)
Modifications (1987) pour piano et ensemble.  Helffer / Ensemble Contrechamps (Bernasconi)
Essaims-Cribles (1986) pour clarinette basse et ensemble.  Molinari / Ensemble Forum (Foster)

Abel Decaux : Clairs de lune pour piano       1900-07 / Hamelin

lucien a écrit:

Antanas Rekašius (1928–2003) : Quatuor à cordes nº3 (1976)

J'avais adoré son concerto pour violon Métaphonie.

ovni231 a écrit:

je le dois à mon grand maître des banderoles thématiques adoré !

Faut pas m'en vouloir, -à mon arrivée sur le Forum j'ai été traumatisé par un matou à walkman qui dodelinait entre des coussins rouge sang

ovni231 a écrit:

T'inquiète, je gère la faucille.

Voilà c'était ce style là

Benedictus a écrit:

Donc, ma playlist de la semaine passée :
- Du quatuor décadent

Et après on se demande ce qui égare Anaëlle  

Benedictus a écrit:

- De l'orgue baroque allemand:
Lübeck: L'Œuvre d'orgue. Coudurier. BNL
Un peu trop pétulant pour mon goût, mais une interprétation et un instrument (Norden) qui me plaisent beaucoup.

Voilà, que ne suit-elle ce genre d'influences
Et ton commentaire ne m'étonne pas.

Emeryck a écrit:

Abel Decaux : Clairs de lune pour piano       1900-07 / Hamelin

On croise ces Clairs de lune à tous les coins de page.
C'est bien, mais il y a aussi tant d'autres belles choses à l'époque : La Maison dans les dunes ou Les Heures dolentes de Gabriel Dupont, Le Chant de la mer de Gustave Samazeuilh...

Ne pas oublier certaines pièces pour piano du Debussy américain, Griffes.

Emeryck a écrit:

Je note, merci. 

Tu peux y aller sans crainte, y a pas de piège. Et on sera intéressé de lire ton avis.

Mélomaniac a écrit:

Benedictus a écrit:

Donc, ma playlist de la semaine passée :
- Du quatuor décadent

Et après on se demande ce qui égare Anaëlle  

D'ailleurs je souscris totalement aux remarques de Benedictus!

John Ireland (1879-1962) :

The Overlanders -Suite

March - Romance - Intermezzo - Scherzo - Finale

= Adrian Boult, Orchestre philharmonique de Londres

(Lyrita, janvier 1970)

Suite arrangée d'après le film de Harry Watt (1946).
Je n'ai jamais réussi à m'enthousiasmer vraiment pour la musique orchestrale d'Ireland, dans ce domaine peut-être le british que j'aime le moins

Ireland captive davantage avec sa musique de piano.

Après la Herbstsymphonie, une autre symphonie-fleuve : 


Chtcherbatchov : Symphonie No.2"Blokovskaya". Concert Chorale of NYC, Poplavskaya, Lee, American SO, dir. Botstein
 / 

J'a-dore !! 

journée de voiture (non ce n'est pas forcément les vacances), bien qu'avec ce programme...

Wolfgang Amadeus Mozart (1756-1791)
• Quatuors K. 575; K. 589
Orlando Quartet
Je suis passé à côté
• Quatuors K. 387 "Le Printemps"; K. 458 "La Chasse"
bon, j'arrive doucement à Haydn

A moins que je sois emporté par

Ludwig Van Beethoven (1770-1827)
•Sonates Op.2 / 1, 2, 3
Alfred Brendel
Je suis tombé par terre (enfin façon de parler: voir supra)

Mélomaniac a écrit:

On croise ces Clairs de lune à tous les coins de page.
C'est bien, mais il y a aussi tant d'autres belles choses à l'époque : La Maison dans les dunes ou Les Heures dolentes de Gabriel Dupont, Le Chant de la mer de Gustave Samazeuilh...

Le Samazeuilh est quand même très romantique et conventionnel pour Emeryck. Je le verrais mieux avec les Impressions urbaines de Mariotte, les Schmitt, les Koechlin, à la rigueur les Ropartz (Suite pour tous les jours), Dupont (Les Heures Dolentes) et Migot (Le Zodiaque).

D'ailleurs, ça m'étonne que tu ne conseilles pas Le Rossignol Éperdu de Hahn, ça me paraît plutôt dans ton genre. Si tu n'as pas testé, ça devrait te plaire (et il y a quand même plus de matière que chez Samazeuilh). Sinon la Nursery d'Inghelbrecht, parfait pour le toi-qui-aime-les-pochettes.

anaëlle a écrit:

Après la Herbstsymphonie, une autre symphonie-fleuve : 


Chtcherbatchov : Symphonie No.2"Blokovskaya". Concert Chorale of NYC, Poplavskaya, Lee, American SO, dir. Botstein
 / 

J'a-dore !! 

Oh oui, ce dernier mouvement !!

Attention, tu es en train d'écluser en quelques jours tous ces monuments qui ont été enregistré au compte-goutte au fil des décennies. Tu as fait la 6 de Tichtchenko, la 3 de van Gilse et la Natur- de Hausegger, dans le genre ?

plenum a écrit:

Ireland captive davantage avec sa musique de piano.

Oui, et ses songs ! (Sea-fever… !)