Playlist (116)

Quelques sonates de Clementi

Claus-Steffen Mahnkopf : Medusa pour hautbois et orchestre de chambre       1990-92 / Veale, Ensemlbe SurPlus (Avery)

Claus-Steffen Mahnkopf : memor sum pour alto       1989 / Friedrich
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Claus-Steffen Mahnkopf : Pegasos pour clavecin       1991 / Adams

Claus-Steffen Mahnkopf : Trema I,II et III pour percussions       1994 / Pons

Claus-Steffen Mahnkopf : 5 Kleine Lakunaritäten pour piano       1994-95 / Körberg
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Claus Steffen Mahnkopf : Kurtág Duo pour deux guitares       2002 / Ruck, Casoli
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Juliane Klein (1966–) :
— mit (2003) pour hautbois, violoncelle, piano et percussion
— gehen (2000) pour soprano, baryton et 12 instruments
— Fünfgezackt in die Hand (2001) pour hautbois et percussion
— Aus der Wand die Rinne (1996–2000) pour 6 instruments
— Suite (2002) pour quatuor de pianos, soprano, baryton et 13 instruments
Eiko Morikawa, soprano / Thomas E. Bauer, baryton
Antje Thierbach, Dirk Rothbrust, etc.
Aperto Piano Quartet
Ensemble Resonanz, KNM Berlin (Peter Rundel)

Ernst August Klötzke (1964–) :
— Time Lag (... neulich, beim Spaziergang mit Diotima ...) (1993–96) pour chœur de femmes
— Tautolos’ stummer Briefträger (EWG) (1998–99) pour 4 percussionnistes
— Dies Gesicht (facies nigra I) (1995) pour piano et bande
Paulo Álvares, piano
Schlagquartett Köln
SWR Vokalensemble Stuttgard (Michael Alber)

Mozart: Concerto pour piano n° 25*
Brahms: Symphonie n° 1
Friedrich Gulda*, Orchestre National de la Radiodiffusion française, dir. Georg Solti (archive radio: 6 décembre 1956, sur le vif)

Concert que j'avais déjà évoqué et posté ici il y a quelques années de ça. Et à la réécoute c'est toujours aussi bon, voire carrément exceptionnel. Gulda est impérial dans le K.503 et dans Brahms Solti met le feu à notre brave National, qui n'a jamais sonné aussi allemand bien.



Par contre:

Schumann: Symphonie n° 4 / Orchestre National de la Radiodiffusion française, dir. Georg Solti (archive radio: 25 juin 1960, sur le vif)

Là c'est nettement moins bon, c'est même assez mauvais pour tout dire (les cordes qui partent dans tous les sens, les cuivres au début du II   ). Je ne sais pas si c'est Solti ou l'orchestre qui ne "sentait" pas la partition, mais moins de 4 ans après le concert sus-mentionné, c'est presque gênant pour eux d'être redescendu à ce niveau provincial.

Wagner: Siegfried, acte 1/Janowski-Castorf



Melartin: Traumgesicht, Marjatta/Isokoski, Lintu

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Debussy: Pelléas et Mélisande/Pascal (Malmö 2016)

Jean Guillou (1930–) :
— Concerto grosso (1978/2008) pour orchestre
— Concerto 2000 (2000) pour orgue et orchestre
Jean Guillou, orgue
Orchestre National des Pays de la Loire
Vincent Barthe, direction

Schubert:Sonate pour piano n°21 (Richter)

Ca faisait longtemps!

Quelle sève mélodique ce Franz...

Claus-Steffen Mahnkopf : Hommage à György Kurtag pour guitare et orchestre de chambre       2000-01 / Ruck, Kalitzke
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Luc Ferrari (1929 - 2005)
Presque rien n°2, ainsi continue la nuit dans ma tête multiple
Presque rien avec filles

Programme wagnérien aujourd'hui.

Götterdämmerung, Keilberth, Bayreuth 1955 :



==> Prise de son terrible... Cuivres ultra criards, à la limite de l'écoutable... Intéressant surtout pour la prise de rôle de Martha Mödl !

Meistersinger, Kubelik, 1967 :

==> Belle interprétation pour du très grand Wagner

Petrus a écrit:

Programme wagnérien aujourd'hui.

Götterdämmerung, Keilberth, Bayreuth 1955 :



==> Prise de son terrible... Cuivres ultra criards, à la limite de l'écoutable... Intéressant surtout pour la prise de rôle de Martha Mödl !

C'est sûr que c'est presque une prise en otage du rôle tant elle en fait ce qu'elle veut! C'est génial dramatiquement, mais alors vocalement... euh... disons qu'elle a des notes particulières!

Ici... calme, volupté et tragédie :

LULLY : Atys (William Christie, 1987 : Guy de Mey, Guillemette Laurens, Agnès Mellon, Jean-François Gardeil, Jacques Bona, Bernard Deletré, Isabelle Desrochers, Véronique Gens, Jean-Paul Fouchécourt, Michel Laplénie, Gilles Ragon, Noémi Rime, Françoise Semellaz)

S'il n'y avait De Mey qui est quand même bien pâlichon et pas très beau à certains moments, ce serait peut-être ma version préférée... moins dramatique que la version en DVD récente, moins tendue que la version vidéo de 87 (avec Crook! ) mais avec quelque chose de plus fin : en enlevant une partie un peu théâtrale à la musique, Christie lui donne aussi plus de délicatesse et de détails je trouve...

Mais dans tous les cas, et ne l'oublions jamais : LULLY est grand!

Polyeucte a écrit:

C'est sûr que c'est presque une prise en otage du rôle tant elle en fait ce qu'elle veut! C'est génial dramatiquement, mais alors vocalement... euh... disons qu'elle a des notes particulières!

C'est sûr Souvent faux, crié, à côté... Mais je l'aime Martha !

Polyeucte a écrit:

Mais dans tous les cas, et ne l'oublions jamais : LULLY est grand!

Ah ! Certes Lully est grand ; et quand il est servi par Christie... ou par Reyne :

La propagande lullyste ne passera pas

Petrus a écrit:

Programme wagnérien aujourd'hui.

Götterdämmerung, Keilberth, Bayreuth 1955 :



==> Prise de son terrible... Cuivres ultra criards, à la limite de l'écoutable... Intéressant surtout pour la prise de rôle de Martha Mödl !

Les cuivres criards, c'est un peu toujours comme ça à Bayreuth... mais j'aime assez ce type de prise de son, très claire, on ne loupe rien.

Sauf que maintenant l'intégrale sterreo Keilberth est maintenant intouchable

Xavier a écrit:

Petrus a écrit:

Programme wagnérien aujourd'hui.

Götterdämmerung, Keilberth, Bayreuth 1955 :



==> Prise de son terrible... Cuivres ultra criards, à la limite de l'écoutable... Intéressant surtout pour la prise de rôle de Martha Mödl !

Les cuivres criards, c'est un peu toujours comme ça à Bayreuth... mais j'aime assez ce type de prise de son, très claire, on ne loupe rien.

J'allais dire peu ou prou la même chose ; et puis avoir Mödl dans ces conditions et dans l'absolu et le relatif, c'est à dire dans ce son-ci et avec ce-son-pour-elle ...

Cololi a écrit:

Sauf que maintenant l'intégrale sterreo Keilberth est maintenant intouchable

Mais comme l'intégrale est avec Varnay, par rapport à Mödl c'est forcément dispensable ...
(Ne tapez pas trop fort, s'i'ou'plaît )

bAlexb a écrit:

Polyeucte a écrit:

Mais dans tous les cas, et ne l'oublions jamais : LULLY est grand!

Ah ! Certes Lully est grand ; et quand il est servi par Christie... ou par Reyne :

Je ne peux qu'être d'accord... même par Rousset ou Herreweghe (j'ai encore Persée dans les oreilles... et j'ai Armide qui m'attend...

Cololi a écrit:

La propagande lullyste ne passera pas

Pour qu'il y ait propagande, il faut qu'il y ait un message fortement relayé...
Mais tu as insidieusement fait taire toutes les bonnes âmes LULLYstes de ce forum, enlevant par la même occasion tous les admirateurs de Rameau, Campra ou Charpentier... (et aussi Haendel mais là du coup, tu peux en être remercié!)

Oui, c'est vrai pour les cuivres de Bayreuth... Mais pour parler d'un autre Ring en stéréo, celui de Böhm, bien que criard aussi et pas toujours juste, me semble bien plus confortable à écouter que ce Götterdämmerung de Keilberth qui me fait mal aux oreilles... Et les trompettes ! Et la grande Martha qui crie !

Xavier a écrit:

Petrus a écrit:

Programme wagnérien aujourd'hui.

Götterdämmerung, Keilberth, Bayreuth 1955 :



==> Prise de son terrible... Cuivres ultra criards, à la limite de l'écoutable... Intéressant surtout pour la prise de rôle de Martha Mödl !

Les cuivres criards, c'est un peu toujours comme ça à Bayreuth... mais j'aime assez ce type de prise de son, très claire, on ne loupe rien.

Tu as écouté des bouts dépareillés du Ring avec Mödl ?

Sinon, ce n'est pas une prise de rôle, elle l'avait déjà chanté à Bayreuth en 1953 (et puis il y a la RAI Roma, bien sûr) et 1954, et possiblement avant.

C'est le seul cycle commercialisé avec Mödl que je n'aie pas écouté. Je suppose que la différence est minime ? (le bon son du Ring de 55 avec Varnay exaltait surtout les défauts des uns et des autres, par rapport à 51-52-53-54 parfaitement calibrés pour ce type d'interprétation)

Des bouts dépareillés, je ne dirais pas ça, le Walkyrie et le Crépuscule en entier quand même.
Oui j'avais écouté ça, en entier je crois, mais je te confirme que tu ne rates rien de particulier, c'est même parfois pire que d'autres années pour ce qui est de la propreté et du respect du texte de le part de Mödl et de l'orchestre.

Je pensais que c'était sa prise de rôle à Bayreuth ! Il existe peut-être un enregistrement de 53 ? Avec Krauss, donc ?
Pour moi, sa Brünnhilde de 1953 avec Furtie à Rome est la plus intéressante, mais je ne connais pas bien 54...

Petrus a écrit:

Je pensais que c'était sa prise de rôle à Bayreuth ! Il existe peut-être un enregistrement de 53 ? Avec Krauss, donc ?
Pour moi, sa Brünnhilde de 1953 avec Furtie à Rome est la plus intéressante, mais je ne connais pas bien 54...

Keilberth ; c'est Varnay qui a fait le cycle de Krauss .
(Et les deux sont, du coup, très complémentaires ; même si ma préférence va au Ring beaucoup plus "granitique" de Keilberth, peut-être plus épique aussi dans son sens du choc, des affrontements et de leur "géométrie".)

Ah oui c'est vrai, j'avais oublié que Keilberth dirigeait aussi à Bayreuth en 53 ! Je n'y comprenais plus rien !

Petrus a écrit:

Ah oui c'est vrai, j'avais oublié que Keilberth dirigeait aussi à Bayreuth en 53 ! Je n'y comprenais plus rien !

Juste pour info, une base de données qui donne tous les interprètes des différentes années depuis la création de Bayreuth :
http://www.wagnermania.com/bayreuth/total.asp

Bon, ça ne donne pas les distributions par soir mais tout en vrac... mais ça reste passionnant!

Merci Polyeucte

Wagner: Siegfried, acte 2/Janowski-Castorf



Cette fois c'est sûr, je déteste. (je parle bien sûr de la mise en scène)

Xavier a écrit:

Wagner: Siegfried, acte 2/Janowski-Castorf



Cette fois c'est sûr, je déteste. (je parle bien sûr de la mise en scène)

Alors que, pour le coup (et pour ce que j'en ai vu ; qui n'est pas l'intégrale), je trouve que la vision indignée, "Occupy Wall Street"/désenchantée de Castorf fonctionne beaucoup mieux avec l'orchestre sombre de Janowski qu'avec celui de Petrenko.
Mais ça serait à confirmer/comparer sur la longueur, évidemment .
(Je suis dingue de Lundgren que j'avais trouvé formidable en Alberich à Genève ).

(Et on retrouve la même alternance en 54, où on a même choix pour Walküre entre Mödl-Varnay et Varnay-Mödl – moi j'aurais bien voulu Mödl-Mödl, mais il paraît que ça posait des difficultés pratiques. En tout cas, elle est encore plus ébouriffante – et inexacte ! – en Sieglinde.)

Xavier a écrit:

Wagner: Siegfried, acte 2/Janowski-Castorf



Cette fois c'est sûr, je déteste. (je parle bien sûr de la mise en scène)

Ah, tu jettes l'éponge devant les crocodiles ?

Emeryck a écrit:

DavidLeMarrec a écrit:

Emeryck a écrit:

Osvaldo Golijov : Ayre pour soprano et ensemble de chambre       2004 / Upshaw, The Andalucian Dogs

Je ne peux vraiment pas aller au bout.

Trop planant, je suppose ?

Bah j'ai trouvé ça hyper kitsch même de mauvais goût.

C'est un peu le principe de Golijov, en même temps. J'aime bien certaines choses, à petites doses ; il est rare d'avoir une musique aussi « positive », même si la raréfaction des moyens le tire quasiment vers les minimalistes. C'est du Górecki gai, en quelque sorte.

Pas très étonnant, vu tes standards, que ça te soit peu agréable. Pas essayé Ayre.

DavidLeMarrec a écrit:

(Et on retrouve la même alternance en 54, où on a même choix pour Walküre entre Mödl-Varnay et Varnay-Mödl – moi j'aurais bien voulu Mödl-Mödl. En tout cas, elle est encore plus ébouriffante en Sieglinde.)

Et en 54, avec Lorenz, c'est peut-être l'un des couples les plus électrisants, défauts compris (parce que défauts compris, bien compris justement ?), qui soit pour moi.

bAlexb a écrit:

Xavier a écrit:

Wagner: Siegfried, acte 2/Janowski-Castorf



Cette fois c'est sûr, je déteste. (je parle bien sûr de la mise en scène)

Alors que, pour le coup (et pour ce que j'en ai vu ; qui n'est pas l'intégrale), je trouve que la vision indignée, "Occupy Wall Street"/désenchantée de Castorf fonctionne beaucoup mieux avec l'orchestre sombre de Janowski qu'avec celui de Petrenko.
Mais ça serait à confirmer/comparer sur la longueur, évidemment .
(Je suis dingue de Lundgren que j'avais trouvé formidable en Alberich à Genève ).

Lundgren est bien mais un chouilla plat je trouve, pas très expressif.
Vinke pas génial génial quand même (bon c'est mieux que le Ryan des dernières années évidemment), tous les chanteurs sont bien dans l'ensemble, mais aucun de vraiment marquant à mon goût.

J'ai trouvé que Rheingold, quoique très très très éloigné du livret, avait sa cohérence et se regardait sans une seconde d'ennui, voire avec beaucoup d'amusement.
La Walkyrie absolument expurgée de toute émotion, ça m'a ennuyé.
Mais dans Siegfried, je trouve que c'est vraiment n'importe quoi, je ne trouve pas d'autre mot. C'est vraiment abominable.
L'orchestre de Janowski est très bien, oui, mais les décalages avec les chanteurs sont assez fréquents.

Sinon, je n'abandonne pas, je vais regarder jusqu'au bout, par curiosité et pour voir si finalement une cohérence ne finit pas par se dégager, mais j'ai peur que ça soit la cohérence du mauvais goût, de l'absence totale d'émotion (hormis le dégoût peut-être) et du n'importe quoi surtout.
Pourtant j'en ai vu des trucs assez bizarres, mais là...

bAlexb a écrit:

Et en 54, avec Lorenz, c'est peut-être l'un des couples les plus électrisants, défauts compris (parce que défauts compris, bien compris justement ?), qui soit pour moi.

Oui, clairement, et malgré la liberté absolue prise avec les rythmes, le texte, les mélodies…

Xavier a écrit:

Mais dans Siegfried, je trouve que c'est vraiment n'importe quoi, je ne trouve pas d'autre mot. C'est vraiment abominable.

Hé bien. Pourtant, tu en as aimé de pas faciles (voire d'assez hardies / moches / lourdement transposées). Je ne crois pas avoir déjà lu ça sous ta plume !

Citation :

L'orchestre de Janowski est très bien, oui, mais les décalages avec les chanteurs sont assez fréquents.

Cela dit, sans se voir, ce doit être un exercice délicat, surtout en début de série…

Costin Miereanu : Labyrinthes d'Adrien pour soprano et ensemble       1981 / l'Itinéraire (Mechkat)
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Bridge: Isabella/Hickox

Michaël Lévinas : Arcade III, le Chœur des Arcades pour piano-percussion, ensemble et bande magnétiques       1984 / L'Itinéraire (Mechkat)
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Claude Lefebvre : Mémoires souterraines pour flûte, clarinette et violoncelle amplifiés       1980 / L'Itinéraire (Mechkat)
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Schubert, orch. Brahms : Lieder.  Schroeder, American SO, dir. Botstein

Pizzetti : Trois Préludes à l’Oedipe de Sophocle.  American SO, dir. Botstein
   
Chávez : Symphonie No.1 « Sinfonía de Antígona » .  American SO, dir. Botstein

Popov : Suite symphonique No.1.  American SO, dir. Botstein
 

Fried : Verklärte Nacht.
 
Schoenberg : Verklärte Nacht. Ébène SQ, Thorette, Drake


Sibelius : Symphonie No.7.  Wiener Philharmoniker, dir. Bernstein

Tchaikovsky : Quatuor à cordes No.1.  Ébène SQ

Roger Tessier : Clair-obscur pour soprano, flûte, cor, violoncelle et dispositif électroacoustique       1979 / L'Itinéraire (Mechkat)

Luigi Nono : Il canto sospeso (1955/56)
Ilse Hollweg, soprano / Eva Bornemann, alto / Friederich Lenz, ténor
Chor des WDR Sinfonieorchester des WDR (Bruno Maderna) [1960]

Benoît Mernier : Intonazione pour orchestre       1995 / OPRF (Schonwandt)