Playlist (116)

les symphonies de Lyatoshynsky par Kuchar ont également été rééditée par Naxos en 2014 (mais Marco Polo appartenait à Naxos depuis déjà un certain temps, même si le visuel subsistait, non ?).

Harrison Birtwistle : Night Black's Bird pour orchestre       2004 / Wigglesworth

(Prise de son fameuse pour le Casse-Noisette dans lequel Dorati mène le LSO à la fois élégant, poétique et d'une précision vertigineuse !)

Comme toujours chez Vierne, une musique souple, originale et subtile.

Tischenko : Symphonie nº4 (1974).  Rozhdestvenski

lucien a écrit:

les symphonies de Lyatoshynsky par Kuchar ont également été rééditée par Naxos en 2014 (mais Marco Polo appartenait à Naxos depuis déjà un certain temps, même si le visuel subsistait, non ?).

Oui, c'est ce disque que je possède. Depuis tellement longtemps que j'avais oublié de quoi il retournait . Des oeuvres très différentes les unes des autres. La 2ème rappelle la 11ème de Chostakovich par endroits.

J'ai un autre disque de ses oeuvres, que j'aime encore plus: Symphonie de pastorales et Sinfonietta no 2.

Vieuxtemps: les 6 ème et 7 ème concertos pour violin.



Très joli. Pour ceux qui aiment le 3 ème de Saint-Saens, le concerto de Dvorak, celui de Glazounov, le Wieniawski 2, etc.

Harrison Birtwistle : The Cry of Anubis pour tuba et orchestre       1994 / Slade, Wigglesworth

Jennifer Higdon (1962–) : Zaka (2003)
Gordon Fitzell (1968–) : violence (2001)
Steven Mackey (1956–) : Indigenous Intruments (1989)
David M. Gordon (1976–) : Friction Systems (2002/5)
Gordon Fitzell : evanescence (2006)
Dennis DeSantis (1973–) : strange imaginary remix (2006)
Eighth Blackbird

Nicolas Bacri : Sonata Notturna pour violon, violoncelle et piano       1996-97 / Ensemble Capriccioso
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Strauss: Elektra/Schneider-Laufenberg



Presque mou par moments, il faut dire qu'on atteint 1h55 pour la version habituelle (donc non complète), sinon la mise en scène est pas mal.

Bryn Harrison (1969–) : Receiving the Approaching Memory (2014) pour violon et piano
Aisha Orazbayeva, violon
Mark Knoop, piano



Feldman deux point zéro.

Christian Lauba : Progy stride pour deux saxophones alto et piano       2008 / Trio Saxiana

Nicolas Bacri : Sonatines opposées pour saxophone alto et piano       2008-09 / Trio Saxiana

Philippe Hersant : Chant hassidique pour saxophone alto       2009 / Trio Saxiana

Thierry Pécou : Perroquets d'Azur pour saxophone       1993-2007 / Trio Saxiana
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Thierry Pécou : Nanook Trio pour deux saxophones et piano       2007 / Trio Saxiana

Mahler:Symphonie n°2 (Haitink Berlin)

J'en attendais beaucoup.

Déçu.

arnaud bellemontagne a écrit:

Mahler:Symphonie n°2 (Haitink Berlin)
J'en attendais beaucoup.
Déçu.  

Ah non, LA grande version de Mahler 2 par Haitink, c'est le live de Dresde paru chez Hänssler - comme tous les témoignages tardifs de Haitink, c'est prodigieux de tension (alors que pendant près de 40 ans, Haitink a été terriblement plan-plan). À mon sens, la seule version susceptible de faire jeu égal avec Abbado/Lucerne.

Sa version de Chicago est formidable. Haitink conçoit les premiers mouvements comme dans une symphonie classique. Puis dans le finale il nous convie au théâtre. Monumental et transcendant. Et quelle exécution phénoménale !

J'ai complété à côté.

La Fantasia appassionata pour violon et orchestre, opus 35 de Vieuxtemps.




Jacques Leduc: oeuvres orchestrales. Compositeur contemporain (né en '32), les oeuvres sur le disque ont été composées entre 1967 et 1969. Du moderne dense mais accessible.

Des sonates de Mozart par Gulda

LULLY : Persée (Christophe Rousset, 2001 : Paul Agnew, Anna Maria Panzarella, Salomé Haller, Jérôme Corréas, Vincent Billier, Monique Simon, Robert Getchell, Béatrice Mayo Felip, Laurent Slaars, Cyril Auvity, Bruno Rostand)

LULLY est grand... on ne le répètera jamais assez... Et ce Persée est magnifique!

Agnew/Auvity/Corréas -----> Rien que pour ces trois la ça fait envie . C'est le futur CD de chevet de cololi ça

Nicolas Bacri : Sturm und Drang pour clarinette, cor, violon, alto, violoncelle et piano       1995-96 / Ensemble Capriccioso

Hier et aujourd'hui:

Schoeck: Das stille Leuchten, op. 60
Hedwig Fassbender (mezzo-soprano), Aziz Kortel (piano)
Waldenburg, V.1994
Jecklin
Comme pour Unter Sternen dans la même collection, une vraie proposition alternative par rapport à la version DFD / Höll: non seulement pour le choix d'une voix de femme, mais aussi pour l'interprétation de Hedwig Fassbender - aussi intense et incarnée que celle de DFD cultive des climats suspendus et une déclamation intellectualisée. Passionnant, en tout cas.

Schumann: Liederkreis, op. 39.
- Christian Gerhaher (baryton), Gerold Huber (piano)
Munich, VIII.2007
RCA
- Matthias Goerne (baryton), Eric Schneider (piano)
Londres, IX.1998
Decca
Deux grandes versions, quatre artistes au-dessus de tout reproche (les deux pianistes sont vraiment exceptionnels, si comme moi on a Parsons dans l'oreille). Simplement, la voix et les choix interprétatifs de Goerne me sont pénibles, alors que j'adhère assez immédiatement à ce que propose Gerhaher (tout en préférant Bär malgré tout).

Buxtehude: Chorals extraits de l'Intégrale de l'œuvre pour orgue, vol. 2 à 5
Jean-Charles Ablitzer (orgues historiques de Skt Cosmae und Damiani de Stade, de Steinkirchen, de Norden, de Weener)
V.1988, VIII & IX.1989
Harmonic Records
Une très belle alternative à l'intégrale Foccroulle (qui possède elle aussi un volume enregistré à Norden): les instruments retenus sont de factures plus proches (tous des Schnitger de Basse-Saxe, quand Foccroulle choisissait aussi des instruments néerlandais, danois et suédois), mais là où Foccroulle propose un jeu assez lié et des registrations plutôt homogènes, Ablitzer présente lui un jeu plus sec et avec davantage d'inégalités, et des sonorités plus différenciées; comme souvent chez Ablitzer, il en ressort une impression assez paradoxale: l'alliance d'un discours conduit de façon plutôt austère et de timbres assez poétiques. J'aime beaucoup (même si je me sens plus proche de la manière plus feutrée de Foccroulle).

L'Orgue de Norden, dans l'ensemble très bien, sonne trop vert, c'est davantage un Schnitger renaissancisé qu'autrement.

plenum a écrit:

L'Orgue de Norden, dans l'ensemble très bien, sonne trop vert, c'est davantage un Schnitger renaissancisé qu'autrement.

Ah, mais je sais bien, je crois d'ailleurs que tu en avais déjà parlé. Mais il se trouve que ces deux caractéristiques font précisément que la sonorité de cet instrument me plaît beaucoup, toutes considérations d'organologie historique mises à part.

Delius...

Benedictus a écrit:

plenum a écrit:

L'Orgue de Norden, dans l'ensemble très bien, sonne trop vert, c'est davantage un Schnitger renaissancisé qu'autrement.

Ah, mais je sais bien, je crois d'ailleurs que tu en avais déjà parlé. Mais il se trouve que ces deux caractéristiques font précisément que la sonorité de cet instrument me plaît beaucoup, toutes considérations d'organologie historique mises à part.

C'est vrai, je l'ai déjà souligné. Dommage que Ablitzer ou bien Foccroule n'aient pas plutôt opté pour le Stellwagen de Stralsund, ou bien
l'orgue de Saint-Jakob de Lübeck. Bon c'est vrai que ces deux instruments, ne sont de pas de Schnitger, mais Stellwagen fut sa référence.
Ceux qui ont compris l'esthétique sonore d'Arp Schitger, sont celui de Saint-Vaast à Béthune, dans le Pas de Calais, par Freytag-Tricotaux,
et Sainte-Catherine de Hambourg par Flentrop.

Bax est probablement LE compositeur post-romantique/post straussien le plus important de GB. Il existe des intégrales de ses symphonies (j'ai celles de Bryden Thomson et de David Lloyd-Jones), ainsi qu'un certain nombre d'enregistrements isolés. Celui-ci fait partie d'un coffret dédié à la musique symphonique britannique. Cette sixième, l'avant-dernière du compositeur, n'est pas sa plus imposante ou dramatique. Mais elle représente bien son habitude de mêler un ton fougueux à des épisodes rêveurs et langoureux.

Bax était un maître du poème symphonique à la manière de Dvorak, mais avec des envolées lisztiennes/bartokiennes de son cru. Tintagel est son oeuvre la plus connue.

Un compositeur moderne qui a la cote, d'après le nombre de productions enregistrées, notamment ses opéras/oeuvres vocales.

Un programme exigeant.

Boesmans peut avoir, d’après ses opéras récents, une réputation de quasi-néo un peu gris, qu’on imagine presque entre Britten et Adès.
Mais c’est très réducteur. Les œuvres de ce cd sont très représentatives de son style, je trouve : un langage très marqué post-sérialisme, très virtuose avec notamment ces traits vifs aux claviers (claviers qu’il met un peu partout), qui intégère très fortement la consonnance, et qui constitue la plupart du temps des sortes de champs harmoniques.

Bryn Harrison (1969–) : Vessels (2012/13) pour piano
Philip Thomas, piano

Messiaen: Visions de l'amen (Osborne/Roscoe)
Schumann:Fantaisie op.17 (Richter)

Beau programme!

Osvaldo Golijov : Ayre pour soprano et ensemble de chambre       2004 / Upshaw, The Andalucian Dogs

Je ne peux vraiment pas aller au bout.

Pascal Zavaro : Rush pour saxophone       2004 / Trio Saxiana

Thierry Escaich : Phantasia Antiqua pour deux saxophones et piano       2009 / Trio Saxiana

Benoît Mernier : An die Nacht pour soprano et orchestre       2002 / Delcampe, Davin

Benoît Mernier : Trio à clavier pour violon, violoncelle et piano       2003 / Trio Fibonacci

Benoît Mernier : Blake songs pour soprano et treize instrumentistes       1992-94 / Fugiss, Ensemble Modern (Rundell)

Boesmans : Cadenza (1978).  Bohets
Robert : Le cerisier éclaté (1973).  Robert

Pierre Boulez : Dialogue de l'ombre double pour clarinette et bande magnétique       1985 / Damiens

Villa-Lobos : Bachianas Brasileiras N°1, 2, 5 & 9 (Heitor Villa-Lobos, 1958 : Victoria de Los Angeles)

Schumann:Etudes Symphoniques (Richter)

Polyeucte a écrit:

Villa-Lobos : Bachianas Brasileiras N°1, 2, 5 & 9 (Heitor Villa-Lobos, 1958 : Victoria de Los Angeles)

Ah la la ! Les visuels EMI Références/Great recordings of the century qu'est-ce qu'ils ont pu me faire rêver ...

Retour de vacances après une dominante italienne (ou presque) et:

Boccherini, sextuors à cordes op.23 n° 1, 2, 5. Ensemble 415 / Chiara Banchini
Muffat (« il part étudier à Rome avec bernardo Pasquini »), Armonico tributo. Conceri Grossi n° 1 à 5. Ensemble 415 / Chiara Banchini
Alessandro Marcello, concertos, cantate « Irene sdegnata » . Venice Baroque Orchestra / Andrea Marcon
Luc Ferrari (« il se demande ce qu’il aurait été s’il était né en Italie le pays de ses ancêtres ») Music promenade, Presque rien n°1 (ensuite ma fille a refusé d’écouter Presque rien n°2, et Presque rien avec filles, je ne comprends pas pourquoi ! )

Et enfin dans une petite moisson de CD à 1€ trouvée chez un marchand de vieilleries :

Azzolino Bernardino Della Ciaja (1671-1755)
Six sonates clavecin op. 4
Attilio Cremonesi

J’étais un peu passé à côté avec la version Martin Derungs

Max E. Keller (1947–) :
— Dornenbahn (1983) pour violoncelle
David Riniker
— Friedenslied eines Oboisten (1983) pour hautbois
Burkhard Glaetzner
— Zustand I–VII (1984) pour 10 instruments
Radio-Sinfonieorchester Basel (Bernhard Wulff)
— Achuapa/Nicaragua (1986) pour pianiste parlant et chantant
Gerhard Erber
— Konfigurationen II (1989) pour voix d’alto et ensemble
Béatrice Mathez Wüthrich
ensemble für neue musik zürich (Dominik Blum)

Son très précaire pour apprécier Brahms. A écouter quand même...

Claus-Steffen Mahnkopf : Kammerkonzert pour piano et ensemble       1995-96 / Kim, Ensemble SurPlus (Avery)

bAlexb a écrit:

Un des mes premiers émois brucknériens.
Il y avait Siegfried Idyll en complément du disque.

Claus-Steffen Mahnkopf : "il faut continuer" pour ensemble       1989-90 / Ensemble SurPlus (Avery)